INFORMATIONS MONDIALES

Réchauffement climatique! La géo-ingénierie détruit notre planète et l’humanité …Livre électronique sur la recherche mondiale, Centre de recherche sur la mondialisation (CRG)

Réhabilitation climatique!

Géo-ingéniérie détruit notre planification et l’humanitaire

Professeur Claudia von Werlhof (Éditeur)

Avec les contributions de 

Vilma Almendra, Rosalie Bertell, Michel Chossudovsky, 

  Josefina Fraile, Elana Freeland, Claire Henrion, 

Maria Heibel, Conny Kadia,  Linda Leblanc, Claudia von Werlhof


Table des matières

Céphéose

par Michel Chossudovsky

Chapitre I

Introduction.  RÉÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE! Comment expliquer ce qui se passe aujourd’ ? ,

par  Claudia von Werlhof

Premiere partie

Géoournerie, politique et planification

Chapitre II

Entretien notre plan , 

par Rosalie Bertell

Chapitre III

Géo-ingénerie, « état profond » et verrouillage planaire , 

par Elana Freeland

Chapitre IV 

Feux de fête artificielle au Portugal 2017 ,

par Conny Kadia

Chapitre V

De la geo-ginerie à un New Deal pour la nature: de la Terre pour le profit 

par Josefina Fraile

Chapitre VI

Les yeux grands ouverts à Chypre ,

par Linda Leblanc

Chapitre VII

Pourquoi les gens ne sont-ils pas qu’s sont pulsés comme des insectes ? ,

de Claire Henrion

Chapitre VIII

Le CO 2 comme bouc émissaire et comme voie vers le « Meilleur des Mondes » ,

par Maria Heibel

Chapitre IX

Géo-angélierie : de la géo-armement à la géo-guerre. La destruction de la Terre Comme crime ultime et suprême de la civilisation patriarcale ,

par Claudia von Werlhof

Partie II

Les femmes pour la reine de la Terre Mère

Chapitre X

La « haine de la vie » comme élément central du patriarcat ,

par Claudia von Werlhof

Chapitre XI

Entre notre capture par le patriarcat et notre liberté par la vie maternelle ,

par Vilma Almendra

Annexes

Annexe I

Mouvement planaire pour la Terre Mère: Deuxieme lettre ouverte à Greta Thunberg , 2019

Annexe II

Rosalie Bertell: Lettre à la Conférence des Nations Unies de Durban 2011

Annexe III

Nations Unies: Convention sur l’Interdiction de l’Utilisation Militaire ou de Tout Autre Usage Hostile des Techniques de Modification Environnementale, et, Nations Unies, Genève, 18 mai 1977. Entrée en vigueur: 5 octobre 1978


Les auteurs

Vilma Rocío Almendra Quiguanás est originaire de Nasa-Misak du nord du Cauca, en Colombie. Elle tisse des communications pour la vie. Elle est l’auteur des livres : « Regresar del olvido liberándonos con Uma Kiwe. Desafíos de la lucha Nasa del Cauca, Colombie: Tejiendo memoria entre la emancipación y la captura » (2017) et « Encontrar la palabra perfecta : En savoir plus : experiencia del tejido de comunicación del pueblo nasa en Colombia » (2010). Elle fait partie de l’initiative « Pueblos en Camino » qui a pour mandat de promettre le tissu de la résurrection et de l’autonomie entre les peuples et les processus.

Rosalie Bertell , 1929 Aux USA, est décédé en 2012 dans son couvent des « S ⁇ urs Grises du Sacrée-C ⁇ ur » en Pennsylvanie. Elle est titulaire d’un doctorat en biologie de l’Université catholique de Washington DC en 1966. Elle a neuf doctorats honoris causae et plusieurs prix, dont le Right Livelihood Award en 1986 pour « Pas de danger aujourd’hui ? Pronostic d’une Terre radioactive », 1985.

Elle est cofondatrice de l’International Institute of Concern for Public Health, IICPH, Toronto et d’autres. Elle est l’auteur de « Planète Terre. La Dernière Arme de Guerre », 2000. Elle est expérimentée des commissions des Nations Unies sur Tchernobyl, Bhopal, Îles Marshall, etc.travaillant dans 60 pays sur les accidents industriels.

Michel Chossudovsky est  un auteur primitif, professeur d’économie (émérite) à l’Université d’Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRG), Montréal, directeur en chef de Global Research.

Il est l’auteur de douze livres, dont The Globalization of Poverty and The New World Order (2003), America’s « War on Terrorism » (2005), The Globalization of War, La Longue Guerre de l’Amérique contre l’humanité (2015). Il contribue à l’Encyclopaedia Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de vingt langues. 

En 2014, il a recu la Médaille d’or du mérite de la République de Serbie pour ses actes sur la guerre d’agression de l’OTAN contre la Yougoslavie. 

Josefina Fraile Martín  est original d’Espagne. Elle est chercheuse et active environnementale. Elle a été la candidate officielle espagnole des Verts au Parlement européen en 2004. Elle est indépendante de l’association Terra SOS-tenible. Elle est un accord avec la promotrice des platesformes internationales de la société civile Skyguards et Guardacielos qui s’opposent aux programmes mondiaux de manipulation du climat en cours, enseignement, auprs des instances politiques des pays européens et des institutions européennes.  

Elana Freeland des États-Unis est surtout connaissance pour Chemtrails, HAARP et Full Spectrum Dominance of Planet Earth (Feral House, 2014) et un règlement final de sa suite Under an Ionized Sky: les: From Chemtrails to Space Fence Lockdown (Sub Rosa America, 2018). ) À propos de la Space Fence SDI « Star Wars » resuscitée.  »notre en 2021, Transhumanisme geo-ingénerie : comment l’environnement a été transformé en arme par les produits chimiques, l’électromagnétique et la nanotechnologie pour la biologie synthétique. Il s’agit du troisieme livre de la trilogie sur la geo-ingenerie.

Maria Heibel  est née dans le Limbourg en Allemagne. Elle a été élue à l’Université Johann-Wolfgang-Goethe de Francfort/Main. Elle a été accordée en 1976 en sciences politiques et historiques pour des travaux pédagogiques, et en 1980 en pédagogie. De 1981 à 1991, son activité principale est l’art graphique avec des expositions en Italie, en Allemagne, au Japon, en Pologne, etc. 1991, son activité principale était dans le domaine social. Elle est la curatrice du site Internet : Nogeoingegneria.com. Elle vit à Florence-Toscana, en Italie, depuis 1981.

Claire Henrion , 1960, a fond l’ACSEIPICA (Association Publique pour l’Etude, le Suivi et l’Information des Programmes d’Intervention Atmosphérique et Climatique – www.acseipica.fr ). Son site Web est  www.rockastre.org  et se concentrer sur la recherche, l’art et l’éducation populaire en astronomie et astrologie, pour retrouver une cosmologie capable de gérer la paix.

Conny Kadia , née en 1965 en Allemagne, a étudié la musique, la politique, la philosophie et les langues. Elle était musicienne professionnelle de batterie africaine, ainsi que de piano classique et de saxophone jazz. Elle a émigré définitivement au Portugal en 2000. Elle aime la nature et étudie les animaux. Depuis 2014, elle milite en faveur de la géo-ingénierie au Portugal et a été témoin en 2017 des incendies organisés par les États et l’armée le 15 octobre 2017. Elle travaille principalement comme professeur de musique et traductrice. Elle est co-fondatrice des groupes « Why Fire Group » et « Grupo Céus Limpos » dans le centre du Portugal. Depuis 2019, elle milite au sein des « Mouvements nationaux contre l’exploitation minière » au Portugal.

Linda Leblanc , 1989, une Chypriote naturalisée canadienne, vit à Chypre depuis. Elle est écrivain, politicienne et membre active du Parti vert de Chypre. Elle est entrée dans l’histoire en 2006 en tant que première personne d’origine non chypriote à Ère èlue ŕ un conseil municipal de Chypre. Elle est la première femme élue au Conseil de Pegeia et a été élue en 2011 et 2016.

Claudia von Werlhof , 1943 près de Berlin, en Allemagne, est professeur universitaire de sciences politiques et d’études scientifiques en Autriche à Innsbruck, mère d’un soleil. Elle a co-inventé « l’Ecole de Bielefeld » en Allemagne, a travaille sur le terrain en Amérique centrale et du Sud, a developpé la « Théorie critique du patriarcat », a écrit, a cofondé le FIPAZ (Institut de recherche pour la critique du patriarcat et des civilisations alternatives), a, le « Mouvement Planétaire pour la Terre Mère » et « BOOMERANG – Journal pour la Critique du Patriarcat ». Elle est associée de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation, Montréal.


Céphéose

par

Michel Chossudovsky

Cet important livre intitulé  Global WAR-NING!  Géo-ingéniérie détruit notre planification et l’humanitaire par  le professeur Claudia von Werlhof (auteur) comprendre les contributions d’étudiants universitaires et activistes.

Dans la première partie, l’accent est mis sur la géo-angénie, la politique et la planification.   La deuxieme partie analyse  les femmes dans la cité de la Terre Mère

Au moment o nous mettons sous presse, les dirigeants du monde se lever à Glasgow, lors de la COP-26 sous les auspices de la Convention-cadre sur les changements climatiques (CCNUCC).

Tous les regards sont d’habitude tournois vers « les dangers imminents des émissions de CO2 et de gaz à effet de serre ».

La soi-disant « urgence climatique »   est devenue un instrument de propagande opportun et pratique  , Ø, utilisé pour rendre les gens de la remise en question de « la vraie croix », à savoir la « plomberie » de Covid-19 (instigée par les élites financières) qui a produit la vie des gens dans le monde entier.

Exclusion des techniques de géto-ingénierie et de modification de l’environnement (ENMOD) du jour sur le climat

Le debat sur le climat de la COP dans le cadre de la CCNUCC a composer exclu l’analyse de la geo-ingenerie qui entretien notre planification, comme l’a souligné feu Rosalie Bertell  (chapitre II). Selon Rosalie Bertell: « La geo-ingenerie est dedéfinie comme l’enie environnementale à l’elle planaire de notre atmosphere: c’est-à-dire la manipulation de notre matéréo, de nos oeans et de notre planete elle-mênème. » 

Comme lors des précédents sommets sur le climat, les techniques de géo-ingénierie et de modification de l’environnement (ENMOD) ne seront pas abordées lors de la COP26 de Glasgow. Le débat sur le changement climatique se concentre uniquement sur les impacts des émissions de gaz à effet de serre et les mesures visant à réduire les émissions dites anthropiques de CO2 dans le cadre du protocole de Kyoto.

Ironiquement, les techniques de modification de l’environnement (ENMOD) ont été reconnues par l’ONU en 1977, les techniques de modification de l’environnement (ENMOD) ont été utilisées en 1977 Convention sur l’ingérence de l’utilisation militaire ou de toute autre utilisation hostile des techniques de modification de l’environnement.

La Convention de 1977 a été ratifiée par l’Assemblée gérérale des Nations Unies qui a interdit « l’ militaire ou autre utilisation hostic de techniques de modification de l’ ayant des effets ‘etendus, durables ou tombes ». (AP, 18 mai 1977).

Les États-Unis et l’Union soviétique et acquis signataires de la Convention.

Guide par l’ est de consolider la paix, … et de sauver l’humanite du danger que represente l’utilisation de nouveaux moyens de guerre , (..)

Reconnaissance que l’utilisation militaire de ces [techniques de modification de l’environnement] pourrait avoir des effets extrèmement possibles au bien-être humain,

Rédiger des remèdes efficaces, à des fins militaires, l’utilisation de techniques de modification de l’environnement à l’intérieur d’avoir les dangers pour l’humanitaire. … et affirmant leur volonté d’ ⁇ uvrer à la réhabilitation de cet objectif, (..)

Chaque état partie à la consommation Convention s’engage à ne pas retrouver à des techniques de modification de l’environnement ayant des effets étendus, durables ou graves comme moyens de destruction, de dommage ou de bénédiction pour tout autre état partie. ( Convention sur l’ingérence de l’utilisation militaire ou de toute autre utilisation hostile des techniques de modification de l’environnement, Nations Unies, Genève, 18 mai 1977. Entrée en vie 5 octobre 1978, voir le texte intérieur de la Convention en annexe)

La Convention définitive « les « techniques de modification de l’environnement » comme faisant régner la puissance – à modifier par la manipulation de processus naturels – la dynamique, la composition ou la structure de la Terre, y compris son biote, sa lithosphère, son hydrosphère et son atmosphère, ou de l’espace extra-atmosphérique. » (Interdiction des modifications environnementales concernant l’observation, les déclarations des États parties, Chronique ONU, juillet 1984, vol. 21, p. 27)

Le contenu de la Convention de 1977 a été confirmé en termes réels dans la Convention-cadre sur les changements climatiques (CCNUCC) signee lors du Sommet de la Terre de 1992 à Rio de Janeiro: les :

« Les États ont… conformation à la Charte des Nations Unies et aux principes du droit international, la (…) responsabilité de veiller à ce que les activités pertinentes de leur juridiction ou de leur conflit ne causent pas de dommages à l’environnement d’autres États ou de zones au-delà des limites de juridiction nationale. » ( Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, New York, 1992 )

Avr le Sommet de la Terre de Rio de Janeiro en 1992, la question du changement climatique à des nageoires militaires n’a jamais ‘est-à-être lors des sommets ultraieurs de la CCNUCC sur le climat. La question a été effacée, publié sous forme d’œuvre. Cela ne fait pas partie du jour sur le changement climatique. L’exclusion par la CCNUCC de la Convention de 1977 relative aux techniques de modification de l’environnement constitue une violation flagrante de la Charte des Nations Unies. 

Les mots de Claudia von Werlhof au chapitre I

La géo-ingénierie militaire est à la fois une macro-technologie pour influencer et modifier les processus plans et en semaine temps une micro-technologie pour influencer notre corps et notre esprit, une technologie de contraste mentale. Mais la geo-ingenerie militaire n’est pas seulement cachée au public. … Entre-temps, la vénérable géo-ingénerie transforme la planete à des fins militaires contre nous et contre elle-mênière. Cette signification que la Terre Mère est « militairee », essai de la transformatrice en une machine de guerre gée.

Cependant, en février 1998, la commission des affaires étrangères, de la cérémonie et de la politique de Dieu du Parlement européen a tenu des auditions publiques à Bruxelles sur l’installation de guerre parlementaire fondamentale aux États-Unis et au gouvernement HAARPE.

La « Proposition de résolution » de la Commission soumise au Parlement européen : Accueil :

« Considère HAARP. [ Le programme de recherche sur les aurores actives à haute fréquence base en Alaska ]. en raison de son impact consulable sur l’environnement, comme une préoccupation mondiale et appel à ce que ses implications juridiques, écologiques et éthiques soient examinées par un organisme international… ; [le Comité] regrette le refus de l’administration humanitaire et publique [du] programme HAARP. (Parlement européen, commission des affaires étrangères, de la cérémonie et de la politique de l’état, Bruxelles, doc. n° A4-0005/99, 14 janvier 1999).

La demande du Comité d’emploi un « Livre vert » sur « les impacts environnementaux des activités militaires » a toutfois été rejetée avec détermination. Bruxelles tenait à réussir une confrontation avec Washington. (voir Rapport européen du 3 février 1999).

« La créature comme multiplicateur de force: s’applique la puissance » <TAG1> à usage militaire

Le consensus climatique est remis en question par les auteurs de Global WAR-NING : La Géo-ingénierie est en train de détruire Notre Planète et Notre Humanité.   L’utilisation militaire d’ENMOD est amplement documentee. Cela s’scrit dans un agenda militaire, confirmé par l’US Air Force :

« [La modification du temps] offre au combattant un large éventail d’options possibles pour vaincre ou contraindre un adversaire … La modification du temps deviendra une partie de la sécurité nationale et internationale et pourrait être effectuée unilatéralement… Elle pourrait avoir des applications offensives et défensives et même être utilisée. à des fins de dissuasion. La capacité de générer des précipitations, du brouillard et des tempêtes sur Terre ou de modifier la météo spatiale… et la production de conditions météorologiques artificielles font toutes partie d’un ensemble intégré de technologies [militaires]. (Document de l’US Air Force Rapport final AF 2025)

L’ objectif de rapport est decrit ci-dessous :

Dans cet article, nous montrons qu’une application appropriée de la modification météorologique peut permettre une domination de l’espace de combat à un degré jamais imaginé auparavant. À l’avenir, de telles opérations renforceront la supériorité aérienne et spatiale et offriront de nouvelles options pour façonner et connaître l’espace de combat, en attendant que nous rassemblions tout cela ; » en 2025, nous pouvons « nous approprier la météo ». (Document commandé par l’US Air Force AF 2025 Final Report, (document public)  

(Pour plus de détails, voir Michel Chossudovsky,  Climate Change, Geoengineering and Environmental Modification Techniques (ENMOD) , Global Research, novembre 2018)

Modification météorologique, selon le document AF 2025 Final Report de l’US Air Force, 

« offre au combattant un grand événement d’options possibles pour vaincre ou contre-re un adversaire », les capacités, dit-il, s’estrément au commencement d’inondations, d’ouragans, de séresses et de tremblements de terre :

« La modification du temps fera partie de la décision nationale et internationale et pourrait ‘jour effectife unilatation… Elle pourrait avoir des applications offensives et nouvelles et fête ê tre utilisatione à des fins de dissuasion. La capacité de donner des priorités, du brouillard et des fêtes sur Terre ou de modifier la mémoire spatiale… et la production de conditions météorologiques artificielles font toutes partie d’un ensemble intégré de technologies [militaires]. 

Voir les rapports complets commandés par l’US Air Force

 …. Qu’il s’agisse d’améliorer les opérations amies ou de perturber celles de l’ennemi en passant par l’adaptation à petite échelle des conditions météorologiques naturelles jusqu’à la domination complète des communications mondiales et du contrôle anti-spatial, la modification météorologique offre au combattant un large éventail d’options possibles pour vaincre ou contraindre un adversaire. Certaines des capacités potentielles qu’un système de modification météorologique pourrait fournir à un commandant en chef de guerre (CINC) sont répertoriées dans le tableau 1.

Source : Force aérienne américaine

Pourquoi voudrions-nous jouer avec la météo ? est le sous-titre du chapitre 2 du rapport

« Selon le général Gordon Sullivan, ancien chef d’état-major de l’armée, « à mesure que nous entrerons la technologie dans le 21e siècle, nous serons en mesure de voir l’ennemi de jour comme de nuit, par tous les temps, et de le poursuivre sans relâche. » Une capacité globale, précise, en temps réel, robuste et systématique de modification météorologique fournirait aux CINC de guerre un puissant multiplicateur de force pour atteindre leurs objectifs militaires. Étant donné que les conditions météorologiques seront communes à tous les futurs possibles, une capacité de modification des conditions météorologiques serait universellement applicable et utile dans tout le spectre des conflits. La capacité d’influencer la météo, même à petite échelle, pourrait la transformer d’un dégradateur de force en un multiplicateur de force.

Sous le titre:

Qu’entendons-nous par « modification météo » ?

Le rapport précise :

« Le terme modification du temps peut avoir des connotations négatives pour de nombreuses personnes, civils et militaires. Il est donc important de définir la portée à considérer dans cet article afin que les critiques potentiels ou les partisans de recherches plus approfondies disposent d’une base de discussion commune.

Au sens le plus large, la modification du temps peut être divisée en deux grandes catégories : la suppression et l’intensification des régimes météorologiques . Dans des cas extrêmes, cela pourrait impliquer la création de régimes météorologiques complètement nouveaux, l’atténuation ou le contrôle de tempêtes violentes, ou même une altération du climat mondial à grande échelle et/ou de longue durée. Dans les cas les plus légers et les moins controversés, cela peut consister à induire ou à supprimer des précipitations, des nuages ​​ou du brouillard pendant de courtes périodes sur une région à petite échelle. D’autres applications de faible intensité pourraient inclure la modification et/ou l’utilisation de l’espace proche comme moyen pour améliorer les communications, perturber la détection active ou passive, ou à d’autres fins. (c’est nous qui soulignons)

Le déclenchement des tempêtes : 

« Les technologies de modification du temps pourraient impliquer des techniques qui augmenteraient le dégagement de chaleur latente dans l’atmosphère, fourniraient de la vapeur d’eau supplémentaire pour le développement des cellules nuageuses et fourniraient un chauffage supplémentaire à la surface et à la basse atmosphère pour augmenter l’instabilité atmosphérique.

Les conditions atmosphériques préexistantes aux niveaux local et régional sont essentielles au succès de toute tentative de déclenchement d’une cellule orageuse. L’atmosphère doit déjà être conditionnellement instable et la dynamique à grande échelle doit favoriser le développement vertical des nuages. L’objectif de l’effort de modification du temps serait de créer des « conditions » supplémentaires qui rendraient l’atmosphère suffisamment instable pour générer des nuages ​​et éventuellement le développement de cellules orageuses. La trajectoire des cellules orageuses une fois développées ou améliorées dépend non seulement de la dynamique à méso-échelle de la tempête, mais aussi des modèles de flux de vent atmosphérique à l’échelle régionale et synoptique (globale) dans la zone qui ne sont actuellement pas soumis au contrôle humain. (page 19)

Les analystes militaires restent muets sur le sujet. Les météorologues n’enquêtent pas sur la question et les environnementalistes sont bloqués sur le réchauffement climatique et le protocole de Kyoto.

Le programme HAARP

Le programme de recherche aurorale active à haute fréquence (HAARP)  a été initialement créé à Gokona, en Alaska, en 1992. Selon un communiqué de l’US Air Force, l’installation HAARP a été fermée en mai 2014. La technologie de modification du temps prévaut néanmoins. A-t-il été déplacé vers un endroit tenu secret ? Au milieu des années 1990, la technologie HAARP était pleinement opérationnelle. L’évolution des technologies de modification du temps à usage militaire au cours des vingt dernières années n’a pas été divulguée. 

HAARP faisait partie d’une génération d’armes sophistiquées dans le cadre de l’Initiative de défense stratégique (SDI) américaine. Exploité par la Direction des Véhicules Spatiaux du Laboratoire de Recherche de l’Armée de l’Air, HAARP constitue un système d’antennes puissantes capables de créer des « modifications locales contrôlées de l’ionosphère » [couche supérieure de l’atmosphère] :

HAARP a été présenté à l’opinion publique comme un programme de recherche scientifique et universitaire. Des documents militaires américains semblent toutefois suggérer que l’objectif principal de HAARP est « d’exploiter l’ionosphère à des fins de ministère de la Défense ». (Voir Michel Chossudovsky, The Ultimate Weapon of Mass Destruction: « Owning the Weather » for Military Use , Global Research, 27 septembre 2004.

Sans faire explicitement référence au programme HAARP, l’étude de l’US Air Force citée ci-dessus souligne l’utilisation de « modifications ionosphériques induites » comme moyen de modifier les conditions météorologiques ainsi que de perturber les communications et les radars ennemis. (Idem)

HAARP a également la capacité de déclencher des coupures de courant et de perturber le système électrique de régions entières :

 » Rosalie Bertell, présidente de l’Institut international de préoccupation pour la santé publique, affirme que HAARP fonctionne comme « un gigantesque réchauffeur qui peut provoquer des perturbations majeures dans l’ionosphère, créant non seulement des trous, mais aussi de longues incisions dans la couche protectrice qui empêche les radiations mortelles de bombarder ». la planète’.

Le physicien Bernard Eastlund l’a qualifié de « plus grand radiateur ionosphérique jamais construit ». HAARP est présenté par l’US Air Force comme un programme de recherche, mais des documents militaires confirment que son objectif principal est « d’induire des modifications ionosphériques » en vue de modifier les conditions météorologiques et de perturber les communications et les radars.

Selon un rapport de la Douma d’État russe : « Les États-Unis envisagent de mener des expériences à grande échelle dans le cadre du programme HAARP [et] de créer des armes capables de briser les lignes de communication radio et les équipements installés sur les vaisseaux spatiaux et les fusées, et de provoquer de graves accidents dans les réseaux électriques. et dans les oléoducs et les gazoducs, et ont un impact négatif sur la santé mentale de régions entières.

La manipulation météorologique est l’arme préventive par excellence. Elle peut être dirigée contre des pays ennemis ou des « nations amies » à leur insu, et utilisée pour déstabiliser les économies, les écosystèmes et l’agriculture. Cela peut également provoquer des ravages sur les marchés financiers et des matières premières. La perturbation de l’agriculture crée une plus grande dépendance à l’égard de l’aide alimentaire et des céréales de base importées des États-Unis et d’autres pays occidentaux. (Michel Chossudovsky, Weather Warfare : Méfiez-vous des expériences militaires américaines en matière de guerre climatique , The Ecologist, décembre 2007)

Une analyse des déclarations émanant de l’US Air Force révèle l’impensable : la manipulation secrète des conditions météorologiques, des systèmes de communication et de l’énergie électrique comme arme de guerre mondiale, permettant aux États-Unis de perturber et de dominer des régions entières du monde.

C’est la vérité tacite affectant toute l’humanité qui est abordée dans ce livre. Selon les mots de Rosalie Bertell :

« La géo-ingénierie est définie comme l’ingénierie environnementale à l’échelle planétaire de notre atmosphère : c’est-à-dire la manipulation de notre météo, de nos océans et de notre planète elle-même. »

Et ce sont des réalités qui ont été négligemment écartées par le débat de la COP sur le climat sous les auspices de la CCNUCC, qui a été dès le début généreusement financé par les Rockefeller.


Chapitre I

Introduction

RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE!

Comment expliquer ce qui se passe aujourd’hui ?

par

Claudia von Werlhof

Après plus d’un an de « confinement » partout dans le monde, la question du « réchauffement climatique » et du « changement climatique » revient sur la table du débat international.

Il semble que des catastrophes naturelles ont commencé à nous entourer partout – du monde animal à côté de nous comme du ciel au-dessus de nous. La « nature » est-elle l’ennemi qu’il faut combattre aujourd’hui, que ce soit en vaccinant l’humanité contre le coronavirus qui aurait surgi du désert pour nous attaquer, que ce soit en détruisant la production et la consommation industrielles afin d’éviter le prétendu gaz à effet de serre CO 2 ? émissions, étant officiellement identifié comme le seul responsable d’un soi-disant réchauffement climatique ? Ou bien en appliquant des méthodes de « géo-ingénierie » civile contre un changement climatique en cours qui semble menacer le monde ?

C’est le meilleur moment pour publier notre livre « Global War-ning ! La géo-ingénierie détruit notre planète et l’humanité ». Notre mise en garde n’est cependant pas une mise en garde contre les émissions de CO 2 qui seraient à l’origine du réchauffement de la planète. C’est ce qu’affirment d’en haut, en particulier le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), les gouvernements, les médias et les super riches, ainsi que les mouvements sociaux corrompus du monde entier (voir Deuxième lettre à Greta Thunberg, annexe).

Nous mettons cependant en garde contre les effets d’une forme de géo-ingénierie qui n’est pas d’origine civile, mais d’origine militaire, et d’une technologie qui seule est capable de produire des effets qui se manifestent par le réchauffement climatique, le changement climatique et bien d’autres encore, comme dommages à la couche d’ozone de la planète (Werlhof dans ce vol.).

Cette technologie militaire, cependant, n’est débattue presque nulle part, malgré son développement international il y a 75 ans. La géo-ingénierie militaire est à la fois une macro-technologie pour influencer et modifier les processus planétaires et en même temps une micro-technologie pour influencer notre corps et notre esprit, une technologie de contrôle mental. Mais la géo-ingénierie militaire est non seulement cachée au public, même lorsque certaines de ses applications « civiles » sont discutées et définies comme la seule « géo-ingénierie » qui existe, mais aussi – en référence à ses applications « civiles » – elle est définie comme l’autre. comme la technologie qui pourrait même sauver la planète. Entre-temps, la véritable géo-ingénierie transforme violemment la planète à des fins militaires contre nous et contre elle-même. Cela signifie que la Terre Mère est « militarisée », essayant de la transformer en une machine de guerre géante.

La technologie de la géo-ingénierie militaire a été analysée en profondeur sous tous ses aspects et son développement historique par la scientifique nord-américaine et experte de l’ONU, le Dr Rosalie Bertell (1929-2012), accompagnée et suivie par de nombreux autres (Bertell 2000, 2020 ; Chossudovsky 2020). Bertell conclut et prévient que cette technologie est en train de transformer notre planète dans son ensemble en une arme de destruction massive, y compris en la « détruisant » elle-même, comme elle le dit. Ainsi, la géo-ingénierie devrait être arrêtée immédiatement au lieu d’être définie comme une science civile et inversement proclamée comme un moyen de sauver la Terre !

Cela montre que les concepts du discours public utilisés aujourd’hui font partie d’une guerre de l’information qui produit partout une incroyable confusion (Engdahl 2018).

Le moment est donc venu de porter un nouveau regard sur la géo-ingénierie militaire afin de mieux comprendre ce qui se passe réellement avec la Terre en général et son « climat » en particulier, ainsi qu’avec les humains et nos sociétés.

Ce que nous pouvons voir aujourd’hui, c’est le début d’une politique de « protection du climat » qui est devenue le projet majeur de l’Union européenne pour les décennies à venir, le soi-disant « Green New Deal » (Rifkin 2019). Les mêmes politiques prétendument « vertes » sont également au cœur des concepts de « Grande Réinitialisation » du 21e siècle , propagés par le « Forum économique mondial » (WEF) et son leader, Klaus Schwab , à Davos (Schwab & Malleret 2020). ). Schwab ne défend rien de moins que les intérêts des super riches du monde. Son programme donne l’impression que le « Nouvel Ordre Mondial » souvent cité serait « vert », respectueux de la nature et que les dangers pour la nature – ainsi que ceux de la nature – élimineraient les efforts civilisationnels pour le bien-être de nous tous. Il semble que cela nous libérerait des péchés du gaspillage des ressources, de la production industrielle de masse et de la surconsommation sous le capitalisme. N’étaient-ce pas là les objectifs de tous les mouvements écologistes et anticapitalistes du siècle dernier ?

Oui, ils l’étaient, mais il y a tout d’abord un argument qui indique la véritable direction des nouveaux plans mondiaux. C’est l’argument d’une soi-disant « surpopulation » qui doit disparaître car elle menacerait la nature en étant responsable de la production d’émissions de CO 2 toujours croissantes en raison d’un niveau de production et de consommation toujours plus élevé. En effet, ce n’est que lorsque la population mondiale sera réduite à un niveau bien inférieur que le modèle de développement actuel et son utilisation des ressources ainsi que la concentration des revenus pourront être maintenus, voire élargis. Ce n’est qu’ainsi qu’un changement fondamental pourra être évité en direction d’une société alternative, véritablement égalitaire, qui n’aura plus besoin d’être orientée vers le capital dans la production et la consommation. Pour que le capitalisme puisse perdurer, il faut donc le réduire à un projet minoritaire, en ce qui concerne la production et la consommation de ressources limitées, car sinon il échouerait nécessairement dans un avenir proche. Le « pic pétrolier » deviendrait le sommet de tout.

Mais quels sont les changements annoncés par les nouveaux programmes politiques prétendument verts et protecteurs des ressources, outre le « dépeuplement » – un objectif qui est de toute façon inimaginable pour la plupart des gens jusqu’à aujourd’hui ?

Alors que l’on croit aux nouveaux projets politiques verts et qui plus est « durables », également soutenus par les Agendas 2010 et 2030 de l’ONU, il faut se demander ce que signifient ces projets dans la réalité et au-delà de leur propagande. Alors, est-il vrai que nous assistons au début d’un processus de transformation de nos sociétés en sociétés réellement écologiques, avec ou sans sa véritable « surpopulation » ?

La nouvelle « Grande Transformation » est annoncée partout. Il s’agit de commencer à effacer les résultats des anciennes révolutions industrielles, basées sur l’énergie du charbon, du gaz naturel et du pétrole (Engdahl 2021). Aujourd’hui, un nouveau régime technologique et énergétique doit être mis en place, appelé « quatrième révolution industrielle ». Elle est censée reposer principalement sur des énergies renouvelables « propres » à base d’eau, de vent, de biomasse et de lumière solaire, qui émettent peu de CO 2 par rapport à l’époque précédente. Le nouveau projet civilisationnel serait alors loin de conduire à un réchauffement climatique plus important, en le stabilisant au niveau proposé de 1,5 degré, et les catastrophes climatiques qui en résulteraient seraient limitées.

Le nouveau régime énergétique n’exclut cependant pas l’énergie nucléaire – considérée comme verte parce qu’elle ne produirait pas d’émissions de CO 2 (Werlhof 2019), ce qui n’est pas vrai si l’on considère au moins l’exploitation minière de l’uranium, par exemple, comme sa condition préalable. Le maintien de l’approvisionnement en énergie nucléaire montre cependant qu’en réalité les énergies renouvelables ne suffiraient pas du tout à maintenir la production de tous les intrants nécessaires, et les exigences d’un approvisionnement énergétique croissant dans un trafic, une économie et une société orientés vers l’électronique ne suffisent pas. sans parler de l’armée qui ne va pas abandonner ses intérêts premiers dans les technologies nucléaires, avec lesquelles – d’ailleurs – le projet de géo-ingénierie avait commencé (Bertell 2000, Werlhof dans ce volume).

Mais plus important encore, la quatrième révolution industrielle elle-même se définit par l’application généralisée de nouvelles technologies qui n’ont jamais été utilisées auparavant sur une base généralisée, à savoir le génie génétique et la biologie synthétique – les biotechnologies – l’intelligence artificielle (IA), les nanotechnologies et enfin les mais pas des moindres, la géo-ingénierie !

Ainsi, alors que le récit d’en haut concerne la nature sous tous ses aspects, étant la source de toute énergie, vie et matière, nous devons nous demander : qu’arrive-t-il à la nature à l’époque de la nouvelle révolution industrielle ?

Il arrive que la nature, sous sa forme de matière et de vie, soit systématiquement démantelée jusqu’à sa structure cellulaire, moléculaire et même atomique, et recombinée ensuite en une nouvelle « création », mais une création au-delà de toutes ses formes naturelles, de ses limites, de son évolution et de ses frontières évolutives. (Chargaff 1988). J’appelle cela la « nouvelle alchimie » dans laquelle la dissolution complète de toute matière, sa « mortification », devient la condition préalable d’une nouvelle « création », un Opus Magnum au-delà de la nature telle que nous la connaissons (Werlhof 2020, Bizarri 2012).

Cette évolution est en effet une évolution et elle pourrait ê tre la plus décisive de tous les temps. Il s’inventer un monde complément nouveau, un mélange de vie et de machine, et de différentes formes de vie et de matiere en tant que telles, inedites jusqu’ à nos jours. Mais cette évolution n’a plus rien à voir avec la nature, la vie, ni mère la vie humaine dans l’ordre naturel sur Terre. Au contraire, elle veut laisser passer et surmonter la nature dans toutes ses apparences, ses attache et ses liens. Il en va de fête pour la Terre Mère. « Pirater la planete » par la geo-ingenerie militaire signifie prendre le contre de ses énergies et de ses systèmes de survie, et les recombiner sous la forme d’une machine génante militaire.

Qu’est-ce qu’il y a de vert dans tout ? Il est vert en ce qui concerne toute vie, mais cette vie est en train d’être detruite et transforme en partie intellectuelle d’ immense mega-machine d’IA, l’« Internet des objets » numéro animé par les forces armées 5G. Dans l’IoT, toutes les parties sont définies comme des choses, comme des choses, comme des « informations ». Ainsi, comme nous sommes tous censurés en faire partie, nous, les événements humains – pour la premiere fois dans l’ – ne serons plus reconnaître en tant que tant’ jours ni femme humains ! Il ne sera plus nécessaire de reconnaître l’être humain, ses droits et sa liberte, ni de parler de démesure. Les nouvelles formes de vie dans l’IoT ne sera – comme toute innovation – que des brevets d’État par des médias-entreprises (Werlhof 2020).

C’est ce que la plupart des gens ne comprend pas : nous, en tant qu’tres humains, allons ètre eliminés si cela se produit comme prouvu (Werlhof 2021).

Est-ce ce que les mouvements écologiques du monde entier ont initialement divini comme vert ? Bien s ⁇ r que non. Ce que nous voyons est une civilisation utopique qui est à l’ face du vert dans le sens de respectueuse de la nature, car elle supprime et remplace la nature, la vie, mais aussi la vie humaine par la machine et leurs combinaisons guides par la machine. De cette manière, «l’Anthropocene», l’ère de l’homme contre-venant la Terre, est connaissance comme une epoque qui ne considère plus l’homme comme nous connaissons dans l’histoire.

Je suppose donc que presque personne ne comprend vraiment ce que signifiant en réalité le Green New Deal et le Great Reset.

Dépendants, en dépendants les points, en, nous y parlons comme une – en dependent la pretendue pandémie qui a été publiée comme une « plandémie » il y a a deja 10 ans (Rockefeller 2010) avec le pretendu danger du CO 2; relier les confinements aux plans de géo-ginerie contre le soi-disant réchauffement climatique ; relier la vaccination en cours contre le COVID-19 de milliards de personnes aux projets de redressement de la planification et au premier pas vers le transhumanisme pour ceux qui survivent, je suis en train de transformer en organismes gouvernementaux modifiés (OGM) ; relier la guerre en cours contre les dangers de la nature en gouvernement (en guerre contre la guerre contre la nature (OGM) ; et relier la « nature » de la civilisation des jours d’aujourd’hui inventée par les classes dirigeantes elles-mênmes et qui fait maintenant Èvtre abolie pour la majeure, avec la « militarisation » de la nature planétaire.

Ce qu’on oulie gouvernement de dire dans ce contexte, c’est que ceux qui proclament une nouvelle civilisation « durable » sont les jours qui ont été inventés et utilisés dans l’ humain l’objet l’, le gaspillage et la surproduction, la surconsommation et neme la surpopulation lors de la premiere Grande Transformation de l’humanite. 16 e siècle, menaçant à la civilisation moderne, et les centaines d’années qui l’ont suivi. Les inventeurs de cette transformation ont-ils maintenant compris ce qui n’allait pas ?

La réponse est non, car ils ne propagent pas une nouvelle civilisation juste verte et non capitaliste mais, au contraire, une nouvelle civilisation beaucoup plus industrialisantee, dans laquelle la nature, la matiere, la vie et la vie humaine sont encore plus diplômés, issus et finis toujours plus abolis, comme les genres que nous avons connus jusqu’à présent, et les mers récents. Parce que le cyborg transhumain, finalment, ne serait plus, mais sera devenu par l’homme, produit de la nouvelle machinerie qui se developpe rapidement.

Ce à quoi nous aidons aujourd’hui est une guerre mondiale d’origine du haut, une sorte de Troisieme Guerre mondiale. (Chossudovsky 2021, Köenig 2021), et d’un contrat nouveau par rapport à toutes les guerres possibles, car elle n’est pas encore comme vous, ne fait pas de distinction entre amis et ennemi et se produit principalement par le biais de catastrophes apparament « naturelles ». C’est exact la nouvelle guerre que Rosalie Bertell a rendu il y a 20 ans. Cette guerre montre à quoi ressemblerait la géo-ingénerie militaire et elle est trè probablement dèjà utile. Il n’y a pas de preuve, mais les moyens, la technologie et les raisons de l’appliquer existant (Werlhof dans ce vol.). Par exemple, en cas de catastrophe, l’opinion publique peut se mobiliser contre le CO 2 et en faveur de la démolition de l’ancienne civilisation industrielle.

À cet égard, notre pronostic serait que la réduction à venir des émissions de CO 2 ne s’accompagnerait pas d’une réduction des catastrophes naturelles, car ces dernières ne sont bien sûr pas provoquées par le CO 2 – un gaz naturel invisible des plantes qui est nécessaire à la production d’ hydrocarbures. l’oxygène que nous respirons et qui ne constitue pas plus de 0,04% de l’atmosphère !

Ainsi, dans les nouveaux concepts de guerre de l’information, ses technologies et ses politiques, la nature joue un rond central. Elle est considée comme mauvaise, mauvaise et dangereuse, soit en elle-mênème, soit à cause de ses réactions face aux péchés de l’humanitaire; ou bien, d’un autre chiffre, la nature est considée comme un bien qui fait ètre traité, voir comme un bien toujours « meilleur », ce qu’on appelle la « seconde nature ». La meilleure nature est toujours reine comme celle que l’homme a lui-même crée ! C’il s’ : la création d’ « seconde » nature qui serait finalment la seule avec laquelle l’humanite ou le monde pousse finalment vivant. La nature en tant qu’origine ou « nature premiere » est dépendant considerée comme tout ce qui fait 0 jour dominé, controlé,supprimé et transformé en son contraire, une contre-nature.

Aujourd’hui, la nature transforméee et nouveau creée est celle qui est censurée ê tre le résultat de la quatrie rèvolution industrielle. Sa définition comme « nature » est cependant suffit trompeuse quand on regarde les produits de cette solution : un monde numérique de l’IA combine les humains avec le logiciel et le matriel des ordinateurs, des transhumains ou des cyborgs, de nouvelles écritures de la biotechnologie qui ont disparu. les frontières sont des enceintes, des équipements de nanobots, des machines de taille molaire qui parle leur corps et leur cerveau en accomplissant les ordres qu’ils ont, des fréquences électromagnétiques du monde extérieur. De nombres formes de conflit mental, de conflit émotionnel et de conflit de la volonté d’s humains, mi-humains ou chimères se developpent.La chose-machine ou super-ordinateur qui en résulte qui parle tout est jourme identique comme Dieu lui-même, la « Dieu-machine » (Harari 2017). Nous sommes rapprocherions ainsi d’ « dictature technique » totalitaire (Film 2021) sans liberte, sans libre arbitre, sans democratie et sans individu humains tels que nous avons l’, et en plus de cela, une planete qui a ete geo-ingenerie dans une machine de guerre.une planete qui a ete geo-ingenerie dans une machine de guerre.une planete qui a ete geo-ingenerie dans une machine de guerre.

Ce qu’on appelle « nature » dans ce contexte est la « seconde nature », la machine elle-membre, proclamée « forme de vie supérieure », <TAG1>, le contraire de la nature et celle qui a été inventée pour la remplacer. Celle va du nanobot comme mini-machine à la Terre comme macro-machine planaire, dans la société intermédiaire comme mega-machine numerisee avec des ex-humains comme transhumains, des cyborgs, des, des robots et des bio-ordonnateurs en son sein.

Ce serait le rétablissement d’ civilisation du « patriarcat » fille que je la reine (Werlhof 2011) contraition à la plupart des autres, le patriarcat est un processus historique menaçant à une civilisation puriment patriarcale dans laquelle tout est devenu par l’ homme au lieu d’être né par les femmes. les mères et la nature, enfin par la Terre Mère. Celle signifiant pater archée au lieu de mater architecte, architecte l’origine de tout, l’uterus, maintenant la machine comme creation masculin ultime d’une retraite « nature meilleure et suprême », un objectif qui dit des morts du patriarcat dans l’Antiquité, et nous a accompagnés jusqu’à aujourd’hui o il tente de devenir notre rétablissement final. Le patriarcat est sur le point de devenir réel réparateur – pour la première fois depuis des milliers d’s !C’est dans cette tradition que se produit la Grande Transformation d’jourd’hui, et c’est pourquoi ses adeptes et ses producteurs, les « Pères d’ Nouveau Monde », n’abandonneront pas tout ce qui se passera au fil du temps.

Alors que les super riches pourraient maintenir la modernité telle que nous l’avons connue et rester humains, le grand nombre, cependant, entrerait dans son crépuscule ultime – la race humaine disparaissant dans un monde « intelligent » – au lieu de meilleur des mondes (Heibel dans ce vol.) ou disparaître complètement de la surface de la Terre, car « ils » n’ont plus besoin de nous (Kurzweil 1999, Moravec 1988).

Tels sont les projets d’événements, mais sont-ils traités ?

C’est en ces temps étranges et effroyables que nous avons écrit notre livre qui jette un nouvel éclairage sur de nombreux détails de ce processus historique (Bertell dans ce vol.), que ce soit la pulvérisation du ciel (Henrion dans ce vol.), que ce soit le travail des appareils de chauffage ionosphériques par rapport à d’autres méthodes de géo-ingénierie (Werlhof dans ce vol.), que ce soit la possibilité de produire des catastrophes naturelles de dimensions complètement nouvelles sur Terre (Kadia dans ce vol.) et le déni de tout cela (Leblanc dans ce vol.), que ce soit le contrôle mental et le verrouillage planétaire d’en haut, le cosmos environnant lui-même (Freeland dans ce vol.), que ce soit les institutions nationales et internationales corrompues qui organisent tout cela (Fraile dans ce vol.), les gouvernements et l’ONU (Bertell en annexe), ou le GIEC, par exemple, et les médias qui dirigent l’infowar contre nous, nous,les gens (Deuxième Lettre à Greta Thunberg, Annexe), qui n’ont aucune idée du mal de tout cela, comme nous avons été habitués à croire que le changement est toujours nécessaire et toujours un pour le meilleur et un monde plus civilisé.

