Selon le Dr Denis Rancourt, chercheur et expert en physique, pour 2 000 personnes en Occident qui ont été « vaccinées » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19), au moins l’une d’entre elles est décédée.
Alors que la campagne de vaccination contre le covid en Inde a entraîné la mort de 3,7 millions de personnes parmi les plus fragiles du pays, les pays occidentaux ont vu mourir bien plus de millions de personnes, au point que le Dr Rancourt estime le nombre de décès au niveau mondial à au moins 13 millions.
Le 17 mai, le Dr Rancourt a témoigné lors de l’Enquête nationale des citoyens (ENC) dans l’Ontario, au Canada, une enquête menée par les citoyens sur la réponse du Canada à la catastrophe de 19 ans.
Un fil de discussion Twitter compilé par le chercheur et journaliste citoyen Ben M., qui aide à maintenir des données pertinentes par le biais de projets tels que Mortality Watch, présente plusieurs clips vidéo du Dr Rancourt lors de son témoignage à l’audience.
« Il existe une forte corrélation avec la pauvreté, qui est l’un des éléments de preuve permettant de dire qu’il ne s’agit pas d’un virus », a expliqué le Dr Rancourt à propos du fait que la covidie n’est même pas un virus comme on l’a prétendu.
« Il n’y a absolument aucune corrélation avec l’âge, ce qui prouve définitivement qu’il ne peut s’agir d’un virus.
(Voir aussi : Plus un bébé reçoit de vaccins pendant l’enfance, plus il est susceptible d’être victime d’une mort subite, également connue sous le nom de syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN)).
La covidie n’a pas tué, ce sont les vaccins qui ont tué (et qui tuent encore).
À vrai dire, il n’existe toujours pas de preuve de l’existence même de la covidie. Ce que nous avons, ce sont de nombreuses preuves montrant que des personnes sont mortes à la suite d’ »injections » de covid, mais ce ne sont que des spéculations sur le fait que quelqu’un soit mort du covid lui-même, qui semble être une arme chimique administrée en partie par le biais des injections.
« Pendant la période de la covidie, tous les pays occidentaux ont réduit leurs prescriptions d’antibiotiques de 50 %, de sorte qu’ils ne traitaient pas les pneumonies bactériennes », a expliqué le Dr Rancourt.
« La structure par âge de la surmortalité a changé au fur et à mesure que l’on avance dans la période de vaccination. Les pics se produisent dans des points chauds très spécifiques, mais de manière synchrone dans le monde entier […] ce qui, d’un point de vue épidémiologique, est strictement impossible parce que le temps qui s’écoule entre l’apparition d’une infection et l’augmentation soudaine de la mortalité est totalement incertain ».
Si le covid était vraiment un virus, il ne serait pas isolé dans certains points chauds comme il l’a été, refusant de franchir les limites politiques et les frontières. Quelque chose d’autre s’est produit pour commencer à tuer des gens en masse, et cette chose est connue sous le nom de « vaccins » covidiques.
« Le virus a absolument refusé de franchir ces frontières, bien sûr, c’est absurde, une maladie respiratoire virale est censée se propager, et elle n’a pas besoin de passeport, et elle ne respecte pas les frontières, donc c’est une autre preuve, qu’il ne s’agit pas d’une pandémie respiratoire virale », a déclaré le Dr Rancourt.
« Vous voyez, en conséquence du déploiement du vaccin, il y a un régime de mortalité plus élevé. Il en va de même pour chacun des États australiens. Le pic important [dans le sud des États-Unis] coïncide avec [le] programme d’équité vaccinale ».
Le Dr Rancourt poursuit en révélant que l’injection de ces concoctions chimiques à des personnes âgées – des personnes âgées qui couraient déjà un risque élevé de mourir en raison de la détérioration de leur système immunitaire – est à l’origine de l’augmentation exponentielle du nombre de décès tout au long de la « pandémie ».
« Les jeunes adultes sont au-dessus du [risque] exponentiel », a-t-il ajouté. « Il y a un plateau de risque de décès pour les jeunes adultes.
En résumé, le Dr Rancourt a expliqué à l’assistance que s’il n’y avait pas eu de propagande ou de coercition, ni de déclaration de pandémie, il n’y aurait pas eu de surmortalité pendant la pandémie. Ce sont les piqûres, ainsi que le confinement, l’isolement social et le port de masques qui ont tué les gens.
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Les sources de cet article sont les suivantes :
https://www.naturalnews.com/2023-06-27-13-million-killed-covid-vaccines-denis-rancourt.html
traduit par Anne bella .
ANNE BELLA INFOS SANS LANGUE DE BOIS 
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