Mais aujourd’hui, la nouvelle Grande Transformation rompt avec les dernières bonnes traditions de la modernite qui sont restés malgre leur dissolution continue – une ethique du respect de l’humanite et de la vie humaine, et l’esthetique d’une culture des arts, du pouvoir. de la pensée, de l’amour et du beau.

Nous terminons notre livre avec un appel contre la « haine de la vie », que cette civilisation du patriarcat moderne exprime (Werlhof dans ce volume) et en rappelant nos anciennes traditions indigènes et non patriarcales d’honneur la vie mère et la Terre (Almendra dans ce vol.).

La géo-ingénerie militaire pourrait journée autour au matricide ultime, celui de notre Terre Mère. De plus, aux dernières nouvelles, la journée a choisi nous arriver à tant qu’humanitaire : il a été créé que les nanoparticules d’oxyde de graphe semblant êmbre la substance la plus importante trouvée dans tous les vaccins COVID-19, dans les tests PCR, dans les tests, les masques et mère dans les érosols pulvés dans l’atmosphere (Global Research 2021, Wigington 2021). Si ceci est devenu et que nous ne sommes pas les vaccinations et ne commenons pas l’immigration la désintoxication de notre corps et de notre air, notre destin en tant qu’humanite sera d’terminé – aussi inimaginable que cette pluie pour ce moment précis !

Nous espérons avoir supprimé ce qui nous empêche de reconnaître ce qui arrive réellement à notre planète et à nous-mêmes. C’est le moment de vérité.

Sources

Auteurs de ce volume, cités sans année : Vilma Almendra, Rosalie Bertell, Josefina Fraile, Elana Freeland, Maria Heibel, Claire Henrion, Conny Kadia, Linda Leblanc, Claudia von Werlhof

Bertell, Rosalie : La planète Terre – la dernière arme de guerre, Londres 2000, Dublin 2020

Bizarri, Mariano, 2012 : Les nouveaux alchimistes. Le risque de modification génétique, Southampton, WIT Press

Chargaff, Erwin : 1988 : Unbegreifliches Geheimnis. Wissenschaft als Kampf für und gegen die Natur, Stuttgart, Klett-Cotta

Chossudovsky, Michel, 2020: L’armée américaine « contre-t-elle la mort » ? « Armer la mort » comme instrument de guerre moderne ? Recherche mondiale, 15.1. (premier 12.9.2017)

Chossudovsky, Michel, 2021: Tous droits réservés : La crise mondiale du coronavirus 2020-21: destruction de la société civile, suppression économique artificielle, coup d’Etat mondial et « grande réinitialisation » , 21.7, Recherche mondiale

Engdahl, F. William, 2018: Tous droits réservés : Changement climatique, scenarios de panique, meurtre du jour scientifique. La sombre histoire derriere le « réchauffement climatique » , http://www.globalresearch.ca, 16h10.

Engdahl, F. William, 2021: Tous droits réservés : « Fit for 55 »: The EU Green Deal and the Industrial Collapse of Europe , 14.7, sur Global Research.

Film 2021, Die technokratische Diktatur, Victoria – Film, Leipzig

Recherche mondiale, 2021 :

Harari, Yuval, 2017 : Homo Deus, Munich, Beck

Köenig, Pierre, 2021 : La grande réinitialisation du WEF – Euphémisme pour un scènario de Troisieme Guerre mondiale ? sur la recherche mondiale 27 avril

Kurzweil, Ray, 1999 : Tous droits réservés :  L’ère des machines spirituelles: quand les ordonnateurs dépassent l’intelligence humaine , New York, Penguin Books

Moravec, Hans, 1988 : Mind Children : L’avenir du robot et de l’intelligence humaine, Cambridge/Londres, Harvard University Press

Rifkin, Jeremy, 2019 : Der Globale Green New Deal, Francfort a. M., Campus

Fondation Rockefeller, 2010: Scénario pour l’avenir de la technologie et du développement international, New York

Schwab, Klaus & Malleret, Thierry, 2020 : Covid-19 : la grande réinitialisation, WEF, Davos

Werlhof, Claudia von, 2011: L’echec de la civilisation moderne et la lutte pour une alternative « profonde », Francfort/New York, Peter Lang

Werlhof, Claudia von, 2019: Tous droits réservés : Le nucléaire est-il « vert » ? « CO 2 – Et neutre pour le climat » ? Le Parlement européen vote en faveur de l’énergie nucléaire, Global Research, 30.11.2019

Werlhof, Claudia von, 2020: Tous droits réservés : La vaccination obligatoire qui modifie le corps humain – n’est plus un ? Recherche mondiale 22.6.

Werlhof, Claudia von, 2021 : Un appel pour la Terre Mère et l’humanitaire, dans Klein, Renate et Hawthorne, Susan (Eds) : Pas encore mort. Féminisme, passion et libération des femmes, Melbourne, Spinifex Press 2021, p. 369-375

Wigington, Danemark, 2021 : https://www.geoengineeringwatch.org/graphene-skies/


Première partie

Géoingénierie, politique et planète


Chapitre II 

Détruire lentement notre planète

par

Rosalie Bertell

Nous sommes tous des enfants de l’univers. Des milliards d’années avant notre naissance, la fournaise des étoiles faisait, en abondance prolifique, les produits chimiques de base nécessaires à toute la vie, et les supernovas ont donné leur vie pour fabriquer tous les produits chimiques les plus lourds et les métaux traces dont notre corps a besoin pour fonctionner correctement. Il y a plus de quatre milliards d’années, notre planète Terre s’est formée.

Ni trop près ni trop loin du soleil de notre planete, afin que notre température soit ideale pour supporter la vie. Notre planete a forme une lune pour rogner sur la nuit, les vagues et les cycles vitaux. L’eau recouvrait notre premiere planification, formant une soupe chimique dans laquelle de longues molécules, dont les protéines de la vie, est fait de former des êtres vivants. En suite, les eaux se sont retirées jusqu’aux océens et la terre ferme a prospéré en herbes, arbres, fleurs, insectes, papillons, oiseaux, amphibiens, animaux de toutes sortes et humains. Comme nous devons reconnaître pour ce magnifique don de la vie et pour tout ce dont nous avons besoin pour le maintien au cours des dernières années ! Pourtant,elle est aujourd’hui confronté à des menaces jamais ressenties auparavant tout au long de son parcours.

Tous les jours que la communauté civile humaine de la Terre tente de se debarasser des armes nucléaires au cours des 65 dernières années, certains pays économie d’entreprise se sont découverts tournois vers le domaine de la guerre . La geo-armement a rétablissement est devenu au public comme un « nouveau » moyen de haute technologie pour entrer les effets du redressement climatique, et elle est arrivéee «.

La géo-ingénerie est dedéfinie comme l’enie environnementale à l’elle planaire de notre atmosphère : c’est-à-dire la manipulation de notre monde, de nos océans et de notre planète. Les méthodes proposées en géo-ginerie sont faites pour une réalité sans participation du public au débat, sans notification publique réalisable ou sans opposition. Ils reposent sur une compréhension de la sécurité du système terrestre, acquise paysage à l’exploration spatiale, et sont là nouveaux en nombre et en portee.

Pourquoi ces projets n’ont-ils pas été connus du public et n’ont-ils pas été ouvertement discutés, même dans les soi-disant démocraties, alors que les géo-expériences ont lieu depuis l’après-Seconde Guerre mondiale ? Cette question a été répondue par un géo-ingénieur lors de la réunion de février 2010 de l’American Association for the Advancement of Science (AAAS) :

«… Des études montrent cependant que les gens portent des jugements basés principalement sur leurs valeurs, leurs systèmes de croyance, leur vision du monde et leurs émotions. Les faits jouent un rôle bien plus mineur. Cet écart ne peut pas être comblé en chargeant le public de faits ou en essayant de sensibiliser le public à la science… »

Les raisons juridiques sont probablement liées au fait que personne n’est propriétaire de l’atmosphère au-dessus de la Terre et que la loi n’exige pas d’études d’impact environnemental pour les manipulations atmosphériques. On pourrait ajouter que le secret militaire est également un élément essentiel de la culture militaire. Les implications de ces expériences mondiales impliquent des impacts profonds sur la vie elle-même ! De toute évidence, le public et son système de survie sont attaqués et personne n’a clairement envisagé, exposé et admis les conséquences potentielles ni demandé l’autorisation formelle du public à risque.

L’arrière-plan

Depuis les procès de Nuremberg après la Seconde Guerre mondiale, les principes juridiques qui guident l’expérimentation sur les êtres humains ont été clairement énoncés. Son tout premier principe est :

Les personnes impliquées doivent avoir la capacité juridique de donner leur consentement ; et doit être situé de manière à pouvoir exercer le libre choix, sans l’intervention d’aucun élément de force, de fraude, de tromperie, de contrainte, d’excès ou de toute autre forme ultérieure de contrainte ou de coercition ; et doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes des éléments du sujet en cause pour lui permettre de prendre une décision compréhensive et éclairée. Ce dernier élément exige qu’avant l’acceptation d’une décision positive par le sujet expérimental, il lui soit fait connaître la nature, la durée et le but de l’expérience ; la méthode et les moyens par lesquels elle doit être menée ; tous les inconvénients et dangers raisonnablement prévisibles ; et les effets sur sa santé ou sur sa personne qui pourraient éventuellement résulter de sa participation à l’expérience.[1]

Il me semble tout à fait clair (même si je ne connais pas l’avis juridique) que l’expérimentation avec le système de survie d’une personne, la Terre elle-même, est une expérience qui correspond à cette définition et nécessite un consentement éclairé !

Dès 1946, la General Electric Company a découvert qu’en déversant de la neige carbonique dans une chambre froide, on pouvait « créer » des cristaux de glace semblables à ceux des nuages. Quelques mois après cette découverte, ils largaient de la neige carbonique depuis des avions dans des cumulus, convertissant les gouttelettes d’eau en cristaux de glace, puis les regardaient tomber sur la Terre comme de la neige ! En 1950, des chercheurs industriels avaient découvert que l’iodure d’argent avait le même effet. L’ère de la modification du temps avait commencé et personne ne considérait le droit des gens de connaître et d’accepter cette expérimentation. Bien sûr, la pluie était naturelle, donc il n’y avait aucune raison de s’embêter à obtenir une autorisation. Le but initialement exprimé de la production de pluie était de rendre plus fertiles les zones sèches des États des plaines. On dit que la Russie a utilisé la pluie pour faire baisser les retombées de Tchernobyl avant d’atteindre Moscou.

L’escalade

Lors de la course vers la Lune, au début de 1958, les cosmonautes américains et soviétiques ont découvert les ceintures de Van Allen, des ceintures magnétiques protégeant la Terre des particules chargées destructrices du vent solaire. Entre août et septembre 1958, dans le cadre du projet Argus, la marine américaine a fait exploser trois bombes nucléaires à fission à 480 km (300 miles) au-dessus de l’océan Atlantique Sud, dans la ceinture inférieure de Van Allen. L’Agence américaine de l’énergie atomique l’a qualifiée de « plus grande expérience scientifique jamais entreprise ».[2] L’« expérience » a eu des effets mondiaux, créant de nouvelles aurores boréales artificielles. Les effets à long terme de cette incroyable destruction, survenue avant que la fonction protectrice des ceintures de Van Allen ne soit comprise, n’ont jamais été déclassifiés.

Cette « grande » expérience fut répétée une seconde fois au-dessus de l’océan Pacifique le 9 juillet 1962 dans le cadre du projet Starfish. Trois « dispositifs » nucléaires, d’une kilotonne, d’une mégatonne et d’un multimégatonne, ont explosé, perturbant sérieusement la ceinture inférieure de Van Allen et modifiant sa forme et son intensité. Les scientifiques ont prédit que les ceintures ne retrouveraient pas leur formation d’origine avant cent ans (ce qui pourrait être un vœu pieux !).[3,4] Cela a tellement perturbé l’astronome de la Reine au Royaume-Uni, Sir Martin Ryle , qu’il est devenu un fervent anti – critique nucléaire.

En 1962, l’armée américaine utilisait des faisceaux électroniques pour ioniser et désioniser des zones de l’atmosphère à l’imitation de la foudre. La même année, le Canada a commencé à lancer des satellites dans l’ionosphère terrestre et à simuler chimiquement le plasma.

Le plasma est un quatrième état de la matière. En commençant par l’état solide, suivi par les états liquide plus énergétique puis gazeux, le plasma est encore plus énergétique et contient des molécules qui sont dissociées en ions positifs et négatifs. Par exemple, les molécules d’eau dans l’air peuvent être converties en HO + et H  , ions positifs et négatifs. Un exemple de plasma est la foudre.

Plus tard, en 1962, l’URSS entreprit des « expériences » planétaires similaires, créant trois nouvelles ceintures de radiations entre 7 000 et 13 000 km (4 300 et 8 100 miles) au-dessus de la Terre. Les flux d’électrons dans les ceintures de Van Allen ont considérablement changé depuis cet événement et ne sont jamais revenus à leur état antérieur.[5,6]

Zbigniew Brzezinski , conseiller aux affaires étrangères des présidents John F. Kennedy et Lyndon Johnson pendant la guerre du Vietnam, a discuté des moyens d’utiliser la foudre artificielle comme arme dans le projet Skyfire et les ouragans dans le projet Stormfury.[7] Selon Lowell Ponte, auteur de The Cooling, l’armée a également étudié la possibilité de détruire la couche d’ozone au-dessus du Nord-Vietnam avec des lasers ou des produits chimiques, causant ainsi des dommages aux cultures et aux humains.[8]

Les effets

L’Assemblée générale des Nations Unies a été tellement alarmée par ces activités que le 10 décembre 1976, elle a approuvé une Convention sur l’interdiction de l’utilisation militaire ou de toute autre utilisation hostile des techniques de modification de l’environnement. Cependant, ils n’ont pas réussi à exclure les « projets pacifiques » tels que la « recherche pure », les projets d’énergie solaire ou le développement des ressources industrielles. Aucune réflexion n’a été accordée au consentement éclairé du public. Les gouvernements ont simplement modifié leur posture en matière de relations publiques. À titre d’exemple, les États-Unis ont lancé des recherches météorologiques pour accroître la production alimentaire dans les plaines nord-américaines. La Russie mène des recherches comparables pour accroître la production alimentaire.

Depuis plus de 50 ans, des expériences de modification de l’atmosphère ont été entreprises soit en ajoutant des produits chimiques à l’atmosphère provoquant des réactions visibles ou non depuis la Terre, comme les aurores boréales artificielles[9], soit en expérimentant des ondes utilisant la chaleur ou la force électromagnétique[10]. , ou même des explosions atmosphériques nucléaires ! Ces dernières interrompent ou déforment le mouvement normal des vagues de la haute atmosphère, entraînant souvent des changements météorologiques dans la troposphère.

Les produits chimiques déversés dans l’atmosphère terrestre comprenaient l’acide de baryum, le chlorate de baryum, le nitrate de baryum, le perchlorate de baryum et le peroxyde de baryum. Tous sont combustibles et destructeurs de la couche d’ozone. Rien qu’en 1980, environ 2 000 kg d’acide baryum (4 400 livres) de produits chimiques ont été déversés dans l’atmosphère, dont 1 000 kg (2 200 livres) de baryum et 100 kg (220 livres) de lithium. Le lithium est un produit chimique toxique hautement réactif facilement ionisé par le soleil. Cela augmente la densité de la basse ionosphère et crée des radicaux libres capables de provoquer d’autres changements chimiques.[11] Bien que ces expériences s’inscrivent clairement dans le désir militaire de contrôler la météo comme une arme, les rapports sur leur impact environnemental sont inexistants dans le secteur public. Au lieu de cela, l’appauvrissement de la couche d’ozone a été imputé aux déodorants et à l’eau de Cologne sous les bras, aux atomiseurs et aux distributeurs de médicaments contre l’asthme !

En fait, il est devenu évident au début des années 1970 que les 300 mégatonnes d’essais nucléaires atmosphériques effectués par les États-Unis, le Royaume-Uni et l’URSS entre 1945 et 1963 avaient appauvri la couche d’ozone de 4 % et gravement endommagé les embryons, les fœtus, les enfants, les adultes et les humains. tout le cadre de vie.[12]

Les avions militaires supersoniques et les fusées endommagent également la couche d’ozone et provoquent des changements atmosphériques. Cela a été rendu public dans les journaux télévisés du soir dans les années 70 et a probablement influencé la décision des compagnies aériennes commerciales de refuser les vols supersoniques, à l’exception du Concord. Cependant, le public a vite détourné le regard et oublié le problème des vols supersoniques et des essais nucléaires atmosphériques lorsque les réfrigérateurs ont été accusés d’être responsables du grave trou d’ozone qui endommage la santé humaine et les cultures dans diverses régions du monde, en particulier à la pointe sud de l’Amérique du Sud. Les utilisations civiles des CFC ont exacerbé le problème, mais n’en étaient probablement pas la cause première.

En 1974, les recherches américaines sur le chauffage de la bordure la plus basse de l’ionosphère, entreprises pour la première fois à l’Université d’État de Pennsylvanie, ont été transférées à Plattsville, au Colorado, à Arecibo, à Puerto Rice et à Armidale, en Nouvelle-Galles du Sud, en Australie. Cela a incité le Sénat américain à introduire une législation qui placerait toutes les expériences militaires en matière de modification du temps sous le contrôle d’un comité de surveillance civil. Malheureusement, le projet de loi n’a pas été adopté par le Congrès.

En 1981, le radiateur ionosphérique de Plattsville a été transféré sur le site de lancement de fusées de Poker Flats, en Alaska. Un deuxieme laboratoire de physique des plasmas (explosant l’ionosphere) est situ à Two Rivers, en Alaska, et s’appelle HIPAS (High Power Auroral Stimulation). Dans les contreforts des montagnes Rocheuses, près de Gacona, en Alaska, un vaste rayon d’éphémères a érégé, appelé HAARP (High Active Auroral Research Project) par l’armee et la marine americaines. Il convient d’ordonner 180 pylônes de transmission en formation de rayon, bien qu’il ait commandé ses opérations sous la forme modulaire d’un rayon de 48 tours en 1994. Ce puissant transformateur synchronisé est accompagné’une région de SuperDARNS (réseaux de radars à double aurore) qui surveillent en permanence les effets sur la Terre. surface des manipulations de HAARP sur l’ionosphère terre.[1,13]

Il semble possible de « dirigeant » le courant-jet, en commençant la limite entre l’air chaud et l’air frais dans des règlements géographiques ; ou manipuler les grands fleurs de vapeur qui dèplacent la ploie des tropiques vers les zones tempérées, provocante sécheresse ou inondations. Les événements naturels ou les instabilités telles que les moussons, les ouragans, les tornades, etc., dans l’atmosphère peuvent Èvtre aggravees par « l’ajout d’energie ». L’insertion de petrole dans des failles tectoniques ou la creation de vibrations artificielles de la Terre avec des impulsions électromagnétiques peuvent provocant des tremblements de terre.

Cela ne veut pas dire que les expressions militaires sont à l’origine de tous les événements atmosphériques et, en fin de compte, du changement climatique. Je dis simplement qu’il est difficile dans case cas de séparer les geo-expirations militaires du vénérable âme de la planification ! L’mentation des phenomènes mesétologiques violents est une evidence pour tout le monde. La Terre Mère essence-t-elle de nous envoyer un message de détresse ? L’économie civile est-elle seule responsable du changement climatique ? Je crois que non.

Avenir

Les États-Unis ne sont pas les seuls à être impliqués dans cette attaque de haute technologie contre le système Terre. Au moins la Russie, la Chine, le Royaume-Uni, l’Australie, le Canada et le Japon sont impliqués. Les géo-guerriers souhaitent, je crois, rendre publiques leurs expériences encore plus risquées, avec l’approbation du public, et peut-être même devenir des « héros du changement climatique ». Lors de la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques à Copenhague en 2010, les géoguerriers ont fait leur discours le plus public sous le couvert de la « géo-ingénierie » comme « solution au changement climatique mondial ». Ceux qui regardent les militaires se préparer à une guerre climatique sont alarmés.

Nuages nocturnescents au-dessus d’Uppsala, Suède (sous licence CC BY-SA 4.0)

Le 19 septembre 2010, l’S Navy a entrepris une étude sur les nuages artificiels baptisées CARE (Charged Aerosol Releases Experiment). Le Laboratoire de recherche navale et le programme d’essais spatiaux du ministère de la Défense ont utilisé une fusée-sonde suborbitale à quatre âges Black Brant XII de la NASA depuis Wallops Island, en Virginie, pour douvrer de l’oxyde d’aluminium et des paillettes, creant ainsi un nuage artificiel dans l’atmosphère existante de la Terre à 280 km (174 miles). ) au-dessus de la surface (les nuages normaux se couvent à un maximum d’environ 80,5 km (50 miles) au-dessus de la surface dans la merosphère). Le nuage a été conçu pour briller dans le noir. Bien entre, l’saluminium finira par toumber dans l’o ou sur les terres agricoles,polluant ainsi les cultures et l’approvisionnement alimentaire. Les tests pourraient endommer les diffuseurs frontères atmosphériques qui parle la vie sur Terre, et personne ne sait quel effet ils auront sur le climat, l’agriculture, l’agriculture, la santé humaine ou s’s modifieront le rayonnement infrarouge ou UV élève la planification. Les habitats marins de reproduction des États-Unis, y compris le National Marine Sanctuary, sont menacés par cette expression. Appartement, cet ombrage artificiel de nuages sur la côte est des États-Unis à l’automne 2009 a provocé une neige et un temps hivernal. Les autres causes ne sont pas signalées.[14,15,16,17]la santé humaine ou s’s modifieront le rayonnement infrarouge ou UV élève la planification. Les habitats marins de reproduction des États-Unis, y compris le National Marine Sanctuary, sont menacés par cette expression. Appartement, cet ombrage artificiel de nuages sur la côte est des États-Unis à l’automne 2009 a provocé une neige et un temps hivernal. Les autres causes ne sont pas signalées.[14,15,16,17]la santé humaine ou s’s modifieront le rayonnement infrarouge ou UV élève la planification. Les habitats marins de reproduction des États-Unis, y compris le National Marine Sanctuary, sont menacés par cette expression. Appartement, cet ombrage artificiel de nuages sur la côte est des États-Unis à l’automne 2009 a provocé une neige et un temps hivernal. Les autres causes ne sont pas signalées.[14,15,16,17]

Des expériences navales semblables incluses : L’expression unifiée sur les érosols (EAU 2) aux émirats arabes unis en 2004 et sept études sur l’Asie du Sud-Est hommes à Singapour en 2007. La Terre est née pour devenir une « victime de la recherche » du militarisme et il est temps d’arrêter la geo-ingenerie. comme une farce cruelle et un crime contre la vie elle-mênière ! La société civile ne devrait pas donner aux géo-guerriers la bénédiction publique de causer davantage de bateaux plans.

Devons-nous remettre la guerison de notre Terre entre les mains de ceux qui, depuis plus de 65 ans, ont fait preuve de la plus grande insouciance à l’époque de son bien-être ? Devons-nous jeter cette magnifique planche, comme nous le faisons avec les bibelots en plastique bon marche ? Il est temps d’honorer et de protéger la planète Terre comme les pauvres autochtones le font depuis des milliers d’s. Nous devons reconnaître que notre philosophie de vie est défectueuse puisqu’elle nous a conduit à cette crise. Il est temps de remettre en question le patriarcat, qui implique la domination sur tous les jours ; il est temps de remettre en question le patriarcat ; et un capitalisme brut qui necessite une force militaire excessive pour protéger son investissement dans les ressources naturelles. Nous avons cruellement besoin d’un plan critique pour un avenir plus intelligent, réalisateur et humanisé.

Il est absolument necessaire de stimulateur un regard sobre sur notre mode de vie, notre philosophie et notre planification sociale mondiale que les humains, toute vie et la planification Terre peut comprendre une longue et fructueuse ère de paix et de prospérité. Notre soleil a encore 4 à 5 milliards d’années pour nous faire de son énergie – ne la gaspillons pas !

Remarques

[1] Proces de crimes de guerre devant les tribunaux militaires de Nuremberg en vertu de la loi n° 10 du Conseil de conflit, vol. 2, p. 181-182. Washington, DC : Imprimerie du gouvernement américain, 1949.

[2] New York Times, 19 mars 1959.

[3] Encyclopédie multimédia 1996 et 1998.

[4] Encyclopédie multimédia Microsoft Encarta, 1999.

[5] Keesings Historisch Archief (KHA) 13-20 août 1961, 11 mai 1962 et 29 juin 1962.

[6] Nigel Harle, Vandalizing the Van Allen Belts, Earth Island Journal, hiver 1988-89, p.11.

[7] Zbigniew Brezinski, Entre deux âges : le rôle de l’Amérique à l’ère technotronique, Penguin Books, Cambridge, MA 1976.

[8] Lowell Ponte, The Cooling, Prentice-Hall Inc., Upper Saddle River, NJ, 1976.

[9] Northern Lights Thrill Sky Watchers du Texas à l’Ohio, Kansas City Star, 10 novembre 1991.

[10]  Le dossier de presse NASA/US Air Force CRESS 1990 décrit un programme de tests atmosphériques de la NASA (lié à HAARP et à l’US Air Force, qui pourrait produire les spectres vibrants (aurores).

[11] Nick Begich et Jeanne Manning, Les anges ne jouent pas à HAARP, Earth Pulse Press, Anchorage, AK, 1995.

[12] Effets à long terme des détonations d’armes nucléaires multiples, Académie nationale des sciences des États-Unis, 1975.

[13] Rosalie Bertell, Planète Terre : la dernière arme de guerre, The Women’s Press, Londres, 2000 ; p.119-128].

[14] « Les expériences sur les nuages ​​de poussière de l’US Navy et de la NASA peuvent commencer le mardi 15 septembre 2009 », Live Science.com, 14 septembre 2009, article de Clara Moskowitz , rédactrice (en fait, cela s’est produit le 19 septembre).

[15] Une mise à jour sur l’expérience de libération d’aérosols chargés (CARE) Paul A. Bernhardt – Paul.Bernhardt@nrl.navy.mil .

[16]  Le dossier de presse NASA/US Air Force CRESS 1990 décrit un programme de tests atmosphériques de la NASA (lié à HAARP et à l’US Air Force, qui pourrait produire les spectres vibrants (aurores).

[17]  http://science.nasa.gov/science-news/science-at-nasa/2003/20jun_tmaclouds/ .


Chapitre III

Géo-fénerie,

« L’État profond » et le verrouillage planétaire

par  

Elana Freeland

Tout comme, à l’aube d’une nouvelle ère géologique, le monde entier s’effondre dans une gigantesque fissure, de nouvelles montagnes se dressent tandis que des abîmes béants s’ouvrent et de nouvelles plaines et mers prennent forme, de même la structure actuelle de l’Europe va-t-elle chavirer dans un immense cataclysme. . . La seule chance pour l’Allemagne de résister à cette pression sera de prendre l’initiative et de prendre le contrôle de l’inévitable bouleversement d’où naîtra une nouvelle aube de l’histoire. —  Hermann Rauschning , Hitler parle / Voix de la destruction, 1939

Nous avons créé une société basée sur la science et la technologie dans laquelle personne ne comprend rien à la science et à la technologie, et ce mélange combustible d’ignorance et de pouvoir va tôt ou tard nous exploser au visage. Je veux dire, qui dirige la science et la technologie dans une démocratie si les gens n’en savent rien ?  – Carl Sagan à Charlie Rose , 27 mai 1996

Avant de quitter ses fonctions, le 44e président américain a supprimé le mot « limité » de la National Defense Authorization Act (NDAA) et a ainsi rétabli publiquement le programme « Star Wars » d’il y a 33 ans – et la veille de Noël, rien de moins.

Le député républicain Trent Franks , qui a introduit et dirigé les changements politiques à la Chambre, a déclaré qu’il s’était inspiré de l’Initiative de défense stratégique de l’ancien président Ronald Reagan des années 1980, qui visait à utiliser des lasers et d’autres armes spatiales pour rendre les armes nucléaires « impuissantes ». et obsolète. » Connue sous le nom de « Star Wars », l’initiative a coûté 30 milliards de dollars aux contribuables, mais aucun système n’a jamais été déployé.[1]

Puis, avec l’investiture imminente du 45ème président [2], les médias grand public ont commencé à normaliser la géo-ingénierie de la « guerre des étoiles » à laquelle nous sommes soumis en secret depuis deux décennies au nom de « l’atténuation du changement climatique ».[3] L’actualité spatiale est maintenant disponible. chaud et lourd, commençant par une augmentation de l’ozone sur 3,5 millions de miles carrés de l’océan Pacifique et de l’ouest des États-Unis (« l’événement météorologique le plus inhabituel que nous ayons connu depuis des décennies »[4]), puis par des « ondes de Rossby magnétisées sur le Soleil » créant il est plus facile de « prédire » la météo spatiale à l’avance (Centre national de recherche atmosphérique) :

Sur Terre, les ondes de Rossby sont associées à la trajectoire du jet stream et à la formation de systèmes basse et haute pression, qui à leur tour influencent les événements météorologiques locaux.[5]

En avril 2017, le « climat anthropique » a finalement été officiellement reconnu.

Les effets anthropiques sur l’environnement spatial ont commencé à la fin du XIXe siècle et ont atteint leur apogée dans les années 1960, lorsque des explosions nucléaires à haute altitude ont été perpétrées par les États-Unis et l’Union soviétique. Ces explosions ont créé des ceintures de radiations artificielles près de la Terre, causant d’importants dommages à plusieurs satellites. . . D’autres impacts anthropiques sur l’environnement spatial comprennent les expériences de libération de produits chimiques, le chauffage par ondes à haute fréquence de l’ionosphère et l’interaction des ondes VLF avec les ceintures de rayonnement . . .[6] (C’est nous qui soulignons.)

En mai 2017, la NASA a annoncé « une immense « barrière » artificielle entourant la Terre », une « énorme bulle que nous avons créée dans l’espace » qui appelle à « qu’une toute nouvelle époque géologique porte notre nom ».

Le mois suivant, à 36 000 kilomètres au-dessus de la Terre, le satellite AMC-9 en orbite géostationnaire depuis 2003 perdait le contact avec son opérateur de télécommunications luxembourgeois SES et commençait à dériver et à se disloquer. Les images du film radar ont révélé trois objets ressemblant à des orbes volant près du satellite en formation triangulaire avec un autre orbe suivant à l’arrière.[8] L’actualité mondiale a évoqué la rupture, mais pas la possibilité qu’il s’agisse d’une attaque spatiale au laser.[9]

Treize jours après l’incident, le président Trump a relancé le Conseil spatial national[10] et la Chambre des représentants des États-Unis a adopté l’énorme NDAA de 696 milliards de dollars qui a éliminé le Conseil spatial de défense tout en rationalisant et en renforçant le Commandement spatial de l’armée de l’air (AFSC). Un an et demi plus tard, le 19 février 2019, la Directive de politique spatiale 4 a centralisé toutes les fonctions spatiales militaires sous la nouvelle Force spatiale supervisée par l’US Air Force.[11]

Contexte de l’ère spatiale

La course au contrôle de l’espace a commencé en 1945 lorsque l’Opération Paperclip a amené 10 000 ingénieurs, techniciens et scientifiques nazis aux États-Unis sous couvert de la ruse hégélienne connue dans l’histoire sous le nom de Guerre froide.[12] Le SS Nazi Wernher von Braun est devenu scientifique en chef de l’Agence des missiles balistiques de l’armée en Alabama, puis du laboratoire de propulsion aéronautique de la base aérienne Wright-Patterson dans l’Ohio. Le commandant de Von Braun en Allemagne, l’ingénieur en missiles balistiques Walter Dornberger , est allé travailler pour Bell Helicopter, et l’ingénieur aérospatial Arthur Rudolph , qui avait dirigé l’usine souterraine de fusées V-2 Mittelwerk surnommée « L’Enfer de Dante », est allé travailler pour Martin Marietta. [13] où il a dirigé la R&D pour le missile Pershing avant de devenir directeur du Marshall Space Flight Center de la NASA. Rudolph a dirigé le projet Saturn V (1967-73), puis a renoncé en 1984 à sa citoyenneté américaine et est retourné en Allemagne, après avoir fidèlement servi le transfert du Troisième Reich vers les États-Unis, riches en ressources.

C’est donc à travers le complexe militaro-industriel que le cheval de Troie du nazisme amoral et énigmatique est entré dans les États-Unis naïfs et riches en ressources. En peu de temps, la loi sur la sécurité nationale, la formation de la CIA et 44 ans de guerre froide ont suivi. Les fusées, les satellites, les ordinateurs, l’ingénierie cérébrale MK-ULTRA et les engins de propulsion exotiques ont propulsé le 20 e siècle dans une ère spatiale militarisée du 21 e siècle, exactement à l’opposé de ce que le président Kennedy avait envisagé.

Opérations de géo-ingénierie

Le Dr. Les Strangeloves au service de cet Age Spatial militarisé ont reconnu depuis le début que dominance spectre complet au-dessus de la planète Terre, son espace aérien, son orbite proche de la Terre et sa météo spatiale/atmosphérique doivent être leur premier objectif. Dans les années 1950, la propagande de la Guerre Froide dépendait du mensonge à deux volets d’une menace soviétique et d’une ère glaciaire imminente, puis coopté le mouvement environnemental et a commencé à présenter des conférences internationales sur le climat remplies de doctorats servant des décimales sur les gaz à effet de serre et la désertification et implantant des “solutions”[14] comme géoingénierie. Le Stanford Environmental Law Journal définit la géo-ingénierie comme la manipulation intentionnelle des systèmes climatiques de la Terre, dirigée par l’homme, mais si la géo-ingénierie maintiendrait le temps comme multiplicateur de force électromagnétique[15], elle inclurait également des expérimentations de guerre chimique et biologique (CBW) sur les populations. masqué par la loi sur la sécurité nationale. Avec les autorisations nécessaires et le compartimentage, la plupart des scientifiques et des responsables gouvernementaux ne sauraient rien du programme de l’ Opération Cloverleaf pendant plus d’un demi-siècle.[16]

Dans Chemtrails, HAARP et the Full Spectrum Dominance of Planet Earth (2014), j’ai présenté sept opérations militaires en cours sous la rubrique géo-ingénierie : (1) ingénierie météorologique, (2) modification environnementale/géophysique, (3) manipulation électromagnétique, ( 4) armes à énergie dirigée par l’armée/le renseignement, (5) opérations de surveillance/neurales, (6) opérations biologiques/transhumanistes et (7) détection/obscurcissement de technologies de propulsion exotiques.[17] Avec la Space Fence « Star Wars » en place, la suite de 2018 Under An Ionized Sky : From Chemtrails to Space Fence Lockdown développe les spécificités opérationnelles dépendant de l’utilisation de la météo comme multiplicateur de force sine qua non .

Les trois premières opérations se concentrent sur la manipulation de l’environnement, tandis que les trois dernières se concentrent indirectement ou directement sur la manipulation de l’être humain et d’autres organismes vivants de la biosphère.

Opérations de géo-ingénierie

1. Ingénierie météorologique 

  • Ionisation chimique/électromagnétique de l’atmosphère et de la couverture nuageuse de plasma 

2. Modification environnementale/géophysique

  • Manipulation ionosphérique pour charger, construire et diriger les systèmes de tempête
  • Utiliser les sécheresses, les inondations, les ouragans, les tornades et les tremblements de terre pour modifier l’environnement et tirer profit du capitalisme en cas de catastrophe.
  • Récolte de la terre pour les REIT (fiducies d’investissement immobilier)
  • Simulation solaire/expériences solaires[18]

3. Manipulation électromagnétique

  • Ionisation de l’atmosphère
  • « Agriculture » de plasma et d’antimatière
  • Courants artificiels de Birkeland, ondes « siffleuses » d’Alfven, champs électriques tournants (effet Hutchison), etc.
  • Holographie

4. Armes à énergie dirigée militaire/renseignement (C4)

  • Interférométrie scalaire (réchauffeurs ionosphériques, lasers/masers, faisceaux de particules, HPM, etc.)
  • Dissimulation
  • Détection/obscurcissement des systèmes de propulsion exotiques

5. Surveillance/Opérations neuronales

  • Intelligence artificielle (IA)
  • Surveillance neuronale à distance (RNM)
  • Ciblage EM des populations et des individus
  • Ondes millimétriques 5G et Internet des objets (IoT)

6. Opérations biologiques/transhumanistes

  • Livraison de Morgellons « esprit de ruche »
  • Livraison de nanoparticules de capteurs, de microprocesseurs et d’autres technologies électro-optiques
  • Génie génétique à distance de l’ADN
  • Remplacez la nature par la réalité virtuelle

7. Détection/obscurcissement de technologies de propulsion exotiques 

L’édifice « Contrôle climatique »

Le gouvernement fédéral est impliqué depuis plus de 30 ans dans un certain nombre d’aspects de la modification du temps, par le biais des activités du Congrès et du pouvoir exécutif. Depuis 1947, des projets de loi sur la modification du temps concernant le soutien à la recherche, les opérations, les études politiques, les réglementations, les responsabilités, les rapports d’activité, la création de panels et de comités et les préoccupations internationales ont été présentés au Congrès. Des audiences ont eu lieu sur bon nombre de ces mesures proposées, et des audiences de surveillance ont également été menées sur les programmes pertinents en cours.[19]

Infiltration et cooptation, compartimentage, accords de non-divulgation, accords en coulisses, menaces, pots-de-vin, recherches biaisées, comités d’examen par les pairs bondés, médias internationaux intégrés – on ne peut que s’émerveiller du tour de passe-passe nécessaire pour diriger les conférences internationales, les maisons d’édition, les organes d’information, programmes d’études universitaires et élémentaires afin de construire un vaste château de cartes mondial tournant autour du carbone , les éléments constitutifs de la vie deviennent désormais un homme de paille qui détourne la transformation délibérée de notre atmosphère et de notre météo par la manipulation de l’ionosphère. Les taxes carbone et les échanges d’émissions ignorent le fait que le CO 2 est à un niveau historiquement bas pour maintenir la vie des plantes.[20] Les nations devraient augmenter leurs émissions de CO 2 au lieu d’être pénalisées pour le CO 2 dont elles disposent.[21]

Mais l’empereur ne porte aucun vêtement. Le premier rapport du Congrès américain sur la géo-ingénierie n’a été publié qu’en octobre 2010, juste avant le moratoire contre la géo-ingénierie émis par la 10e Conférence des Parties à la Convention sur la diversité biologique (COP10) à Nagoya, au Japon – un moratoire que les États-Unis n’avaient pas l’intention de ratifier. .[22] Les délégués de 193 pays étaient-ils conscients que la géo-ingénierie était pratiquée aux États-Unis et dans d’autres pays de l’OTAN depuis plus d’une décennie ?

Quatre mois après le moratoire de Nagoya, le tremblement de terre géo-ingénierie de Fukushima a frappé le Japon. Depuis lors, les médias intégrés ont accru la confusion météorologique dans l’esprit du public, accusant les voitures et les polluants industriels tout en ignorant assidûment les plus grands pollueurs et propagandistes de tous : le complexe militaro-industriel et de renseignement militaire et militaro-industriel américain qui les dirige.

De temps en temps, nous entendons ce qui se passe réellement chez des scientifiques comme le physicien des particules du CERN Jasper Kirby[23] et héliophysicien du Goddard Space Flight Center de la NASA Douglas E. Rowland(“There’s different kinds of chemtrails, as you probablement know . .”[24]). En 2013, le Cinquième Rapport d’Evaluation du Groupe Intergouvernemental sur les Changements Climatiques (GIEC) a essentiellement admis que la gestion du rayonnement solaire (SRM) était déjà en cours: “Si SRM était résilié pour une raison quelconque, il y a une grande confiance que les températures de surface mondiales augmenteraient très rapidement à des valeurs compatibles avec le forçage des gaz à effet de serre.”[25] Mais de telles révélations sont tacitement ignorées par les médias grand public intégrés. Lorsqu’un sénateur italien a appelé à la déclassification des documents de chemtrails[26], et qu’un ministre de l’agriculture et de l’environnement de Chypre s’est engagé à examiner la pulvérisation aérienne “chemtrail”[27]—rien.

De temps en temps, des agents et des agences proches du centre de la mafia du « changement climatique » (NASA, NOAA, EPA, GIEC, etc.) sont surpris en train de mentir, mais les versions intégrées des informations continuent. La NASA a proclamé juillet 2012 comme étant le mois le plus chaud jamais enregistré et le National Climatic Data Center de la NOAA a confirmé : la température moyenne de juillet 2012 de 77,6 °F était de 3,3 °F au-dessus de la moyenne du 20e siècle et de 0,2 °F au-dessus du mois de juillet le plus chaud de 1936 (pendant la période de l’Oklahoma). Années Dust Bowl). Le météorologue Anthony Watts a vérifié les données de la NOAA et a constaté que juillet 1936 avait été rétabli comme le mois le plus chaud jamais enregistré.

« Vous ne pouvez pas obtenir de preuve plus claire de l’ajustement des températures passées par la NOAA », a écrit Watts. « Il ne s’agit pas simplement d’un problème de maillage, d’anomalies ou de méthode ; il s’agit du fait que la NOAA n’est pas en mesure de présenter avec précision les informations climatiques historiques des États-Unis. . . Ceci est inacceptable. Ce n’est pas être honnête avec le public. Ce n’est pas scientifique. Cela viole la loi sur la qualité des données. »[28]

David L. Lewis , ancien microbiologiste du Bureau de recherche et de développement de l’EPA, a écrit dans Science For Sale : Comment le gouvernement utilise des sociétés puissantes et des universités de premier plan pour soutenir les politiques gouvernementales, faire taire les meilleurs scientifiques, mettre en péril notre santé et protéger les bénéfices des entreprises (Skyhorse Publishing, 2014), que les dirigeants de l’EPA « malmènent systématiquement la science ». Un incident bizarre parmi tant d’autres s’est produit en 2003 lorsque l’ancien administrateur adjoint par intérim Henry L. Longest II a obligé les responsables intermédiaires de l’EPA à lire Turning to One Another, une « consultante en gestion », Margaret Wheatley, exhortant les écologistes « à abandonner la science occidentale en faveur de la « nouvelle science ». . . l’« espace du non-savoir » et « l’abîme ». En traversant l’abîme, les nouveaux scientifiques se débarrassent de leurs croyances religieuses et de leurs inhibitions sexuelles, puis se tournent les uns vers les autres. »[29] Les candidats à la direction devaient remplir un questionnaire confidentiel sur leur promiscuité, leur religion, leur moralité et leur volonté de garder des secrets. Que faisait exactement l’EPA pendant les années Bush II ? À l’instar de la NASA, l’EPA ne semble pas être ce qu’elle semble être.

Image de droite : Kucinich devant le Capitole en juin 2007 (Source : Domaine public)

L’arsenal de propagande, la manipulation des convocations internationales, l’établissement de liens de secret et d’aveux sexuels, et le chantage aux nations avec des menaces météorologiques peuvent même aller jusqu’au meurtre. Le représentant américain de l’Ohio, Dennis Kucinich, s’est battu avec acharnement pour la loi de 2001 sur la préservation de l’espace (HR2977) – le premier projet de loi traitant des chemtrails[30] et des armes à énergie dirigée – mais il est finalement mort après avoir été « révisé » et bloqué comité après comité. Les décès du frère et de la sœur de Kucinich en 2007 et 2008 respectivement restent suspects, tout comme la mort du pilote de brousse alaskien Theron « Terry » Smith et du sénateur américain d’Alaska Ted Stevens dans un accident d’avion le 9 août 2010, alors qu’ils enquêtaient sur HAARP. L’administrateur de la NASA, Sean O’Keefe, était également à bord mais a survécu. (Le gendre de Smith avait été tué quelques jours auparavant dans un accident de C-17 à la base aérienne d’Elmendorf.) Le National Transportation Safety Board (NTSB) a imputé « l’absence de réponse temporaire [de Smith] pour des raisons qui n’ont pas pu être établies. » [31]

Étant donné que des substances biologiques telles que des globules rouges desséchés[32] ont été trouvées dans les détritus provenant des traînées chimiques, nous devons examiner attentivement les autres retombées liées à la mort. Lorsque l’Initiative de Défense Stratégique (SDI) de « Star Wars » est « devenue noire », deux douzaines de microbiologistes de Marconi et Plessey Defense Systems ont disparu ou sont morts.[33] Plus récemment, les médecins naturopathes et les médecins soucieux de leur santé qui s’intéressent au système de vaccination des grandes sociétés pharmaceutiques et aux organisations à but lucratif contre le cancer pourraient recevoir un message.[34]

D’étranges purges à l’échelle nationale sont en cours. Par exemple, le Canada, membre du consortium de renseignement anglophone Five Eyes (FVEY), aux côtés des États-Unis, du Royaume-Uni, de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande, a licencié 2 000 scientifiques et des centaines de programmes de surveillance des émissions de cheminées[35], des inspections alimentaires, des marées noires, qualité de l’eau, changements climatiques, etc., tout en fermant sept des 11 bibliothèques de Pêches et Océans :

. . . un document classé « secret » obtenu par Postmedia News mentionnait la « sélection de documents » comme une activité principale dans la réduction des bibliothèques. . . des rapports ont fait état de livres éparpillés sur les sols et même entassés dans les bennes à ordures.[36]

En bref, des décennies de subterfuges, de manipulations, de conditions météorologiques extrêmes, de meurtres et de chaos ont précédé l’actuelle normalisation de la géo-ingénierie, et pourtant les citoyens et les scientifiques continuent de dormir sous le charme de la propagande du « changement climatique ».

En matière de géo-ingénierie, le public est l’adversaire.

« La science est brisée »

Si vous avez confiance dans la solidité de nos institutions scientifiques, vous supposerez que les dissidents sont marginalisés pour une très bonne raison : leur travail est de qualité inférieure. Si vous pensez que le processus d’évaluation par les pairs est juste et ouvert, alors le manque de citations évaluées par des pairs pour la recherche sur [Electric Universe] est une mise en accusation accablante de leur théorie. Et si vous pensez que le corpus de la physique traditionnelle est fondamentalement correct et que la science se rapproche de plus en plus de la vérité, vous serez très sceptique quant à tout écart majeur par rapport aux théories standards. . . Peut-on faire confiance au consensus scientifique ? Pouvons-nous faire confiance à l’intégrité de nos institutions scientifiques ? Peut-être pas. Au cours des dernières années, un nombre croissant de critiques internes ont révélé de graves failles dans la manière dont la recherche scientifique est financée et publiée, conduisant certains à aller jusqu’à dire : « La science est brisée ».[37]

Il est révélateur que le climatologue de l’Université Rutgers, Alan Robock, a raconté comment des consultants financés par la CIA lui ont posé deux questions : « Si nous contrôlons le climat de quelqu’un d’autre, le sauraient-ils ? »  » et  « Les experts du climat seraient-ils en mesure de déterminer si un autre pays tentait de contrôler le climat ?

Rares sont ceux qui réalisent que le statut de sécurité nationale des opérations de géo-ingénierie se traduit par la présence d’agences de renseignement et de leurs sous-traitants de la défense. L’histoire de HAARP est jonchée de contrôles de la CIA sur les scientifiques, les brevets et les médias.[38] Le général Henry H. Shelton , président des chefs d’état-major interarmées du Pentagone, a avoué qu’un élément crucial de la doctrine militaire de domination totale est le recours à la tromperie pour « défendre les processus de prise de décision en neutralisant la perception de l’adversaire, la gestion et la collecte de renseignements. efforts. »[39]

(3)(b) Utiliser des moyens de propagande pour [nier] et réfuter les attaques des critiques. Les critiques de livres et les articles de fond sont particulièrement appropriés à cette fin. . . Notre stratagème devrait souligner, le cas échéant, que les critiques sont (I) attachés aux théories adoptées avant que les preuves ne soient disponibles, (II) politiquement intéressés, (III) financièrement intéressés, (IV) des recherches hâtives et inexactes, ou (V) entichés de leurs propres théories.[40]

Les subventions du renseignement et de l’armée soutenant les laboratoires universitaires expliquent en grande partie comment la science a été tenue en otage pendant des décennies par des sous-traitants de la défense dominés par la CIA comme Raytheon, Lockheed Martin, Northrup Grumman, L3, SAIC, etc. – le complexe militaro-industriel-renseignement déterminé à se doter d’armes. tout ce qui se trouve sous le soleil, sinon le soleil lui-même.

Ensuite, il y a le système captif d’évaluation par les pairs qui relègue les scientifiques qui ne jouent pas le rôle de « sécurité nationale » dans l’obscurité extérieure de la non-publication, des carrières bloquées et, pire encore, en plus de museler les scientifiques et les idées hétérodoxes (comme les théories de l’univers électrique). Le biologiste Sydney Brenner, lauréat du prix Nobel, critique le système :

Je pense que l’examen par les pairs entrave la science. En fait, je pense que c’est devenu un système complètement corrompu. Il est corrompu à bien des égards, dans le sens où les scientifiques et les universitaires ont confié aux éditeurs de ces revues la capacité de porter un jugement sur la science et les scientifiques. Il y a des universités en Amérique, et j’ai entendu de nombreux comités, qui ne prendront pas en compte les publications des gens dans des revues à faible impact. . . cela remet le jugement entre les mains de personnes qui n’ont en réalité aucune raison de l’exercer. Et tout cela a été fait pour aider le commerce, car ce sont désormais des organisations géantes qui en tirent profit.[41]

Le robinet de publication est utile lorsqu’il s’agit de marginaliser l’hétérodoxie. Entre 1973 et 2013, six éditeurs (ACS, Reed Elsevier, Sage, Taylor & Francis, Springer et Wiley-Blackwell) ont exercé un contrôle sur les journaux qui seraient autorisés à voir le jour :

Tant que la publication dans des revues à fort impact sera une condition pour que les chercheurs obtiennent des postes, des financements de recherche et la reconnaissance de leurs pairs, les principaux éditeurs commerciaux maintiendront leur emprise sur le système de publication universitaire.[42]

Avec la science sous contrôle, les opérations météorologiques militarisées et la barrière spatiale opérationnelle grâce à l’intelligence artificielle (IA), l’instrument mondialiste connu sous le nom de Nations Unies (ONU) est prêt à utiliser l’environnement et le « changement climatique » pour amener les nations souveraines vers le futur. le moule du Nouvel Ordre Mondial de l’Agenda 21/2030.

Le changement de pouvoir de l’ONU

La participation des États-Unis et de la Chine est significative, car ces deux pays sont responsables de plus de 40 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre. L’accord entrera en vigueur une fois que 55 pays représentant au moins 55 pour cent des émissions mondiales l’auront officiellement signé. . . Les parties à l’accord devront encore passer par le processus d’adhésion à l’accord, qui pour la plupart nécessitera des processus d’approbation dans leur pays d’origine. . .[43]

COP 21 : Chefs de délégations (sous licence CC BY 2.0)

La très attendue Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques (COP21) à Paris (30 novembre – 11 décembre 2015) a été tout un spectacle. Les porte-parole du climat avaient été soigneusement choisis : le GIEC, les géoingénieurs David Keith et Ken Caldeira , d’autres docteurs prestigieux, des ONG intégrées, des agences gouvernementales, la Banque mondiale et le FMI, et bien sûr les habituels portefeuilles profonds de Wall Street, Londres et Hong Kong. Les scénaristes ont travaillé des heures supplémentaires sur le sort de la Terre tandis que les caméras filmaient les éclairs, les tempêtes déferlantes, les déluges et les sécheresses, les bébés qui pleuraient, les salles d’urgence des hôpitaux remplies à craquer. . .

Le climat et l’environnement devaient céder à l’ONU de vastes nouveaux pouvoirs fiscaux et réglementaires. Plusieurs conférences avaient précédé la COP21 pour peaufiner les détails et graisser les rouages ​​du Nouvel Ordre Mondial qui franchissait tranquillement les portes des nations autrefois souveraines. Un mois avant la COP21, le Sommet sur le développement durable à New York s’était concentré sur l’Agenda 21/2030 :

Sous des acclamations, des applaudissements et probablement une pointe de soulagement, les 17 objectifs mondiaux qui constitueront le modèle de développement mondial au cours des 15 prochaines années ont été ratifiés vendredi par les États membres de l’ONU à New York. Après les discours du pape François et de la lauréate du prix Nobel Malala Yousafzai, et les chansons de Shakira et Angelique Kidjo, l’ambitieux programme – qui vise à lutter contre la pauvreté, le changement climatique et les inégalités pour tous dans tous les pays – a été approuvé par 193 pays au début. d’un sommet de trois jours de l’ONU sur le développement durable … Le sommet sur les objectifs mondiaux se poursuit jusqu’à dimanche, après quoi tous les regards seront tournés vers les négociations de l’ONU sur le climat en novembre. Lorsqu’on lui a demandé si les objectifs seraient compromis sans un accord solide à Paris [COP21], Mogens Lykketoft, le président de l’Assemblée générale de l’ONU, s’est montré hésitant, affirmant que les dirigeants prenaient plus d’engagements que lors des précédentes réunions de la COP. « D’après ce que nous savons et ce que nous espérons, nous nous rapprocherons d’un meilleur accord. »[44]

A la suite des deux conférences, un roulement de tambour militariste a résonné au-dessous de tout l’enthousiasme mondial. Le Groupe météorologique conjoint de défense néerlandais (JMG) a annoncé qu’il fournirait « des prévisions météorologiques pour chaque exercice ou déploiement de la Force opérationnelle interarmées à très haut niveau de préparation (VJTF) [de l’OTAN] »[45] — les « prévisions météorologiques » étant orwelliennes pour les conditions météorologiques planifiées et conçues. .

Le contrôle militaire du temps par quelques-uns était sûrement la raison pour laquelle les pays en développement, lors de la COP17 de 2011 à Durban, en Afrique du Sud, avaient tenté d’inclure une disposition relative au Tribunal international de justice climatique.[46] Inutile de dire que cette disposition avait disparu lors de la COP21.

Lors du Jour de la Terre 2016, la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (l’Accord de Paris sur le climat) a été signée par le 44e président américain mais n’a pas été ratifiée par le Congrès . Pour contourner le Congrès, un décret de septembre 2016 l’a « adopté ». Le nouveau président Trump a ignoré l’EO et a clairement indiqué qu’il avait l’intention de se retirer de l’accord non ratifié.

. . . L’administration Trump a « renoncé » à un accord qui n’avait, matériellement, aucun pouvoir juridiquement contraignant pour changer quoi que ce soit. Cela va également à l’encontre des affirmations du président selon lesquelles il peut renégocier la position américaine dans l’accord de Paris. Pourquoi auriez-vous besoin de renégocier ce qui peut être modifié unilatéralement à volonté ?

Étant donné que l’Accord de Paris n’est ni contraignant ni exécutoire, qualifier la participation américaine d’exemple de « leadership » américain est absurde. Qualifier le retrait américain de « tragédie » est un cas de réaction hystérique excessive. Et, de même, le qualifier de « draconien » en termes de son impact potentiel sur les États-Unis relève de la pure démagogie.[47]

La COP21 et son Accord étaient essentiellement un spectacle de type Punch and Judy utilisant les catastrophes environnementales et météorologiques pour apaiser la peur du public et générer des flux de trésorerie. La géo-ingénierie ne consiste pas à préserver la Terre ; il s’agit de contrôler et de terraformer la Terre pour une ère spatiale dirigée par des technocrates. Par exemple, le Plan d’action du Partenariat nord-américain sur le climat, l’énergie propre et l’environnement signé en juin 2016 par le Canada, les États-Unis et le Mexique tente de faire avancer les trois nations souveraines vers un bloc hémisphérique de l’Agenda 2030.[48]

Le problème de l’élimination du CO 2 de l’atmosphère « en utilisant une infrastructure que nous n’avons pas et avec une technologie qui ne fonctionnera pas à l’échelle dont nous avons besoin, et finalement de le stocker dans des endroits que nous ne pouvons pas trouver »[49] indique que le fait que la solution carbone n’est guère plus qu’un moyen astucieux d’engranger de l’argent capitaliste en cas de catastrophe : 90 000 milliards de dollars d’investissements dans les infrastructures énergétiques, 1 000 milliards de dollars de marché d’obligations vertes, un marché d’échange de carbone de plusieurs milliards de dollars, 391 milliards de dollars d’industrie de financement climatique.[50] Le Fonds vert pour le climat de l’ONU, censé soutenir l’atténuation des émissions de carbone dans les pays en développement, débloquerait 100 milliards de dollars par an, mais combien d’argent parviendrait-il aux pays en développement ?[51] Le « philanthrocapitalisme » de l’empereur nu n’est pas connu pour respecter ses traités. ou des promesses.

On disait que les fondations bureaucratiques traditionnelles comme Ford, Rockefeller et Carnegie cédaient la place au « philanthrocapitalisme », une nouvelle approche musclée de la charité dans laquelle les compétences entrepreneuriales présumées des milliardaires seraient appliquées aux défis les plus urgents du monde. . .[52]

Quand le public prendra-t-il enfin conscience du fait que ses institutions, agences, universités, laboratoires et tribunaux obéissent aux pouvoirs mêmes qui tarissent les biens publics ? Les travailleurs et la sécurité alimentaire ont disparu. La célèbre Déclaration américaine des droits a disparu. La législation antitrust a disparu. Les protections environnementales ont disparu. Avec ou sans le Partenariat transpacifique (TPP) et le Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (TTIP), le féodalisme technocratique des entreprises, sous les traits du Good Club milliardaire[53], des « instituts du cerveau » et du « développement durable », fait pression pour un espace militarisé. Âge où les neurosciences et le transhumanisme de Brain Initiative garantiront l’acquiescement électromagnétique des masses.[54]

Verrouillage de la clôture spatiale

De toute évidence, nous sommes loin du rêve de l’ère spatiale du président Kennedy dans les années 1960. La physique et l’énergie dirigée ont fusionné avec la politique et les affaires ; bientôt, un doctorat en physique sera la norme pour le secrétaire américain à la Défense[55], ainsi qu’une législation comme la loi américaine sur la compétitivité des lancements spatiaux commerciaux (HR2262), alias Space Act de 2015, qui efface la frontière mince entre le contrôle des sociétés spatiales et de défense sur les profits planétaires. de l’exploitation minière d’astéroïdes et d’hélium-3 sur la lune.

Se pose ensuite le problème de ce que nous devons croire ou ne pas croire à propos de la terra incognita de l’espace, étant donné que la science et la technologie sont désormais dominées par la géopolitique et un esprit de propagande fusionné. En 2015, les jumeaux LIGO (Laser Interferometer-Gravitational wave Observatory)[56] auraient détecté une « onde gravitationnelle » générée par la fusion de deux trous noirs à une distance de 1,3 milliard d’années-lumière[57], alors que les scientifiques hétérodoxes de Electric Universe insistons sur le fait que les « trous noirs » n’existent pas. Et qu’en est-il de l’« exercice » d’astéroïdes de la NASA dans le cadre de la stratégie nationale de préparation aux objets géocroiseurs et du plan d’action ?[58] Et les « météores » que les gens voient clignoter dans le ciel – sont-ils des météores ou des décharges de plasma provenant d’opérations spatiales déjà en cours ?

Les conditions météorologiques extrêmes attribuées à Dieu, à la nature ou aux carbones s’épuisent à mesure que la propagande cachant l’ère spatiale militarisée s’effiloche ou est lentement admise.[59] Le tout premier audit financier jamais réalisé par le Département américain de la Défense a déjà révélé un inventaire bien étoffé de 39 hélicoptères UH-60 Black Hawk (830 700 000 $) et de 478 structures et bâtiments répartis dans 12 installations[60] – et ce n’est que le début. L’analyste d’investissement Catherine Austin Fitts a découvert que 21 000 milliards de dollars manquent au gouvernement américain depuis l’exercice 1998 et que plus de 20 000 milliards de dollars proviennent des plans de sauvetage liés à la crise financière.[61]

Les traînées chimiques des avions à réaction et des fusées effacent le soleil et le cosmos. L’augmentation des ouragans, des tornades, des tremblements de terre, des inondations et des sécheresses est suspecte, tout comme la présence de la FEMA, de la sécurité intérieure, des forces de sécurité militaires et privées sur chaque site sinistré quelques jours à l’avance, attendant patiemment l’événement qui entraînera le déplacement de la population, des négociations. des transactions immobilières en sous-sol et des poursuites lucratives de compagnies d’assurance contre des communautés dévastées pour leur incapacité à se préparer au « changement climatique ».[62]

La géo-ingénierie se traduit par une route vers l’or pour les capitalistes du désastre et un multiplicateur de force pour l’armée, mais à quoi d’autre est-elle conçue ?

Entrez dans la barrière spatiale, le point culminant de « Star Wars » SDI a commencé il y a si longtemps. La clôture spatiale SSS (Space Surveillance System) est une infrastructure mondiale de surveillance et de confinement dont les nombreuses parties se trouvent au-dessus et au-dessous du firmament : réchauffeurs ionosphériques, installations radar et laser, NexRads, tours cellulaires et GWEN, lignes électriques, câbles à fibres optiques, puits de fracturation hydraulique, les parcs éoliens, les WSAC, l’Internet des objets (IoT), les satellites, etc. sont gérés par des entrepreneurs militaires géants comme Lockheed Martin et Raytheon. La barrière spatiale fournit une connaissance de la situation spatiale (SSA) non seulement des débris spatiaux proches de la Terre, des satellites et de la météorologie spatiale, mais aussi de la planète entière à l’intérieur et à l’extérieur, jusqu’à son noyau de plasma en fusion et son ADN de biosphère.

La biosphère désigne toute la vie et nous-mêmes . Opérations biologiques/transhumanistes.

Avec des phalanges de pouvoir et de propagande aussi puissantes déployées contre notre santé humaine et planétaire, il n’est pas difficile de voir comment des géants de la chimie comme Dow, Monsanto, Bayer et d’autres grandes sociétés pharmaceutiques s’entendent avec les entrepreneurs militaires et l’industrie médicale en alliance avec le secteur des neurosciences. et l’optogénétique financée par la DARPA, la CIA, la NASA, l’EPA et la NGA (National Geospatial Intelligence Agency). Il nous incombe donc d’apprendre à lire entre les lignes de documents orwelliens comme la « Déclaration des dirigeants sur un partenariat nord-américain sur le climat, l’énergie propre et l’environnement » :

Nos actions visant à aligner les politiques climatiques et énergétiques protégeront la santé humaine et contribueront à uniformiser les règles du jeu pour nos entreprises, nos ménages et nos travailleurs . . . cela nous met fermement sur la voie d’un avenir plus durable.[63]

« Protéger la santé humaine », « uniformiser les règles du jeu » et « un avenir durable » ressemblent étrangement au « totalitarisme en liberté » de Fitts.

AUSTIN FITTS : J’appelle cela le « totalitarisme en liberté ».

DARRELL HAMAMOTO : Des cous de poulet fermiers, oui. C’est ce qui se passe. Le fait est qu’ils n’auront rien à investir dans les infrastructures – pas de gardiens de prison, pas de syndicats de gardiens de prison, pas de brique et de mortier, pas de nourriture avariée. Les gens se promènent, comme vous le dites, en liberté.

AUSTIN FITTS : Donc, ils subviennent à leurs besoins et donnent la dîme, donc vous gagnez de l’argent sur chaque hamster. Ils ont un smartphone, et vous les avez en ligne 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, entre les compteurs intelligents et le téléphone, et vous les avez sous drogue, et vous avez raison.

DARRELL HAMAMOTO: Et vous attaquez depuis le ciel avec les chemtrails. .[64]

Inondés à l’éditeur et à l’exploitant de nanoparticules de produits chimiques, de métaux conducteurs (aluminium, baryum, strontium, titane, lithium, etc.), de polymères, de capteurs, de microprocesseurs, de champignons, de champignons, etc, d’agents pathogènes gouvernement modifiés, nous sommes devenus des épouvettes pour une synergie de multiples polluants environnementaux. Nous respirons, ingérons et supports cette nano-attaque qui se glace dans notre sang à cause respiration, à cause bouchée. Une fois au-delà de la barrere hémato-encéphalique, les nanobots assistent les instructions des iPhones pulsés.

Le pivot de toute l’infrastructure Space Fence géré par l’IA pourrait être les ondes millimétriques 5G emanant d’ennes multiements couplées à l’Internet des objets (IoT) dont le « maquillage neuronal » récupérer cache quartier. Ce n’est plus seulement le cancer dont nous devons nous inquerir, mais aussi la faire dont notre système immunitaire et notre scientifique, nos pensés, nos émotions et ce que signifie être humain sont manipulées ŕ distance par les algorithmes de l’IA.

Le plus inquietant est que la nature des nanoparticules reste inconnue .

« La nanotechnologie est une nouvelle technologie qui pratique des risques uniques, sans principe », a declare Jaydee Hanson, directrice des politiques au Centre international d’évaluation technique. « Les scientifiques conviennent que les nanomatériaux créent de nouveaux risques qui nécessitent de nouvelles formes de tests de toxicité. Le recours par l’EPA à un enregistrement conditionnel ne pourrait plus inapproprié dans ce conte. »[65]

Non seulement l’impact des nanoparticules sur la biosphère est inconnu, mais le résultat final de la synergie qu’elles creent à l’ ici et à l’ ici, gravure à l’omniprées matrice d’s radio et de micro-ondes dans laquelle nous sommes tous impliqués, est egalement inconnu.

Ce système de diffusion d’aérosols constitue un crime international contre l’humanité et contre toute la vie, à l’échelle du projet Manhattan des années 1940,[66] d’Hiroshima, de Nagasaki et des down-winders. Il est donc impératif que nous nous informions sur l’atmosphère ionisée (électrifiée et rayonnée) que nous respirons actuellement et que nous apprenions comment la barrière spatiale gérée par l’IA affecte toute la vie aujourd’hui et pour les générations à venir. Chemtrails, HAARP et the Full Spectrum Dominance of Planet Earth (2014) se concentre sur l’ingénierie météorologique et les Morgellons, tandis que Under an Ionized Sky: From Chemtrails to Space Fence Lockdown (2018) présente l’infrastructure de notre monde sans fil armé. Le troisième et dernier livre de ma trilogie devrait sortir en août 2021 : Transhumanisme géo-ingénierie : comment l’environnement a été militarisé par les produits chimiques, l’électromagnétique et la nanotechnologie pour la biologie synthétique.

Il examinera comment la biologie synthétique découle de la réalité virtuelle et du transhumanisme intégré dans cette infrastructure gérée par l’IA dont l’intention principale est de changer pour toujours l’être humain et la vie sur Terre comme nous je le connais depuis des millénaires . Il complète l’image de ce que la géo-ingénierie a été depuis sa création il y a des décennies : pour contrôler l’ionosphère avec des explosions de chauffage de réseau phasé afin de maintenir une atmosphère ionisée dans laquelle les produits chimiques, la nanotechnologie et les synergies synbio (biologie synthétique) peuvent être continuellement mises en place par des jets, des drones et des fusées au nom du changement climatique »

Ainsi, les bases du système neuronal synbio à l’auteur de Human 1.0 ont été utilisées par la manipulation du macro-environnement dont dépend notre extraordinaire micro-environnement intérieur. L’air que nous respirons, le sol dans lequel nous cultivons nos aliments, l’au que nous devons reconstituer : tout a été étudié par la biotechnologie et les grandes sociétés pharmaceutiques pour le transhumanisme humain 2.0. Les produits chimiques, les nanotechnologies et l’electromagnétique sont manipulées à des fins de géo-ginerie, de génétique et de vaccination, le tout en pratique à la phase logique de l’interface cerveau-ordinateur (BCI) à laquelle nous sommes aujourd’hui confrontés aprés des décennies de pratique (BCI) à une guerre tranquille «.

Remarques

[1] Tyler Durden, « Tout en blâmant Trump pour la « course aux armements », Obama signe un projet de loi capital sur la puissance « Star Wars II ». Zéro Hedge, 24 Décembre 2016.

[2] L’oncle paternel du demandeur Trump devait John G. Trump: « En 1943, en tant qu’assistant technique de la division 14 de la NDRC, [John G.] Trump a examiné et analysé les papiers de  Nikola Tesla  lorsque l’inventeur est cité dans un  New York. Hötel de ville  . La recherche a été faite pour le compte du bureau Alien Property Custodian à Washington, DC. De fevrier 1944 jusqu’ à la fin de la guerre en  Europe , Trump a été directeur de la branche britannique du Radiation Laboratory.» – Wikipédia

[3] Jamie Condliffe, « La géo-ingénierie obtient le feu vert des scientifiques fédéraux ». Revue technologique du MIT, 11 janvier 2017.

[4] « Une masse massive de conditions anormales dans le Pacifique a augmenté les niveaux d’ozone. » Alerte scientifique, 17 février 2017.

[5] « Les ondes planétaires, découvertes pour la première fois sur Terre, sont découvertes sur le Soleil. » PhysOrg, 27 mars 2017.

[6] TI Gombosi et al. , «Météo spatiale anthropique». Revues des sciences spatiales, 13 avril 2017.

[7] « Les sondes spatiales de la NASA ont détecté une barrière artificielle autour de la Terre. » ScienceAlert, 18 mai 2017.

[8] BPEarthWatch, « 4 objets non identifiés emportent un satellite/un radar ! » 2 juillet 2017, https://www.youtube.com/watch?v=NQ6xsqhDTaU.

[9] Eric Berger, « Un satellite peut s’exécuter en orbite géostationnaire. » ArsTechnica, 2 Juillet 2017.

[10] Bob Fredericks, « Trump signe un décret qui fait revivre le Conseil National de l’Espace New York Post , 30 juin 2017.

[11] Valerie Insinna, « Trump organise officiellement la Space Force sous l’Air Force. » Défense Nouvelles, 19 Février 2019.

[12] La Joint Intelligence Objectives Agency (JIOA) a contourné l’ordre anti-nazi du demandeur Truman de l’épidémie en supposant les affiliations nazies et en leur accordant de nouvelles identités et autorisations.

[13] En 1995, l’entrepreneur de demain Martin Marietta a fusionné avec Lockheed Corporation pour ex Lockheed Martin, qui dirige actuellement la Space Fence.

[14] Définir (ou inventer) le problème, puis contre la solution.

[15] Colonel Tamzy J. House et al. « La météo comme multiplicateur de force : maîtriser la météo en 2025 », août 1996. « 2025 est une étude conçue pour se conformer à une directive du chef d’état-major de l’armée de l’air visant à examiner les concepts, les capacités et les technologies que les États-Unis utiliseront. nécessiter de rester la force aérienne et spatiale dominante à l’avenir.

[16] Lire Amy Worthington, « Opération Cloverleaf : le programme d’essais d’armes le plus dangereux de l’histoire mondiale ». Rapport du millénaire, 29 août 2015.

[17] Ces catégories ont été initiées par le scientifique indépendant Clifford Carnicom dans son film Cloud Cover / Aerosol Crimes de 2005 , et ont ensuite été peaufinées.

[18] Tesla : « L’homme pourrait exploiter le sein de la Mère Soleil et libérer son énergie vers la Terre selon ses besoins, tant magnifique que lumineuse. »

[19] Robert E. Morrison, spécialiste des sciences de la Terre,  Division de recherche sur les politiques scientifiques, Service de recherche du Congrès, « Chapitre 5 : Activites fédérales en matiere de modification du temps ». Mise à jour : programmes, expériences, politiques et potentiel. Comité régional sur le commerce, la science et les transports, 15 novembre 1978.

[20] P. Gosselin, « Les concentrations atmosphériques de CO 2 400 PPM sont encore dangereuses basses pour la vie sur Terre. » NoTricksZone , 17 Mai 2013.

[21] « Les déterminants « verdissent » cause de l’augmentation du CO 2 . » Organisation de recherche scientifique et industrielle du Commonwealth (CSIRO), 3 juillet 2013.

[22] Juliet Eilperin, « La geo-ingenerie suscite une interdiction internationale, tout premier rapport du Congrès. » Washington Post , 29 Octobre 2010.

[23] « Chemtrails confirment: un climatologue admet que les jets « d’étrosols » » Chemtrailsplanet.net , 9 Janvier 2015.

[24] « Un scientifique de la NASA admet que les « chemtrails » sont réels. » Chemtrailsplanet.net , 11 mars 2016.

[25] Rady Ananda, « Gestion du rayonnement solaire, géo-ingénierie et chemtrails ». Recherche mondiale , 5 Novembre 2013.

[26] Christina Sarich, « Le réalisateur italien appel à la classification des documents Chemtrail ». Naturalsociété.com , 15 Avril 2014.

[27] « Le Ministre promet une enquête sur les chemtrails », Chypré-mail.com , 17 Février 2016.

[28] JD Heyes, « La NOAA veille à son site Web après avoir été prise dans un mensonge sur le rechauffement climatique, admettant que 1936 ait plus chaude que 2012. » Naturalnews.com, n, 1er juillet 2014.

[29] David Lewis, « Le leadership dans le choix de l’EPA ». L’ entreprise Oconee , 12 Mai 2016.

[30] Actuellement au Rhode Island, la loi sur la géo-ennie de 2017 (H6011) est en cours d’examen : Lire la suite : « Les théories absondent sur l’angélierie chimique de l’atmosphère et les pulsations nuages des avions, appelees chemtrails. La législation fait du Rhode Island l’ un des premiers États à étudier la question. Un comité composé de cinq membres formulera des recommandations pour l’octroi de licences aux technologies de géo-ingénerie – réelles ou non – dites que la gestion du rayonnement solaire, la fertilisation des océans, la protection de la couverture nuageuse et le blanchiment des nuages. La commission de la Chambre est chargé de rendre compte de ses conclusions d’ici le 2 avril 2018. »

[31] Alan Levin, « NTSB : l’accident d’avion de Ted Stevens reste un mystère. » USA Aujourd’hui , 24 Mai 2011. Il existe de nombreux brevets pour le pilotage à distance d’avions, l’annonce du conflit du pilote, etc.

[32] Clifford Carnicom, « Composants biologiques identifiés », 11 mai 2000, https://carnicominstitute.org/wp/biological-components-identified/.

[33] Mark J. Harper, « Dead Scientists and Microbiologists – Master List », 5 février 2005, http://rense.com/general62/list.htm.

[34] Erin Elizabeth, « Un lien avec la mort des morts holistiques ? » HealthNutNews.com , 1er février 2016.

[35] Le refroidissement par air à surface humide (WSAC) de milliers de centrales électriques (y compris nucléaires) est utilisé par les gardiens pour alimenter et diriger les systèmes de température. Voir MétéoWar101.

[36] Ari Phillips, « Le gouvernement canadien d’évaluation des bibliothèques scientifiques aprés avoir autorisé les milliers de scientifiques ». Progrès climatique , 10 Janvier 2014.

[37] Idem.

[38] « Opération Mockingbird, programme de lutte des médias de la CIA », 21 janvier 2012, https://www.youtube.com/watch?v=cDCfTIapds0 ; egalement « CIA Opération Mockingbird: Comment la CIA contrôle les médias », Source Watch, en, 10 Octobre 2016.

[39] Cité dans Planet Earth: The Latest Weapon of War de Rosalie Bertell (Black Rose, 2001).

[40] Document de la CIA n° 1035-960, « Concernant la critique du rapport Warren », 1967.

[41] Charles Eisenstein, « Le besoin d’une science entrepreneuriale ». Huntington Post , 27 août 2015.

[42] Sean Adl-Tabatabai, « Presque tous les articles scientifiques contraires par les jours six sociétés ». YourNewsWire.com , 20 Juillet 2015.

[43] « Les dirigeants mondiaux signent l’Accord de Paris sur le climat. » Huffington Post , 22 Avril 2016. L’article se terminait par « un groupe d’entreprises, dont Google, Ikea, Starbucks et General Mills, ont offert leur soutien à la cérémonie de signature ».

[44] Liz Ford, « Les objectifs mondiaux de nouveau avec enthousiasme à New York – vient maintenant la partie la plus difficile. » Le Guardian , 25 Septembre 2015.

[45] « Les Pays-Bas prennent en charge la médecine pour la Force de réaction de l’OTAN. » Communiqué de presse du SHAPE (Supreme Quarterly Allied Powers Europe), 13 janvier 2016.

[46] Sarah Malm, « L’ONU fait un « tribunal international de justice climatique » qui permetrait aux nations de poursuivre les pays d’aujourd’hui en justice. » Courrier quotidien , 2 Novembre 2015.

[47] Réalisable économie : « 6/6/17 : Trump, Paris, Climat : le problème est plus important que la COP21 », http://truenomics.blogspot.com/2017/06/6617-trump-paris-climate-problem -est.html.

[48] Amy Chozick et al., « Des extraits de discours divulguent comment une Hillary Clinton à l’aise avec Wall Street. » New York Times, 7 Octobre 2016.

[49] Jocelyn Timperley, « Les universitaires appelent à une préparation à la cérémonie à la suite des « failles mortes » de l’Accord de Paris. » BusinessVert , 11 Janvier 2016.

[50] James Corbett, « Et maintenant, parlons de l’scroquerie climatique des Banksters, qui co ⁇ te 100 000 milliards de dollars. .» Le rapport Corbett, 24 Février 2016.

[51] Tyler Durden, « Deutsche Bank poursuite en justice pour avoir dirigé une « organisation criminelle internationale » devant un tribunal italien. » Zérohedge.com, etc, 18 mai 2017.

[52] Jacob Levich, « Le vénérable programme de la Fondation Gates ». Aspects de l’économie indienne , 57, mai 2014.

[53] Paul Harris, « Ils s’appeller le Good Club – et ils veulent sauver le monde. » Le Guardian , 30 Mai 2009.

[54] William J. Broad, « Des milliardaires points de grandes idees privatisent la science americaine ». New York Times , 15 Mars 2014.

[55] Jusqu’à présent, deux secrets à la Défense ont satisfait à cette norme : Harold Brown (1977-1981) et Ashton B. Carter (2015-2017).

[56] Un à Hanford, Washington et un à Livingston, Louisiane.

[57] Stephen J. Crothers, « Une analyse critique de la recherche centrée par Ligo des ondes gravitationnelles prouvées par la fusion de trous noirs. » viXra.com , 8 Mars 2016.

[58] Doyle Rice, « Sommes-nous prêts pour la fin du monde ? La NASA mène des exercices en vue d’une éventuelle frappe d’astéroïde. USA aujourd’hui, 29 avril 2019.

[59] Joel van der Reijden, « Special Access Programs: A Look At Secrecy Levels and the Pentagon’s Missing Trillions », mis à jour le 2 mai 2017. Institut pour l’étude de la mondialisation et des politiques secrètes, https://isgp-studies.com /USAP .

[60] Tyler Durden, « L’armée de Dieu 830 millions de dollars en elicoptères « manuels » alors que le tout premier audit commence. » Zéro Hedge, 11 Janvier 2018. Le ministre administratif de la Défense est le plus grand employeur au monde avec 3,2 millions d’employés et 2,4 milliards de dollars d’actifs, et pourtant, il n’a jamais été tenu de faire un audit.

[61] Catherine Austin Fitts, « Qui fait quoi et quoi de neuf dans l’économie spatiale ». Le rapport Solari, vol. 2018, n°2.

[62] John Roach, « Message de l’assureur : « Préparez-vous au changement climatique ou soyez poursuivi en justice. » NBC News , 6 juin 2014.

[63] Patrick Wood, « NAU renaît sous le nom de « Partenariat nord-américain pour le climat, l’énergie propre et l’environnement » ». Actualités Technocratie , 30 juin 2016.

[64] « Universités et Fraude Financière », <TAG1>, Le Rapport Solari , 24 Mars 2016. Le professeur Darrell Hamamoto est professeur à l’UC Davis en études asiatiques-américaines.

[65] « Des groupes pursuivent l’EPA pour une approbation d’un pesticide nanotechnologique. » Communiqué de presse du Centre pour la santé alimentaire, 27 juillet 2015.

[66] Voir le livre de Peter A. Kirby Chemtrails Exposed: Un projet New Manhattan . Auto-publiée, 2016. 


Chapitre IV

Incendies de forêt géo-ingénierie au Portugal 2017

par

Conny Kadia

Introduction

Quelques mois avrès les catastrophes naturelles au Portugal – conscience des incertitudes de juin et octobre 2017 dans notre rétablissement – j’ai commercé à l’écriture des notes, à partager notre expression.

Nous pensons que les incendies du Portugal en 2017 font partie du programme mondial d’utilisation de la planete comme arme (voir: Planet Earth – The Latest Weapon of War de Rosalie Bertell, Livres Black Rose 2001). Ici, c’est l’industrie internationale du bois (eucalyptus), une coopration entre la banque d’investissement Goldman Sachs de New York et l’industrie du bois portugaise locale, qui loue ou achete des biens bon marche aux villageois, cultive et vend de l’eucalyptus, déruisant l’agriculture et les fêtes naturelles du Portugal. , comme au Brésil, en Angola, etc. Il ne s’ pas seulement de « produit du papier », comme le rapportent les informations grand public, mais surtout de produit de la biomasse pour supplémentaire l’etanol, qui sert d’energie pour le carburant.

En 2017, 30 000 000 d’eucalyptus OGM étaient prêts à être plantés avant même les incendies.[1]  Nous sommes également préoccupés par les nouveaux produits du lithium, du gaz, de la 5G, de l’IA et de l’industrie touristique moderne. De nouveaux contrats ont été signés depuis 2017 au Portugal et la plus grande mine de lithium d’Europe est prévue pour 2020 dans le nord du Portugal.[2]

En 1974, le Portugal est sorti de la dictature et depuis lors, la « mafia de l’eucalyptus » a commencé à s’étendre, s’emparant d’une partie du pays et en même temps les « incendies de forêt » ont commencé à augmenter constamment.

En 1992, le Portugal est devenu membre à part entière de la Communauté européenne avec pour objectif de servir l’Europe avec l’industrie du papier et du tourisme et également d’être géographiquement un pays important en tant que base stratégique de l’OTAN dans le sud de l’Europe.

Gouvernement du Portugal, îles et programmes de pulvérisation

Image à droite: Google Maps Azores

En 2010, le Gouvernement portugais a signé le “Contrato Ceu ⁇ nico” (“Contract One Sky”).[3] Il semble que depuis lors, “spraying” a été autorisé dans l’espace aérien du Portugal. À partir de 1972, le Joint Force Command Lisbon était l’une des plus grandes bases de l’OTAN en Europe du Sud Opérations Commandement Allié. Il était basé à OeirasLisbonne, et a été désactivé en 2012.

Aujourd’hui, les « Forces américaines des Açores » (USAFORAZ) sont basées à Lajes Field , à Terceira, aux Açores , au Portugal, la meilleure position stratégique de l’océan Atlantique nord-ouest, entre l’Europe et les États-Unis. Nous pensons qu’au cours de cette décennie, cette base militaire est devenue très importante pour le « programme de pulvérisation » international et intercontinental, passant par le Portugal au départ et à l’arrivée vers l’Europe.

À Sta. Maria, aux Açores, est en cours d’installation le Portugal Space 2019-2030 , un « port spatial » pour satellites et vaisseaux spatiaux équipés d’armes laser de l’un des plus grands producteurs militaires d’armes laser et de vaisseaux spatiaux, Martin Lockheed Corporation en Californie, également basé à Irlande, Écosse et Canada et vente à la Chine, à la Corée du Nord, à l’Australie et ailleurs.[4]

Image ci-dessous : Carte Motoristas Portugal 2020

On se demande si ces armes laser lors des incendies au Portugal en 2017 et 2018 ont également été utilisées en Californie, en Grèce, en Suède et en Australie.[5]

Région et géographie

Entre juin et octobre 2017, le centre du Portugal a été mis en place par des milliers d’s et de geo-ingenerie quotidienne, assistant le pays et incendiant trois comtés : la Pinède intérieure du Nord, la Pinède intérieure du Sud et le Parc naturel de la Serra da Estrela.

C’est une expédition avec des collines verdoyantes et de nombreuses belles fluviales et la chahenne de montagnes Serra da Estrela, à 2000 m d’altitude. Pinhal Interior Norte, d’une superficie de 2 617 km² et d’env. 130 000 habitants, comprennent 14 communes toutes couvertures par la monoculture d’eucalyptus depuis 30 ans.

Notre conseil est Oliveira do Hospital, la seule ville enregistrée dans cette région et le dernier conseil rejetant les plantations d’eucalyptus, préservation d’une forêt de 80-100 ans “Traditional Pine Forest” (forêt mixte avec pin, chêne et chêne-liège). Ce conseil appartient également au Parque Natural Serra da Estrela, qui a participé à l’UNESCO “Geopark Estrela” en novembre 2017 (le mois après la catastrophe). Cette zone de 2 216 km² et 170 000 habitants comprend neuf conseils avec deux écoles, “Instituto Politecnico da Guarda” et “Universidade da Beira Interior” Covilhão. Le Geopark promeut l’éducation, la science et la culture.[6] Les programmes de préservation de la nature et de la vie traditionnelle des villages, des zones rurales, de la nature et de l’écotourisme de la classe supérieure ont stabilisé le marché local et les petites industries. Des centaines de plages fluviales, des,des milliers d’itinéraires de randonnée et d’autres sports de plein air font de cette région une célèbre Chaîne de Montagne pour le Tourisme National et International Nature-Extérieur. Il a été complètement brûlé en 2017.

Google Maps Incendies Portugal, 2017 ICNF (Institut de conservation de la nature e das Florestas)

« La Mairie d’Oliveira do Hospital a brûlé en trois heures », a déclaré un témoin. Une superficie de 234 000 ha, 40 km de large sur env. 60 km de long, soit deux fois la taille de Paris.

Le dimanche 15 octobre 2017, entre 20h00 et 23h00, 97% du territoire d’Oliveira do Hospital a été incendié, une superficie de 234,52 km 2 avec près de 21 000 habitants. Dans notre commune, 12 personnes sont mortes et quatre étaient encore en convalescence après des mois, 5 000 moutons et chèvres sont morts, ainsi que de nombreux animaux domestiques comme des chiens, des chevaux, des chats, des poules, env. 500 maisons et 108 entreprises ont été détruites, 480 emplois perdus, 65 familles touchées – tout cela dans une seule commune !

Après quatre mois, certains villages étaient toujours sans téléphone ni internet. Une partie de l’argent a été versée par un programme gouvernemental pour les arbres fruitiers, les étables, les animaux ou les machines brûlés. Les maisons étaient en cours d’analyse au cours des 12 mois suivants, les gens ont été « évacués » vers d’autres lieux de séjour temporaire ou se sont vu proposer une « nouvelle » maison dans le village en échange de laisser leur ferme derrière eux. Cela s’inscrirait dans un programme de dépeuplement des campagnes. Un an après la catastrophe, on peut dire que seulement 25 % des reconstructions promises ont été approuvées. La grande majorité des reconstructions n’étaient pas terminées au deuxième hiver suivant la catastrophe.

La population portugaise a ensuite souffert pendant quelques mois d’une sorte d’« état désespéré », avec principalement des hommes se plaignant de la vie et des femmes pleurant toujours, mais tout le monde essaie toujours de regarder vers l’avant. Le choix de vivre à la campagne signifie vivre dans une nature qui semble désormais complètement détruite. Tout le monde sait que cette destruction n’a pas été provoquée par la nature mais par la terreur organisée .  Des familles et des couples étrangers, appelés « nomades du climat », qui ont choisi le Portugal pour vivre de manière alternative et durable, envisagent de quitter le pays, qu’ils aient tout perdu ou qu’ils aient simplement été témoins de cette catastrophe. La soeur a été perdue, beaucoup de gens ne savent pas o ou aller, car ils comprennent que cela pourrait se reproduire, et que cela pourrait se produire . Avrès un an, de nombreux pins morts ont été tués et une nouvelle forme de fête de naissance de femmes indigènes traditionnelles commencent à apparaitre, o être, espères-le, eucun eucalyptus ne sera plante dans le cadre des programmes gouvernementaux.

Centre du village historique Mid ⁇ es/Tábua – Portugal.

Ici, sept maisons ont br ⁇ lé dans la nuit de la catastrophe, un drone s’est posé dans un jardin peuple de personnes. Personne ne sait qui est le propriétaire.[7] (Photo ck, octobre 2017). 

Dans les villages de Lajeosa/Oliveira do Hospital, des munitions militaires ont été trouvées dans des maisons inhabitées et un avion a été vu à 11 heures du matin presque atterrir sur le toit d’une maison, qui a commencé à brûler 12 heures plus tard, au centre du village. .

Il existe cependant un joli constat social : « Les gens se rapprochent les uns des autres ! »

Causes et comportement officiels et non officiels des incendies

En se concentrant sur les deux énormes incendies qui ont causé la mort de plus de 120 personnes le 17 juin et le 15 octobre 2017, la région de Pinhal Intérieur Nord, 6% du pays du Portugal, a été incendiée en seulement deux week-ends et , en 2017, a brûlé au total plus de 500 000 ha du Portugal.

Les deux incendies avaient un caractère très similaire en termes de « comportement et de calendrier ». Nous sommes convaincus que les deux incendies avaient été bien planifiés par l’industrie locale et internationale, ainsi que par l’armée, sur terre et depuis les airs. Communiquées officieusement, il y a eu plusieurs « lettres de menace » et après l’incendie de juin qui a détruit une partie de cette commune, certains savaient qu’un deuxième grand incendie était prévu en octobre pour brûler le reste. Selon les déclarations gouvernementales, les deux incendies se sont produits en dehors de la haute saison estivale (juillet – septembre) et leurs moments les plus catastrophiques se sont produits dans la soirée entre 20h00 et 21h00 . Soudain, une sorte de « tsunami de feu » a submergé les deux régions avec des flammes de plus de 30 mètres de haut, s’étendant jusqu’à 15 km en dix minutes. Tout le monde avait cinq minutes pour s’échapper, courir pour sauver sa vie ou se préparer à tenter de sauver la maison. Il n’y a eu ni avertissement, ni pompiers, ni urgence, ni infrastructure.

Nous nous posons la question: “L’Europe est-elle toujours un continent sûr?”

« Parce que cela s’est produit avant l’été et à cette heure de la journée, avec un danger normalement réduit pour ce genre de conditions météorologiques, le risque n’avait pas été compris par les services d’exploitation. Ce type de comportement de l’incendie n’aurait pu être prévu par aucun service d’urgence au Portugal, ni en Europe. L’incendie de forêt de Pedrogão Grande est un exemple et une alerte… pour être confronté à un nouveau problème provenant du changement climatique. (Résumé de la Commission technique indépendante, gouvernement portugais, 12 octobre 2017, traduit du portugais.)[8]

Wikipédia continue de diffuser de fausses « informations grand public » après les incendies d’octobre.[9]  La même année, le nombre d’incendies en Europe a doublé, les « experts » imputant ce phénomène au réchauffement climatique.

À mon avis, un autre meurtre de centaines de personnes en 2017, cette fois au Portugal, un pays européen — conçu avec des armes militaires et sous « faux drapeau » en utilisant le terme « changement climatique » comme un mensonge général en termes de physique, avec un intérêt économique. et le pouvoir, contrôler la population par la psychologie dominante – une menace contre l’humanité ?

Le Dr Rosie Bertell a écrit en 2013 :

« Des recherches plus approfondies montrent qu’à la fin des années 1960, des scientifiques des États-Unis et des scientifiques de l’Union soviétique élaboraient des efforts sur un éventuel réchauffement de l’Arctique, documentés en 1976 dans le livre de Lowell Pontes, « The Cooling ». En 1974, lors de la réunion de Vladivostok, les dirigeants des États-Unis et de l’Union soviétique ont commencé à manipuler la météo par des opérations communes. À la fin des années 1970, les États-Unis ont participé à la modification du temps grâce aux signaux ELF (ondes EM de très basse fréquence.) »[10]

Le mouvement contre la géo-ingénierie au Portugal depuis 2010

En 2012, Benjamin Levy , thérapeute de Lisbonne, a commencé à organiser les premiers discours sur la géo-ingénierie et à informer le public via son site Internet.[11]  En 2013, le groupe Facebook « Rastos Químicos Portugal » a débuté comme un important forum d’échange d’informations et de contacts, augmentant constamment pour atteindre plus de 17 000 membres Facebook après six ans. Tiago Lopes de Coimbra est un activiste important de ce groupe et documente les pulvérisations quotidiennes sur son site Internet.[12]  En 2014, j’ai rejoint ce groupe et j’ai lancé un site Web pour mes recherches personnelles en portugais.[13] Depuis 2018, de nombreux citoyens portugais ont commencé à publier des informations sur la géo-ingénierie, la 5G et tout le spectre. J’ai également participé à plusieurs « Marches mondiales contre la géo-ingénierie », grâce à Marcelo Chelão (Brésil) et Fernando Jorge (Lisbonne), qui organisent ce mouvement pour le Portugal.

En 2016, nous avons organisé régulièrement des « Rencontres sur la géo-ingénierie » à Coimbra.

Sur 6th Février 2017, le “Petition contre le géo-engingeering, initié par le Groupe Rastos Químicos Portugal, a été officiellement transmis au Gouvernement portugais avec plus de 4 000 signatures.[14]

Le ministère portugais de l’Environnement a invité le groupe, représenté par Tiago Lopes (Coimbra) et Elvira Vieira (Porto), à deux auditions, les 19 avril et 27 octobre  2017. Les deux auditions n’ont apporté aucune réponse à nos préoccupations concernant la manipulation climatique par aucun des deux. les parties. La pétition a probablement été ignorée.

Le 17 juin 2017, l’incendie de forêt de Pedrogão Grande s’est produit (officiellement 64 victimes). Plus de détails ci-dessous.

Le 15 octobre 2017 a eu lieu un incendie de forêt à l’hôpital d’Oliveira do (officiellement 45 victimes). Plus de détails ci-dessous.

Le 5 novembre 2017, le professeur Filipe Duarte Santos, Département des Sciences de l’Université de Lisbonne et Directeur du Comité National de l’Environnement et du Développement Durable (CNADS), a confirmé sur l’émission de télévision portugaise RTP 3 que « l’atmosphère sera pulvérisée ». avec des produits chimiques toxiques pour refroidir la planète ». [15]

Le 2 décembre 2017  a eu lieu le lancement du « Groupe Why Fire » (WiFi) Ingénierie Climatique et Feux de Forêt Portugal 2017 . Un premier meeting était prévu pour la fin de l’été dans le centre du Portugal, mais la maison de l’organisateur a brûlé lors de l’incendie du 15 octobre . Jusqu’en 2019, la Why Fire Organization s’est élargie en plusieurs sous-groupes – tels que Geoengineering – Space Fence, Transhumanism de Hendrik, Lilli, Conny et autres, 5G d’Ariel, Vaccinations and How to Protect de Leen, Environment for Life de Hanne et Rudy, Reforest for Life – nettoyage et plantation sur terres brûlées par Leoni, Exposition avec des peintres locaux « Feux de forêt Portugal 2017 – questions et réponses » par Annie Moreels, Livre « Histórias do Fogo/Fire stories » par Rita Fernandes Martins.

Le 16 décembre 2017  a eu lieu le début du groupe portugais « Grupo Céus Limpos »/Clean Skies, fondé par les témoins du crime de l’incendie d’octobre dans le centre du Portugal avec des membres majoritairement portugais, les co-fondateurs Maria João Sousa, Isabel Pimenta, Júlio Santos Perreira. et le professeur João Dinís (directeur de la Confédération nationale de l’agriculture CNA).

Nous avons publié plusieurs dépliants sur la géo-ingénierie en coopération avec des experts natifs. Les deux groupes ont coordonné et travaillé ensemble.[16] À partir de janvier 2018, le “Grupo Ceus/Clean Skies Group” a sensibilisé les journalistes et les médias avec des interviews et des articles dans les journaux régionaux sur la façon dont les incendies de forêt sont plus agressifs avec des flammes élevées et incontrôlables, traverser des villages et entrer dans des villes. Le groupe était témoin de tirs organisés, de la terre et de l’air et fait référence à leur impression que des produits chimiques ont été utilisés et parlant de géo-ingénierie ainsi que des armes laser et des drones.

Un journal local a soutenu notre mouvement en publiant notre événement « Crime dans les incendies », dont nous avons discuté officiellement avec les hommes politiques locaux et les pompiers, grâce au directeur Amadeu Diniz da Fonseca et au journaliste José Leite qui nous ont contactés. Nous avons également écrit sur des présentations régulières au cours desquelles nous avons invité des experts et des enquêteurs tels que le thérapeute Benjamin Levy de Lisbonne, « La géo-ingénierie pour contrôler le climat – une arme exotique non officielle… et incontrôlable. »[17]  Plus d’informations sur nos campagnes de relations publiques peuvent être consultées. trouvé sur notre site Web.[18]

Dans les premiers mois qui ont suivi la catastrophe, nous avons communiqué avec les municipalités, les ingénieurs et les professeurs des différentes commissions d’enquête du gouvernement portugais afin d’être impliqués comme témoins, pour montrer les endroits où nous avons vu ou entendu des drones, où des maisons inhabitées ont explosé, où les avions sont passés quelques minutes avant que des types de bombes incendiaires ne tombent et qu’une sorte de tsunami de feu n’explose de partout.[19] Nous avons collecté de la terre de la forêt et de l’écorce des arbres pour analyser les produits chimiques pulvérisés avant et pendant l’incendie (aluminium, magnésium, lithium, manganèse, napalm). Ils ont été impressionnés, car ils connaissaient déjà la géo-ingénierie et le climat. Ils se sont également interrogés sur « d’étranges événements physiques » dans notre forêt, sur ce qui est arrivé au quartz ou aux maisons incendiées. « Cela devrait faire l’objet d’une enquête » fut la réponse. Mais le gouvernement portugais n’a jamais donné l’ordre d’enquêter sur ce crime. Le gouvernement portugais cache-t-il des secrets ? Protègent-ils du crime de ces incendies ? Pourquoi n’y avait-il pas de service de secours ni de pompiers dans nos villages cette nuit-là ?

En 2019, plusieurs événements ont eu lieu en coopération avec la municipalité et nous avons poursuivi notre communication avec les pompiers. Il est important que chacun comprenne qu’il s’agit d’« incendies non naturels » qui ont été provoqués et qui peuvent frapper à la porte de chaque maison à tout moment tant que nous n’arrêtons pas ce programme de géo-ingénierie. Est-ce une guerre civile moderne ?

Le Portugal fait partie de la résistance internationale contre l’ingénierie climatique depuis 2017

Un grand merci à Franz Miller (Autriche)[20] pour sa patience et son soutien dès les premiers jours. Nous espérions également avoir analysé les arbres “hammered” dans la forêt qui ressemblent à être mangés à environ un mètre de haut, avec certains jusqu’à quatre mètres de haut. On dirait une bombe atomique. Il y a une vidéo sur notre paradis autrefois vert .. trois jours après la catastrophe.[21] Nous avons trouvé des roches endommagées de quartz, de granit et d’ardoise avec de petits morceaux éclatés brisés, quelques morceaux aussi gros que deux mains. Nous avons trouvé des trous très réguliers de 2-3 sq.cm. sur le sol. Nous croyons que cela aurait pu être causé par l’énergie dirigée qui a également brûlé des milliers d’arbres à l’intérieur, “melted” fer dans les murs de briques de maisons et tordu des bâtiments d’usine entiers. Dans l’incendie de juin à Pedrogão Grande, il y a des témoins de la façon dont les gens ont été réduits en cendres juste à côté d’une autre personne qui n’a pas été brûlée du tout.

Le physicien Manuel Feliz de Porto[22], membre du Grupo Céus Limpos, enquêteur privé et éditeur sur la géo-ingénierie, les traînées de condensation et les traces chimiques, explique dans l’un de nos dépliants :

« Des produits chimiques éventuellement inflammables et (ou) des armes électromagnétiques ont été utilisés. C’est un fait que ceux-ci produisent normalement des incendies si violents à l’intérieur des arbres que la sève est conductrice de l’électricité. Des trous de 2 à 5 cm de diamètre dans la forêt partout ? Le plus étrange de ces incendies était que des roches et des cristaux de quartz ont explosé, ce qui était dû à une température très élevée à l’intérieur de ces roches (600⁰C), ou bien ils ont explosé à cause des « oscillations de résonance forcées » d’une onde électromagnétique. La fréquence de résonance du quartz est fondamentalement la même que celle de l’émission HAARP, un système électromagnétique destiné aux expérimentations atmosphériques, mais pas seulement. Une arme électromagnétique mobile pourrait aussi émettre dans cette fréquence ! (traduit du portugais)[23]

Les murs en granit présentent des rayures et s’effondrent. Certaines maisons incendiées doivent être détruites par « prévention du danger » ( Photo ck 12/2017)

Quartz brisé et partiellement pulvérisé.

Incendie de forêt au Portugal, 17 juin  2017 — Pedrogao Grande

L’incendie de juin s’est produit à environ 100 km au sud de chez nous. Nous avons assisté à la révélation à une soi-disante « catastrophe naturelle » 24 heures sur 24 en direct sur toutes les chaises de la prévision ces jours-ci. C’était comme regarder un mal film, montrer simplement la reine, ce qui implique de sensibiliser les gens, de les ramener de la mort et des catastrophes, une sorte de terreur.

Pendant l’été, j’ai pris des notes sur les circonstances des incendies de juin, alors que je travaillais sur un dépliant pour le Portugal sur la géo-ingénierie et les incendies de forêt. Je ne m’attendais pas à un désastre similaire frappant à la porte de notre maison quelques mois plus tard. Merci à Maria João Gaspar Oliveira (philosophe et écrivain) de Coimbra pour toute son aide dans les recherches sur cet incendie.

La sorcière au Portugal et dans le sud de l’Europe (Espagne, sud de la France, Italie, Grèce) a-t-elle egalement ‘ete prouvée partie ailleurs ailleurs ?

 (Photo ck 08.06.2017 Oliveira do Hospital 100km au nord de Pedrogão Grande Microwave dans les Nuages Artificiels – Radiation)

La semaine avant le 17 juin 2017, nous avons assisté à une vague de chaleur triste dans le centre du Portugal. à partir du mardi 12 juin , nous avons eu plusieurs jours avec une chaleur de près de 40⁰C, l’herbe était jaune en deux jours après un ciel blanc permanent avec du smog blanc et jaune le matin.

Nos tomates vertes cuites noires accrochées à la plante verte de notre potager et ma voisine a eu le jour avec ses haricots. Il s’agitait d’une chaleur très habitante pour cette saison et quatre jours seulement ont suffi pour assecher massifment tout un comte. Puis vint le samedi 17 juin 2017. Ce jour-là, des gens furieux comme s’ils étaient « passés au micro-ondes » dans leurs voitures et leurs maisons, « carbonisés » alors qu’ils fuyait sur les routes ou hors de la fête. Une personne br ⁇ lée, une autre à venir ici d’un moment ne l’est pas. Le rapport d’enquête gouvernementale n’a pas publié le chapitre sur les victimes d’édicées. De nombreux animaux sauvages et domestiques sont élevés.

Officiellement, le nombre de victimes n’a plus augmenté 24 heures (64), journée si des personnes sont toujours portes disparues. Quelques semaines plus tard, des enquêtes privées ont fait état de 72 victimes, mais il est possible que davantage de personnes ait perdu la vie. Que cache le gouvernement portugais en pensant sur le nombre de victimes et en dissimulant les enquêtes sur les maladies ?

Des « flammes de l’enfer » ont été édicrites par des morts, un bruit juste fort et des flammes de 30 m de haut survivant les villages. Certains animaux ont été choisis pour être uniques par des températures élevées, sans contact direct avec le feu. La fête a choisi un état rapporté à propos d’arbres qui ont br ⁇ lé sans avoir été en contact avec le feu. Perdre la vie à cause des radiations ?

Pendant l’, c’ comme si tout br ⁇ lait au nord de Lisbonne jusqu’ à la frontière espagnole. Le centre du Portugal et le sud de la chaise de montagnes Serra da Estrela semblant avoir br ⁇ lé de juin à octobre. 

Informations des médias grand public et chaos gouvernemental

Les déclarations du gouvernement ont changé à plusieurs reprises au cours des semaines qui ont suivi la catastrophe de juin.

La première déclaration a été transmise à la télévision disant que c’était un tonnerre sec qui avait frappé un arbre. L’arbre n’a été retrouvé comme preuve que deux heures plus tard. Quelques jours plus tard, cependant, les images d’un témoin ont été diffusées à la télévision, montrant à quel point le premier incendie s’est déclaré silencieusement, sans tonnerre, sans aucun éclair. D’autres témoins ont entendu des bruits forts alors que l’incendie s’est développé très rapidement et de manière incontrôlable.

La deuxième déclaration du gouvernement a changé en impliquant une « main criminelle » comme origine de l’incendie.

La troisieme declaration arrive ensuite deux semaines plus tard, le 3 juillet  , o les pompiers d’en raison d’un mort dans le château à haute tension, l’incendie s’est d’abord décrété sous l’effet de la haute tension : « efeito arco voltaico ».

La police interne a continué en affirmant qu’un orage sec pourrait être à l’origine de cet énorme incendie.

L’IPMA (Institut de la Mer et de l’Atmosphère) a déclaré que « dans cette région, aucun éclair ne s’est produit au moment du début de l’incendie. » (sic)

Nous avons besoin de demander à l’institution médicale (IPMA) comment est-il possible d’obtenir des informations sur les médias le jour sur les écoles chinoises ?

La quatrième version émane d’un groupe d’hommes affirmant que des charges électriques (descarga electrica) entre des châteaux à haute tension et des arbres trop proches ont alluminé l’incendie.

Mais l’EDP, une compagnie d’électricité, a nié ces accusations car il n’y avait pas d’arbres.

La cinquième version devait être la dernière lue dans le rapport de la CTI (Commission Technique Indépendante) du 12 octobre 2017 (publiée seulement trois jours avant l’incendie du 15 octobre ) p. 12, sur la « temporaire imprévisible… due au changement climatique ».[sic][24].

Téminin officiel avec preuve d’un incendie géo-ingénerie ?

Un sentiment anonyme est mentionné dans ce rapport gouvernemental officiel concernant cette « déférlante » :

« Un peu après 20 heures (je ne peux pas dire l’heure exacte), il fait totalement noir et immédiatement après, une énorme boule de feu est arrivée, poussée par un vent comme un cyclone (…). Ce qui s’est passé ici n’est pas un feu venant des forêts de pins des environs, mais c’est une sorte de bombe qui a explosé de nulle part, qui a ouvert un ciel plein d’un éclat brillant de flammes qui déversent des lumières ambrées ou des langues de feu vers tout le monde. directions. Ce sont ces langues de feu qui ont incendié mon village et d’autres ici. (traduit du portugais)[25]

Luis Gregório m’a envoyé une vieo près de Santarem, à 100 km de Pedrogão. Il a observé un ciel plein de pulsations ainsi que d’ondes ELF.

« Il est devenu normal de voir des pompes aujourd’hui, et il est normal qu’ils se traduisent en nuages avec un comportement étranger… mais ce qui n’était pas normal cette fois-ci, c’est que les nuages sont restés immobiles pendant un long moment, et au moment o l’incendie s’est révélé, environ deux fois trois heures plus tard, la pluie tombait et faisait du tonnerre. »[26]

Le 19 juin 2017, le journal national « Diário de Notícias » ecrivait, avec de nombreux temoins : Tous droits réservés :

« Ce n’ n’est pas un incendie, c’ait une date de feu ! »

Le 20 juin 2017, Tiago Lopes de Coimbra a été élu lieu des pompes avant et pendant l’incendie de juin. (Administrateur du groupe Facebook Rastos Químicos, Activisme anti-pulvérisation Portugal)[27]

Incendie de forêt au Portugal, 15 octobre 2017 — Hôpital d’Oliveira do

Le matin du 15 octobre , dix heures avant le début de notre incendie, j’avais reçu un e-mail de Claudia contre Werlhof que je n’ai lu que deux semaines plus tard. En le lisant, je me suis à nouveau figé, car c’était la description parfaite de ce à quoi nous avons survécu.

Le 15 octobre 2017, à 09h43, Von Werlhof, Claudia < Claudia.Von-Werlhof@uibk.ac.at > a écrit :

« Les incendies californiens ressemblent à ces du Portugal et rappellent les effets du 911, explique Judy Wood. Jim Stone: « Les « nouvelles de datet » en Californie n’est pas sauvages, ils sont artificiels » : … il aurait d ⁇ y avoir plusieurs cas d’explosions d’arbres sec l à o il n’y avait jamais eu de feu auparavant. Beaucoup de gens disent que ces incendies ont sous-sol « explosif de nulle part » – aucune trace d’un incendie devenu réalité, pas d’, non RIEN, non RIEN, juste un vent sain et violent se produisant au jour moment o la forest venue foisine a soudainement pris feu. Ce serait le signe révélateur d’ un champ électionrique sudain et massif rachauffant tout (tout ce qui ne peut pas être très bien conducteur l’, c’est-à-dire l’air et les feuilles sèches).Il y a des gens qui disent que les systèmes laser spatiaux font cela… mais je crois toujours qu’ils utilisent l’annulation de phase des ondes radio pour prouver un champ de polarisation, car quoi qu’il arrive lors de l’utilisation d’un laser ne serait pas possible controlable et entraienerait trop facilement la création d’une ionosphère massive pour mettre à la terre les éclaires. Cela ne se produit pas, c’est pourquoi je m’en tiens à l’approche des vagues emergentes. Peu-être qu’à mesure qu’ils deviendront plus effrontés et ne se soucieront pas des effets visibles, ils commenceront à utiliser des lasers, ce qui serait beaucoup plus facile.utilisation d’un laser ne serait pas possible controlable et entre entretien trop facile la création d’une ionosphère massive pour mettre à la terre les écorces. Cela ne se produit pas, c’est pourquoi je m’en tiens à l’approche des vagues emergentes. Peu-être qu’à mesure qu’ils deviendront plus effrontés et ne se soucieront pas des effets visibles, ils commenceront à utiliser des lasers, ce qui serait beaucoup plus facile.utilisation d’un laser ne serait pas possible controlable et entre entretien trop facile la création d’une ionosphère massive pour mettre à la terre les écorces. Cela ne se produit pas, c’est pourquoi je m’en tiens à l’approche des vagues emergentes. Peu-être qu’à mesure qu’ils deviendront plus effrontés et ne se soucieront pas des effets visibles, ils commenceront à utiliser des lasers, ce qui serait beaucoup plus facile.ce qui serait beaucoup plus facile.ce qui serait beaucoup plus facile.

Comment pourriez-vous provocateur l’apparition instantanée de 66 incidents de pour ce jour massifs et largement espaces sans les conditions météorologiques naturelles ne les provocant, se developpant rapidement, avec un temps parfait calme auparavant, des vents sains et massifs au début des incendies, des étincelles bleues dans l’air, des composés électroniques parfaits et chez certaines personnes des palpitations cardiaques ? Ma réponse : il suffit de demander à Darpa (Jim Stone). Sur Darpa, voir Bertell. Claudia contre Werlhof »

Les atomes de l’incendie d’octobre ont partagé des circonstances incroyables.  « Nous aurons de la pluie blanche 15 octobre  » estait l’une des fausses prévisions météorologiques quelques jours avant l’incendie, une sorte de controole mentale de la population pour qu’elle n’arrose rien. Et ça un marchée. Des amis qui s’aiment jour à la géo-ginerie m’ont dit qu’ils sont nécessaires tellement idiots de nettoyage les tranchés pour ranger l’eau de pluie au lieu d’arroser autour de la maison et du jardin. Celle aurait pu réussir que le feu ne se propre et ne br ⁇ le la Terre sur case monsieur carré.

L’électricité a été putée trois heures avant le début de l’incendie, de sorte qu’il n’y ait pas d’approvisionnement en eau pour la plupart des maisons otees de leurs propres puits equipes de pompes. Les télécommunications mobiles ont été utilisées pour créer une coque juste avant l’invention et ont été utilisées pendant 48 heures. Une communication de secours n’a donc possible pendentif l’incendie, pas de pompiers, pas d’avertissement ou d’aide officielle avant et pendant l’incendie, pas d’évacuation dans nos villages. Les gens ont cinq minutes pour se préparer à se battre ou simplement à courir pour sauver leur vie. Tout le monde a été abandonné dans une catastrophe mettant leur vie en danger. (Nous avons entendu la semaine a choisi de la part des revenus de Californie.)

Survivre a fait une chance et garder la maison en lieu et lieu une merveille. Le lendemain matin, nous avons un smog toxique très dense, brillant et jaune. Nous nous demandons si cela pourrait provenir d’oxyde de fer br ⁇ lé, l’un des produits chimiques qui, selon nous, auroit ètre pulvé.[28]

Un village est resté sans électricité pendant sept jours, sans internet ni téléphone pendant trois mois dans notre village, ce qui a rendu le travail de resistance presque impossible. La situation psychologique s’est aggravée au sein de la population touchée. Nous n’avons pas été une idée de ce que les médias ont été trouvés de l’incendie ou de nous. Nous avons été sous « itat d’ence » pendant trois jours, pas de travail, pas d’, pas de distributeurs automatiques travailleurs pour obtenir de l’, pas de recharge de pneus, pas de telechargement de telephone, pas de distribution automatique, pas de communication. Tout ce que nous pouvons faire, c’ait essai de nous remettre du choc et de « remettre les choses en place » autour de nos maisons, de nos potagers et de nos ecuries. Les gens pleuraient encore des mois.Les chercheurs sont conscients d’avoir été dans tous les magasins de notre royaume. Pour ceux qui ont été victimes de cet incendie, la vie a changé. Tout le monde sait qu’il s’agissait d’ attaque et non d’un incendi naturel.

Il y avait un chaos total dans la direction gouvernementale en matiere d’aide financière aux victimes qui ont perdu leurs maisons, leurs écuries, leurs animaux, leur emploi, etc., journéeme après un an et demi. Heureusement, des milliers de personnes ont été créées en solidarité et de nombreux groupes et villages ont été affectés et de la nourriture aux personnes et aux animaux. Ceta a ete pluton bien organisé au sein de notre conseil local Oliveira do Hospital.

Seul deux semaines plus tard, j’ai pu utiliser Internet pour la première fois dans notre coffeeshop local, envoyé mon premier SOS-EMAIL à des militants de la résistance internationale et à Claudia v. Werlhof. Je n’ai pas eu besoin e-mail spécial d’amis qui demande normalement quand des affaires de naissance ont eu lieu au Portugal. Ni ma famille en Allemagne ne semblant très inquiete. J’ai alors compris que cet incident n’ pas été mentionné dans les grands médias européens. Un grand merci à Claudia, qui a « entendu mon SOS » et a répondu immdiatement, un diffus mon message à ses collègues et m’a envoyé une vie d’un inconnu de fête en Californie en octobre 2017, un arbre br ⁇ lant de l’intérieur.[29] 

Elle m’a mis en contact avec Franz Miller (d’Autriche) qui m’a expliqué les armes laser à énergie dirigee et m’a envoyé une vieo dans laquelle j’ai vu les recherches d’Elana Freeland pour la première fois fois.[‘s.30]

(Photo décembre 2017, centre du Portugal)

Avec la chaise de poule sur la peau, j’ai commis à rassembler des images d’incendies au Portugal et de phenomènes tres semblables en Californie — Arme à énergie dirigee ? Je l’ai publié sur mon site Web personnel.[31] Le soir jour, la batterie de ma voiture était entièrement morte, d’un instant à l’autre. Aucun château débutant d’une autre batterie de voiture ni pousser la voiture en bas d’une colline n’a fait demarrer le moteur, donc il est allé au garage le lendemain. J’ai pensé : « J’espère que je ne suis pas si important. »

Pour le 15 octobre 2017, les prévisions relatives à l’avenir changent à la dernière minute, selon la méthode de prévision considérée. Soudain, des températures élevées autour de 30 ont été annoncées pour dimanche, assez chaudes pour l’automne et quelques personnes ont été mises en place. Différentes chaises donnent des informations différentes. Rappelez-vous, seulement trois jours plus tout, le commencement des plaisirs hivernales saisonnières ont été annoncées dans les médias.

Quatre grands incendies s’est révélé être entré 6h30 et 11h00 dans la Sierra de Serra Estrela, tous sur une seule ligne, d’est en ouest, sur une distance d’environ 20 km chacun, 50 Km au sud de nous. Un avion jaune, semblable à ces utilisateurs pour Lutter contre les incendies, a été vu voler le long de la frontière est de notre commune d’Oliveira do Hospital pendant la journée ; et tout à br ⁇ le le long de cette frontière de 50 km, de Seia (Sandomil) vers Nelas plus tard dans l’après-midi.

Horsque l’electricite a eté pute vers 17 heures, un incendie plus petit se trouve encore à environ 15 km. Des voisins, tous les habitants du village, 60 à 80 ans, se sont approchés de notre route o il y a une belle vue sur les montagnes et ont commenté : « Dans d’autres pays, il y a des attenats dans des villes, comme Paris ou Bruxelles, pour faire la terreur. Ici c’est le feu ! »

J’ai mentionné que j’ai accepté un avion pulvier fortement à haute altitude. Il s’agissait d’une pulsation normale et « quotidienne », mais cette fois-ci, elle devait encore plus bruyante. Horsque j’entends cela, la pluie suit le règlement au bout d’environ 30 minutes ou la température change. Cette fois, je me suis demandé: « Est-ce qu’s pulvent du carburant pour br ⁇ ler egalement le reste de la région ? » En fait, ils l’ont fait et le vent a conclu à se renforcer seulement 30 minutes plus tard !

Entre 17h00 et 19h00, quatre petits incidents s’est révélé être au sud-est de nous, toujours tous en ligne, direction sud vers nord, tous dans notre commune et vent en direction nord, vers nous.

Vers 19h00, les communications mobiles ont été créées et des amis sont venus demander un « huile de feu », au cas o ils deviennent quitter leurs fermes en for datet avec des chiens et des chevaux. Nous plaisirs et rions encore à ce moment-là.

Peinture : Annie Moreels 2018

Groupe Pourquoi pneur (WiFi)

(Photo ci-dessous, décembre 2017, centre du Portugal)

« A 20 heures ou un peu plus tard, nous avons appris que le feu s’était levé dans l’usine de bois du village, à seulement trois kilomètres de là. De notre porte d’entree, nous avons vu une gorge de nuages de feu rouge fondu et noirs, d’environ 500 m de haut – tordus en direction du nord, a déclaré le responsable, que le vent souffle du sud. Le haut de la gorge est ouvert et je vis des petits nuages tournant en une sorte de carré, de couleur rouge fondu et bleu. J’ai entre le bruit d’une carrière, du fer tombant sur du moyen, un bruit d’électricité comme un Éclair. J’ai pensé : HAARP – micro-ondes et laser. Je peux imaginer une tornade de feu venant vers nous, emportant tout ! – Témoin: Conny Kadia, octobre 2017

D’autres témoins ont vu des avions jaunes voler dans notre région pendant cette période, faisant un cercle, venant de Santa Comba Dão vers le sud de Tábua, continuant en direction d’Oliveira do Hospital. Nous pensons que ces avions ont volé jusqu’à la frontière nord de notre commune, Rio Mondego, et sont revenus de là au-dessus de nos villages. Tout cela s’est produit en 15 minutes. Évidemment, le plan était de s’assurer que notre conseil serait noir. 97 % du territoire de notre commune a brûlé en moins de trois heures (35 km de large, 60 km de long !). Des centaines de personnes ont confirmé que le bruit ressemblait à celui d’un avion. Les incendies ont explosé partout en même temps et tout a été immédiatement entouré de hautes flammes.

Un témoin pense qu’il s’agitait du bruit d’un chasseur militaire américain, peut-être equipé d’une arme laser. Un voisin pense qu’il pourrait s’agir d’un vieux bombardier militaire (B52). Ils ont vu six boules de feu tomber sur leur ferme, declenchant de petits incendies sans explosions bruyantes. En quelques minutes, toute la journée est devenue complète noire et tout à coup, tout s’est retrouvé en flammes à 30 m de haut – cinq minutes pour s’echapper et sauver les chiens et les chevaux et leur vie.

Il semble que ce soit exact le jour phenomene que celui que nous avons affirmé dans le rapport officiel du gouvernement sur le moment de l’incendie de juin. De plus, à la fête heure de la journée, dans les deux incendies, la plupart des personnes sont mortes entre 20h00 et 21h00.

Nous avons été trouvés dans le village des milliers de bouteilles en verre le long des pistes forestières et des routes entre les villages (comme lors de l’incendie de la Pinède de Leiria). Nous avons déjà parlé d’intervenir avec toutes nos preuves et connaissances pour que le deuxieme rapport de la Commission CTI sur les incendies de depuis 2017 inclus « la criminelle par le feu, depuis la terre et depuis l’air », comme on peut le lire dans les journaux portugais râce à nos publications. Mais ce n’est pas le cas.

Ingenierie climatique en collaboration avec l’industrie du bois locale et d’autres pour cette catastrophe écologique

Nous avons demandé à la Commission CTI et au Conseil d’analyser les droits des pompes dans le sol pour savoir quels produits chimiques ou autres matriaux ont été créés que lors des incendies par de petits avions locaux et par des drones. Nous sommes venus qu’ils sont venus les maisons o ou le fer fondait dans les murs et o les structures entères des maisons est venu d’etaient detruites. Un architecte nous a egalement dit que les murs de briques est devenu de la « poudre » à cause du feu. En outre, des maisons anciennes en granit, vies de plus de 100 ans et qui restent sans toit pendant des décennies sous la pluie, ont été en grande partie de nouvelles structures lors de l’incendie d’octobre 2017.

Il n’y a pas eu d’autre reponse de la Commission Technique. Une enquête sur la criminalisation de la part du gouvernement. Les experts, pompiers et autres personnes qui parlent de la criminalité liée aux incendies deviennent faire attention pour ne pas ètre hommes ou perdre leur emploi.

Un autre thème :

« À côté d’un énorme tas de bois dans la zone industrielle d’Oliveira do Hospital, un camion a commencé à brûler, qui se trouvait à environ 30 mètres du feu ». Les micro-ondes électromagnétiques faisaient-elles fondre du métal ? De plus, a-t-il ajouté, « les pompiers pulvérisaient de l’eau à pleine pression sur le tas de bois, mais l’eau s’évaporait dans l’air, n’atteignant même pas le bois ni les flammes ! »

(Photo, octobre 2017,  Camions, Zone Industrielle, Zone industrielle,  Hôtel d’Oliveira do – Portugal)

D’un autre cité, les arbres à cet endroit des vehicules et des maisons considérées comme nécessaires intuitions – ce qui a été un éloment ‘este rapport lors des « incendies de forvet » en Californie et en Australie.[32]

Un agriculteur rapporte : « Il semblant que l’au n’ait pas les flammes. »

D’un expert local, demandeur des pompiers BVVN Oliveirinha, Tábua, district de Coimbra, Vitor Melo , nous sommes revenus des informations tres importantes sur les circonstances habitées de l’incendie d’octobre 2017 : « Mesures de vent de 200 km/h (ouragan Ophélia ?) et température de 70⁰C – AVANT le passage du feu ! Cela explique pourquoi les feuilles des arbres ont été mises en place et ne sont pas, tandis que les aiguilles des pins ont été mises en position verticale, mais ne sont pas encore devenues vives.  Cela explique aussi comment certains animaux, arbres ou mère personnes sont morts, sans avoir été en contact avec le feu – simple par radiation ? La batterie de son camion s’est saintement epuisée pendant la nuit de l’incendie lorsqu’il est arrivé à Mid’es, o ils ont quand semaine russe à organiser l’incendie mais n’ont pas pu se diriger vers Pón de Mid ⁇ es.

« Il y avait des radiations dans l’air. »

« Un incident naturel normal br ⁇ lerait en moyenne 900 mètres par heure. Cet incendie a fait 33 ha (3,3 km x 1 km, soit 33 terrains de football, selon la mesure portugaise) en une minute !

« De plus, la fumée blanche n’était pas normale. »

« Le commandement des pompiers fait ‘ ‘ ‘ ‘jour modifier pour garantir une lutte efficace contre les incendies au Portugal. »

« C’ait une attaque terroriste ! »  Il continue de annoncer deux ans après la catastrophe :

« Personne ne me propose le contraire ! » 

Remerciements et respect pour ce moment encourageant, son autorisation et sa collaboration au travail d’enquête.

Crime politique, scandale gouvernemental et programmes de « defense » militaire

L’industrie internationale corrompue du changement climatique a-t-elle provocé un incendie catastrophique « non naturel » grasse à l’enerie climatique ?

Le Monchique Fire 2018 n’est-il qu’un autre exemple ?

Le gouvernement local et la plupart des grands médias ont rapport d’es les premiers semaines qu’il s’agit d’un acte de terreur et d’un incendie criminel sur lequel une enquête devrait être faite. Apres quelques mois et les conseils généraux des gouvernements portugais et événementiel internationaux, les choses se sont « calmes » et après un an, les déclarations se sont transformées en « feu naturel » ou « changement climatique ».

Lors de nos événements, nous avons continué à inclure des pompiers régionaux, car des témoins ont mentionné que les pompiers locaux (Lagares da Beira) n’avaient pas quitté leur sous-sol pendant la nuit, comme ils pouvaient à peine charger de l’eau dans leurs camions vides sans électricité principale qui a été coupée. Pas de générateur sur place, pas de générateur sur chaque camion.

Suite à l’incendie de Monchique (du 2 au 9 août 2018, entre Silvas et Portimão, Algarve), nous avons été informés que les pompiers ont assisté aux heures. N’y avait-il eucun commandement pour combattre l’incendie ? Les pompiers reçoivent le règlement de l’autorisation lorsque les nouvelles trop importants ou simple pour evacuer les personnes. Un autre moment nous a appris que les pompiers ont vécu les devoirs d’eau avant de retourner à la station de base, sans combat l’incendie.

à propos de cet incident, nous disposons d’informations non officielles selon lesquelles un membre du gouvernement aurait préventi les particuliers de quitter la zone. Ainsi, lors de l’incendie de Monchique en 2018, le gouvernement est-il au courant du projet et ne l’a pas aujourd’hui ?

Merci à Su Pires de Santarem pour son aide dans l’enquête sur cet incendie.

Cet incident a dure sept jours et personne ne sait pourquoi il a dure si longtemps.

Organisation ou sabotage de la part du Commandement, qui avait été « amelioré » il y a a des années, de commandant des pompiers à scientifiques militaires, voir à un ordinateur (IA) ? De cette manière, il est plus facile pour l’s gouvernemental de controler le Commandant – ou de le laisser br ⁇ ler ?

Nous pensons que dans cet incendie de Monchique, personne n’est mort parce que les gens ont été sensibilisés par les conséquences des incertitudes de 2017 et par l’information constante du travail de resistance et de protestation sur les incroyables contradictions et la misérable gestion de crise. Des villages entiers ont refusé de suivre les ordres d’évacuation de la protection civile, de la police et des pompiers. Il semble que les ordres officiels aient été une fois de plus d’envoyer les gens vers les flammes, comme cela s’est produit par ordre de la police en juin 2017, o 40 personnes sont morts inutilement en dix minutes par une erreur simple. Hors de l’Incendie de Monchique en ao ⁇ t 2018, seules 34 personnes ont été bénies et personne n’est mort. La population a refusé l’ordre des auteurs.Ils sont restés chez deux et ont sauvé leurs deux et leur vie. ā la télévision, des témoins ont crié au gouvernement lors d’entretiens directs, alors que les autoritaires mineurs, que les policiers manient de respect et tente de faire sortir les gens de leurs maisons : « C’est un crime politique en temps de liberté ! », un rapport le journal. TV Sapo Portugal .[33]

à l’avenir, nous visons inclus la principale compagnie d’électricité (EDP) dans nos enquêtes sur les incendies, ainsi que l’Institut pour la mer et l’atmosphère du Portugal (IPMA), et, qui rejoint les accusations gouvernementales concernant l’incendie de juin 2017 selon lesquelles les arbres se tiennent trop près. aux châteaux à haute tension pour provocation des explosions et qu’aucun « tonnerre sec » n’a été enregistré dans la délivrance au moment o les incertitudes se sont séparées.

Étrangement, le 14th2018, le jour du week-end d’automne, un an avrès le désastre des incendies dans notre royaume – nous avons eu dans la semaine zone géographique une autre « temporaire chaude » « (ouragan » Leslie –) <TAG1> et vers 20h30 ( fête heure qu’il y a un an), dans la fête de notre village, une explosion a coupé deux fils électriques et tout deux incendies plus petits que les pompiers ont ressuscité. Aucun arbre n’était tombeau sur les fils. Le vent peut-il couper du fil à quatre endroits et sur une distance de cinq à dix mètres ? Nos pompiers locaux ont expliqué que peut-être « un tonnerre sec avait pu être les fils électriques qui traitaient au sol ». Celle serait-il confirme par l’IPMA ou est-ce quelque chose d’autre qui a pu les fils ? Était-ce pour le rappel aux habitants,le Réunis lors de plusieurs évenements musulmans ? Pendentif deux heures, un orage chaud cercle de toutes parts avec des nuages très sombres et profonds. Les gens ont ressenti les jours sentiments de danger et de peur qu’un an auparavant. « Nous avons été édiatement mobilisé l’ensemble des pompiers, car nous pensions que la femme a choisi pouvoir se produire que l’année dernière, avec ce vent étranger, cette chaleur étrange, ces circonstances ertrange », un décret le commandant des pompiers. Électricité a alors ete coupée. Dans notre ecurie du village, nous nous sommes récupérés sains avec le jourme groupe de personnes, comme un auparavant, sauvant des chevaux et attendant quoi faire. L’incendie s’est terminé à 21h00. La ville s’est arrangée pour l’immigration, tout s’est calme, l’électricité est revenue et tout le monde est locataire chez soi.

Nous sommes responsables de l’existence de la possibilité d’utiliser des armes à énerergie dirigée (DEW) avec l’installation de la fermeture electrique 5G. La réduction de nanoparticules métales produit des nuages artificiels, qui sert de conducteur aux ondes électromagnétiques, afin de modifier en quelques minutes la température et l’humidité dans l’air comme au sol. En rachauffant l’satmosphere, les vagues de vent peuvent devenir aussi fortes que vous le souhaitez, et les flammes projets au-dessus des maisons et des villages peuvent êre maitrisees grâce au carburant conscient dans l’air. Avec ces vagues de vent, l’au peut s’ dans l’air, car le carburant et la chaleur rend l’au presque inutile !

Est-il possible de controler le climat d’ zone géographique dans n’importe quel pays d’Europe pour controler la population ? La guerre civile en temps de liberté ?

Nous continuons à discuter de nos expériences avec des institutions responsables et continues à sensibiliser les gens à nos mouvements. Nous informons l’éducation la population et nos municipalités avec nos activités, nos dirigeants, nos festivals, nos expositions et nos événements d’information.

Des drones ont été observés depuis le début des incendies à la frontière sud de notre commune (à Vide). Des milliers de bouteilles en verre vagues ont été trouvés, toutes alignées le long des rues et des chemins forestiers autour de nos villages et, à certains endroits, il semble (meme après un an) que quelque chose a choisi un état de santé depuis la rue sur des haies plus petites. S’agitait-il de jeeps et d’autres villes terrestres de l’industrie du bois locale ? Des motos ont été mises en place quelque jours avant l’incendie dans la fête et ont été mises en place pour courir dans nos rues. Un drone a été adopté par un sentiment dans une urbanisation d’Oliveira do Hospital, o dans les minutes suivantes la « Casa do Espirito » et plusieurs maisons habitées ont explosé. Centaines d’explosions ont été observés par la population dans les bois, de nulle part, l à o ou eucun cable electrique ne passe, juste dans la nature. Une exposition 5G dans le centre du Portugal ces jours-ci pourrait egalement expliquer l’eventuelle utilisation du DEW pendant l’incendie. Des avis ont été publiés. Des produits chimiques aurient pu êvtre pulverisees par un avion ŕ haute altitude environ trois heures avant le debut de l’incendie dans nos villages. Le vent s’est levé 30 minutes avant l’arrivée des pompes. Pourquoi rien de tout cela ne fait-il l’objet d’ une enquête de la part des gouvernements portugais ou européens ?eventuelle utilisation du DEW pendentif l’incendie. Des avis ont été publiés. Des produits chimiques aurient pu êvtre pulverisees par un avion ŕ haute altitude environ trois heures avant le debut de l’incendie dans nos villages. Le vent s’est levé 30 minutes avant l’arrivée des pompes. Pourquoi rien de tout cela ne fait-il l’objet d’ une enquête de la part des gouvernements portugais ou européens ?eventuelle utilisation du DEW pendentif l’incendie. Des avis ont été publiés. Des produits chimiques aurient pu êvtre pulverisees par un avion ŕ haute altitude environ trois heures avant le debut de l’incendie dans nos villages. Le vent s’est levé 30 minutes avant l’arrivée des pompes. Pourquoi rien de tout cela ne fait-il l’objet d’ une enquête de la part des gouvernements portugais ou européens ?

Alors, quelque chose comme une ligue militaire sur le terrain, conjointement avec l’armée de l’air, a-t-il été en action pour nous terroriser, nous, la population et les gouvernements locaux de la région, et continue-t-elle de le faire ?

Le Mouvement contre l’ingénierie météorologique et climatique fait désormais partie des médias sociaux et de l’environnement politique du centre du Portugal. Chaque participant fait la différence, lentement mais sûrement.

Benjamin Levy de Lisbonne, (thérapeute holistique et transpersonnel et chercheur en géo-ingénierie), membre très important du groupe Why Fire et du groupe Céus Limpos, a déclaré en février 2018 : « les gens doivent se réveiller de leur hypnose comme l’une des solutions, en devenant actifs. , obtenir des informations et informer les autres !

Résumé des circonstances autour de l’incendie du Portugal 2017-2020

2017 

  • Avril 2017 – « disparition » de munitions militaires de la base militaire de Loulé , au sud du Portugal, de grenades à main, de grenades blindées, etc. (officialisée seulement deux mois plus tard, dix jours après l’incendie de juin, centre du Portugal.)[34]
  • Incendie du 16 juin 2017 – Pedrogão Grande (53 000 ha brûlés en trois jours, 64 personnes tuées selon les bilans officiels mais possiblement 90 personnes sont mortes)
  • 28 juin 2017 – Information rendue publique selon laquelle des armes militaires avaient disparu dans une base militaire portugaise fin avril 2017. Cette information est restée secrète pendant deux mois.[35]
  • 12-14 octobre 2017 – Tests 5G au Portugal.  Ericsson teste pour la première fois la 5G entre Lisbonne (Vodafone) et Aveiro (Altice) dans la région côtière du centre du Portugal[36]
  • Incendie du 15 octobre 2017 à l’hôpital d’Oliveira do – 240 000 ha incendiés en 12 heures par « Forte radiation, chaleur artificielle et tempête de feu artificiel » (49 personnes tuées selon les rapports officiels). Utilisation possible d’arme laser et pulvérisation de produits chimiques pour allumer des incendies partout en même temps, à des points stratégiques comme les sorties des villes et des villages, pas d’échappatoire. Certaines usines oui, d’autres non. Nous nous demandons si les milliers d’explosions dans les bois pourraient avoir quelque chose à voir avec les munitions militaires volées (disparues) ?
  • 18 octobre 2017 – Munitions militaires découvertes (trois jours après les incendies dévastateurs d’octobre au Portugal). Soudain, une « affaire criminelle militaire » est publiée.[37]
  • 28 octobre 2017 – Lisbonne – Conférence sur l’intelligence artificielle [38]
  • 4 novembre 2017 – Mining Portugal  – The Mining Law Review – Edition 6 , publié par les auteurs Rui Botica Santos, Luis Moreira Cortez, Coelho Ribeir & Associados (« Le territoire du Portugal couvre 50 pour cent de la ceinture de pyrite ibérique (IPB), qui est considérée comme la principale province métallogénique de l’UE. L’IPB est la principale source de métaux de base dans l’UE. »)[39]

 2018

  • 6 juillet 2018 – Barak Obama à Porto : conférencier invité au Sommet sur le changement climatique au Portugal [40]
  • 2-9 août 2018, incendie de Monchique à Silvas Portimão (Algarve-Sud du Portugal) – 34 blessés, aucun tué. La population a refusé l’ordre des autorités d’évacuer les maisons. Ils auraient brûlé sur les routes. Alors ils sont restés et ont sauvé leurs biens et leurs vies. Direct TV : « Un crime politique en temps de liberté ! »[33]
  • 16 août 2018 – « fort rayonnement » dans l’après-midi dans notre région, une chaleur incroyable à l’intérieur et à l’extérieur des maisons, avec des nuages ​​noirs et sombres suspendus profondément sous le ciel. Environ un tiers des vieux pins qui avaient visiblement survécu à l’incendie d’octobre 2017 ont subi ici une deuxième attaque de radiations et ont commencé à mourir complètement. De plus, une soudaine poudre blanche sur la cime des arbres avait été observée par les agriculteurs. L’aluminium a-t-il été pulvérisé ? Huit mois après la catastrophe, une nouvelle mort de pins a commencé, après qu’ils aient retrouvé leur verdure au printemps 2018.
  • 24 septembre 2018 – « Portugal Space 2019-2030″/ »Portugal Espaco » [41]
  • L’un des plus grands producteurs militaires d’armes laser et de vaisseaux spatiaux, la société californienne Martin Lockheed Corporation, également basée en Irlande, en Écosse et au Canada… fera partie du « port spatial » portugais.[42] Merci à Josefina Fraile – Skyguards – Espagne pour ces informations.[43]  On se demande si malheureusement ces armes laser ont été utilisées au Portugal, en Californie, en Suède, en Italie et en Grèce.
  • 7 Novembre 2018 – Annonces de la Plus Grande Mine de Lithium d’Europe au Nord du Portugal sous Savannah Resources. Australian Lithium Industry ouvrira ses portes en 2020. Le lithium non seulement pour les téléphones intelligents, les ordinateurs et les voitures, mais aussi pour les satellites et les vaisseaux spatiaux[44]
  • Nous pensons qu’il pourrait y avoir un lien entre le projet NASA Portugal Space 2019-30, l’industrie nationale du lithium et les vastes incendies de forêt de 2017/18, pour que certaines zones géographiques soient « réorganisées » pour servir les nouveaux objectifs industriels. Dans l’industrie automobile électrique, l’IA doit être installée et la 5G (=DEW) peut être facilement utilisée, après avoir détruit la forêt sur des centaines de kilomètres carrés.
  • 5G Is War on Humanity (mai 2018) [48] –  Claire Edwards, membre du personnel de l’ONU, rédactrice et formatrice en écriture interculturelle, Nations Unies (1999-2017)

2019 

  • Le 8 février 2019, les Groupes Why Fire et Céus Limpos ont organisé avec des artistes locaux l’exposition « Feux de forêt 2017, Questions et Réponses » à la mairie d’Oliveira do Hospital. Merci à Annie Moreels, peintre et enquêtrice politique pour notre région et pour le Portugal.
  • 16 février 2019 – « Génie climatique » – Une manière subtile de contrôler la population sur la planète Terre ? Colloque à la bibliothèque municipale, organisé par le Groupe Why Fire et soutenu par le Groupe Céus Limpos.
  • 5-7 mars 2019, Climate Change Leadership Porto 2019, [46]  Al Gore en tant que conférencier invité spécial dans « Solutions for the Wine Industry »  (False Flag – Climate Change Event)
  • 1er mai 2019 – Le Portugal augmente les enjeux sur le marché du lithium [47], le Portugal prévoit d’ouvrir une vente aux enchères de licences de lithium en mai, dans le cadre d’une tentative en cours visant à accroître sa production de lithium, à rationaliser son processus de raffinage et à devenir une puissance majeure dans le secteur du lithium. le marché mondial de l’énergie.
  • 28-31 mai 2019 – ECCA 2019 CCB, Lisbonne [48]  Quatrième Conférence européenne sur l’adaptation au changement climatique,  Travailler ensemble pour préparer le changement. À propos de l’ECCA : La conférence biennale européenne sur l’adaptation au changement climatique est organisée par des projets financés par l’UE au nom de la Commission européenne. ( Faux drapeau – Événement sur le changement climatique)
  • Juin 2019 – 2 ème Festival « Environnement pour la Vie »  Organisé par le Groupe Why Fire

2020 

  • Février 2020 –  Manifeste nationale contre les projets d’extraction minière au Portugal signée par plus de 15 organisations nationales environnementales.[49]

Remerciements et appréciation

Nous remercions beaucoup Benjamin Levy de Lisbonne (thérapeute holistique et transpersonnel et chercheur en géo-ingénierie), le groupe Why Fire et le groupe Céus Limpos, ainsi que le conseil de l’hôpital Oliveira do pour leur collaboration et l’organisation d’événements.

Un grand merci à Elana Freeland, Jamie Lee et Rick Duarte, qui nous ont envoyé tant d’informations sur les incendies de Californie survenus au même moment, pour notre enquête comparative au Portugal. (Livres d’Elana Freeland : 2014, 2018)[50]

J’apprécie tout le travail interdisciplinaire de l’éditrice de ce livre, Claudia v. Werlhof d’Allemagne/Autriche, qui m’a présenté à ces scientifiques internationaux et m’a accepté dans son groupe où j’ai découvert le Mouvement Planétaire Terre Mère : « De l’arme à l’épave – l’abus de la Terre comme une méga-machine »[51]

D’autres scientifiques collaborateurs importants pour la recherche au Portugal sont Judy Wood des États-Unis,[52]  Harry Rhodes et Terry Lawton de Grande-Bretagne[53] et Robert Deutsch d’Australie[54]  ainsi que Maria Heibel d’Italie[55]. Un grand merci à Maria João Gaspar Oliveira[56], Paulo Silva[57], Guido Verrier[58], Annie Moreels, Rita Martins, Laura Wilson, João M. Félix Galizes et Trevor[59]  pour tout le travail interdisciplinaire important au Portugal et à Pierre Teuber, qui m’a sauvé la vie lorsque j’ai découvert les pulvérisations en 2014. Du coup, je ne savais plus comment respirer ni comment me protéger. Il m’a initié à l’ancienne technique native de l’Energy Vortex, pour purifier l’air autour de notre maison et de notre potager et comment élever l’énergie et la conscience. Cette méthode est pratiquée par de plus en plus de personnes ici dans la région. Merci![60]

Un grand merci également à Franz Miller (Autriche) pour toutes ses informations et à Linda Leblanc (Chypre) pour sa révision et sa patience dans la révision de cet article.

Chaque personne est importante pour opérer le changement, révéler la vérité et rester en contact avec notre planète Terre. Le mouvement contre la géo-ingénierie prend de l’ampleur. La nature nous le rend bien !

MERCI BEAUCOUP à TOUS pour vos conseils et vos réponses à toutes nos questions. Paix et merci à tous ceux qui font que ce mouvement se réalise. Continuez à « garder un œil » sur le Portugal !

Obrigada!

Remarques

[1] Jornal Diário de Notícias : Environment, 29 juillet 2018, Ricardo J. Rodrigues, L’Eukalyptus bénéficie de cinq fois plus de soutien que la forêt indigène, https://www.dn.pt/edicao-do-dia/29-jul-2018 /intérieur/-eucaliptos-tem-cinco-vezes-mais-apoio-do-que-floresta-nativa-9650078.html

[2] Londres Sud-Est, Savannah Resources (SAV) :  septembre 2018, http://www.lse.co.uk/ShareChat.asp?ShareTicker=SAV&thread=629DABBD-230E-46FF-94E4-D9A45DC771C8&page=20 https:/ /www.savannahresources.com/cms/wp-content/uploads/2018/09/Portugal-Resource-Upgrade.pdf

[3] Recherche ATM sur le ciel unique européen SESAR)  https://en.wikipedia.org/wiki/Single_European_Sky_ATM_Research#Project

[4] Jornal Expresso : 24.09.3018, Virgílio Azevedo, Governo lance concurso internacional para instalar base espacial nos Açores https://expresso.sapo.pt/sociedade/2018-09-24-Governo-lanca-concurso-internacional-para -installer-base-espacial-nos-Acores?fb_ref=aY_0nrmXwK-Facebook

[5] Tendances numériques : 7 mars 2015, par Jason Hahn , https://www.digitaltrends.com/cool-tech/lockheed-martins-newest-laser-weapon-can-destroy-a-trucks-engine-from -à un kilomètre/

[6] Géoparc d’Estrela, Portugal : www.geoparkestrela.pt

[7] Groupe Why Fire / Grupo Céus Limpos : Chaîne vidéo de coproduction – Témoins Forest Fire Portugal, octobre 2017 https://www.youtube.com/watch?v=kE1-tNVmEC4&feature=youtu.be

[8] Parlement portugais :   12 octobre 2017, rapport de la commission technique indépendante, gouvernement portugais, incendies de forêt du 17 au 24 juin 2017, page 12, https://www.parlamento.pt/Documents/2017/Outubro/Relat%C3% B3rioCTI_VF%20.pdf Relatório Comissão Técnica Independente, Assembleia da República, Portugal, 12 octobre 2017, « Le fait de votre succès avant le début de l’exécution et à l’heure du jour dans la mesure où la gravité des conditions météorologiques présumées affectant normalement la gravité des conditions météorologiques diminue perception de risque par la partie des opérateurs. A … MODIFICAÇÃO DO COMPORTAMENTO do fogo ne peut pas être prévu par nenhum service d’urgences au Portugal ou en Europe. «L’incendie de Pedrogão Grande est, donc, un exemple et un avis… pour découvrir un nouveau problème en raison des changements climatiques .»

[9]  Wikipédia : Incendies de forêt au Portugal 2017, https://pt.wikipedia.org/wiki/Inc%C3%AAndios_florestais_em_Portugal_de_outubro_de_2017

[10] Dr. Rosalie Bertell : « PLANÈTE TERRE – La dernière arme de guerre », 2. Ed. allemand 2013, p. 445 https://en.wikipedia.org/wiki/Vladivostok_Summit_Meeting_on_Arms_Control

[11]  Benjamim Levy : chercheur en géo-ingénierie et thérapeute holistique, Lisbonne, http://despertar.eterhum.com

[12] Tiago Lopes : www.warsphere.blogspot.pt

[13]  Conny Kadia : www.chemtrailsportugal.netpack.pt

[14]   Pétition publique contre la géo-ingénierie, Portugal : février 2017, http://peticaopublica.com/pview.aspx?pi=P2012N21770

[15]  Prof. Filipe Duarte Santos, Département des Sciences de l’Université de Lisbonne et Directeur du Comité National de l’Environnement et du Développement Durable (CNADS), 5 novembre 2017 https://www.bitchute.com/video/73FCD44UCnEr/ ?fbclid=IwAR3FTr3I0yACNGr0KaumbVQqICJVXM7VyDISCx3CQLCUAJOYVQJzJovmEBM

[16] Conny Kadia : https://www.chemtrailsportugal.netpack.pt/Panfletos%20Ceu%20Limpo%20Portugal.html

[17] Jornal O Tabuense : https://www.chemtrailsportugal.netpack.pt/Art%20ck%20Tabuense%2015.01.2018.pdf

[18] Conny Kadia : https://chemtrailsportugal.netpack.pt/Public%20Relation%20Climat%20Engineering%20Portugal.html

[19] Fire Aviation : Bill Gabbert, août 2015, vidéo Helitorch , https://fireaviation.com/tag/helitorch/

[20] Franz Miller :  http://www.franzmiller.at/websites/climate-engineering.html

[21] Jornal de Notícias : Documentation vidéo sur l’incendie, octobre 2017, https://www.jn.pt/local/videos/interior/drone-mostra-devastacao-causada-por-fogos-em-oliveira-do-hospital -8856835.html

[22] Dr Manuel Feliz : Physique, Porto, Publications, 2011, https://paginas.fe.up.pt/~feliz/e_paper28_chemtrails-revised.pdf
2018, Traînées artificielles, météo artificielle, changement climatique artificiel ? Le climatologue, abuseur et criminel ? https://yadi.sk/i/mERJ3LC13UbRYV

[23] Dr. Manuel Feliz : https://chemtrailsportugal.netpack.pt/CeuLimpo7.pdf « O que faz pensar nahipotese de terem sido utilizados chimiqueos inflamáveis ​​et(ou) armas electromagneticas eo facto de normalement serem eles que produzem brouillards de la violence. , et à l’intérieur des arbres, je peux les conduire à un conducteur électrique.. » Des buracos de 2 à 5 cm de diamètre dans la fleur sur tout ce qui se passe ? « Mais les plus curieux brouillards ont été, ils ont explosé des cristaux de quartz… que ou se développe une énorme transmission de température pour l’intérieur de ces pierres (600ºC), ou alors ils explosent à l’état soumis à des « oscillations forcées de résonance » par une onde électromagnétique… La fréquence de résonance du quartz est essentiellement la fréquence d’émission du système électromagnétique d’expérimentation atmosphérique HAARP, mais ce n’est pas le cas. Une arme électromagnétique peut émettre cette même fréquence !”

[24] Parlement portugais : Rapport, Portugal Fires, 12 octobre 2017,  https://www.parlamento.pt/Documents/2017/Outubro/Relat%C3%B3rioCTI_VF%20.pdf

[25] Parlement portugais : Rapport page 67, Portugal Fires, 12 octobre 2017, https://www.parlamento.pt/Documents/2017/Outubro/Relat%C3%B3rioCTI_VF%20.pdf – Relatório CTI « Cerca das 20 horas et peut-être (ne peut pas être précis à une heure précise) escureceu totalmente et le logo de seguir surgiu un grand bola de fogo precedida por un vento, parecido com cyclone (…). Et ce qui se passe ici n’est pas le brouillard qui vinha lavrando nos pinhais circundantes mais si une espèce de bombe qui ne rebenta do rien et qui ouvre la voie à la clarté des chamas qui s’échappent, ou des langues de brouillard, dans toutes les directions. Foram essas línguas de fogo qui incendiar a minha aldeia et outras em redor.

[26] Luís MSG : Documentation vidéo, 17 juin 2017, https://www.otempo.pt/satelite/ 

Dia 17 Juin 2017 Incêndio Pedrogão! Informations sur la vidéo : VideoTime 12h30-13h00

[27] Tiago Lopes, Groupe Rastos Químicos, Anti-Spraying Activism Portugal, documentation vidéo du rapport de témoin, juin 2017,  https://www.youtube.com/watch?v=27o0MJVxVms

[28] Roxy Lopez, http://www.thetruthdenied.com/news/2014/07/30/fires-burn-hotter-with-nano-metals-in-chemtrails/

[29] Matthew Mc Dermott : Documentation vidéo, 13 octobre 2017, Tree brûlant de l’intérieur, https://www.youtube.com/watch?v=z9CKmegMIC0

[30] ALCYON PLEYADEN 68 : Documentation vidéo, 1er novembre 2017, https://www.youtube.com/watch?v=YkTeWobAX6g

[31] Conny Kadia : Incendies de forêt au Portugal, 2017, documentation, https://chemtrailsportugal.netpack.pt/incendios%20portugal%20forestfires%202017.html

[32] Peter Luis Venero : Le feu de forêt le plus sélectif de l’histoire, décembre 2017, https://twitter.com/peterluisvenero/status/940074757222932480

[33] Júlio Heitor : TV Sapo Portugal, le président portugais Marcelo Rebelo de Sousa est confronté aux témoins de l’incendie de Monchique, sud du Portugal, août 2018, https://rr.sapo.pt/noticia/121359/marcelo-ouve-queixas- em-monchique-e-pede-compreensao-sobre-evacuacoes

[34] Jornal Zap : septembre 2018, https://zap.aeiou.pt/detencoes-caso-roubo-tancos-219772

[35] Jornal Diário de Notícias :  Tiago Petinga, juin 2017, https://www.dn.pt/portugal/interior/ministro-da-defesa-admite-que-roubo-de-material-militar-em-tancos- e-tombe-8601268.html

[36] TV Europa : 29 septembre 2017, https://www.tveuropa.pt/noticias/ericsson-testa-e-demonstra-5g-em-portugal/

[37] Jornal Diário de Notícias : 18 octobre 2017, Henriques da Cunha, https://www.dn.pt/portugal/interior/pj-militar-recuperou-na-chamusca-material-roubado-em-tancos-8853123. HTML

[38] Salon de l’intelligence artificielle de Lisbonne : 29 octobre 2017, http://www.lisbon.ai/

[39] The Law Reviews : The Mining Law Review, octobre 2019, Erik Richer La Flèche, https://thelawreviews.co.uk/edition/the-mining-law-review-edition-6/1149548/mining-portugal

[40] Journal portugais américain : juillet 2018, président Barack Obama, http://portuguese-american-journal.com/porto-president-barack-obama-guest-speaker-at-climate-change-summit-portugal/

[41] Jornal Expresso : Annonce internationale pour le port spatial « Portugal Space », île des Açores, septembre 2018, https://expresso.sapo.pt/sociedade/2018-09-24-Governo-lanca-concurso-internacional-para- installer-base-espacial-nos-Acores?fb_ref=aY_0nrmXwK-Facebook

[42] Martin Lockheed : Industrie militaire internationale, arme à énergie dirigée, https://en.wikipedia.org/wiki/Lockheed_Martin https://www.digitaltrends.com/cool-tech/lockheed-martins-newest-laser-weapon -peut-destroy-a-trucks-engine-from-a-mile-away/ https://www.siliconrepublic.com/machines/lockheed-martin-supersonic-jet-passengers https://www.irishexaminer.com/ dernières nouvelles/technow/les nouveaux-hélicoptères-futuristes-ont-été-teases-par-nous-defence-tech-firm-lockheed-martin-786159.html


[43] Josephina Fraile : Skyguards Espagne, http://guardacielos.org/

[44] Slipstream Resources : novembre 2018, https://slipstreamresources.com/wp-content/uploads/2018/11/Portugal-Drilling-Update-7.11.18.pdf http://www.lse.co.uk/ ShareChat.asp?ShareTicker=SAV&thread=629DABBD-230E-46FF-94E4-D9A45DC771C8&page=20

[45] Claire Edwards, membre du personnel de l’ONU :  5G Is War on Humanity, 2018, https://www.youtube.com/watch?v=lNZOtrAzJzg

[46] Leadership en matière de changement climatique : Al Gore à la conférence sur le changement climatique à Porto, octobre 2018, https://www.thedrinksbusiness.com/2018/10/al-gore-to-speak-at-climate-change-conference-in -porto/
Solutions pour l’industrie vitivinicole, Porto, mars 2019, https://climatechange-porto.com/

[47] Mining Voir : Environnement et ressources naturelles, Le Portugal augmente les enjeux sur le marché du lithium, mai 2019, https://www.miningsee.eu/portugal-raises-the-stakes-in-the-lithium-market/

[48] ​​Conférence européenne sur l’adaptation au changement climatique : Lisbonne, mai 2019, https://www.ecca2019.eu/

[49] Résistance nationale contre l’exploitation minière au Portugal – Manifeste national : 17 janvier 2020, https://drive.google.com/file/d/11o7xZVDsnwwGsYbifrWXQjtORck49lk7/view

[50] Elana Freeland : Publications, 2014, https://www.amazon.com/Chemtrails-HAARP-Spectrum-Dominance-Planet/dp/1936239930 , 2018, https://www.amazon.com/Under-Ionized- Sky-Chemtrails-Lockdown-ebook/dp/B079LZWDTH

[51] Prof. Claudia c. Werlhof : 14.09.2015, entretien avec Querdenken TV, Allemagne  http://www.pbme-online.org/2015/09/14/prof-dr-claudia-von-werlhof-bei- quer-denken-tv/

[52] Dr Judy D. Wood : Publication, janvier 2010, « Où sont passées les tours ? Preuve de la technologie dirigée à énergie libre le 11 septembre » https://www.amazon.com/Judy-Wood/e/B005IF6EPM

[53] Aircrap : Alexandra May Hunter, Surveillance de l’empoisonnement planifié de l’humanité, Chemtrail Weather Forecast, https://www.aircrap.org/2016/07/27/cern-weather-satellite-weapons-chemtrails-cloud-busters/

[54] Page météo de Robert Deutsch : www.zerogeoengineering.com/2017/rob-ds-weather-page/

[55] Maria Heibl : http://www.nogeoingegneria.com/category/news-eng/

[56] Maria João Gaspar Oliveira : https://www.facebook.com/mariajoaogaspar.oliveira

[57] Paulo Silva : http://factos-desconhecidos-portugal.mozello.com/incendios/geoengenharia/params/post/1557682/

[58] Guido Verrier : « Why FIRE/ Céus Limpos – Chaîne vidéo »  https://chemtrailsportugal.netpack.pt/incendios%20portugal%20forestfires%202017.html

[59] Odiariodumet : https://odiariodeumet.wordpress.com/

[60] Pierre Teuber : http://regenbogenwirbler.de/


Chapitre V

De la géo-ingénierie à un New Deal pour la nature : détruire la Terre pour le profit

par

Joséphine Fraile

Comment la tromperie climatique est utilisée par les intérêts militaires et corporatifs pour privatiser les biens communs mondiaux avec le respect d’une ONU corrompue

Le but de ce chapitre est de comprendre l’objet de la tromperie du réchauffement climatique et de la proposition de géo-ingénierie, malgré la menace destructrice qu’elle représente pour notre environnement et la santé publique. Dans notre quête pour relier les points, nous identifions les intérêts militaires et commerciaux coïncidents de domination mondiale pour contrôler les ressources mondiales et les biens communs mondiaux entravés par les souverainetés nationales.

À cette fin, ils ont créé une menace mondiale pour la sécurité nationale – le réchauffement climatique – exigeant une solution technologique mondiale, la géo-ingénierie, qui à son tour exige le renoncement aux souverainetés nationales ! Ils ont également créé une myriade d’ONG, de mouvements et d’institutions privées et publiques mondialistes environnementales et ont choisi les personnes chargées d’élaborer des politiques environnementales mondiales au sein des Nations Unies en fonction de leurs objectifs.

Le Club de Rome fait partie de ces entités mondialistes qui ont excellé dans leurs résultats grâce à nombre de ses membres, notamment feu Maurice Strong et Al Gore . Le Sommet de la Terre de Rio a été la première des nombreuses étapes qui mèneraient à la prise de contrôle totale des Nations Unies par les entreprises le 13 juin 2019, avec la signature du protocole d’accord multipartite.

Notre conclusion est que le climat, élément essentiel de notre bien commun mondial, a joué un rôle déterminant dans la réalisation d’un vieux programme mondialiste d’un gouvernement mondial unique pour le contrôle et la privatisation de toutes les ressources de la Terre. Ce programme est désormais urgent (Agenda 2030) face à la chute libre du capitalisme publiquement reconnue, et nous est vendu sous des noms trompeurs tels que The Green New Deal, Natural Capital, New Climate Economy, New Deal pour la nature, etc., tous des euphémismes pour sauver le système capitaliste.

Ces noms brillants cachent une « Quatrième révolution industrielle » minutieusement planifiée, dirigée par le Forum économique mondial et l’ONU, dont les coûts dépassent les 100 000 milliards de dollars. Réaliser cela impliquera un plan de sauvetage mondial payé par nous (impôts et fonds de pension), l’accaparement des terres et la monétisation de la nature au niveau mondial par des entreprises opérant au sein d’une ONU corrompue. Ce faisant, les gourous du réchauffement climatique Maurice Strong et Al Gore ont commandé le complexe industriel vert à but non lucratif pour l’ingénierie sociale et le consentement social à cette folie au moyen de l’endoctrinement, de la création et de la manipulation de mouvements climatiques mondiaux.

La géo-ingénierie, une arme militaire pour une domination totale, est l’instrument clé du programme mondialiste promu par les Nations Unies qui maintiendra ensemble ce gigantesque « château de cartes » construit sur la tromperie du réchauffement climatique, ouvrant la voie à la preuve et au réchauffement climatique. le chaos climatique, aux commandes de l’OTAN, sous couvert de programmes de défense civile, dans les délais prévus.

Il s’agit d’un long document, mais il couvre quatre décennies et contient de nombreuses informations pertinentes qui ne sont généralement pas traitées par les grands médias, sur un sujet qui concerne le problème le plus grave qui se pose aujourd’hui, avec la capacité de détruire notre planète telle que nous la connaissons : la géo-ingénierie. Espérons qu’il sera utile d’adopter une position ferme à ce sujet.

Comprendre l’objet de la tromperie climatique et de la géo-ingénierie

Réchauffement climatique, changement climatique et géo-ingénierie : le scénario officiel

Selon les locaux officiels, les émissions anthropiques de gaz à effet de serre tels que le dioxyde de carbone (CO 2 ) modifient l’équilibre du rayonnement terrestre, posant potentiellement des risques de changement climatique pour les générations présentes et futures.

La Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques appelle à la réduction des gaz à effet de serre qui interfèrent avec le système climatique (CCNUCC 1992). La réduction de ces gaz résout le problème à la racine mais cette méthode serait trop lente et coûteuse (Barker et al 2007, Keller et al 2007, Nordhaus 2008)[1], c’est pourquoi des alternatives sont proposées telles que l’ingénierie du système climatique (par exemple , Keith 2000, COSEPUP 1992, Carlin 2007, Crutzen 2006, Teller et al, 2003, Wigley 2006, Blackstock et al 2009)[1]. De toutes les technologies et stratégies de géo-ingénierie, la dispersion des aérosols dans l’atmosphère pour augmenter l’albédo terrestre est considérée comme le moyen le plus efficace et le moins coûteux de réduire les températures mondiales (Nordhaus 2001 ; Wigley 2006 ; Shepherd et al 2009)[1].

Les arguments s’appuient principalement sur des études coûts-bénéfices, laissant de côté d’autres paramètres essentiels comme l’impact de la géo-ingénierie sur l’environnement, la sécurité, la santé publique, etc., et les aspects juridiques, moraux ou éthiques. En fait, l’analyse pour la décision de mettre en œuvre des stratégies de géo-ingénierie a supposé que cela ne présentait aucun risque, voire qu’il était sans danger pour l’environnement !

Wigley (2006)[1]  pensait également qu’un investissement modeste dans la géo-ingénierie pourrait réduire considérablement le fardeau économique et technologique de l’atténuation du climat, retardant ainsi la nécessité de réduire les émissions à court terme. Il est choquant de constater qu’il s’agit des conseillers des gouvernements les plus puissants du monde. Crutzen 2006[2], l’expert du Congrès des Députés du Royaume d’Espagne et également de l’Académie Pontificale des Sciences, affirme que si les effets positifs dépassent les effets négatifs, il faut envisager l’option d’une modification de l’albédo. Ceci sans aucune considération pour les questions d’impact sur l’environnement et sur la santé publique. On ne sait pas non plus clairement qui détermine ce que devrait être un effet positif ou négatif.

Risques admis de la géo-ingénierie

Certains auteurs ont émis des objections, pointant divers risques de la géo-ingénierie qui, bien que limités à la stratosphère et laissant de côté l’impact terrestre, ne sont pas mineurs :

  1. Si la dispersion atmosphérique des aérosols devait être supprimée, par exemple en cas de guerre ou à la suite de l’abandon d’un accord international (comme celui de Trump), ou de la découverte d’effets négatifs majeurs, le résultat serait un d’un réchauffement brutal à des niveaux sans précédent dans l’histoire des sociétés modernes et causerait d’énormes dégâts économiques (Lempert et al 2000, Matthews et Caldeira 2007, Nordhaus 1004a)[1].
  2. La géo-ingénierie des aérosols détruirait l’ozone polaire (Tilmes et al 2008)[1]  et affecterait les écosystèmes naturels et la santé humaine (Solomon 2008)[1]. La géo-ingénierie des aérosols ne contrecarrerait pas l’acidification de l’océan provoquée par la réaction entre le CO 2 et l’eau de mer (Shepherd et al 2009)[1]. L’acidification des océans peut avoir un impact négatif sur les colonies de coraux et les espèces qui en dépendent (Feeley et al 2004, Stoll et al 2007)[1].
  3. Enfin, la géo-ingénierie des aérosols et les concentrations d’aérosols peuvent affecter les propriétés du système climatique, comme El Niño (Adams et al 2003)[1], les régimes de pluie et de température (Rasch et al 2008, Trenberth et Dai 2007)[1]  et la moussons d’été d’Afrique et d’Asie (Robock et al 2008)[1].

Cette brève liste de risques n’est pas exhaustive mais suffit à suggérer que l’analyse des stratégies de géo-ingénierie nécessite de prendre en compte les risques de la géo-ingénierie (Jamieson 1996, Keith 2000, Robock 2008, Schneider et Broecker 2007)[1]. Le géographe Allan Robock cite 20 raisons pour lesquelles la géo-ingénierie est une mauvaise idée, mais continue d’y travailler.

Il est évident que la géo-ingénierie est devenue pour ces chercheurs leur modus vivendi et qu’ils persisteront dans leurs illusions aussi longtemps que la société le permettra.

Cependant, à notre avis, le plus grand problème de la géo-ingénierie clandestine ainsi que de la « géo-ingénierie académique », en tant qu’arme militaire, est ce qu’elle cache du début à la fin. Nous n’avons aucune raison de croire qu’ils nous diront la vérité, aussi mauvaise soit-elle, après quatre décennies de tromperie, de propagande, de manipulation et d’ingénierie sociale sur le climat mondial. Nous sommes convaincus que, comme dans le cas de la fracturation hydraulique, on ne nous dira jamais quels sont les véritables matériaux aérosolisés dans notre troposphère, ce qui permettra une évaluation, un diagnostic et un traitement rapides de leur impact sur notre environnement et la santé publique, principalement parce qu’ils ne nous facilite jamais la charge de la preuve pour exiger des comptes aux gouvernements et aux entreprises.

Une autre vision de la géo-ingénierie : impacts sur l’environnement et la santé publique

Le scientifique américain John von Neumann se demandait si nous pouvions survivre à la technologie. En 1995, il écrivait que le contrôle du climat par la gestion du rayonnement solaire était irrationnel. Selon lui, « cela modifierait la planète dans son ensemble, briserait l’ordre politique existant, provoquerait un conflit entre les intérêts de chaque nation et ceux des autres nations et provoquerait des formes de guerre totalement inimaginables ». Il a comparé le contrôle climatique à la menace nucléaire (J. Fleming 2010)[3].

Du point de vue humain, après la bombe atomique, la géo-ingénierie est le problème le plus grave qui menace la survie de la planète. Cependant, malgré cela, le débat sur le sujet se limite aux milieux universitaires et scientifiques et la décision controversée d’intervenir dans les systèmes climatiques naturels est prise dans le dos de milliards de citoyens de ce monde par des gens qui ne sont pas légitimés à le faire.

Les soi-disant géo-ingénieurs, d’ailleurs protégés par la Convention sur les privilèges et immunités des Nations Unies, revendiquent une légitimation sur la base d’événements météorologiques extrêmes, de l’échec des mesures d’atténuation des émissions de CO 2 et du fait que les institutions politiques ne soutiennent pas ouvertement la géo-ingénierie. peur de payer le prix politique. À cette dynamique antidémocratique s’ajoute certains sociologues d’universités comme Oxford, avec ses « Principes d’Oxford », qui revendiquent le rôle d’interface entre citoyens et géo-ingénieurs, s’arrogeant la représentation de la société dans cette grande pièce de théâtre. Ainsi, tout reste « au sein de la famille ». Il est bien connu que les géo-ingénieurs parlent de la géo-ingénierie comme d’une solution technologique hypothétique pour refroidir la Terre au cas où cela serait nécessaire, sans aucun essai sur le terrain . Comme c’est rassurant ! Dix mille ans de civilisation joués sur une seule carte ! Comme disaient les Romains : explicatio non petita accusatio manifesta ! (Celui qui s’excuse s’accuse). Certes, les preuves suggèrent la conclusion opposée car elle coïncide pleinement avec la liste de causes et d’effets décrite dans une grande partie de leur littérature « scientifique ».

Protéger le soleil avec des aérosols signifie une attaque frontale contre la vie

De plus en plus d’agriculteurs dans le monde dénoncent des phénomènes atmosphériques qu’ils n’ont jamais vus auparavant et qu’ils ne comprennent pas mais dont les conséquences sont une perte substantielle de productivité des sols. Étendu dans le temps et dans l’espace, il pourrait provoquer une grave crise alimentaire. Ils font état d’une formation anormale de nuages, d’une disparition d’un instant à l’autre des nuages ​​de pluie, d’un obscurcissement du soleil par une étrange couche blanche qui empêche la maturation des fruits, favorise la colonisation des arbres par des champignons et des lichens provoquant la mort de la forêt, la propagation d’étranges incendies de forêt, le déclin ou l’échec des récoltes, la présence de particules d’aluminium dans le sol et l’eau de pluie et l’apparition de graves problèmes de santé.

Le résumé d’intervention suivant a été présenté à la deuxième conférence sur l’ingénierie climatique par l’IASS à Berlin 2017, au nom de l’agriculteur espagnol Marcos Alonso , dans le but d’interroger les géo-ingénieurs qui y ont participé. La proposition a été rejetée, comme tant d’autres interventions critiques sur le sujet :

En tant qu’agriculteur, je passe mes journées dans les champs, en gardant un œil attentif sur le développement des cultures et les facteurs environnementaux qui y sont associés. Jusqu’à très récemment, les agriculteurs avaient le savoir-faire de leur métier transmis de génération en génération depuis des lustres. Ils étaient capables d’interpréter le ciel, les nuages ​​et le vent sans modèles mathématiques, nous savions déterminer l’humidité du sol et le bien-être des plantes sans capteurs ni moyens technologiques les plus récents, et nous savions y trouver des solutions. Ce n’est plus vrai. Au cours de la dernière décennie, les agriculteurs ont été témoins d’un comportement très étrange des conditions météorologiques naturelles liées à la dispersion des aérosols dans le ciel qui altère la lumière solaire et le temps, détruisant les nuages, décimant les cultures et détériorant la vie végétale avec la disparition de nombreuses espèces. Le taux d’aluminium dans les sols écologiques est passé en un an de 5,680 mg/kg à 19,300 mg/kg et le taux de titane de 100 mg/kg à 1,500 mg/kg. Ces matériaux correspondent à ceux proposés par les géo-ingénieurs à des fins de modification du climat. Nous n’avons pas de pluie, un sol empoisonné et de nombreux problèmes de santé. Ce sont des faits réels, et non des modèles ou des hypothèses académiques de géo-ingénierie. Il est évident que ce qui est dispersé reviendra sur Terre. L’un d’entre vous a-t-il réfléchi à l’impact de cette contamination sur les plantes, les animaux et les humains ? Alors je vous supplie d’arrêter cette folie.

Obscurcir le soleil avec des aérosols est une attaque frontale contre la vie et doit faire l’objet de poursuites pénales au plus haut niveau. La lumière du soleil est non seulement essentielle au processus de photosynthèse, de production, de reproduction et de maturation des plantes, à l’évapotranspiration et à la création de nuages, mais aussi au système immunitaire et à la santé humaine. À cette aberration scientifique s’est ajoutée l’aberration du silence de la communauté scientifique. Parmi les quelques exceptions figure le Dr Marvin Herndon [4], qui affirme que la géo-ingénierie est en réalité réalisée avec un impact mortel sur le biote terrestre, y compris les êtres humains, et que le principal matériau utilisé dans les programmes de manipulation du climat est les cendres volantes de charbon. , les résidus de combustion du charbon des centrales électriques.

Les cendres volantes de charbon sont extrêmement toxiques, contenant des éléments neurodégénératifs comme l’aluminium, le baryum, le mercure, etc., ce qui expliquerait la hausse alarmante des cas d’Alzheimer, de Parkinson ou d’autisme infantile et juvénile dans le monde, mais aussi de maladies respiratoires et de cancers du poumon. . Dr Herndon[5] et al. concluent que ces programmes de géo-ingénierie non seulement n’atténuent pas le réchauffement climatique, mais qu’ils le génèrent. En outre, ils ont découvert que les rayons ultraviolets mortels UV-B et UV-C pénètrent désormais à la surface de la Terre « avec des effets dévastateurs sur les humains, le phytoplancton, les coraux, les insectes et les plantes ».[6]

Photomicrographie réalisée avec un microscope électronique à balayage (MEB) et un détecteur de rétrodiffusion : coupe transversale de particules de cendres volantes à un grossissement de 750 × (sous licence CC BY-SA 3.0)

À leur avis, la pulvérisation aérienne de cendres volantes de charbon “place de grandes quantités de chlore, de brome, de fluor et d’iode dans l’atmosphère, qui peuvent toutes épuiser la couche d’ozone.” Cette découverte remet en question le consensus scientifique du Protocole de Montréal stipulant que la couche d’ozone empêche la partie mortelle du rayonnement solaire, UV-C et la plupart des UV-B, d’atteindre la surface de Earth’s. La NASA savait que les UV-B et les UV-C ont atteint la surface de Earth’s depuis 2007 (D’Antoni et al 2007), mais:

Malgré les implications des découvertes de la NASA en 2007 pour la science atmosphérique et malgré leurs profondes implications sur la santé humaine et environnementale, la NASA n’a pas réussi à mener une enquête de suivi… Cette inaction soulève la question suivante : la NASA est-elle complice d’une activité mondiale secrète, telle que l’intervention militaire nationale ? la pulvérisation aérienne par avion de la défense de cendres volantes de charbon toxiques qui pose de sérieux risques pour la vie sur Terre ?

Géo-ingénierie : un outil de spoliation et de concentration des biens qui menace la souveraineté alimentaire

La géo-ingénierie, qui par nature englobe des agendas complémentaires tels que la biotechnologie avec les organismes génétiquement modifiés (OGM), entre autres, l’ingénierie de synthèse, l’intelligence artificielle, les nanotechnologies et les nanomatériaux, le calcul intensif, l’informatique quantique, les réseaux d’énergie, d’électricité et de télécommunications, les satellites, etc., est non seulement un vecteur d’intérêts corporatifs infinis, mais une arme géopolitique et une menace certaine pour la souveraineté alimentaire mondiale. Cela n’est pas seulement dû au fait que celui qui a le pouvoir de contrôler le robinet du monde contrôle les marchés et l’économie, déterminant qui vivra et qui mourra, mais aussi parce que c’est un outil de spoliation et de transfert de terres des pauvres vers les pauvres. les riches. Les sécheresses technologiques et la contamination par des matériaux dispersés dans l’atmosphère dans le but de manipuler le climat nuisent à la productivité des sols. La même chose pourrait être dite dans le cas des semences transgéniques conçues pour résister à des niveaux élevés d’aluminium, au stress hydrique et aux rayons ultraviolets, mises incidemment sur le marché par des multinationales comme Monsanto, Bayer, DuPont et Syngenta.

Dans cette situation, les petits agriculteurs vendent leurs terres à des prix avantageux, soit à des sociétés étrangères, soit à des consortiums internationaux d’origine inconnue, qui, dans le cadre de projets de restauration environnementale, ont accès à la terre moyennant un petit loyer avec droit d’achat. En fait, celui qui possède la terre mais n’a pas l’eau n’a rien, tandis que celui qui a les moyens d’acquérir la terre et la technologie pour la restaurer et contrôler le temps ou le climat a tout.

Dans cette optique, compte tenu de son échelle mondiale et de ses origines militaires, la géo-ingénierie est avant tout un outil géopolitique qui viole les droits humains fondamentaux et pourrait être utilisé pour parvenir à une domination complète, c’est-à-dire un gouvernement mondial pour le contrôle mondial des ressources par le biais d’une domination technologique, impliquant la colonisation et la privatisation d’un bien commun mondial : l’atmosphère.

Le Droit d’être Informé et le Devoir de Rebelle

Privés de tout débat public et parlementaire sur une question de la plus haute importance pour l’humanité qu’est la géo-ingénierie, et face à la désinformation, à la tromperie et aux politiques de déni des gouvernements concernés, nous, citoyens, avons le droit d’être informés et le devoir de nous rebeller contre l’impuissance totale. auxquelles nous sommes soumis pour organiser notre propre défense. À cet égard, il est nécessaire et inévitable de transcender avec courage le manteau de ténèbres qui nous entoure et de rechercher la vérité ; remettre en question ce faisant le rôle des institutions auxquelles nous avons confié à tort notre foi et le sort de notre planète parce que nous avons été trahis par elles toutes.

Le célèbre astronome américain Carl Sagan [7], dans une interview peu avant sa mort en 1996, a averti qu’à une époque de progrès scientifique et technologique, celui qui prend les décisions en matière de science et de technologie déterminera l’avenir de nos enfants. Cependant, ceux qui légifèrent au Congrès n’ont aucune formation scientifique ou technologique qui présente un danger, de sorte que ce mélange combustible d’ignorance et de pouvoir nous explosera au visage. Sagan a-t-il ignoré qu’en réalité nos membres du Congrès se limitent à adopter des lois élaborées par des sociétés directement impliquées dans la science et la technologie, sans aucun contrôle public ? Le mélange combustible d’avidité et de pouvoir des entreprises va-t-il nous exploser à la figure ? Nous nous y dirigeons parce que les entreprises ne se soucient de rien en dehors des profits et que cela ne garantit pas nécessairement un avenir meilleur pour l’humanité.

Cependant, le meilleur avertissement de Carl Sagan concerne le scepticisme scientifique. Il a averti que la science est bien plus qu’un ensemble de connaissances, c’est une façon de penser, une manière sceptique de remettre en question l’univers avec une compréhension subtile du pouvoir humain. Si nous ne sommes pas capables de poser des questions sceptiques à ceux qui nous disent que quelque chose est vrai, d’être sceptiques à l’égard de ceux qui maintiennent l’autorité, nous sommes prêts pour une religiosité politique. Sagan a rappelé le président Jefferson qui voulait donner aux citoyens le droit constitutionnel d’être éduqués et de pratiquer le scepticisme dans l’éducation comme un outil pour diriger le gouvernement plutôt que comme un gouvernement qui dirige les citoyens. C’est à partir de ce point de vue que procédera cet article.

Origines d’une fraude politique, scientifique et sociale

L’esprit de Kyoto hérité du Sommet de Rio a fait ses 21st début de siècle avec une manie politique et sociale à l’échelle mondiale autour du concept de changement climatique, le projetant dans toutes les sphères de la vie, danse, art, poésie, cinéma, littérature, journalisme, etc, écoles, universités, recherche, agriculture, énergie, transport, technologie, politique, activisme associatif, géopolitique, etc., un sous-produit de décennies d’immersion totale dans le sujet dirigé par les Nations Unies. Tout laissait entendre que l’intérêt pour l’environnement de cette organisation était inné et authentique. Était-ce?

Au cours des deux premières décennies de son existence, l’ONU s’est contentée d’appliquer une politique d’adaptation des ressources au développement économique. Il faudra attendre le début des années 1970, lorsque le Conseil d’administration du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) est créé et que la Conférence scientifique des Nations Unies prend conscience des enjeux environnementaux qui la conduisent à organiser le premier Sommet de la Terre à Stockholm en 1972. Ce sommet était axé sur l’impact et le contrôle des polluants agricoles, dix ans après que Rachel Carson ait publié son livre marquant sur le sujet, Silent Spring.

Curieusement, ce sommet a également exposé l’impact des activités humaines sur le climat qui a provoqué son changement. Cependant, ce n’est que dans les années 1980 que les Nations Unies ont exprimé leur préoccupation concernant la couche d’ozone, les pluies acides et le changement climatique, mettant clairement en évidence la relation entre le développement industriel et l’environnement. En 1988, le PNUE et l’Organisation météorologique mondiale ont créé le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) pour devenir l’autorité mondiale en la matière.

En 1990, lors de la deuxième Conférence mondiale sur le climat, le climat a été présenté comme un problème mondial exigeant une réponse mondiale, jetant les bases d’un cadre d’accords internationaux visant à protéger l’environnement mondial qui se matérialiseraient dans la Déclaration du Sommet de la Terre de Rio et dans l’Agenda 21. en 1992, culminant avec le Protocole de Kyoto en 1997. L’objectif de ce protocole était de revenir aux niveaux d’émissions de CO 2 enregistrés en 1990, ce qui signifiait réduire les émissions de dioxyde de carbone et autres gaz à effet de serre des pays industrialisés d’au moins 5 % entre 2008 et 2012. Le Protocole de Kyoto est entré en vigueur le 16 février 2005 après sept années de négociations entre 160 pays.

Du déshonneur du Climate-gate à l’indignité du Sommet de Paris

Le récit catastrophiste du réchauffement climatique/changement climatique lié aux droits des générations futures et à la pratique du développement durable afin de promouvoir une plus large acceptation des ajustements nécessaires a subi un sévère revers en 2007 à la suite du scandale du « Climate Gate ». En effet, après la publication de courriels des scientifiques de l’Unité de Recherche sur le Climat de l’Université d’East Anglia (Royaume-Uni), des conclusions ont été tirées d’une manipulation de données et de mesures pour justifier et maintenir la théorie du réchauffement climatique anthropique réfutée par une large majorité. nombre de scientifiques concernés.

Le prochain sommet de Copenhague sur le changement climatique, en 2009, se solderait par un échec total en raison de l’impossibilité de fixer des quotas de réduction des émissions et du non-respect de l’engagement des différents pays à leur égard. Ce contexte a déterminé le scénario du Sommet sur le climat de Paris 2015, qui devait projeter l’image d’un succès total, sinon la crédibilité individuelle des États participants et la crédibilité collective des Nations Unies, du PNUE, de l’OMM, du GIEC, etc. être minée.

Le Sommet de Paris s’est conclu comme prévu, bien qu’il ait été le premier sommet militarisé de l’histoire sous l’état d’urgence qui a permis une répression brutale des militants écologistes. Les images bouleversantes de la victoire des dirigeants mondiaux ont été diffusées à maintes reprises sur les écrans de télévision du monde entier. Mais après le feu d’artifice, l’histoire s’est heurtée de plein fouet à la force et aux faits : non seulement les émissions de CO 2 n’avaient pas diminué au cours de toutes ces années de négociations stériles, mais elles avaient augmenté, sans que la température mondiale n’augmente. Malgré cela, la géo-ingénierie était l’histoire cachée des Accords de Paris sur le climat que les gouvernements avaient signés. Mais les médias n’y ont pas écrit une seule ligne.

La Déclaration des Nations Unies sur les Droits de l’Homme Universels du 10 décembre 1948 à Paris a marqué une étape importante dans son histoire naissante. Ironiquement, le 12 décembre 2015 à Paris, 67 ans plus tard, la même institution révoquée, de facto , sa charte fondamentale la plus sacrée permettant l’éradication des droits de l’homme des accords du Traité de Paris sur le climat devant être signé par tous les gouvernements.[8] C’est un fait révélateur quant à savoir qui dirige réellement les Nations Unies et quelles sont ses véritables intentions. La même chose peut être dite à l’égard de nos propres pays respectifs. Comment est-il possible, face à une telle dégénérescence institutionnelle morale, qu’un gouvernement prétendant représenter ses citoyens ait pu envisager de signer ce traité ? Cependant, ils l’ont fait. Le message adressé aux citoyens du monde est donc suffisamment clair. Tout ce qui figure dans l’agenda mondialiste, y compris la géo-ingénierie, n’est pas compatible avec les droits de l’homme, et encore moins avec les droits de la nature. Pourtant, ils auront le courage de nous faire croire, avec des titres brillants, que l’humanité est au centre de leurs sinistres agendas. Le fait d’avoir éradiqué les droits humains de l’Accord de Paris sur le climat suffit à révoquer non seulement le Traité de Paris mais aussi la légitimité des Nations Unies à représenter et défendre l’humanité et le bien commun. En outre, le mandat légal de tous les représentants politiques qui ont signé le Traité de Paris doit également être révoqué, ce qui entraînerait leur non-éligibilité aux prochaines élections.

Trump remet en question le changement climatique et abandonne les accords de Paris

L’échec de plus de 30 ans de réunions internationales coûteuses a été encore plus évident lorsque le nouveau président des États-Unis, Donald Trump , un sceptique face au changement climatique, a abandonné fin 2017 les accords signés par le président Obama, plongeant ainsi le mouvement mondial du changement climatique. – les institutions, les gouvernements, les agences et les associations environnementales – dans un profond choc. Ce mouvement ne semblait trouver de consolation que dans la disqualification systématique du dirigeant américain plutôt que dans l’autocritique. À ce carrefour existentiel, la question n’est pas de savoir qui paiera désormais la part des États-Unis ou qui occupera la direction vacante, la question devrait tourner autour des raisons qui justifient leurs raisons. Après tout, nous sommes responsables de jouer à ce jeu avec les dés pipés contre nous à partir du moment où nous avons délibérément remplacé la science par le consensus scientifique, un fait qui a conduit de nombreux scientifiques de renom à déclarer que le réchauffement climatique/le changement climatique est la plus grande fraude scientifique de l’histoire. .

Dans cette situation, l’Union européenne est appelée à être la nouvelle locomotive du changement climatique. L’heure de la vérité sur les questions de géoingénierie est arrivée pour cette institution habituée à se cacher derrière l’UE. C’est la bonne nouvelle. La mauvaise nouvelle est qu’à l’instar de Trump et comme la géo-ingénierie est essentiellement une science militaire, l’Europe développera le secteur militaire au détriment de tout le reste. Une force armée européenne sera construite à court terme qui exigera des investissements de 5,5[9]  milliards par an de la part des États membres, faisant avancer la dette publique qui, en échange, ne sera pas soumise aux règles de déficit.

La géo-ingénierie, un schéma kafkien qui ne résout pas le problème du CO 2

Nous aborderons cela par étapes. L’impuissance apparente d’une institution toute-puissante comme l’ONU à atteindre des objectifs environnementaux essentiels pour protéger la vie sur la planète, comme la réduction des gaz à effet de serre résultant de la combustion d’énergies fossiles, sans changer un modèle de développement clairement homicide, est décrite ici. L’échec de ces objectifs, attribué au manque de consensus de la part des hommes politiques du monde sur une question aussi grave pour l’humanité que le changement climatique, obligerait cette institution à proposer des mesures qui bénéficieraient exclusivement aux industries énergétiques responsables des dégâts. , étant donné que la solution technologique proposée, la géo-ingénierie ou la manipulation du climat, permettrait, grâce aux technologies de gestion du rayonnement solaire, d’abaisser la température de la planète sans avoir à imposer de limites à l’utilisation des énergies fossiles qui sont censées générer son réchauffement.

Image ci-dessous : Francisco José de Goya y Lucientes – Le sommeil de la raison produit des monstres (n°43), de Los Caprichos – Google Art Project (Source : Domaine public)

Francisco José de Goya y Lucientes - Le sommeil de la raison produit des monstres (n° 43), de Los Caprichos - Google Art Project.jpg

Ce schéma ne peut être qualifié que de kafkien. L’image qui apparaît devant les yeux d’une société étonnée semble être tirée du tableau Les Rêves de Goya . Tout cela peut-il être réel ? Pouvons-nous même imaginer que ce n’était pas le cas ? Vivons-nous dans une réalité parallèle ? Les efforts des Nations Unies pour protéger la planète sont-ils réels ? Une telle institution, une nation de nations, peut-elle maintenir sa crédibilité et continuer comme si de rien n’était après une telle série d’échecs ? Ou pire encore, cette organisation a-t-elle une légitimité morale pour défendre la planète après sa solution secrète dans l’Accord de Paris consistant à recourir à la géo-ingénierie pour résoudre un problème créé sur demande ? Peut-il y avoir davantage d’irresponsabilité et de manquement à leur devoir de la part des hommes politiques du monde face à une conjoncture aussi précaire ? Qui gouverne alors le navire de nos États et qui dicte les politiques dont nous souffrons ? Existe-t-il une alternative pour la société au fait de devoir choisir entre mourir de chaleur, de faim, de noyade ou d’empoisonnement ? Où sont les scientifiques responsables du monde, les enseignants, les médias, les militants de la vie et de l’écologie ? Où sont nos institutions, nos armées, nos procureurs, nos juges et nos médecins qui résistent sans se laisser intimider au plus grand crime organisé contre l’humanité de l’histoire ? Où sont les religions du monde ? Où sommes-nous, en tant qu’êtres humains, consommateurs de produits du système, mensonges compris, et électeurs des hommes politiques qui composent ces gouvernements qui ne nous défendent ni ne nous représentent ? Où sont passés la conscience morale collective de la race humaine et son instinct de survie ? Pourquoi s’éloigne-t-on si vite de la vérité pour se réfugier dans l’insouciance de l’esclavage technologique, cédant à chaque pas des libertés et des droits irrécupérables conquis dans le sang à travers les âges ? Répondre à certaines de ces questions est l’objet des pages suivantes.

Déterminants et euphémismes pour les accords des sommets sur le climat

Peut-être pour comprendre en tant que société la folie d’une situation qui nous semble invraisemblable, comme l’échec des sommets sur le climat après des décennies de négociations, ou l’incapacité de nos politiciens à parvenir à des accords sur des questions apparemment aussi vitales que le changement climatique – qu’ils ont classées au niveau de la sécurité nationale, nous devons savoir deux choses fondamentales. La première est que statutairement les accords des sommets ne peuvent en aucun cas aller à l’encontre des intérêts des parties. Et la deuxième est que les accords ne sont pas contraignants. Les intérêts des parties sont économiques, financiers et géopolitiques. Leurs calculs ne concordent donc pas au fil des décennies, d’autant plus que ces intérêts changent à chaque mouvement tactique sur l’échiquier de la mondialisation. Il convient également de clarifier l’euphémisme « les intérêts des partis » qui, comme on pouvait s’y attendre, ne se réfère pas de manière égale à tous les partis, mais aux partis dont les économies sont hégémoniques dans le monde, puisque l’autre ne peut pas dire grand-chose. être dans le ventre du gros poisson.

Parmi ces économies hégémoniques, on trouve celle des États-Unis dont la première industrie est la guerre, de la Chine, de l’Union européenne, de la Russie, de l’Arabie Saoudite ou du Japon. On sait également peu de choses sur le Traité de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) de 1992, qui interdit que tout futur traité sur le changement climatique affecte le commerce international. Inutile de dire que cette interdiction entrave toute action politique efficace pour lutter contre le changement climatique. Ainsi, les traités élaborés par les Nations Unies au nom du bien commun conduisent délibérément les dirigeants politiques dans une impasse, justifiant la nécessité de leur plan B, l’application de la géo-ingénierie.

Géo-ingénierie : clé de voûte du complexe militaro-industriel

Dans le nécessaire exercice de séparation du bon grain de l’ivraie dans ce fouillis d’agendas cachés, déguisés en « bien commun », nous mettons en avant les mots-clés qui illustrent les deux faces d’une même médaille : protection de l’environnement, développement durable, générations futures, énergies fossiles. , réchauffement climatique, changement climatique, consensus scientifique, intérêt des parties, urgence climatique, géo-ingénierie, sécurité nationale, question militaire et dépenses militaires.

À vol d’oiseau, on perçoit une architecture complexe qui, partant de l’intérêt général, acquiert progressivement un caractère militaire affirmé avec la géo-ingénierie comme clé de voûte. C’est comme si tous les échecs en matière de réduction des émissions de CO 2 dans chaque négociation des différents sommets sur le climat avaient été des échecs tactiques pour parvenir à la géo-ingénierie comme un « Arc de Triomphe » par lequel le secteur militaire entre avec joie.

C’est un cercle vicieux dans lequel le début et la fin se superposent. Mais le fil des intérêts civils et militaires dans ce complot est clair. C’est ce que le président Eisenhower a appelé le puissant complexe militaro-industriel contre l’influence duquel la souveraineté des décisions parlementaires devait être protégée. Nous allons donc nous concentrer sur l’analyse de cette clé de voûte et tenter de relier les points. 

La Convention ENMOD des Nations Unies ouvre la porte à la géo-ingénierie

La géo-ingénierie est définie comme la manipulation délibérée du climat pour atténuer le réchauffement climatique d’origine humaine. Le même schéma de la bombe atomique se répète ici. Les applications civiles de l’arme nucléaire au beau nom d’« Atomes pour la Paix », donneront naissance à une industrie nucléaire dont les déchets serviront à fabriquer des bombes. La géo-ingénierie est l’application civile d’une telle arme de destruction massive, utilisée dans le projet Popeye pendant la guerre du Vietnam de 1965 à 1973, bien qu’elle ait été démentie à l’époque par le secrétaire à la Défense. En conséquence, et à la demande de l’URSS, les Nations Unies ont adopté en 1977 la Convention ENMOD[10] qui interdit les armes de manipulation de l’environnement à des fins de guerre ou à des fins hostiles, laissant délibérément la porte ouverte à l’utilisation de ces technologies à des fins civiles, c’est-à-dire géo-ingénierie.

C’est ainsi que la Convention de Nagoya sur la diversité biologique de 2010 affirme la nécessité d’un moratoire sur la géo-ingénierie, invoquant le principe de précaution. Ce moratoire est fondamentalement lettre morte car des expériences en « environnement fermé » seraient justifiées à des fins scientifiques. La logique nous dit qu’aucun pays dont la première industrie nationale était la guerre n’ignorerait l’opportunité de perfectionner une technologie de guerre environnementale et climatique qui lui donnerait des avantages décisifs sur ses ennemis sur le champ de bataille. Par conséquent, face à l’interdiction légale d’utiliser une telle arme à des fins militaires, la solution tactique consistant à retourner la chaussette a été imposée. La réponse était de créer un problème mondial qui exigeait une solution politique mondiale et surtout technologique, en sachant bien quel pays prendrait la tête.

Le problème serait celui du réchauffement climatique lié au CO 2 dont la solution, défendue par les Nations Unies et visant à sa réduction, connue sous le nom de Plan A, se terminerait par un échec politique qui justifierait la solution technologique du Plan B : la Géo-ingénierie. En fait, c’est déjà assez grave d’avoir un plan A parce que cela laisse présager un plan B, mais les temps correspondent. Les États-Unis ont mis quatre ans à signer la Convention ENMOD et il semble que les biologistes qui l’ont rédigée se soient directement mis au travail sur les questions de réchauffement climatique, au moment même où prévalait la vision scientifique d’une mini-ère glaciaire à venir, comme on peut le lire dans articles de presse publiés à l’époque. La création elle-même du GIEC en 1988 n’était pas neutre dans son intention. Ses objectifs, visant à consolider la théorie du réchauffement climatique autour d’un consensus scientifique, laisseraient en évidence une praxis politique au détriment de la praxis scientifique puisque la science n’est pas consensus et n’est pas non plus une science consensuelle. L’élimination des scientifiques sceptiques quant au réchauffement climatique, qui ne soutenaient pas l’amalgame entre ce consensus et la science au sein du GIEC, illustre le fossé entre la science et des intérêts qui n’ont que peu à voir avec la vérité.

Climatologues, tabous militaires et géo-ingénierie

Comment comprendre cette déformation malsaine de la recherche de la vérité, qui est l’essence même de la science, faite par les climatologues, qu’ils soient sceptiques ou croyants au réchauffement climatique ? Comment est-il possible qu’aucun des deux camps n’ait pris en considération, dans le cadre de leurs recherches, l’impact sur le climat de plus de 60 ans de programmes civils et militaires de manipulation du temps et du climat ? Comment se fait-il qu’ils n’aient pas pris en compte dans cette équation plus de 2 000 explosions nucléaires dans l’atmosphère ? Comment diable peuvent-ils nier la géo-ingénierie clandestine en cours ?

Il est évident que tant les scientifiques du réchauffement climatique que les détracteurs ont préféré éviter le secteur militaire intouchable et ses activités de guerre pour assurer le financement de ses recherches présentes et futures. C’est inexcusable car s’il fallait identifier un seul prédateur de la planète, que ce soit en temps de paix ou en temps de guerre, auquel on ne pourrait jamais accorder le bénéfice du doute, c’est bien le secteur militaire. On pourrait se demander où en était alors la science, mais ce serait une question rhétorique. La science a renoncé à sa mission de servir la lumière et la vie depuis la Première Guerre mondiale, pour passer du côté obscur de la destruction massive causée par les armes chimiques, biologiques, radiologiques, nucléaires et environnementales aux mains du secteur militaire et de son besoin incontrôlable de domination qui, non contente d’avoir à son service ses propres scientifiques de la mort, a profondément contaminé la recherche scientifique civile et universitaire en la militarisant complètement à l’aide d’une méthode infaillible : la fragmentation des connaissances qui empêcherait une vision intégrée et globale.

Dans cette perspective militariste, on peut citer ici la déclaration faite en 2012 par le conseiller en aérospatiale et défense Matt Andersson , ex-directeur de Booz Allen Hamilton, l’un des plus grands sous-traitants militaires du Pentagone.

Rares sont ceux qui, dans le secteur civil, comprennent pleinement que la géo-ingénierie est avant tout une science militaire et n’a rien à voir avec le refroidissement de la planète ou la réduction des émissions de carbone. Bien qu’apparemment fantastique, la météo a été transformée en arme. Au moins quatre pays – les États-Unis, la Russie, la Chine et Israël – possèdent la technologie et l’organisation nécessaires pour modifier régulièrement les événements météorologiques et géologiques pour diverses opérations militaires et noires, liées à des objectifs secondaires, notamment la gestion des ressources démographiques , énergétiques et agricoles .

En effet, la guerre inclut désormais la capacité technologique d’induire, d’accentuer ou de diriger des événements cycloniques, des tremblements de terre, des sécheresses et des inondations, y compris l’utilisation d’agents viraux en aérosol polymérisés et de particules radioactives transportées par les systèmes météorologiques mondiaux (c’est moi qui souligne). Divers thèmes du débat public, notamment le réchauffement climatique, ont malheureusement été intégrés à des objectifs militaires et commerciaux beaucoup plus vastes qui n’ont rien à voir avec les préoccupations environnementales du grand public. Il s’agit notamment du réchauffement progressif des régions polaires pour faciliter la navigation navale et l’extraction des ressources.[11]

Le temps a donné raison à Matt Andersson un an plus tard. La Chine a déployé son premier navire de fret à travers l’Arctique en 2013 et a ouvert la route de l’Arctique vers l’Europe en septembre 2018. En juin 2019, l’Observer écrit : Mike Pompeo, secrétaire d’État, qualifie le changement climatique dans l’Arctique de « nouvelles opportunités commerciales ». Actuellement, les États-Unis, la Russie, le Canada, le Danemark et la Norvège revendiquent leurs droits sur les voies de navigation, informe le Wall Street Journal.

En accord avec Matt Andersson, le professeur Michel Chossudovsky déclare que :

La conception militaire mondiale du Pentagone est celle de la conquête du monde. Le déploiement militaire des forces américaines et de l’OTAN se produit simultanément dans plusieurs régions du monde.[12]

De son côté, Jacob Darwin Hamblin, dans son livre Arming Mother Nature (2013), affirme que la planification militaire pour la Troisième Guerre mondiale a créé un environnementalisme catastrophique : l’idée selon laquelle l’activité humaine pourrait provoquer des catastrophes naturelles mondiales… en cherchant des moyens d’exploiter les processus naturels pour tuer. des millions de personnes. Dans cette perspective, il décrit comment les scientifiques de l’OTAN ont découvert des perspectives de guerre environnementale et de modification du climat mondial depuis 1962[13]. Les manifestations historiques de l’intérêt pour la manipulation du climat pour des raisons de domination militaire ont été abondantes depuis que le président Eisenhower a déclaré en 1954 que le premier pays qui contrôlerait le climat dominerait le monde. Cette année-là, son Comité consultatif sur le contrôle du climat reconnaissait explicitement le potentiel militaire de la modification du climat, avertissant dans son rapport que celle-ci pourrait devenir une arme plus importante que la bombe atomique. Le président Johnson, obsédé par la victoire dans la course à l’espace, a affirmé :

« Depuis l’espace, nous parviendrons à contrôler le climat de la Terre, à provoquer des inondations et des sécheresses, à inverser la direction des courants marins et à augmenter le niveau de la mer, à modifier la rotation du Gulf Stream et à rendre les climats tempérés glacials ».[14 ]

Sous ses ordres furent menées les opérations Gromet I au Bihar, en Inde, Popeye au Vietnam, et Gromet II aux Philippines entre 1965 et 1972. La déclaration de Gordon MacDonald , directeur associé de l’Institut de géophysique et de physique planétaire de l’Université de Californie , membre du comité consultatif scientifique du président Johnson, présentent un intérêt particulier :

Parmi les futurs moyens permettant d’atteindre des objectifs nationaux par la force, l’une des possibilités dépend de la capacité de l’homme à contrôler et à manipuler l’environnement de sa planète. Une fois atteint, ce pouvoir sur son environnement fournira à l’homme une nouvelle force capable de causer des dégâts considérables et aveugles. Notre compréhension primitive actuelle des changements environnementaux délibérés fait qu’il est difficile d’imaginer un monde dans lequel la guerre géophysique serait pratiquée. Un tel monde pourrait être un monde dans lequel les armes nucléaires seraient effectivement interdites et les armes de destruction massive seraient celles d’une catastrophe environnementale. Alternativement, je peux envisager un monde de stabilité nucléaire résultant de la parité dans de telles armes, rendu instable par le développement par une nation d’une technologie avancée capable de modifier l’environnement terrestre. Les armes géophysiques pourraient également faire partie de l’arsenal de chaque nation. Comme je le démontrerai, ces armes sont particulièrement adaptées aux guerres secrètes.[15]

Cependant, c’est le rapport élaboré par certains militaires pour l’US Air Force (USAF) publié en 1996 sous le titre Weather as a Force Multiplier: Owning the Weather in 2025 [16] qui trace le fil conducteur de plusieurs décennies. Ce rapport explicite non seulement l’objectif de contrôler le climat pour des raisons militaires de domination, mais également la technologie et le calendrier pour y parvenir. Voici quelques paragraphes pour expliquer le problème :

Au sens le plus large, la modification du temps peut être divisée en deux grandes catégories : la suppression et l’intensification des régimes météorologiques. Dans des cas extrêmes, cela pourrait impliquer la création de régimes météorologiques complètement nouveaux, l’atténuation ou le contrôle de tempêtes violentes, ou même une altération du climat mondial à une échelle considérable et/ou durable.[page 5,6] Les méthodologies d’intervention spécifiques ne sont limitées que par l’imagination, mais à quelques exceptions près, elles impliquent d’injecter de l’énergie ou des produits chimiques dans le processus météorologique de la bonne manière, au bon endroit et au bon moment. L’intervention pourrait être conçue pour modifier le temps de plusieurs manières, par exemple en influençant les nuages ​​et les précipitations, l’intensité des tempêtes, le climat, l’espace ou le brouillard. [Début du chapitre IV] Les technologies de modification du temps pourraient impliquer des techniques qui augmenteraient le dégagement de chaleur latente dans l’atmosphère, fourniraient de la vapeur d’eau supplémentaire pour le développement des cellules nuageuses et fourniraient un chauffage supplémentaire à la surface et à la basse atmosphère pour augmenter l’instabilité atmosphérique (page 19).

L’une des sections les plus documentées de ce rapport est celle qui concerne la modification et le contrôle de l’ionosphère et de l’environnement spatial proche afin d’augmenter les capacités de communication, de détection et de navigation, car cela est crucial pour le domaine spatial de combat.

Le deuxième paragraphe de la page 21 se lit comme suit :

[Un certain nombre de méthodes ont été explorées ou proposées pour modifier l’ionosphère, notamment l’injection de vapeurs chimiques et le chauffage ou la charge via un rayonnement électromagnétique ou des faisceaux de particules (tels que des ions, des particules neutres, des rayons X, des particules MeV et des électrons énergétiques). 27 Il est important de noter que de nombreuses techniques permettant de modifier la haute atmosphère ont été démontrées expérimentalement avec succès. Les techniques de modification au sol utilisées par la FSU comprennent le chauffage HF vertical, le chauffage HF oblique, le chauffage par micro-ondes et la modification magnétosphérique.28 Les applications militaires importantes de telles opérations comprennent la production de communications basse fréquence (BF), les communications canalisées HF et la création d’une ionosphère artificielle. ].

Il n’y a pas dans ce rapport une seule raison liée à l’utilisation de cette technologie pour atténuer le réchauffement climatique, même si c’était l’une des questions clés de l’agenda politique international. Ce rapport précise également que le contrôle climatique fera partie de la politique étrangère des États-Unis et sera imposé au monde à travers des instruments tels que des accords bilatéraux ou des initiatives dans le cadre des Nations Unies et de l’OTAN.

Comme nous l’avons vu jusqu’à présent, le climat joue un rôle déterminant dans les objectifs militaires d’expansion et de domination, mais il est également déterminant pour le pouvoir des entreprises mondiales, pour les mêmes raisons. La question de savoir qui sert qui est ici inutile. Ce sont deux mondes d’entreprise imbriqués poursuivant le même objectif, les deux faces d’une même médaille. L’un n’existerait pas sans l’autre. Les forces armées, en théorie, sont là pour défendre les intérêts économiques ultimes des nations, nous les retrouverons donc au même moment et aux mêmes endroits. Il est donc impératif de repérer l’articulation de ce tandem sur la scène politique, civile et militaire au niveau international, quel est son véritable agenda et quel sera l’impact de l’avidité de ce tandem pour l’argent et le pouvoir sur l’environnement et la vie des pays. humain et aucun être humain.

Le fil du climat et le gouvernement mondial

Le chemin pour rechercher l’articulation susmentionnée commence dans un labyrinthe sombre avec littéralement des milliers d’entités publiques et privées interdépendantes, des groupes de réflexion mondialistes, des réseaux, des sommets, des agendas, des conventions, des programmes, des projets, des forums, des conférences, des accords, des protocoles, etc., qui rendre la tâche d’individuation presque impossible. On pourrait penser que ce gâchis est exprimé pour empêcher toute compréhension de la folie actuelle. Pour les besoins de cet article, sous l’hypothèse que tous les chemins menaient à Rome, nous suivrons le fil omniprésent du climat. Le climat étant l’instrument clé pour contrôler les ressources mondiales et réaliser le vieux rêve mondialiste d’un gouvernement mondial ; assuré, en principe, par les Nations Unies. Un gouvernement mondial doté d’un seul système économique et monétaire, d’une seule religion et d’une seule puissance militaire – on pense qu’il s’agit de l’OTAN. Parmi les milliers de think tanks mondialistes en vue, le Club de Rome, créé en 1968[17] par David Rockefeller et un industriel italien bien connu, Aurelio Peccei , mérite une mention particulière car il est devenu un consultant de premier ordre en matière d’environnement et de politique étrangère. aux Nations Unies depuis ses débuts.

Le Club de Rome, né dans le but spécifique de promouvoir un gouvernement mondial, symbolise, comme nul autre, l’articulation susmentionnée – politique, civile et militaire, dans le cadre de l’OTAN, des Nations Unies et d’autres acteurs importants. En fait, Aurelio Peccei, grandement influencé par la vision prophétique de son ami Zbigniew Brzezinski d’une « ère technotronique » – une dictature technocratique dans un monde sans souveraineté nationale dirigée par les États-Unis, affirme dans son livre The Chasm Ahead  publié en 1969[18] que l’Alliance atlantique doit diriger la politique mondiale si l’on veut éviter le chaos. Quelle déclaration audacieuse ! Le Club de Rome a-t-il été créé par l’OTAN pour servir ses objectifs militaires de domination totale à partir du tremplin des Nations Unies sous couvert de « programmes de défense civile » en utilisant des questions clés en matière d’environnement et de politique étrangère mondiales telles que la tromperie sur le réchauffement climatique et la géo-ingénierie ? réponse technologique « pour sauver le monde » ?

La réponse à cette question se trouve dans les recherches pertinentes de Criton Zoakos et Mark Burdman, publiées dans l’EIR du 20 mai 1980. Parmi les fondateurs du Club de Rome, on trouve des responsables de l’OTAN, des représentants du Conseil de sécurité nationale des États-Unis et du Comité des Relations Extérieures.

« Aurelio Peccei, avait été président du Comité économique de l’Institut Atlantique, le principal groupe de réflexion de l’OTAN ; Alexander King, co-fondateur et directeur général des affaires scientifiques de l’OCDE ; Harlan Cleveland, de l’Aspen Institute, ambassadeur auprès de l’OTAN ; le sénateur Claiborne Pell, ancien ambassadeur auprès de l’OTAN ; S. George McGhee, ancien ambassadeur auprès de l’OTAN ; Joseph Slate, directeur de l’Aspen Institute, membre de la délégation américaine auprès de l’OTAN ; William Watts, directeur de Potomac Associates, un groupe de réflexion de l’OTAN, et directeur de l’Atlantic Council ; Donald Lesh, associé de Potomac Associates et membre du personnel du Conseil de sécurité nationale de Henry Kissinger ; Walter J. Levy, directeur de l’Atlantic Council, membre de la Bilderberg Society et du Council on Foreign Relations ; un défenseur théorique de la doctrine de l’extension de l’OTAN au tiers monde ; Sol Linowitz, le magnat de Xerox avec une longue histoire d’implication dans l’OTAN. »[19]

Dans ce document, on peut également noter que l’idée de dissimuler des moyens militaires à travers des « programmes de défense civile », qui incluent une manipulation psychologique des populations à grande échelle, n’est pas nouvelle pour l’OTAN. Une telle stratégie a été développée au milieu des années 60 par le Tavistock Institute, le Stanford Research Institute, l’Institute for Social Relations et d’autres centres de psychiatrie sociale appliquée, qui font tous partie du conseil d’administration du Club de Rome.[19]

En résumé, un gouvernement mondial unique incarné par les Nations Unies garantira, sous la « direction » de l’OTAN, le contrôle nécessaire des ressources mondiales pour assurer l’expansion et les profits des entreprises. La nature de ce gouvernement mondial est celle d’une dictature technologique qui éliminera apparemment de facto toutes les souverainetés nationales. Dans ce nouveau cadre, le colonialisme ne serait plus un crime. Quelle formule pratique pour un empire en chute libre ! La célèbre citation de James Warburg , agent bancaire Rothschild et conseiller de Franklin D. Roosevelt, 1950, trouve ici sa place : Nous aurons un gouvernement mondial, que cela vous plaise ou non… par conquête ou par consentement . Mais c’est Machiavel qui marque le choix : « Ne tentez jamais de gagner par la force ce qui peut être gagné par la tromperie. » C’est à ce moment-là que le climat, un bien commun mondial essentiel, devient une menace mondiale certaine entre les mains d’un cartel climatique grâce à de fausses données scientifiques et à un consensus politique accusant le CO 2 d’origine humaine d’un réchauffement climatique sans précédent. Le récit officiel dépeint un monde tellement en péril qu’il déclare le climat comme un problème de sécurité nationale mondiale exigeant une solution mondiale. Cette solution nécessite à son tour l’utilisation d’une technologie et d’un savoir-faire militaires qui transcendent les souverainetés nationales. La géo-ingénierie, arme militaire, est présentée sous couvert d’un programme de « défense civile » visant à sauver le monde, impliquant une manipulation psychologique à grande échelle des populations mondiales. En réalité, la géo-ingénierie sera un facteur clé dans la manipulation programmée fournissant à la population la preuve irréfutable du chaos climatique dû au changement climatique.

La tromperie climatique concerne la domination de l’ensemble du spectre : l’espace, l’air, l’eau, le sol et la nature, tous les êtres vivants inclus. Il s’agit avant tout d’une avidité de pouvoir et d’argent, dont le résultat final est d’asservir l’humanité pour toujours grâce aux technologies de contrôle mental. La tromperie climatique est une question de manipulation de masse et d’ingénierie sociale pour obtenir le consentement. Avec tous les moyens de communication et de marketing à portée de main, ils nous vendront cette domination sous un emballage brillant et une image de marque agréable : Green New Deal, New Climate Economy, Natural Capital ou New Deal pour la nature. La tromperie climatique est une opération claire pour la prise de contrôle finale de l’ONU par l’élite mondialiste avec un programme et un calendrier très bien planifiés rédigés à partir de 1884 par la Fabian Society qui ont grandement influencé la pensée de la classe politique en Angleterre et dans d’autres pays jusqu’au aujourd’hui.

Cet article ne serait pas complet s’il ne raisonnait pas en termes de faits les déclarations ci-dessus et s’il n’exposait pas les grandes lignes de cet ancien agenda sinistre qui évolue par le jour. Pour une meilleure compréhension de l’ensemble du scénario, nous allons distinguer les noms et les actes de certains des acteurs qui l’ont fait avancer jusqu’à présent. Après tout, derrière les politiques et les programmes qui déterminent nos vies pour le meilleur ou pour le pire, il y a toujours des gens, et nous devons savoir qui ils sont pour relier les points.

Relier les Points

La notion même de gouvernement mondial implique l’implication d’une élite mondiale. Et le Club de Rome se décrit comme un groupe de citoyens du monde partageant le même sentiment pour l’avenir de l’humanité. Il est composé d’industriels, d’anciens chefs d’État, de bureaucrates des Nations Unies, de hauts responsables politiques, de scientifiques, d’économistes, d’éminents hommes d’affaires, d’universitaires, de mondialistes, de fondateurs des groupes environnementaux les plus importants, etc., du monde entier. Ses membres comprennent Al Gore, Javier Solana, Maurice Strong, Mijail Gorbachov, Diego Hidalgo, Anne Ehrlich, David Rockefeller, Henry Kissinger, Bill Clinton, Bill Gates, Jimmy Carter, Ted Turner, Georges Soros, Tony Blair, le Dalaï Lama, Timothy. Wirth, Gro Harlem Brundtland, Mary Robinson, Sir Crispin Tickell, Kim Campbell, Wangari Maathai, Petre Roman, Richard Lagos, David Suzuki … et de nombreuses autres personnalités influentes qui façonnent la politique mondialiste.

Parmi toutes ces personnalités, Maurice Strong , père de l’euphémisme « durable », a joué le rôle essentiel en créant le cadre juridique international dans le domaine de l’environnement et de la politique étrangère qui conduirait aux propositions de géo-ingénierie acceptées par les pays participants au Sommet de Paris sur le climat. En d’autres termes, il a pris la tâche de piloter les politiques mondiales nécessaires vers un gouvernement mondial pour le contrôle des ressources mondiales à travers l’activisme environnemental, promouvant l’arnaque au réchauffement climatique aux Nations Unies et sa solution technologique. Ouvrant ainsi la porte principale aux programmes de défense civile de l’OTAN, avec le remède de sauvetage qu’est la géo-ingénierie pour « pallier » le réchauffement atmosphérique.

Toutes ces politiques environnementales et étrangères ont débuté au milieu des années 70, mais elles ont vraiment pris de l’ampleur après la chute du « rideau de fer ». La fin de la guerre froide en 1989 a laissé les États-Unis sans ennemis évidents et l’OTAN sans véritable objectif. Cette situation menaçait la première industrie de guerre aux États-Unis, entraînant la chute de l’économie américaine, c’est pourquoi une solution rapide a été envisagée. Mais sur quelles bases le gouvernement va-t-il allouer de nouveaux milliards d’argent public au budget militaire alors qu’il n’a aucun ennemi contre lequel lutter ? La réponse créative a identifié un ennemi mondial qui constituerait une menace mondiale pour la sécurité nationale et donc une réponse mondiale de haute technologie. Le réchauffement climatique est devenu une préoccupation gouvernementale de premier plan pour l’administration Obama, bien au-delà de la guerre contre le terrorisme. Pour donner l’exemple, avant le Sommet de Paris, à un moment où le capitalisme était publiquement reconnu comme étant en chute libre, les États-Unis ont déclaré le réchauffement climatique comme une menace à la sécurité nationale pour justifier la proposition de géo-ingénierie dont l’approbation était déjà prévue au Sommet de Paris. Ils ont eu de longues années pour préparer le scénario aux preuves irréfutables, celui du pompier pyromane.

L’OTAN et les États-Unis disposaient d’une technologie de guerre solide, dotée d’une capacité éprouvée depuis longtemps à modifier les conditions météorologiques et l’environnement dans le cadre d’opérations à grande échelle. Mais comme les États-Unis avaient signé le Traité ENMOD au début des années 1980, qui interdisait les activités de modification de l’environnement à des fins de guerre ou à des fins hostiles, et non à des fins civiles, il leur suffisait de créer les conditions d’un chaos climatique que le cartel climatique au sein de l’ONU, dirigé par Maurice Strong, déterminerait qu’elle est causée par le CO 2 anthropique , afin de présenter la solution de la géo-ingénierie sous le couvert d’un programme de protection civile devant être adopté par la plupart des pays à travers les politiques des Nations Unies. Enfin, le vieux rêve militaire est devenu réalité. Au nom d’un bien commun, le climat, ils s’empareront de la souveraineté de toutes les nations ! Cette manœuvre leur permettrait de poursuivre leur programme militaire de racket des ressources mondiales, de blanchir leur mauvaise image en apportant une solution à un problème qu’ils avaient causé en premier lieu, en imposant au passage une technologie pour contrôler le système climatique, les marchés alimentaires, les marchés du CO 2 , etc. Pour réussir cette stratégie complexe, ils devaient coopter les instruments de contrôle et d’équilibre de la société civile : organismes éducatifs et universités, médias, églises et ONG grâce à un financement important. Neutralisant ce faisant les véritables mouvements populaires avec la création d’un complexe industriel à but non lucratif à partir du Sommet de la Terre de Rio.

Il convient de noter que l’Église romaine, l’une des religions les plus importantes du monde, est favorable à un gouvernement mondial depuis le Concile Vatican II en 1959. Les derniers soutiens sont venus de Benoît XVI et de François Ier dans le discours prononcé devant l’Assemblée générale. des Nations Unies le 25 septembre 2015. Sa récente Encyclique « Laudato Si » publiée le 18 juin 2015, articles 23 et 24, constitue un copié-collé fidèle de la doctrine officielle sur le changement climatique[20]. En outre, à l’Académie pontificale des sciences, nous trouvons des scientifiques pro-géo-ingénierie comme Hans Joachim Schellnhuber, Veerabhadran Ramanathan et Paul J. Crutzen .[21]

De son côté, le Dalaï Lama , représentant l’une des confessions religieuses les plus importantes au monde, est conscient du fait que pour certaines personnes, le message des chefs religieux peut être plus efficace. Il nous semble utile de citer le post d’un certain Josh Horton qui décrit l’intervention du Dalaï Lama lors d’une conférence sur l’éthique et l’environnement tenue au MIT le 12 octobre 2012, où, selon lui, le Dalaï Lama aurait exprimé une ouverture envers la géo-ingénierie. « Au cours d’une table ronde, un membre du corps professoral a critiqué l’ingénierie climatique, la qualifiant de mal comprise, risquée et potentiellement inefficace. En réponse, le Dalaï Lama a mis en garde contre un rejet prématuré de la technologie, déclarant : « Il est de notre responsabilité de regarder. »[22] Et M. Horton ajoute : on ne peut qu’espérer qu’une telle ouverture d’esprit inspirera d’autres à aborder la géo-ingénierie avec une plus grande degré de réceptivité. Ce message ne peut être signé que par un géo-ingénieur. Et la réponse irresponsable du Dalaï Lama, après avoir reconnu son ignorance en la matière, donne aux géo-ingénieurs une légitimation morale pour poursuivre leur folie. En fait, après avoir vérifié son nom, M. Josh Horton se trouve être directeur de recherche pour des projets de géo-ingénierie à Harvard avec David Keith.[23]

On ne peut pas parler de cooptation. Quelque chose ne va fondamentalement pas dans l’éthique et la morale de ces chefs religieux en ce qui concerne la géo-ingénierie et le gouvernement mondial. Et si nous obtenons ce genre de réponses de la part de ceux qui tirent leur autorité morale de la genèse de leurs fondements religieux en tant qu’intendants de la création maîtresse de Dieu, la Terre, que pouvons-nous attendre du reste des acteurs de la construction sociale ?

Les pages suivantes offriront une image du réchauffement climatique totalement différente de celle offerte par le mouvement environnemental moderne encouragé par le Sommet de la Terre de Rio, mais aussi par les institutions internationales, les organisations mondialistes et les individus comme Maurice Strong mis en place pour le transmettre. Si le GIEC avait été la première étape vers l’institutionnalisation de la géo-ingénierie, le Sommet de la Terre de Rio a représenté le tremplin pour sa mondialisation, sa législation et la construction d’un consensus social.

Mais qui était Maurice Strong ?

La meilleure biographie de Maurice Strong a été écrite par Elaine Dewar[24] dans son excellent livre, Cloak of Green,  — The Links Between Key Environmental Groups, Government, & Big Business — strong, un décrocheur scolaire, a été promu à partir d’un fil conducteur : simple existence pendant la Grande Dépression dans les Prairies canadiennes, pour devenir l’un des leaders de la campagne en faveur d’un écofascisme mondialisé.

Afin de comprendre la référence antérieure et ultérieure à Maurice Strong comme l’un des principaux décideurs des politiques environnementales internationales traitant du changement climatique, il semble nécessaire de nommer les institutions les plus pertinentes où il a exercé le pouvoir et de voir comment elles continuent de suivre l’agenda marqué il y a trois décennies, façonnant les politiques et programmes actuels, y compris la géo-ingénierie.

Patronné par Edmund Rothschild et David Rockefeller , et sous la direction intellectuelle de Gro Harlem Brundtland , ex-Premier ministre de Norvège, Maurice Strong s’est fait connaître grâce à l’organisation réussie de la Conférence des Nations Unies sur l’environnement humain, à Stockholm en 1972, en tant que secrétaire. Général où il mettait en garde contre le réchauffement climatique naissant, les océans pollués, la dévastation des forêts et la bombe à retardement démographique… En 1972, E. Rothschild créait le Comité des Nations Unies sur l’environnement et le développement (CNUED) et Maurice Strong créait l’Organisation des Nations Unies. Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE). Depuis cette plateforme, en collaboration avec l’Association météorologique mondiale, il a promu la création du GIEC en 1988, un cartel politique sur le climat avec des objectifs politiques afin de légitimer, par une fausse science, la théorie du réchauffement climatique et de sa solution technologique. Il a été secrétaire général de la Conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement de 1992, connue sous le nom de Sommet de la Terre de Rio, sous-secrétaire général des Nations Unies à l’époque du scandale Pétrole contre nourriture, principal architecte du protocole de Kyoto et de l’agenda mondial. 21 en collaboration avec Al Gore, représentant du Secrétaire général de l’ONU au Sommet de Kyoto en 1997. Parmi ses innombrables affiliations, Maurice Strong a également été conseiller principal du président de la Banque mondiale  directeur fondateur et président du Forum économique mondial (WEF) , président du World Resources Institute (WRI), directeur du Conseil mondial des entreprises pour le développement durable (WCBSD), membre du conseil de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) et Vice-président du Fonds mondial pour la nature (WWF). Toutes ces institutions constituent le noyau du Green New Deal, du Capital Naturel, de la Nouvelle Economie Climatique, du New Deal pour la Nature, etc., autant d’euphémismes pour nommer la quatrième révolution industrielle qui nécessite la monétisation de la nature, y compris le climat, à travers complexe industriel à but non lucratif.

Pour mémoire, Al Gore et Strong, les deux gourous mondiaux du canular sur le réchauffement climatique, sont directement impliqués dans le seul marché de plafonnement et d’échange présent aux Etats-Unis, avec la création en 2003 du Chicago Climate Exchange (CCX). , ce qui représente un marché annuel de 3 000 milliards de dollars. Le Fonds mondial pour la nature (WWF) et le World Resources Institute (WRI)[25]  sont également membres du CCX. D’ailleurs, comme le raconte l’article d’Ed Barnes sur FOX News : « Alors qu’il était membre du conseil d’administration d’une organisation caritative basée à Chicago, Barack Obama a aidé à financer une bourse d’échange de droits d’émission de carbone qui jouera probablement un rôle essentiel dans le programme de plafonnement et d’échange de carbone qu’il mène. j’essaie maintenant de faire passer le Congrès en tant que président. »[26] Les affaires sont les affaires.

La première révolution mondiale et le sommet de Rio

Depuis sa création jusqu’en 2017, le Malthusian Globalist Club de Rome a publié 43 rapports. Depuis le premier : Les limites de la croissance, publié en 1972, où ils mettaient en garde contre le danger posé par la surpopulation, jusqu’au dernier,  Population et destruction de la planète, rien n’a changé dans leur orientation. L’humanité est coupable de sa propre existence. Dans le rapport publié en 1991, « La première révolution mondiale »[27] par Alexander King, le Club montre ses faibles normes morales, justifiant les fins à tout prix. Dans ce rapport, nous pouvons lire des phrases telles que :

« En cherchant un nouvel ennemi pour nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, la pénurie d’eau, la famine, etc. feraient l’affaire », déclare le livre. « Tous ces dangers sont causés par l’intervention humaine » et donc « le véritable ennemi est donc l’humanité elle-même ». Peu importe que cet ennemi commun soit « un ennemi réel ou… inventé dans ce but ». Dans le processus de lutte contre cet ennemi implacable, la démocratie « apparaîtra comme responsable du retard économique, de la pénurie et des incertitudes. Le concept même de démocratie pourrait alors être remis en cause et permettre la prise du pouvoir ».

La règle longtemps appliquée du capitalisme, consistant à socialiser les pertes et à être sauvé par les fonds publics, est appliquée ici par le Club de Rome, pour socialiser le blâme sur l’humanité comme moyen de justifier des mesures implicites extrêmes et d’inciter à l’obéissance par culpabilité. Il est à noter que ce Club défendait dans les années 1970 le consensus scientifique sur le refroidissement global.

Dans l’ensemble, le Club de Rome ne semble pas ignorer la corruption de la science pratiquée par certains climatologues, par le GIEC, par les Académies nationales des sciences et les agences météorologiques nationales, pour adapter les données climatologiques à son agenda mondial. Cette organisation n’ignore pas non plus la solution de géo-ingénierie – et ses conséquences – proposée par le GIEC pour atténuer le prétendu réchauffement climatique dans ses quatrième et cinquième rapports, bien que le météorologue suédois Bert Bolin , premier président du GIEC, ait prévenu en 2007. :

La géo-ingénierie n’est pas une solution viable car il est illusoire de penser que tous les impacts secondaires possibles peuvent être prévus. (J. Fleming 2012)[2].

Avec la publication de La Première Révolution Mondiale , L’ humanité au tournant et RIO : Remodeler l’Ordre International , le Club de Rome avait préparé l’avancement de l’agenda mondialiste, ouvrant la voie au Sommet de la Terre de Rio. Comme l’écrit Elaine Dewar dans son livre Cloak of Green : « Le Sommet de Rio ferait de grands pas vers un monde dans lequel les États-nations se sont effondrés au profit d’institutions supranationales et mondiales…. Présenté comme le plus grand sommet du monde, Rio a été publiquement décrit comme une négociation mondiale visant à concilier le besoin de protection de l’environnement avec le besoin de croissance économique. Les connaisseurs ont compris qu’il y avait d’autres objectifs plus profonds. Celles-ci impliquaient le transfert des pouvoirs réglementaires nationaux vers de vastes autorités régionales ; l’ouverture de toutes les économies nationales encore fermées aux intérêts multinationaux ; le renforcement des structures de prise de décision bien au-dessus et bien au-dessous de la portée des nouvelles démocraties nationales ; et, par-dessus tout, l’intégration des Soviétiques et des Chinois… dans le système de marché mondial. En référence à l’entretien accordé à Maurice Strong, elle ajoute : Comme notre entretien le montre clairement, Strong savait que le sommet de Rio avait pour objectif de détruire la république souveraine de l’État-nation. Et il s’est fortement appuyé sur son ami Al Gore pour convaincre le gouvernement des États-Unis de participer au niveau des chefs d’État.[24]

L’histoire noire du Fonds vert pour le climat de Rio pour le « développement durable »

Oui, le Sommet de la Terre de Rio était axé sur les profits des entreprises sous couvert de climat et de durabilité. L’un des exemples est l’apparition d’un Fonds vert pour le climat qui gérera 100 milliards de dollars par an à partir de 2020, offrant une « aide » (crédit) aux pays pour s’adapter au changement climatique, en particulier aux moins développés. Ce fonds a changé de nom à deux reprises selon les circonstances, à mesure que le climat devient le véritable enjeu de l’agenda mondialiste. Son nom original était Banque mondiale pour la conservation et a été créée dans le cadre de la 4 e Conférence mondiale sur la nature en 1987 par Edmund Rothschild. Les informations suivantes sont fournies par un témoin direct, George Washington Hunt .[28]

Il nous semble important d’exposer son histoire obscure car elle constitue une première référence dans la monétisation de la nature et l’accaparement des terres qui ouvrira la voie au New Deal pour la nature trois décennies plus tard. En fait, cette banque qui visait à avoir le pouvoir de fabriquer le dollar mondial n’avait pas de capital. Le capital a été obtenu en transférant de l’argent vers les actifs provenant du World Wilderness, comme le Endowment of Wilderness Lands de l’inventaire constitué par le Sierra Club, qui représentait 34% de la superficie du terrain.

Cette banque, sous l’égide de la Banque mondiale, a également monétisé la dette, portant à la section actifs la dette des pays du tiers monde à refinancer : 1,6 billion de dollars. Le nom a ensuite été changé en Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM), dans le but de prêter de l’argent aux pays les plus pauvres, en prenant comme garantie les zones sauvages riches en minéraux naturels. Elle a collaboré avec le FMI pour émettre et promouvoir les droits de tirage spéciaux (DTS). Enfin, les pays endettés qui ne peuvent pas rembourser leurs prêts au FEM doivent céder une partie de leur territoire… Si la terre ne peut pas être offerte en garantie, le pays doit mourir de faim comme Haïti. La garantie du Brésil pour ses prêts, par exemple, est l’Amazonie.

L’approche des Rothschild visant à accaparer 30 % des terres mondiales, générant une crise alimentaire et un accaparement mondial des terres avec le consentement de nos gouvernements et de nos banques centrales, est la première copie conforme du véritable New Deal pour la nature dans lequel le Sierra Club est désormais investi. En 1992, la « Facilité » est devenue partie intégrante du système des Nations Unies, grâce à Maurice Strong, et a été baptisée Fonds vert pour le climat (GCF). Aujourd’hui, plus de 179 pays siègent au conseil de la banque et paient pour cela. Comme nous l’avons dit précédemment, en plus d’être le mécanisme financier de la Convention des Nations Unies sur la diversité biologique (UNCBD) et de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), cette banque constitue le plus grand outil de financement au monde, travaillant avec le FMI, la Banque mondiale, la BRI, toutes les institutions internationales, les ONG et le secteur privé. Les mêmes entités qui patronnent toutes les COP, les mêmes acteurs avec les mêmes objectifs que nous retrouverons dans l’architecture du New Deal pour la Nature du World Resources Institute et du World Wild Found, tous deux membres du Chicago Climate Exchange.

Le Sommet de la Terre de Rio : un échec et mat pour un véritable activisme environnemental

Le Sommet de la Terre de Rio a suscité les attentes les plus élevées de la part des centaines de militants écologistes et d’ONG participants. Mais à leur grande déception, les entreprises les ont battus sur leur propre terrain en adoptant la Charte des entreprises pour le développement durable, fusionnant écologie et économie, présentée par le Conseil des entreprises pour le développement durable (BCSD), créé en 1990 par l’industriel suisse Stephan Schmidheiny — un investisseur majeur dans l’industrie de l’amiante — à la demande de Maurice Strong. La Charte, soit dit en passant, n’était pas contraignante, mais la “Green Economy” a fait son entrée par la porte principale.  Dans ce contexte, le fameux Sommet de la Terre de Rio représente, par sa conception, la destruction du véritable mouvement environnemental international montré lors du Sommet de Stockholm en 1972, en faveur d’une prise de contrôle des entreprises. Les militants écologistes de tous les temps ont été pratiquement laissés avec le mauvais choix de conformité ou d’extinction. Accroché dans le CO officiel2 les projets qu’ils ont perdus de vue et sont devenus de simples pions décoratifs dans les mains du nouveau complexe industriel vert à but non lucratif créé par les entreprises elles-mêmes visant à fabriquer le consentement social pour les horreurs à venir le nom de la protection de nature’s.

Photo de groupe des dirigeants mondiaux juste au « Sommet de la Terre ».

Elaine Dewar , la référence critique du rôle des ONG au Sommet de la Terre de Rio, souligne dans son livre primé —  Cloak of Green [24] — les liens entre les principaux groupes environnementaux, les entreprises et les gouvernements, comment ces groupes se qualifient de non-gouvernementaux et prétendent ennemis des entreprises, finissent par recevoir des financements des deux, en posant toutes les questions pertinentes. Même si ces questions se concentrent sur le Canada, elles sont toujours valables aujourd’hui et peuvent s’appliquer au reste d’entre nous.

Pourquoi certains groupes environnementaux utilisent-ils des informations trompeuses dans leurs efforts de collecte de fonds ?

Pourquoi certains groupes environnementaux au Canada et aux États-Unis compromettent-ils leur indépendance en acceptant des fonds du gouvernement et des grandes entreprises – et en plaçant des représentants de leurs intérêts dans leurs conseils d’administration ?

Pourquoi le gouvernement canadien canalise-t-il des fonds vers des organismes de bienfaisance étrangers qui jouent un rôle actif dans la politique de leur pays d’origine ?

Pourquoi le gouvernement canadien tente-t-il d’influencer les programmes des groupes environnementaux étrangers ?

En 1995, le BCSD a fusionné avec le Conseil mondial de l’industrie pour l’environnement (WICE) et est devenu le Conseil mondial des entreprises pour le développement durable (WBCSD)[29]. En réalité, ce puissant lobby rassemble près de 200 entreprises mondiales avant-gardistes engagées à faire avancer l’agenda du développement durable… Cependant, selon Sander van Bennekom du Comité néerlandais pour l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), « la BCSD est plus une philosophie qu’une stratégie ». programme de travail… car les objectifs ambitieux visant à tendre vers zéro émission de pollution et à réorienter le développement de produits pour répondre aux besoins sociaux, y compris ceux des pauvres, ne se traduisent cependant pas en activités et responsabilités concrètes pour le secteur des entreprises. Le WBCSD s’appuie également fortement sur des partenariats étroits avec les gouvernements, les programmes de développement et d’environnement des Nations Unies, le groupe de la Banque mondiale et les banques régionales de développement, la Commission européenne et l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Le pouvoir mondial des entreprises incarné par le WBCSD et le mouvement conservatisme mondial incarné par l’UICN[30] sont les deux consortiums qui contrôlent en dernière instance le complexe industriel à but non lucratif en ce qui concerne les mouvements de changement climatique/d’urgence climatique qui poussent en faveur d’un New Deal vert. , Nouvelle économie climatique, Coalition du capital et New Deal pour la nature.

Ingénierie lexicale et endoctrinement pour le consentement social

Le Journaliste et Professeur de Sciences Politiques au Brooklyn College, Corey Robin, affirme que la peur crée une certaine propension chez les êtres humains vers un endoctrinement involontaire par le prince au détriment de leur propre liberté.[31] Les globalistes savent que et afin de faire avancer leur programme de mondialisation pour le contrôle des biens communs mondiaux avec “consent” sociale pour éviter les troubles sociaux, les, ils afficheront les efforts d’ingénierie sociale maximum. Ces efforts ont été soutenus par la création de milliers de projets et de mouvements de jeunesse imbriqués les uns dans les autres et partageant des PDG hautement qualifiés spécialisés dans la construction de mouvements et le changement comportemental, rédigé à partir de la plupart des sociétés pertinentes. Cependant, l’ingénierie sociale ne pouvait pas avoir lieu sans une ingénierie lexicale ou la perversion de la langue. Klaus Töpfer , ancien haut fonctionnaire de l’ONU, a expliqué lors de l’ouverture de la Conférence sur l’ingénierie climatique tenue à Berlin en août 2014 : « Des milliers de millions de dollars sont dépensés chaque année aux Nations Unies et dans d’autres organismes internationaux pour concevoir le lexique, car celui qui conçoit le lexique contrôle le sujet. Les concepteurs de la perversion du langage travaillent avec des experts dans le domaine des sciences sociales et de la communication : philosophie, psychologie, philologie, neurologie, programmation neurolinguistique, marketing, etc. Mais dans le cas de la géo-ingénierie, les sciences militaires sont également intervenues, complétant le image avec des techniques de tactique, de stratégie, de logistique, de propagande, d’information, de contre-information, de création de fausse identité, de démolition ou de déni d’identité réelle, entre autres. Depuis le Sommet de la Terre de Rio, la société en général a subi une invasion quotidienne de nouveaux termes tordus aux significations nouvelles, imposés par les médias de masse dominants. La perversion de la langue a atteint des niveaux sans précédent dans l’histoire, équivalents seulement à la tâche d’endoctrinement mondial et de tromperie mondiale « fondée sur la science », en commençant à l’école pour être la plus efficace.

Dans cette perspective, après le Sommet de la Terre de Rio, le vice-président de l’époque, Al Gore, a assumé le rôle de « façonner » les enfants et les jeunes aux nouvelles conditions terrestres. En 1994, il a créé et lancé le programme Globe (Global Learning and Observation to Benefit the Environment)[32] destiné aux écoles primaires et secondaires pour « éduquer » les enfants sur les défis et la gestion de l’environnement. Globe est basé à Washington et reçoit environ 13 millions de dollars par an de la National Oceanic and Atmospheric Administration, de la National Science Foundation et de la National Aeronautics and Space Administration. Actuellement, 120 pays y participent. Ce programme est devenu un projet météorologique mondial en 1998.[33] À cet égard, la NASA a signé des contrats avec la plupart des pays du monde depuis plus de 100 ans en matière de changement climatique. Ces contrats n’ont rien à voir avec la vérité ou la science mais ils expliquent la volonté et la nécessité d’endoctriner toutes les générations pendant au moins un siècle.[34]

Manipuler les enfants endoctrinés – Marches pour le climat et le New Deal vert

Deux décennies plus tard, le moment était venu pour Al Gore de capitaliser sur le programme Globe et sur son film « An Inconvenient Truth ». En 2006, il disposait littéralement de milliers de jeunes endoctrinés aux quatre coins de la planète parmi lesquels choisir et devenir les meilleurs « leaders de la réalité climatique façonnés » grâce à son nouveau projet de réalité climatique.[35] Au conseil de cette nouvelle organisation siège James Gustave Speth , fondateur du World Resources Institute en 1982, conseiller des mobilisations climatiques en 2014, et référence incontournable dans le lancement de mouvements d’urgence climatique pour conduire les populations vers un mode d’urgence depuis 2018. 36][37] Les produits du Climate Reality Project sont le jeune Jamie Margolin , fondateur de « Zero Hour » qui travaillera plus tard pour Hillary Clinton sur les questions de réchauffement climatique, ou Ingmar Rentzhog , l’entrepreneur suédois qui a fondé le mouvement « We Don’t Have Time » (partenaire du Club de Rome), connu aussi pour avoir lancé le mouvement Greta Thunberg. Nous nous demandons si tous ces mouvements manipulés qui luttent pour la mise en œuvre des accords du Traité de Paris savent que les Droits de l’Homme ont été retirés de ce Traité. Parce que c’est tout simplement un point essentiel qu’ils n’ont pas le droit d’ignorer. C’est un fait que la géo-ingénierie et les droits de l’homme ne vont pas de pair.

On a beaucoup écrit sur les marches pour le climat, mais on ne trouve pratiquement aucune information sur leurs organisateurs. C’est pourquoi nous saluons ici le travail atténuant de Cory Morningstar [38] et de son équipe sur le sujet, sur lequel nous construisons cette section.

À la veille du Sommet de Paris sur le climat, l’opinion publique était préparée au succès longtemps à l’avance, comme on s’y attendait, cela se produirait après l’échec du Sommet de Copenhague et de l’épisode Climate-gate. En 2014, les participants de tous âges ont défilé dans le monde entier dans une ambiance festive sous des bannières avec des slogans pointus spécialement conçus pour capturer l’adhésion émotionnelle. L’initiative s’appelait “People’s Climate March” et les organisateurs étaient Global Call for Climate Action (GCCA/TckTckTck), Climate Nexus (Rockefeller), 350.org, Avaaz et Greenpeace, entre autres. Cette année-là a également créé le “We mean business”, les sociétés les plus puissantes au monde, avec la collaboration de Greenpeace, Avaaz et Christina Figueres, secrétaire exécutif de UNFCCC’s. Les écologistes marchent main dans la main avec les entreprises. Qui a dit “si vous pouvez’t les battre, rejoignez-les”?

Cependant, en 2017, ces marches mondiales plurielles sont devenues un produit exclusif pour les jeunes et ont été étiquetées comme des « mouvements » mondiaux. Ces mouvements parfaitement coordonnés présentaient des programmes urgents prêts à être consommés, autour d’« objectifs fondés sur la science »[39], enveloppés de messages agressifs bien intentionnés. Il en existe des centaines mais les plus médiatisés sont ceux cités ci-dessus : New Consensus, Climate Nexus (Rockefeller) Data for Progress, New Democrats, 350.org, etc., les derniers en date étant « Extinction Rebellion » et « Fridays ». pour le futur ». Les armées clonées d’Al Gore défileront en 2018 pour un New Deal vert, à l’image du New Deal réussi de Franklin de Roosevelt en 1930, portant sur les dépenses d’infrastructure et les réformes du travail.

Ce New Deal vert promet une grande transformation audacieuse de l’économie pour faire face à la double crise des inégalités et du changement climatique. Cela mobiliserait de vastes ressources publiques pour nous aider à passer d’une économie fondée sur l’exploitation et les combustibles fossiles à une économie fondée sur un travail digne et une énergie propre […]  « Toute l’électricité consommée en Amérique doit être produite par des sources renouvelables, notamment l’énergie solaire, éolienne et hydroélectrique. , la géothermie, la biomasse durable et le gaz naturel renouvelable, ainsi que les sources propres telles que le nucléaire et les combustibles fossiles restants avec captage du carbone » . Cependant, plus loin dans le rapport décrivant cette nouvelle révolution, nous lisons qu’un Green New Deal est plus que de simples énergies renouvelables ou des programmes d’emploi. Il s’agit d’une transition vers « l’économie du 21 ème siècle » dont l’objectif principal est, comme d’habitude, le développement, la croissance et les marchés à haut rendement.

Bien que le terme « New Deal mondial pour le climat, l’énergie et le développement » ait été utilisé par le Département des affaires économiques et sociales des Nations Unies dès 2009 pour titrer une étude sur la manière de relancer l’économie mondiale après la crise économique de 2008, il n’a pas été utilisé. attirer alors toute attention du public. Cependant, ce document est au cœur non seulement du récit du Green New Deal, mais aussi du New Deal pour la nature qui constitue en soi un échec et mat pour la planète Terre telle qu’on la connaît aujourd’hui.

Comme le dit le journaliste Cory Morningstar : « Le Green New Deal est le cheval de Troie de la financiarisation de la nature »[40]. En fait, les outils clés pour attribuer une valeur monétaire à toute la nature, à l’échelle mondiale, dans le but de créer de nouveaux marchés qui exposent la Natural Capital Coalition depuis 2018 se trouvent dans ce document rédigé par le groupe The Economics of Ecosystems and Biodiversity (TEEB).

Qui était derrière ces marches pour le climat en faveur du New Deal vert ?

Le Sierra Club, l’une des plus anciennes associations des États-Unis, a été le premier à annoncer la nécessité d’un Green New Deal et a créé à cette fin un mouvement ad hoc dirigé par des jeunes : « le Sunrise Movement ». Le directeur exécutif du Sunrise Movement est Michael Dorsey , membre du Club de Rome qui est d’ailleurs à l’origine de la déclaration d’urgence climatique mondiale. Peu de temps après, une myriade d’organisations ont rejoint cette motion, mais les suivantes ont été directement impliquées dans l’élaboration du document fondateur : The Sunrise Movement, New Consensus, Climate Nexus (Rockefeller) et Data for Progress.[41]

Pourquoi les marches pour le climat d’Al Gore et compagnie ont débuté en 2014

Il ne s’agissait pas seulement de créer une dynamique pour le Sommet de Paris sur le climat. Le 27 juillet 2014, le Financial Times a publié un article de Mike Scott intitulé Blood and Gore : « Le capitalisme est en danger de s’effondrer » [42] dans lequel David Blood et Al Gore affirment que les investisseurs sont confrontés à un moment crucial et que « le Les cinq à dix prochaines années constitueront la période la plus critique pour accélérer la transition vers une économie à faibles émissions de carbone. Nous pensons que le capitalisme risque de s’effondrer.»

Juste pour mieux comprendre, David Blood a quitté la direction de la gestion d’actifs de Goldman Sachs pour créer une nouvelle entreprise d’investissement avec Al Gore, appelée Generation Investment Management (GIM), qui est le cinquième propriétaire du système de plafonnement et d’échange du climat de Chicago.

À la mi-janvier 2017, le fondateur du Forum économique mondial, Klaus Schwab , a ratifié que « le capitalisme est en crise ». Bientôt, les mouvements mondiaux pour le climat ont adopté en 2018 des mesures d’urgence pour « amener le public en mode urgence »[43], liant avec désinvolture le climat à la croissance économique. Cette initiative a été proposée par le mouvement de mobilisation pour le climat, né des marches pour le climat de 2014.

Tandis que le Sierra Club maintenait le cirque dans les rues avec des jeunes réclamant une action contre l’urgence climatique, dans les coulisses, on s’occupait de tracer la voie du développement et de la croissance avec l’Institut des ressources mondiales (WRI) qui a mis en place le projet de nouvelle économie climatique parce que l’action audacieuse sur le climat pourrait générer 26 000 milliards de dollars de bénéfices économiques d’ici 2030. [44]  James Gustave Speth , fondateur du World Resources Institute, la personne derrière la mobilisation pour le climat/urgence climatique est également à l’origine du projet de nouvelle économie climatique, reliant commodément les deux côtés. du fleuve — sociétés et complexe industriel à but non lucratif.

Le projet de nouvelle économie climatique concerne le pouvoir et la prise de contrôle des entreprises. Le terme fétiche de cette nouvelle économie à débloquer .

Mais le World Resources Institute avait une offre encore plus importante. Une fois l’agenda sur les bénéfices climatiques et économiques clôturé, il s’est efforcé de créer le projet Natural Capital Coalition visant à assurer la monétisation du reste de nos biens naturels communs. En fait, ils considèrent la nature comme un stock de marchandises dont ils deviennent les gestionnaires autoproclamés, agissant comme des grossistes qui feront fortune en vendant au détail ces marchandises comme services écosystémiques. Les emballages commerciaux seront vendus à l’opinion publique sous le nom de « New Deal pour la nature », sous l’euphémisme de « protection ». Ces gestionnaires autoproclamés de la nature ont attribué une valeur économique à absolument chaque chose, animée ou inanimée, sur Terre. Ils disposent même d’outils pour monétiser leurs valeurs personnelles, leur culture et leurs croyances religieuses. Il semble que la valeur des services écosystémiques mondiaux soit estimée à 125 000 milliards de dollars par an.[45] Ces faits constituent un plan de sauvetage mondial étant donné que le coût de la revitalisation de l’économie mondiale dans le cadre de la Nouvelle Quatrième Révolution dépasse les 100 000 milliards de dollars que nous devons payer.

La géo-ingénierie est le lien entre la Nouvelle Economie Climatique et le New Deal pour la Nature, et donc une clé essentielle de la quatrième révolution industrielle puisque ce gigantesque « Château de Cartes » repose sur la tromperie du réchauffement climatique et du changement climatique qui doit constamment alimenter la preuve avec la survenue d’épisodes météorologiques extrêmes toujours plus nombreux. D’un autre côté, puisque la modification des conditions atmosphériques modifiera les conditions de vie sur Terre, la géo-ingénierie en cours est l’excuse parfaite pour justifier le programme biotechnologique en cours visant à terraformer la planète comme une opportunité supplémentaire d’expansion commerciale. Arrivé ici, parmi les nombreuses questions auxquelles il faut répondre dans cette stratégie résolument pathologique du profit, il y a la suivante : puisque chaque chose vivante et non vivante, les valeurs humaines, la culture et les religions sur Terre se sont vu attribuer une valeur économique par tous ces ultra-psychopathes, il n’y a aucune raison de penser que la « souche humaine », comme diront les malthusiens, ne soit pas dans le lot secret. Alors, quelle est la valeur qui nous est attribuée, à nous les êtres humains ? Peut-être que cette valeur diffère selon la nationalité, la race, le sexe, l’âge et le niveau de capacité de consommation dans la chaîne coût-bénéfice ? Ces projets à l’ordre du jour sont insensés, constituent une pure perversion et doivent être stoppés. « Parce que la vie n’est pas une marchandise », nous devons tous rallier nos forces avec la plateforme « No Deal for Nature ».[46]

La Natural Capital Coalition et le New Deal pour la nature représentent la fusion d’un énorme conglomérat de pouvoir et d’un complexe industriel à but non lucratif dirigé par le Fonds mondial pour la nature, Nature Conservancy et le Conseil mondial des entreprises pour le développement durable. Le New Deal pour la nature devrait être adopté à Pékin en 2020.

Pour un travail exhaustif sur l’ingénierie sociale machiavélique qui se déroule sous la direction du complexe industriel à but non lucratif financé par les entreprises les plus puissantes du monde, il faut lire l’ouvrage de maîtrise réalisé par le journaliste indépendant canadien Cory Morningstar, notre principale référence en la matière. .

La géo-ingénierie à l’ordre du jour de la quatrième révolution industrielle du Forum économique mondial

Le cours des agendas développés dans les différents laboratoires socio-économiques du pouvoir des entreprises a fusionné avec le Forum économique mondial (WEF) pour une conformité finale et une élaboration politique mondiale. Le Forum économique mondial, basé à Genève, en Suisse, est une ONG fondée en 1971, dans le cadre d’un partenariat public-privé, « engagée à améliorer l’état du monde en engageant les dirigeants économiques, politiques, universitaires et autres de la société à façonner les agendas mondiaux, régionaux et industriels ». Il s’agit d’une organisation composée de membres, composés des plus grandes sociétés du monde.

Le Forum économique mondial représente le cœur de l’hégémonie économique mondiale du 21 ème siècle, menant en fait la transition mondiale vers une quatrième révolution industrielle.[47]

« Nous sommes aux premiers jours d’une 4e révolution industrielle, un vaste passage de l’analogique au numérique qui transformera complètement l’industrie manufacturière mondiale, estimée à 12 000 milliards de dollars. Cela changera fondamentalement la façon dont nous concevons, concevons, produisons, distribuons et consommons presque tout, avec un impact énorme sur les emplois, les industries et les économies. Il s’agit d’une révolution industrielle numérique menée par la croissance accélérée de l’impression 3D, et ses dirigeants seront définis par leur capacité à exploiter toute la puissance de cette technologie véritablement disruptive.

La valeur combinée – pour la société et l’industrie – de la transformation numérique dans tous les secteurs pourrait être supérieure à 100 000 milliards de dollars au cours des 10 prochaines années. Ce plein potentiel d’effets « combinatoires » des technologies numériques ne sera pas atteint sans la collaboration entre les entreprises, les décideurs politiques et les ONG. En d’autres termes, pour sauver le capitalisme, nous devons injecter plus de 100 000 milliards de dollars provenant des impôts et des fonds de pension. En outre, les entreprises et les marchés potentiels à haut rendement ont besoin que nous privatisons nos biens naturels et qu’en plus, nous payions pour les « services de protection » des écosystèmes rendus aux mêmes prédateurs qui les détruisent. « C’est comme confier à un renard la garde d’un poulailler ». Une folie totale !

La question ici est de savoir comment le WEF relie cette quatrième révolution industrielle manufacturière à la monétisation de la nature à travers le New Deal pour la nature qui est en fait le leitmotiv de cette quatrième révolution industrielle compte tenu de l’incitatif attrayant de 125 000 milliards de dollars par an sans frais ? C’est simple : ils y ajoutent les mots magiques « Bioéconomie inclusive » et le tableau semble complet.

Le document de la Série Terre publié en janvier 2018 sous le titre Exploiter la quatrième révolution industrielle — Vers une bioéconomie inclusive[48] rapporte que la pression sur les systèmes naturels de la Terre causée par l’activité humaine s’est considérablement aggravée au cours des 25 années qui ont suivi. le Sommet de la Terre de Rio en 1992, de telle sorte que le monde est actuellement en proie à une extinction massive. Mais il y a de l’espoir : « l’évolution transformatrice des capacités en matière de données et de technologie, combinée à la fusion des domaines numérique, physique et biologique, transformera non seulement les réseaux sociaux, la recherche scientifique et des industries entières, mais remodèlera également radicalement les innovations en matière de biologie et de science des matériaux. Il s’agit notamment d’explorer la manière d’exploiter la quatrième révolution industrielle en tant que force positive pour mieux gérer et conserver la vie sur terre, tout en atténuant les risques que pourraient engendrer ses développements scientifiques et technologiques.

L’agenda de cette quatrième révolution industrielle est tout simplement effrayant. Outre l’impression 3D classique de matériaux avancés, la robotique, les drones, etc., l’intelligence artificielle dotée de capacités de prise de décision, ou la Earth Bank of Codes en partenariat avec le Earth Bio-Genome Project, en tant que flux de travail associé à sa quatrième révolution industrielle pour l’initiative Terre, sont particulièrement inquiétants, suggérant le contrôle de toute vie. Tout aussi inquiétant est l’accent mis sur l’agenda orienté vers la terraformation des biotechnologies et sur l’agenda orienté vers le contrôle mental des neurotechnologies « qui permettent aux humains d’influencer la conscience et la pensée, de décoder ce qu’ils pensent à des niveaux de détail fins grâce à de nouveaux produits chimiques qui influencent le cerveau pour une fonctionnalité améliorée et permettent interaction avec le monde de manière nouvelle ».

Sans surprise, en lien avec l’intelligence artificielle, le biogénome et le programme de la biotechnologie, nous trouvons le programme de géo-ingénierie , défini comme des interventions délibérées à grande échelle dans les systèmes naturels de la Terre pour, par exemple, modifier les régimes de précipitations, créer un ensoleillement artificiel ou modifier biosphères. Suffisamment clair. Comme dans le rapport militaire Weather as a Force Multiplier: Owning the Weather in 2025 , la géo-ingénierie n’est ici liée à aucun problème de réchauffement climatique ou d’atténuation lié au CO 2 . Il est présenté comme un outil à utiliser à la demande pour la gestion et le contrôle de leur capital naturel afin de garantir une valeur exprimée par milliers de milliards… Cela expliquerait leur stupide slogan de justice climatique affiché par leurs faux mouvements environnementaux et d’urgence climatique.

Afin de faire avancer le programme ci-dessus, le WEF a créé le Centre pour la quatrième révolution industrielle[49]. Curieusement, la première image de la présentation vidéo n’est pas une publicité subliminale, elle rappelle expressément le Jet Aerosol Dispersal for Climate Engineering.

Le dernier paragraphe de cet ordre du jour n’est pas un avertissement, c’est une extorsion directe.

 « Alors que l’humanité est confrontée à une extinction massive d’une ampleur jamais vue au cours des 65 derniers millions d’années, le temps presse. La quatrième révolution industrielle détient les clés permettant de modifier fondamentalement la façon dont les gens comprennent et interagissent avec leur environnement naturel. Sans une action rapide et coordonnée, le canot de sauvetage que constitue la quatrième révolution industrielle pour sortir notre planète du gouffre risque d’être manqué. »

Une action rapide et coordonnée a eu lieu un an plus tard. Le Forum économique mondial a réalisé un superbe coup d’État aux Nations Unies avec la signature d’un protocole d’accord (MOU) le 13 juin 2019.[50] C’est-à-dire un cadre de partenariat stratégique pour l’Agenda 2030 sans règles, sans contrôle public et sans responsabilité. Ce mémorandum annonce de « nouveaux partenariats multipartites » pour fournir des biens publics dans les domaines clés de l’éducation , des femmes , du financement , du changement climatique  et de la santé . En d’autres termes, les sociétés multinationales exerceront une influence sur les questions de gouvernance mondiale dans au moins les six domaines clés qui incluent la géo-ingénierie. Ainsi, comme  un fait accompli,  le WEF est devenu l’organisme décisionnel des multinationales au sein de l’ONU dans des secteurs clés. Selon Harris Gleckman , ancien chef du bureau de New York de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement, les Nations Unies « sont en train de se transformer discrètement en un partenariat public-privé »[51]. Selon le secrétaire général de l’ONU, António Guterres , les groupes multipartites sans aucun contrôle intergouvernemental formel constituent un meilleur système de gouvernance qu’un système un pays, une voix. Pendant ce temps, la coopération fiscale mondiale des Nations Unies, un vieux rêve de Maurice Strong, visant à assurer des objectifs de développement durable et le paiement des services, fait son chemin. Ces multi-acteurs mondialistes représentant un tissu bien tissé d’intérêts commerciaux et militaires interdépendants sont ceux qui sont à l’origine de 30 ans de spectacles au sommet des Nations Unies sur le climat et d’échecs tactiques en matière de réduction des émissions de CO 2 pour justifier la géo-ingénierie et tous ses agendas mondialistes interdépendants.

Cela boucle la boucle. Un gouvernement mondial d’entreprise pour l’accaparement des ressources mondiales, depuis l’intérieur des Nations Unies, pour transmettre l’autorité publique, la légitimité et le consentement… sans rendre de comptes.

Inutile de dire que l’Union européenne est au cœur de ces agendas terrifiants espionnant ses citoyens[52] et poussant toutes les initiatives US-ONU, European Green Deal inclus,[53] à travers son propre réseau étendu de complexes industriels à but non lucratif. Quelques jours avant le Sommet de Madrid sur le Climat, pour atténuer son échec anticipé, l’UE a adopté des résolutions expresses pour l’Urgence Climatique par l’intermédiaire du Parlement Européen. La dégradation politique et morale subie par le Parlement européen au cours des 20 dernières années est primordiale. En fait, il est passé de l’adoption de — le 14 janvier 1999 — une résolution pionnière[54] en ce qui concerne l’impact militaire sur l’environnement, grâce à l’utilisation non seulement d’armes nucléaires, mais aussi d’armes météorologiques et de manipulations climatiques reliant l’OTAN, pour suivre maintenant la tendance mondialiste. Le 29 novembre 2019,en plus de déclarer l’Urgence Climatique[55],  il a voté en faveur de l’énergie nucléaire dans le cadre de la « solution au changement climatique »[56]. Le vote en faveur de l’eurodéputée verte Ska Keller a été la cerise sur le gâteau. 50 ans de militantisme pour éradiquer l’énergie nucléaire dans le monde, au nom d’une fausse science climatique ! Le Conseil, pour sa part, admet que le nucléaire est désormais éligible au financement vert.[57] Au moins, en cas de doute, ce fait a le mérite de nous montrer qui dirige réellement les institutions européennes. L’UE peut-elle être crédible sur les questions environnementales alors qu’elle occupe la troisième place dans le financement de la « recherche » en géo-ingénierie ?[58] Lorsqu’elle continue d’alimenter le Traité sur la Charte de l’énergie, par lequel les entreprises ont le pouvoir d’arrêter la transition énergétique ?[59] Quand est-ce que cela sera possible ? envisage-t-il de créer sa propre armée ?[60]

La reprise, la tromperie sur le réchauffement climatique et climatique a été déterminante pour la prise de contrôle des Nations Unies par des entreprises et des intérêts militaires mondialistes poursuivant un gouvernement mondial unique visant le contrôle mondial des ressources. Sous le couvert des Programmes de Défense Civile, le complexe militaro-industriel représenté par l’OTAN détient la clé de la géo-ingénierie en charge de la production d’épisodes météorologiques extrêmes dans le monde entier validant le récit officiel du changement climatique et de l’urgence climatique liés au CO2 . Entre-temps, cette clé sera utilisée pour promouvoir le commerce climatique et privatiser les biens communs de la planète, matériels et immatériels : l’espace, l’atmosphère, l’eau, l’air, le sol, les forêts, les océans, les êtres vivants et non vivants, les religions, les valeurs, la culture, etc. — protégé désormais dans de nombreuses régions de la planète par les souverainetés nationales, la common law et les lois coutumières. Avec cet outil, ils s’empareront des souverainetés nationales du monde entier pour transformer chaque chose en marchandise ouvrant la voie à la Quatrième Révolution Industrielle prévue pour sauver le système capitaliste au détriment, une fois de plus, du Sud global. Les nouveaux marchés à haut rendement créés par la nouvelle économie climatique et le New Deal pour la nature seront poussés par le complexe industriel à but non lucratif dirigé par le World Wildlife Fund, Conservation International, The Natural Capital Coalition, TNC, en plus de Sandrine Dixon, l’actuel coprésident du Club de Rome et Al Gore en tandem avec une ONU corrompue.[61] Les pauvres n’auront rien à dire lorsque les riches viendront s’emparer de leurs terres par la force, chassant les communautés autochtones de leurs sources de revenus, tentant d’éliminer progressivement leur culture, leurs valeurs, leur liberté, leur dignité, leurs droits humains, leur vie. … Un tel programme ressemble beaucoup au crime organisé. Pourtant, toutes ces atrocités seront commises sous l’euphémisme de protection de la nature et du bien-être des peuples !

De telles atrocités n’auraient jamais eu lieu dans une ONU moralement saine. Mais la corruption de longue date de cette institution clé est symptomatique d’une corruption généralisée à tous les niveaux. Une corruption mondiale finement orchestrée par l’élite du monde des affaires s’étend à la plupart des institutions sociales importantes chargées du « contrôle et de l’équilibre » de nos systèmes politiques d’entreprise corrompus : la liste va de la Cour internationale de Justice aux incapacités des Cours suprêmes à anticiper les conséquences pour notre société de brevetage de la vie – matériel génétique, brevets végétaux et brevets d’utilité – par les entreprises, par les systèmes éducatifs non critiques, les mouvements environnementaux, les mouvements religieux mondiaux, les églises et les médias, jusqu’aux chercheurs individuels, aux experts, aux consommateurs et aux électeurs, pour n’en nommer que quelques-uns, est devenue objet de corruption.

La corruption du mouvement environnemental passera dans l’histoire parallèlement à celle des Nations Unies. C’est un fait que la myriade de mouvements néo-environnementaux, appartenant à des entreprises, qui se mobilisent pour sauver la planète depuis plus d’une décennie, ne parvient pas à résoudre les problèmes qui comptent le plus : ils ne se contentent pas de s’opposer aux programmes orientés vers la marchandisation de la nature qui conduire à son exploitation et à sa dévastation supplémentaires, mais rejoignez-les. Ils ne parviennent pas à relier la dévastation écologique à notre système économique, basé sur le consumérisme et l’obsolescence programmée. Ils ne parviennent pas à traiter l’énergie nucléaire, tant chérie par les militaires, comme l’énergie sale la plus dangereuse pour la vie, ignorant les faits scientifiques. Ils ne parviennent pas à relier les technologies « propres » et le consumérisme technologique du monde occidental avec l’exploitation minière dans les pays pauvres où les gens sont pratiquement réduits en esclavage et tués pour avoir défendu leurs terres et leurs eaux. Ils ne reconnaissent pas la colonisation et l’impérialisme comme la source de guerres qui détruisent de vastes territoires et la vie de personnes innocentes. Ils ne parviennent pas à dénoncer les programmes de manipulation climatique en cours et futurs. Ils ne parviennent pas à admettre l’impact de l’armée américaine sur le climat et l’environnement. Comme le dit Barry Sanders dans son livre « The Green Zone » : Environmental Costs of Militarism :

« Voici la terrible vérité : même si chaque personne, chaque automobile et chaque usine émettait soudainement zéro émission, la terre se dirigerait toujours, la tête la première et à toute vitesse, vers un désastre total pour une raison majeure. L’armée produit à elle seule suffisamment de gaz à effet de serre pour placer la planète entière, avec tous ses habitants, grands et petits, dans le danger d’extinction le plus imminent. »[62]

Il est donc clair que ceux qui ont provoqué la destruction de la planète par cupidité et par pouvoir ne peuvent pas ne pas faire partie de la solution. Les solutions proposées à travers tous ces sinistres programmes mondialistes sont toujours les mêmes : des solutions capitalistes et une fuite en avant de la responsabilité. C’est de la pure folie. Comme l’a dit Albert Einstein : « La folie, c’est faire la même chose encore et encore et s’attendre à des résultats différents. »

Arrivé à ce point, il ne reste plus beaucoup d’options. Il est impératif que le monde retrouve les normes morales de toutes ses institutions pour lesquelles il ne peut plus se permettre de maintenir une ONU et ses agences corrompues. Un monde meilleur pour l’humanité exige quelques ajustements fondamentaux : les Nations Unies actuelles doivent être remplacées par un organisme indépendant qui servira véritablement l’objectif des droits de l’homme universels. Les entreprises et leurs programmes doivent être interdits. Toutes les institutions et experts travaillant dans le cadre de protocoles ou de conventions sur les privilèges et immunités doivent les faire révoquer pour rendre des comptes. Et l’industrie de guerre interdite.

Une profonde réforme du système économique, de la production, de la consommation, du commerce et des modes de gestion des déchets s’impose, visant à parvenir à une logique d’adaptation des besoins aux ressources, parallèlement aux finalités de la science et de la justice, mais c’est une question qui dépasse l’objet de ce papier.

Que pouvons-nous faire en attendant ? Organisons notre auto-défense : STOP à la géo-ingénierie clandestine en cours ainsi qu’à la géo-ingénierie à venir, ainsi qu’aux programmes du New Deal pour la Nature, en soutenant les initiatives sérieuses prises par des personnes conscientes ; exposer le complexe industriel à but non lucratif au service des intérêts des entreprises afin de sensibiliser le grand public ; établir des alliances internationales pour introduire des propositions d’interdiction légales dans les programmes les plus néfastes ; faire progresser les droits de la nature au moyen d’un traité international ; constituer un tribunal international légal pour prévenir et juger les crimes environnementaux ; et promouvoir le commerce équitable et le transfert de technologie vers les pays les plus pauvres afin d’améliorer leur développement et leurs conditions de vie.

Pas d’accord pour la nature .

Remarques

[1] Marlos Goes et al. (2011) L’économie (ou son absence) de la géo-ingénierie des aérosols. Changement climatique DOI 10.1007/s10584-010-9961-z https://www.aoml.noaa.gov/phod/docs/Goes_etal_2011.pdf

[2] PJ Crutzen (2006) Amélioration de l’albédo par injections de soufre stratosphérique : une contribution pour résoudre un dilemme politique ? Changement climatique 77 : 211-219

[3] James Roger Fleming (2010) Réparer le ciel : l’histoire mouvementée du temps et du contrôle climatique New York, NY, Columbia University Press

[4] J. Marvin Herndon, PhD (2017) Une indication d’efforts intentionnels visant à provoquer le réchauffement climatique et la fonte des glaciers ; Journal de géographie, environnement et sciences de la Terre International, 9 (1), 1-11.

[5] J. Marvin Herndon, PhD et Mark Whiteside, MD, MPH (2017) D’autres preuves de l’utilisation des cendres volantes de charbon dans la géoingénierie troposphérique : implications sur la santé humaine et environnementale (cliquez ici) Journal of Geography, Environment and Earth Science International, 9 (1), 1-8.

[6] J. Marvin Herndon, PhD (2018) Pénétration mortelle des ultraviolets UV-C et UV-B à la surface de la Terre : implications sur la santé humaine et environnementale. Journal de géographie, d’environnement et des sciences de la Terre International14 (2) : 1-11.

[7] Carl Sagan (2012) Dernière interview de Carl Sagan avec Charlie Rose https://www.youtube.com/watch?v=U8HEwO-2L4w&feature=emb_logo

[8]  https://www.theguardian.com/global-development/2015/dec/11/paris-climate-talks-anger-removal-reference-human-rights-from-final-draft

[9]  https://ec.europa.eu/commission/presscorner/detail/en/IP_17_1508

[10] ENMOD https://www.unog.ch/enmod

[11]  https://www.theguardian.com/environment/2012/feb/09/at-war-over-geoengineering

[12]  https://www.globalresearch.ca/the-globalization-of-war-the-military-roadmap-to-world-war-iii/28254

[13] Jacob Darwing Humblin (2013) Armer Mère Nature : La naissance d’un environnementalisme catastrophique : Oxford University Press

[14]  http://thespacereview.com/article/396/1

[15] Gordon JF MacDonald (1968) Comment détruire l’environnement, dans Sauf si la paix vient , Nigel Calder, Viking Adult

[16]  https://archive.org/details/WeatherAsAForceMultiplier/mode/2up

[17] Club de Rome https://www.clubofrome.org/

[18] Aurelio Peccei (1969) Le gouffre à venir – Collier Macmillan Ltd

[19] Criton Zoakos et Mark Burdman (1980) L’OTAN et le Club de Rome : The Aquariam command Executive Intelligence Review, 20 mai.

[20]  Laudato Si http://www.vatican.va/content/francesco/en/encyclicals/documents/papa-francesco_20150524_enciclica-laudato-si.html

[21] http://www.pas.va/content/accademia/en/academicians/ordinary/crutzen.html

[22] Dalaï Lama MIT http://news.mit.edu/2012/dalai-lama-visits-1016

[23]  https://keith.seas.harvard.edu/people/joshua-horton

[24] Elaine Dewar (1995) Cloak of Green Les liens entre les principaux groupes environnementaux, le gouvernement et les grandes entreprises -Toronto : James Lorimer and Company

[25]  https://www.discoverthenetworks.org/organizations/chicago-climate-exchange-ccx

[26]  https://www.foxnews.com/politics/obama-years-ago-helped-fund-carbon-program-he-is-now-pushing-through-congress .

[27] Alexander King (1991) La première révolution mondiale. Club de Rome

https://epdf.pub/club-of-rome-first-global-revolution.html

[28]  https://www.youtube.com/watch?time_continue=3195&v=DexLCszj1wM&feature=emb_logo

[29]  https://www.wbcsd.org/

[30]  https://www.iucn.org/es/node/15405

[31] Robin Corey (2004) Peur : L’histoire d’une idée politique. Presse universitaire d’Oxford

[32] https://www.globe.gov/

[33] https://www.nytimes.com/1998/06/04/technology/global-weather-project-unites-students-on-web.html

[34] https://www.nasa.gov/sites/default/files/atoms/files/active_international_saas_house_approps_action_as_of_9-30-2018.pdf

[35] https://www.wri.org/profile/james-gustave-speth

[36]  https://www.theclimatemobilization.org/advisory-board

[37]  https://www.theclimatemobilization.org/emergency-mode

[38]  www.wrongkindofgreen.org

[39]  https://sciencebasedtargets.org/

https://www.wri.org/our-work/project/science-based-targets-initiative

[40]  http://www.wrongkindofgreen.org/?s=Trojan+Horse

[41]  https://www.sierraclub.org/trade/what-green-new-deal

[42]  https://www.ft.com/content/9fe06a2a-11b7-11e4-8279-00144feabdc0

[43]  https://www.theclimatemobilization.org/emergency-mode

[44]  https://newclimateeconomy.report/

[45] https://naturalcapitalcoalition.org/the-value-of-ecosystem-services-from-giant-panda-reserves/

[46]  https://nodealfornature.org/#home

[47]  https://www.weforum.org/

[48] ​​http://www3.weforum.org/docs/WEF_Harnessing_4IR_Life_on_Land.pdf

[49]  https://www.weforum.org/centre-for-the-fourth-industrial-revolution

[50] https://www.weforum.org/press/2019/06/world-économique-forum-and-un-sign-strategic-partnership-framework/

[51]  https://www.youtube.com/watch?time_continue=195&v=93aEyOUI0vY&feature=emb_logo

[52]  http://www.telegraph.co.uk/news/uknews/6210255/EU-funding-Orwellian-artificial-intelligence-plan-to-monitor-public-for-abnormal-behaviour.html

[53]  https://ec.europa.eu/info/strategy/priorities-2019-2024/european-green-deal_en

[54] Rapport du Parlement européen sur l’environnement, la sécurité et la politique étrangère http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=-//EP//TEXT+REPORT+A4-1999-0005+0 +DOC+XML+V0//FR

[55]  https://www.europarl.europa.eu/news/en/press-room/20191121IPR67110/the-european-parliament-declares-climate-emergency

[56] https://world-nuclear-news.org/Articles/Nuclear-part-of-climate-solution-says-European-Par

[57]  https://www.euractiv.com/section/energy-environment/news/council-maintains-nuclear-as-eligible-for-green-finance/

[58] P. Oldham et coll. (2014) Cartographie du paysage de l’ingénierie climatique Philos Trans A Math Phys Eng Sci. 28 décembre 2014 ; 372 (2031). pii : 20140065. est ce que je : 10.1098/rsta.2014.0065. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4240957/

[59]  https://www.tni.org/en/energy-charter-dirty-secrets

[60]  https://ec.europa.eu/commission/presscorner/detail/pl/memo_17_1476

[61]  https://truepundit.com/al-gore-un-officials-team-up-to-push-a-new-deal-for-nature/

[62] Barry Sanders (2009) La zone verte – Coûts environnementaux du militarisme – AK Press


Chapitre VI

Les yeux grands ouverts à Chypre

par

Linda Leblanc

Chypre, une île de la Méditerranée orientale, se vante de ses promotions touristiques de bénéficier de plus de 300 jours de soleil par an, d’un climat typiquement méditerranéen avec un ciel bleu clair. Le tourisme, les services financiers et le transport maritime constituent l’épine dorsale de son économie, qui compte peu d’industrie lourde. En raison des conditions douces, les habitants passent plus de temps à l’extérieur, profitant de plages immaculées et de parcs nationaux qui attirent des visiteurs de toute l’Europe fuyant le smog industriel et le temps gris et froid. Les cafés en plein air et le mode de vie familial traditionnel et convivial sont des éléments standards de la vie insulaire décontractée. Cet environnement est si propice à la vie en plein air que les gens n’ont généralement pas à se soucier des conditions météorologiques, car elles sont presque toujours agréables et prévisibles.

C’est peut-être l’une des raisons pour lesquelles cela était si visible lorsque les lignes blanches ont commencé à sillonner le ciel bleu de Chypre, qui se sont ensuite étendues lentement mais sûrement, ont atténué le soleil et ont créé une brume laiteuse et nuageuse, maintenant courante dans la région méditerranéenne au sens large. . Avec un trafic aérien limité et seulement deux aéroports commerciaux internationalement reconnus, les lignes dans le ciel étaient difficiles à manquer pour quiconque jetait un coup d’œil au-dessus. L’environnement non pollué et les bonnes conditions météorologiques permettent à des dizaines de milliers d’habitants d’observer facilement un changement aussi visible.

En raison de ce phénomène apparemment contre nature, en 2008, les bureaux du Parti Vert de Chypre sur toute l’île ont reçu des centaines d’appels téléphoniques de résidents concernant ce trafic aérien inhabituel. Les jours où ce qui semble être une manipulation climatique évidente, les bureaux du Parti Vert ont été inondés d’appels exigeant une action et un débat public sur cette attaque environnementale qui se produit régulièrement dans le ciel au-dessus de Chypre.

Figure 1 Image satellite de la NASA au-dessus de Chypre, 4 février 2016

Réponse aux préoccupations du public

Le seul député du Parti vert à l’époque, M. George Perdikis , s’est de plus en plus engagé dans cette question. Le Parti Vert a organisé de nombreuses présentations avec des scientifiques, écrit des lettres au Parlement et aux ministres du gouvernement et tenu des conférences de presse et des événements de sensibilisation du public.[1] En 2010, le Comité d’action contre la pulvérisation de produits chimiques a été formé par des citoyens privés. En 2012, le Parti Vert a préparé un document d’information sur la géo-ingénierie, intitulé La modification du temps n’est pas une théorie du complot – Un appel à l’action . En 2012, les Verts de Chypre ont rejoint le mouvement anti-géo-ingénierie à l’échelle européenne et ont officiellement participé à la conférence de 2013 tenue au Parlement européen à Bruxelles.

On soupçonne que les pulvérisations aériennes ont été effectuées par des avions depuis les bases militaires souveraines britanniques à Chypre, peut-être en conjonction avec l’opération expérimentale du programme américain de recherche aurorale active à haute fréquence (HAARP) dans l’espace aérien de Chypre. Des manifestations ont eu lieu devant les bases militaires britanniques, qui continuent de nier toute implication.

Des rumeurs ont proliféré concernant des activités des militaires britanniques et américains sur les bases britanniques qui pourraient affecter les précipitations sur l’île, en particulier dans la ville côtière de Limassol. Il convient de noter que Limassol s’est retrouvée à court d’eau potable en 2008, ce qui a nécessité l’approvisionnement en eau d’urgence par navires-citernes en provenance de Grèce, pour un coût de plus de 35 millions d’euros. Bien que Chypre connaisse régulièrement des sécheresses cycliques, la récente sécheresse en Méditerranée orientale et au Proche-Orient est considérée par les scientifiques comme l’une des pires depuis 900 ans.[2]

Selon le gouvernement chypriote’s Department of Meteorology, le climat de Chypre au cours du siècle dernier avait “variations et tendances remarquables,” en particulier dans les précipitations et la température, et, qui ont également été observés dans les pays voisins du Moyen-Orient. Une quantité erratique de précipitations s’accompagne d’une tendance à la hausse de la température annuelle moyenne à Chypre, dans les zones urbaines et rurales. Ces tendances sont décrites sur le site Web du gouvernement comme “évidence de changement dans la circulation générale de l’atmosphère dans la région.”[3] Pour Chypre, dans une période de 30 ans de la seconde moitié du 20th , les précipitations moyennes a diminué de 17% par rapport à ceux de la première moitié du siècle dernier. La tendance à la baisse s’est poursuivie de 1990 jusqu’à l’année hydrométéorologique hivernale 2018/2019 (octobre-janvier), qui a connu une augmentation extrêmement élevée de 165 % par rapport à la « normale » au cours de la période 1961-1990, ce qui en fait l’une des années de précipitations les plus élevées enregistrées. depuis 1901. Fait remarquable, les fortes précipitations se sont poursuivies en février 2019, avec près du double de la moyenne mensuelle. Cette tendance aux niveaux de précipitations exceptionnels s’est poursuivie jusqu’à la saison hivernale suivante. Le mois de décembre 2019 a enregistré 188 % de la normale, ce qui a conduit à un record historique de près de 100 % de débordements de barrages en janvier 2020 et s’est poursuivi en février, encore une fois avec des précipitations et un froid record. Cependant, moins d’un an plus tard, les précipitations se sont transformées en sécheresse, avec une baisse d’environ 30 % des précipitations et, par conséquent, une diminution du stockage dans les réservoirs. Les variations extrêmes des précipitations provoquent des ravages dans les pays semi-arides particulièrement vulnérables, qui dépendent des précipitations hivernales pour leur agriculture et leur approvisionnement en eau en général. Je doute que ce soit une coïncidence si les sécheresses extrêmes récemment connues et les précipitations record se sont accompagnées d’une manipulation météorologique dans le ciel au-dessus de Chypre.

Actions au Parlement chypriote

Selon diverses sources, les bases militaires britanniques à Chypre feraient partie du réseau d’espionnage ECHELON et HAARP, dont le but serait de tenter de contrôler la météo de la planète. Des informations ont établi un lien entre les avions américains KC-10 et KC-135 et le programme HAARP et la pulvérisation aérienne de produits chimiques. Suite à une question posée en 2009 par le député des Verts sur ces avions, le ministre chypriote des Affaires étrangères a demandé une réponse de la Haute-commission britannique à Chypre. La réponse a été que certains types d’avions américains traversaient Chypre mais que ces avions n’avaient pas transité par les bases britanniques après la fin 2008.

Les discussions sur les manipulations météorologiques présumées se sont poursuivies au sein d’une commission parlementaire en mars 2009, avec la décision de créer un comité technique interministériel pour l’étude du phénomène. Pour des raisons inconnues, ce comité a cessé ses activités en juin 2010 après seulement deux réunions.

Le député du Parti vert Perdikis a soumis d’autres questions officielles au Parlement et a organisé d’autres réunions de la commission parlementaire de l’environnement en 2010, 2012 et 2016 pour enquêter sur la question et entendre les points de vue du public concerné.[1]

En 2011, une autre question a été soulevée par le député Vert concernant la position chypriote sur la Convention du Traité des Nations Unies (COP10) sur la diversité biologique, qui a approuvé un moratoire sur la géo-ingénierie .

La réponse du gouvernement a été qu’il soutenait le moratoire, déclarant que le principe de précaution devrait être appliqué en raison du manque de contrôles efficaces sur la géo-ingénierie et de ses effets possibles sur la biodiversité et que la manipulation du climat devrait être arrêtée jusqu’à ce qu’il y ait une justification scientifique pour de telles actions. Concernant les préoccupations exprimées concernant la possibilité de pulvérisations chimiques dans l’air à Chypre, le ministre a réitéré qu’il avait été décidé de confier une étude à la question aux services responsables.

Les Verts et le Comité d’action citoyen ont poursuivi leur campagne contre les nuages ​​chimiques suspects et les survols d’avions laissant derrière eux des éléments toxiques considérés comme potentiellement dangereux pour la santé publique. Une pétition a été lancée pour que les habitants puissent contribuer au mouvement de protestation contre les pulvérisations aériennes présumées, exigeant une enquête immédiate et que le gouvernement respecte son engagement envers les citoyens d’examiner les conséquences probables sur l’environnement et la santé de la population.

Échantillonnage par le gouvernement chypriote

Sous la pression continue des écologistes, le gouvernement a procédé en 2011 à des prélèvements d’eau de pluie et d’air qui seront effectués par les départements des forêts et de la météorologie.

En 2015, toujours dans l’attente de la publication des résultats des analyses, la commissaire à l’environnement, Mme Ioanna Panayiotou , et le député des Verts Perdikis, ont écrit séparément au ministre compétent et aux chefs des départements concernés pour demander la publication des résultats des analyses. les échantillons prélevés en 2011. Finalement, l’information a été divulguée. Le gouvernement a indiqué qu’en 2011, le Département des forêts avait collecté cinq échantillons d’atmosphère avec un avion à deux endroits sur les côtes sud et ouest, à une hauteur de 8 000 à 10 000 pieds. Trois prélèvements sur cinq ont eu lieu après la réception d’informations du Comité d’Action privé faisant état de lignes observées dans le ciel. À des fins de comparaison, les deux autres échantillons d’air ont été prélevés des jours où l’atmosphère semblait claire. Le service météorologique a effectué des mesures les jours où de la pluie était constatée. Après chaque échantillonnage, les filtres ont été envoyés au laboratoire d’État du gouvernement, qui a effectué des analyses pour l’aluminium, le baryum, le magnésium, le nickel, le chrome, le strontium et le cadmium. Les résultats ont ensuite été envoyés au Département de l’Inspection du travail qui, dans une lettre datée du 5 août 2013, a informé le ministère que les analyses étaient inférieures aux mesures habituelles que le Département effectue sur les particules de l’air dans différentes régions de Chypre.

Le ministre compétent de l’Agriculture, des Ressources naturelles et de l’Environnement a informé le Parlement en octobre 2015 que, sur la base des résultats des analyses pertinentes, aucune conclusion ne pouvait être tirée selon laquelle des pulvérisations aériennes étaient effectuées dans l’atmosphère de Chypre. Le ministre a cependant également assuré au Parlement que la République de Chypre ne soutient aucune interférence avec l’atmosphère dans le but de modifier les conditions climatiques par pulvérisation aérienne qui pourrait affecter l’environnement et la santé humaine.

Le Parti Vert de Chypre ne considère néanmoins pas que l’étude menée par les autorités compétentes était exhaustive pour plusieurs raisons, notamment par le fait que l’équipe d’enquête ne comprenait pas de représentant du comité d’action de base comme promis et qu’elle n’avait pas pris soin d’examiner pour les nanoparticules.

Le Parti Vert de Chypre salue la position claire du gouvernement chypriote contre la géo-ingénierie, mais les écologistes continuent d’insister sur un échantillonnage indépendant et une analyse chimique des substances contenues dans les nuages ​​​​chimiques suspectés.

En février 2016, toujours à la demande du député de Greens’, une audition a été convoquée par la Commission Parlementaire de l’Environnement pour discuter d’éventuels problèmes environnementaux liés à la mise en œuvre de la géo-ingénierie. Des politiciens et des représentants de nombreux ministères étaient présents à cette réunion pour entendre les préoccupations des associations agricoles, y compris les apiculteurs de Chypre et un chercheur de Grèce. Il a été promis lors de cette réunion qu’une enquête complète serait entreprise par le chef des Services de l’Environnement, un département du Ministère de l’Agriculture, des Ressources Naturelles et de l’Environnement, avec le soutien total du ministre, M. Nicolas Kouyiallis.

Quelques mois plus tard, les résultats de l’enquête des services de l’environnement sont parus dans les journaux de langue grecque. Aucun rapport officiel écrit n’a été publié ou rendu public, aucun échantillon d’air ou d’eau n’a été prélevé, mais il a été décidé lors d’une réunion à huis clos de représentants du gouvernement qu’il n’y avait aucune preuve d’intervention de géo-ingénierie à Chypre. Le ministre a soutenu qu’il ne pouvait être corroboré que des expériences et des recherches visant à modifier artificiellement les conditions climatiques aient eu lieu à Chypre.

En mars 2017, le député des Verts Perdikis a déclaré que l’enquête gouvernementale de 2016 ne comprenait aucune recherche d’échantillonnage et qu’il était toujours insatisfait de l’incapacité du gouvernement à répondre aux préoccupations du public concernant les soupçons de géo-ingénierie à Chypre.

Image de droite : logo du parti des Verts de Chypre (Source : Verts européens )

Grâce au travail des Verts de Chypre, le Parlement chypriote est probablement le premier parlement national au monde à discuter de la question de la géo-ingénierie, bien que des lois contre la géo-ingénierie soient proposées dans certains États américains. Les efforts des Verts chypriotes ont toutefois été moins fructueux dans leurs tentatives d’impliquer leurs collègues du Parti Vert en Europe dans des recherches sur la question et ses conséquences inconnues sur l’environnement et la santé. De nombreux politiciens et environnementalistes refusent de discuter de ce sujet alors qu’il touche presque toutes les questions environnementales : changement climatique, pollution de l’air, océans, biodiversité, forêts, santé et sécurité publiques, qualité de vie, justice sociale, consentement éclairé, gouvernance et transparence.

C’est déjà arrivé

L’épandage secret de substances toxiques sur des populations sans méfiance n’est pas sans précédent. Quelques opérations bien documentées, secrètes et contraires à l’éthique fournissent un cadre utile pour mieux comprendre cette résistance à accepter la possibilité d’un programme clandestin et mondial de géo-ingénierie.

Ces dernières années, des cas choquants ont été révélés concernant des expériences réalisées sans consentement, aux États-Unis et au Royaume-Uni. Comme l’a révélé une étude indépendante[4] du ministère britannique de la Défense, entre 1940 et 1979, des essais de pulvérisation top secrets ont eu lieu au Royaume-Uni en utilisant une concoction chimique de sulfure de zinc et de cadmium. L’armée britannique a secrètement aspergé la population britannique plus de 100 fois avec des composés toxiques similaires, des événements que les gouvernements successifs ont tenté de réprimer.

En 1994, l’armée américaine a confirmé au Congrès qu’elle avait mené des expériences secrètes avec des produits chimiques toxiques pulvérisés sur des populations vivant dans des logements sociaux dans plusieurs villes américaines dans les années 1950 et 1960.[5]

C’est grâce aux demandes persistantes d’accès à l’information que ces opérations secrètes de pulvérisation ont été révélées. Ces révélations sont également rarement couvertes par les grands médias, ce qui conforte l’argument selon lequel il existe des efforts concertés pour manipuler l’information publique et tromper le public.

Les implications seraient ahurissantes si des projets secrets similaires avaient lieu aujourd’hui. Cela serait en contradiction avec une façade soigneusement construite d’un monde de gouvernements responsables, responsables devant les personnes qui sont censées les avoir élus pour protéger leur sécurité et leur bien-être. Incapables intellectuellement et émotionnellement d’accepter que de tels programmes puissent avoir lieu et les implications qui y sont associées, les démystificateurs sont tout simplement aveugles à la moindre preuve. Il existe peut-être un fardeau cognitif non reconnu que certaines personnes sont tout simplement incapables de supporter.

Cécité volontaire

À l’exception du Parti Vert de Chypre, la plupart des groupes environnementaux sont coupables de leur refus de considérer comme valides et dignes d’enquête les plaintes du public concernant les problèmes environnementaux potentiels créés par la géo-ingénierie en cours. Un certain nombre de conditions constituent un terrain fertile pour un refus aussi obstiné d’accepter ce qui, pour beaucoup, est une évidence. Les organisations environnementales mondiales qui réussissent font désormais partie de l’establishment, que ce soit en tant qu’organisations non gouvernementales ou en tant que partis politiques. Dépendant du financement, ils sont désireux de maintenir leur crédibilité et d’accroître leur statut au sein du courant dominant. De nombreux employés de groupes environnementaux sont devenus des créatures de bureau, passant du temps à leur bureau à l’intérieur toute la journée, sans jamais jeter un coup d’œil au ciel de plus en plus gris, couvert de nuages ​​et entrecroisé. Est-ce qu’ils lèvent même occasionnellement les yeux depuis leurs ordinateurs et appareils portables qui les retiennent captifs ? S’ils remarquent les motifs en zigzag omniprésents, ils les considèrent comme des traînées de condensation normales du trafic aérien commercial. Ils rejettent tout aussi facilement les « théories du complot folles » dont ils entendent parler dans les médias grand public. Le scénario des chaînes d’information contrôlées garantit que la question est constamment ridiculisée, conçue pour fustiger cette question environnementale et sanitaire comme une « théorie du complot » sans fondement.

Au fil des années, les moqueries incessantes des grands médias ont fait taire certains dirigeants du Parti vert chypriote, qui en sont venus à croire qu’il était politiquement trop coûteux de continuer à parler publiquement de cette question. Les médias de langue grecque ont même développé une nouvelle étiquette, « les pulvérisés/Ψεκασμένοι », appliquée à ceux qui croient aux complots, les « irrationalistes ». Le terme péjoratif est désormais également utilisé pour ceux qui s’opposent aux vaccins/injections expérimentaux mondiaux contre le coronavirus. Pour ne citer qu’un exemple, en juillet 2021, le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis a qualifié les opposants à la vaccination de « ceux qui sont pulvérisés ».

Face à une étiquette aussi controversée promue par les grands médias, de nombreuses organisations et individus réagissent avec un réflexe de scepticisme programmé et refusent de considérer la recherche indépendante. Cela a été un outil efficace pour ridiculiser les chercheurs et le public qui n’acceptent pas la propagande trompeuse diffusée auprès des masses.

Pourtant, il s’agit bien d’une conspiration – et non d’une théorie – contre le peuple et conçue pour dissimuler la vérité. Heureusement, les médias grand public, de plus en plus discrédités, sont révélés comme captifs de leurs maîtres, industriels et autres, qui font partie intégrante de la conspiration.

Faux consentement public

Coïncidant avec une campagne médiatique visant à discréditer les allégations de manipulation climatique mondiale en cours, une campagne de relations publiques vise à faire accepter la nécessité de la géo-ingénierie. De nombreuses conférences universitaires bien financées ont fleuri ces dernières années.[6] L’Institut d’études avancées sur le développement durable (IASS) en Allemagne a organisé la première conférence internationale sur l’ingénierie climatique en 2014 et organise de tels rassemblements chaque année. Les universités d’Oxford, de Cambridge et de Harvard sont également impliquées dans la question de la manipulation climatique. Harvard a officiellement créé, au printemps 2017, un programme de recherche en géoingénierie solaire. Ces groupes insistent tous sur le fait qu’il n’y a pas de véritable géo-ingénierie. Il est important de noter que ces conférences donnent une apparence soigneusement manipulée de « consultation publique », qui est ensuite interprétée comme représentant l’approbation du public. Ces scientifiques et universitaires affirment que la recherche sur la géo-ingénierie en est à ses débuts, ce qui implique que la géo-ingénierie, et plus particulièrement la gestion du rayonnement solaire, ne sont que des programmes de recherche hautement théoriques.

Les rapports crédibles émanant de chercheurs indépendants qui ont minutieusement étudié la question à travers le monde sont rejetés. Leurs preuves comprennent des échantillons de sol et d’eau présentant des niveaux extrêmement élevés d’aluminium et de baryum dans des zones soumises à de fortes pulvérisations aériennes. Cela indique qu’il existe déjà un projet d’une ampleur sans précédent, en application mondiale à grande échelle, mis en œuvre sans cadre juridique, national ou international. Elle viole les droits humains fondamentaux et souverains, le principe de précaution et met en danger les écosystèmes de la planète et tous les organismes vivants.

L’Europe a adopté en 1998 la Convention d’Aarhus (2003/4 CE, Access to Information, Public Participation in Decisionmaking and Access to Justice in Environmental Matters) qui lie les droits de l’homme et de l’environnementCette protection ainsi que d’autres mesures internationales de protection du public ont été mises de côté (par exemple, la Déclaration universelle des droits de l’homme, la Convention des Nations Unies sur la modification de l’environnement ENMOD interdisant aux nations de modifier délibérément le temps, et autres, à des fins hostiles). Un exemple récent est celui de 2016, lorsque le Parlement européen a rejeté une pétition crédible et bien documentée et un appel à une enquête sur la géo-ingénierie. Elle a été rejetée sans autre enquête, sur avis reçu par la Commission européenne selon lequel le Parlement européen n’a aucune compétence dans le domaine des initiatives militaires et que la législation environnementale de l’UE est sans objet en ce qui concerne les activités militaires. Des blocages similaires se sont produits il y a plus de 20 ans avec le rapport Theorin, qui comprenait une proposition adoptée par la commission des affaires étrangères, de la sécurité et de la politique de défense, mais jamais mise en œuvre, qui appelait à l’ouverture et au contrôle démocratique de la recherche militaire et à l’application des lois civiles sur l’environnement. aux activités militaires.[7]

De toute évidence, révéler la réalité d’une manipulation secrète du climat mondial brise une vision du monde illusoire qui fascine tant de gens. Ces nouvelles connaissances peuvent éloigner certains de leur zone de confort. Maintenir l’illusion d’un monde démocratique et responsable devient primordial, ce qui entraîne automatiquement une réponse de rejet.

Pourquoi Chypre peut être différente

Une enquête simple et minutieuse révèle certaines considérations fondamentales propres à la République de Chypre. La plupart des habitants semblent reconnaître la possibilité de manipulations météorologiques clandestines au-dessus de l’île. Peut-être que cela est perçu comme le dernier d’une longue chronique de répression et d’exploitation. Tout au long de sa longue histoire tragique, elle a profondément souffert de l’invasion et de l’occupation, y compris celle actuelle qui continue de diviser l’île à la suite de la guerre de 1974, laissant plus d’un tiers de l’île sous occupation par la Turquie.

La présence de bases militaires souveraines britanniques sur l’île ouvre la voie à des actions suspectées liées à des expériences militaires de manipulation météorologique. Vestiges du passé colonial, les bases souveraines ont été conservées par la Grande-Bretagne comme condition de l’indépendance accordée à la République de Chypre en 1960. Ces territoires, qui font officiellement partie de la Grande-Bretagne et ne sont pas sous juridiction chypriote, couvrent 98 miles carrés et environ 3 % du territoire. l’Ile. Il existe une base aérienne, plusieurs zones de garnison et de nombreuses stations radar, ces dernières étant des « postes d’écoute » situés en dehors des zones de bases officielles.

En raison de la division de l’île, il existe des contrôles de la circulation aérienne soigneusement désignés. Certains des vols d’avion de géo-ingénierie soupçonnés sont trouvés en dehors de ces couloirs officiels de trafic aérien, sillonnant le ciel dans toutes les directions et s’étendant à travers le ciel d’une manière complètement non naturelle. Les représentants du Département de l’Aviation Civile l’ont admis dans les commissions parlementaires et se sont même demandés qui faisait cela. Il y a aussi des rapports que ces avions’ transpondeurs sont éteints.

Certains membres du Parti Vert chypriote restent inébranlables dans des observations qui conduisent à une conclusion bien différente de celle de leur gouvernement. Les observations de pulvérisations aériennes de produits chimiques et de manipulations météorologiques avec des lignes artificielles dans le ciel se poursuivent. Dans la grande ville côtière de Limassol, le bureau du Parti Vert écrivait en février 2016 :

« Nous sommes convaincus qu’il y a des pulvérisations chimiques (aériennes). Nous pensons que le gouvernement a l’énorme responsabilité d’enquêter pleinement sur le phénomène et de prendre les mesures nécessaires pour y mettre un terme.

Ils bénéficient du soutien de dizaines de milliers d’habitants de Chypre.

Pour le moment, alors que de nouvelles révélations révèlent les liens sous-jacents du cartel mondial avec ses projets destructeurs de vies, les rangs des « pulvérisés » continuent de croître.

Remarques

[1] Questions parlementaires chypriotes posées par le député vert George Perdikis, Nicosie.

Question n° 23.06.009.03.279, 29 décembre 2008 (Bases britanniques à Chypre et HAARP)
Question n° 23.06.009.03.282, 5 janvier 2009 (Activités britanniques et américaines sur les bases militaires affectant les précipitations)
Question n° 23.06 .009.03.286, 7 janvier 2009 (avions KC-10 et KC-135, HAARP)
Question n° 23.06.009.05.01.724, 7 avril 2011 (Géo-ingénierie et moratoire COP10 de l’ONU)
Auditions de la commission parlementaire de l’environnement de Chypre

7 octobre 2010 : Témoignage du Dr Katsaros (chimiste scientifique, Centre de recherche Democritos Athènes, échantillonnage correct des nuages ​​chimiques)

nov. 29, 2012, « L’impact sur le bilan hydrique et la santé des résidents de Chypre des pulvérisations potentielles d’avions des bases britanniques dans l’atmosphère », proposition du député Perdikis, dossiers nos 23.04.028.555-2011 et 23.04.026.049-2009 « Informations concernant la recherche expérimentale de HAARP sur la base britannique d’Akrotiri et ses effets graves sur l’environnement », dossiers nos 23.04.028.555-2011 et 23.04.025.232-2008.

17 février 2016, député Perdikis, dossier n° 23.04.033.014-2016 « Problèmes environnementaux possibles résultant d’une intervention dans les conditions climatiques avec la mise en œuvre de la géo-ingénierie et de la pulvérisation chimique aérienne (chemtrails) »

[2] Journal of Geophysical Research : Atmospheres, 2016, Cook, Benjamin I. et al , Variabilité spatio-temporelle de la sécheresse en Méditerranée au cours des 900 dernières années

[3] Ministère chypriote de l’Agriculture, Département de météorologie  http://www.moa.gov.cy/moa/ms/ms.nsf/DMLcyclimate_en/DMLcyclima te_en?OpenDocument

[4] Professeur Brian G. Spratt FRS, Welcome Trust Center for the Epidemiology of Infectious Disease, Université d’Oxford, Examen indépendant des risques sanitaires possibles liés à la libération à grande échelle de bactéries pendant les essais de défense forestière (2002)

[5] Lisa Martino-Taylor, Ph.D., coordinatrice du programme d’études mondiales, professeure agrégée de sociologie, St. Louis, Université du Missouri-Columbia, auteur de « Beyond the Fog – How The US Cold War Radiological Weapons Program Exposed Innocent Americans » (2017), basé sur sa thèse de doctorat de l’Université du Missouri-Colombie, « The Manhattan-Rochester Coalition, Research on the Health Effects of Radioactive Materials and Tests on Vulnerable Populations without Consent in St. Louis » (2012)

[6] Programme de géo-ingénierie d’Oxford :  http://www.geoengineering.ox.ac.uk/oxford-principles/principles/

Conférence de Cambridge sur la géoingénierie (SRM Science 2015) : http://www.srms-cambridge.eng.cam.ac.uk/

Centre pour l’environnement de l’Université Harvard, printemps 2017 : Programme de recherche en géoingénierie solaire http://geoengineering.environment.harvard.edu/ &nbsp;http://harvardmagazine.com/2013/07/buffering-the-sun#article-images

[7] Résolution Theorin, Parlement européen, A4-0005/1999, 28/01/1999

Résolution sur l’environnement, la sécurité et la politique étrangère


Chapitre VII

Pourquoi les gens ne réalisent-ils pas

Sont-ils pulvérisés comme des insectes ?

par

Claire Henrion

Pourquoi ne voient-ils pas les quantités incroyables d’avions et leurs traînées anormales ?

Pourquoi ne comprennent-ils pas qu’ils sont à la fois les victimes et les acteurs zélés et ignorants d’une guerre monstrueuse ?

Notre civilisation nous a conditionnés à être aveugles.

Quand il m’est arrivé de voir les premières pulvérisations évidentes de produits toxiques dans le ciel, des avions qui volaient visiblement bien plus bas que l’altitude requise pour former des traînées de condensation (soit 8000 m comme on me l’avait appris auparavant en tant qu’étudiant en météorologie). C’était le 26 décembre 1999 au Québec lorsque la France a subi la double tempête la plus importante de son histoire (mais je ne le savais pas à l’époque). Un frisson d’horreur me parcourut le dos. Ils osent faire ça ! Ils osent aller aussi loin dans la course aveugle de l’homme à la destruction et au mépris de la vie ! Le même jour, j’apprends d’une femme du coin qui habite le charmant petit village de Saint Adolphe où je séjourne, que le Canada subit ces sentiers depuis 1995. De retour en France, j’oublie tout jusqu’au 16 mai , 2002 où j’ai vu de ma fenêtre, de mes propres yeux, de nombreux avions voler dans le ciel qui produisaient le même type de traînées. Depuis cette date, ces pulvérisations n’ont jamais cessé. Ils se sont même intensifiés.

J’étais horrifié et consterné, mais j’ai rapidement commencé à ressentir un grand espoir: tout le monde serait rapidement conscient de ce qui se passait et ce serait la fin de l’emprise de l’esprit de destruction, la fin de la croyance naïve que les dirigeants du monde travaillent pour le bien public et que les armées nous protègent; cette technologie et cette chimie vont remédier à la souffrance humaine – alors qu’elles ne font que créer et apporter plus de souffrance à toutes les créatures. C’était juste le signe du mal, le signal nécessaire pour que les êtres humains ouvrent leurs yeux et leurs cœurs, pour prendre en charge leur destin commun, celui de notre planète, pour les générations futures et simple respect de la Vie, de la Création et de la Nature. L’occasion de tourner la page sur 5 000 ans d’impérialisme qui n’ont produit que des souffrances humaines, la destruction de la Nature et de la Connaissance.

« Il y aura des événements effrayants et de grands signes venant du ciel »[1]. Et pourtant, la plupart de ceux qui proclament ces paroles ne voient pas ces grands signes, dessinés chaque jour dans le ciel par des escadrilles d’avions incroyablement nombreuses.

Que se passe-t-il dans notre esprit ? Comment pouvons-nous perdre à ce point notre instinct de survie ?

Nous sommes aujourd’hui en 2017. Les chaînes d’assemblage aéronautiques de notre région toulousaine tournent sans relâche à pleine capacité pour fabriquer des avions. Mais qui peut acheter autant d’avions ? Heureusement, de plus en plus de gens réalisent chaque jour qu’il y a quelque chose qui ne va pas dans le nombre d’avions, dans l’altitude à laquelle ils volent, dans les traces qu’ils laissent derrière eux et dans les effets qui en résultent sur l’atmosphère, la météo et la santé. Établir les faits et être convaincu qu’il faut mettre un terme à tout cela est devenu une priorité vitale. Tous nos efforts doivent viser à démanteler la clé de voûte de toute la structure du mensonge qui empoisonne aujourd’hui totalement notre santé, nos esprits et notre environnement : la chimie de synthèse toxique qui a envahi l’agriculture et toutes les sphères de la vie quotidienne, la pharmacopée, les OGM, la cacophonie de tout les longueurs d’onde et tout le lot d’appareils nucléaires, bactériologiques, électromagnétiques, climatiques utilisés par les apprentis sorciers qui contrôlent ce monde.

« L’ombre du rhinocéros s’étend sur les cieux de notre planète » (Overcast)[2].

Cela a commencé parce que…

Dans son livre « La Guerre Secrète contre les Peuples[3] », Claire Séverac livre une analyse particulièrement pointue de notre histoire récente. Dans ce brillant travail d’investigation, elle remonte aux sources juridiques et aux faits des relations internes qui, pendant de nombreuses décennies, ont conduit des groupes politiques industriels et militaires à mettre en œuvre les programmes de pulvérisation aérienne et d’interventions électromagnétiques auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui. Mais pourquoi le font-ils ? – « Parce qu’on les laisse faire ! »  Michael Murphy dit[4]. Et comment envisager une issue à une situation aussi dramatique ?

Comme je me sens particulièrement concerné et désireux de nous aider tous à réveiller la conscience de notre être originel primal, “ dont l’ignorance fatale couronne le règne des ténèbres[5]”, Je me suis consacré à analyser les concepts soutenant nos valeurs de société actuelles d’une part, et d’autre part à étudier le fonctionnement de notre cerveau.

Les êtres humains ne prêtent presque aucune attention aux causes fondamentales et premières de tout. C’est ce dont l’humanité ne veut pas s’occuper; nous ne voulons pas y penser[6]. Selon Noberto Keppe, cette paresse fondamentale résulte de l’inversion commune qui nous fait penser que l’énergie sort de la matière. Certes, nous sommes souvent induits en erreur à nos dépens, mais don’t nous avons une paresse fondamentale à remettre en question nos croyances et à laisser les autres ranger le foyer de nos vies où les cendres s’accumulent si rapidement?

Claudia von Werlhof analyse de son côté ce phénomène comme la « haine de la vie », qui est le concept de base de toutes nos civilisations impérialistes, un concept qui n’a jamais été remis en question : il s’agit de détruire ce qui existe et de tout reconstruire selon un « idéal ». ».

Je commencerai donc par retracer l’histoire des événements, puis je développerai brièvement quelques chapitres pour éclairer cette recherche des causes fondamentales :

  • le déclin de la condition féminine, de ses fonctions et de ses valeurs depuis le début de l’histoire
  • donner naissance et accoucher aujourd’hui qui illustrent et expliquent pourquoi un processus diamétralement opposé à la physiologie est toujours utilisé actuellement
  • la division entre l’astronomie et l’astrologie, toutes deux reconnues comme la « Mère des Sciences »
  • le fonctionnement du cerveau humain

Cela a commencé quand…

Histoire récente des entreprises industrielles, chimiques et pétrolières

Les scientifiques d’aujourd’hui qui réfléchissent à l’éthique des sciences découvrent que la recherche est toujours parrainée par ceux qui la financent[7]. Et ceux qui le financent possèdent des richesses terrestres et souterraines depuis des siècles. Plus précisément, il s’agit aujourd’hui et depuis la fin du XIXe siècle des consortiums pétroliers, chimiques et pharmaceutiques. Ils interviennent soit directement, soit à travers les institutions officielles, notamment européennes. Comme l’explique le Dr Rath[8], les fondateurs de l’Union européenne ne sont autres que les nazis, bientôt « blanchis » après la Seconde Guerre mondiale, c’est-à-dire les promoteurs des entreprises (Bayer, IG Farben…), qui œuvraient auparavant pour gagner pouvoir en Allemagne dans les années 1930[9].

Cela a été amplifié par…

L’interdiction du chanvre

J’aimerais m’éloigner un moment et parler d’un sujet connexe : l’interdiction du chanvre et du cannabis. C’était la plante la plus répandue et la plus connue de la planète. Jusqu’au 19ème sièclesiècle, chaque citoyen américain devait cultiver un acre de chanvre et devait payer ses impôts avec du chanvre[10]. En Europe aussi, chaque agriculteur avait sa parcelle de chanvre. Le chanvre offre beaucoup d’avantages pour la santé des personnes, il enrichit le sol et a de nombreuses autres utilisations. Il rivalisait si bien avec le pétrole, les produits chimiques et les produits pharmaceutiques qu’il devint soudainement interdit. Il fut interdit d’abord en France en 1934, puis aux Etats-Unis en 1937, sous la pression des lobbies puritains et des industries chimiques. Depuis lors, la fleur de chanvre (appelée “cannabis” ou “marijuana”) a été diabolisée et interdite en tant que drogue dangereuse – et est devenue parfois très dangereuse en raison de l’ignorance, l’effet de fascination, et l’altération du produit’s il a obtenu comme un produit interdit.

Bien qu’il relie les deux hémisphères cérébraux et guérisse la glande pinéale, il est difficile de mesurer dans quelle mesure sa consommation (répandue bien qu’interdite) aide les gens à maintenir leur santé et leur moral, mais il est très probable que sans chanvre, le taux de mortalité serait encore plus élevé. Aujourd’hui en France, la désinformation et la propagande contre le cannabis se font de plus en plus fortes dans les médias et à travers les autorités sociales.

Les gouvernements perdent leur souveraineté

Pendant ce temps, les consortiums pétroliers, chimiques, pharmaceutiques et bancaires étaient devenus très riches, grâce aux produits toxiques qu’ils fabriquaient et vendaient pour alimenter la guerre des tranchées pendant la Première Guerre mondiale. En fait, ils étaient devenus suffisamment riches pour acheter le gouvernement américain qui, à son tour, avait été ruiné à cause de son engagement dans la guerre. Par conséquent, depuis la Première Guerre mondiale, il y a maintenant un siècle, le gouvernement américain a perdu sa souveraineté : il est dirigé par ce cartel de banques et d’entreprises industrielles. Al Gore le dit explicitement dans son dernier livre : « The Future : Six Drivers of Global Change » :

« Notre démocratie a été piratée. Le pays est complètement paralysé. Attaché au porc. Pourquoi? L’influence de l’argent. Le membre moyen de la Chambre et du Sénat doit passer cinq heures par jour à mendier de l’argent auprès des riches. Mendier de riches intérêts pour de l’argent ! Et ces gens riches et ces riches intérêts ne vous donnent pas d’argent sans aucune condition. Certainement pas. En échange de leur argent, ils veulent des votes qui leur seront bénéfiques. Le joueur de cornemuse est payé. ( Gore ).

Grâce à l’interdiction du chanvre, ils pourraient facilement introduire des produits chimiques pour l’agriculture, des matières textiles synthétiques, des toxiques pour les médicaments et l’alimentation, très actifs pour réparer leurs dégâts – sans chanvre.

Puis ce fut la Seconde Guerre mondiale, avec les horribles camps de la mort, une formidable augmentation du nombre de produits chimiques et l’enrichissement des entreprises industrielles.

Et les « scientifiques médicaux nazis » expérimentaient sur des hommes et des femmes… Ils introduisaient du fluor dans l’eau potable des prisonniers pour les rendre plus obéissants. Contrairement au chanvre, le fluor empêche la communication entre les deux hémisphères cérébraux. Une telle pratique perdure encore aujourd’hui : peut-on la considérer comme un obstacle à la compréhension de ce qui se passe dans le ciel ? L’approche médicale dogmatique d’aujourd’hui a beaucoup à voir avec l’esprit nazi : de plus en plus d’examens médicaux, de moins en moins de diagnostics, un recours croissant aux produits chimiques quel que soit l’état de santé du patient… Pire que le bruit des bottes, il y a le silence des pantoufles. .» ( Max Frisch )

Après la Seconde Guerre mondiale, tous les pays d’Europe occidentale ont dû rejoindre l’OTAN pour aider le « grand frère » et se mettre sous sa « protection ». Sans parler de toutes les guerres qui n’ont jamais pris fin partout dans le monde, fomentées pour approvisionner le marché.

Au moins deux dirigeants des nations européennes ont fermement résisté à l’expansion de l’OTAN : De Gaulle et Tito. Mais en France, le mouvement de 1968 a été utilisé pour déstabiliser De Gaulle. Puis, en 1981, lorsque Tito, le leader des pays non alignés, est mort, de nombreux journalistes yougoslaves ont été assassinés à l’étranger et la discorde a secoué la population.

Au cours des années 1990, les autorités françaises n’ont sans doute pas spontanément accepté de collaborer à l’épandage de leur espace aérien. Nous avons eu un petit signal de HAARP avec les terribles tempêtes des 26 et 27 décembre 1999. Puis nous sommes revenus à la normale jusqu’à ce que la France soit d’accord et que les pulvérisations générales et systématiques commencent en 2001 et 2002. Et pourtant, presque personne n’a rien vu.

L’introduction de la géo-ingénierie civile en Europe et l’apparition d’un nouvel ennemi : le CO 2 

Depuis 2008, la Royal Society de Londres organise des conférences publiques sur la « géoingénierie ». Ce nouveau terme a ensuite été utilisé dans d’autres pays et langues européens, lors de différentes conférences et séminaires, établissant la forte conviction que les émissions de CO 2 sont la principale cause du réchauffement climatique.

Pourtant, la proportion de CO 2 dans l’atmosphère terrestre est ridiculement faible (inférieure à 0,05 %). En 10 ans, le CO 2 est devenu le bouc émissaire, le non-problème pour détourner notre attention et dissimuler le fait que le réchauffement est dû à l’utilisation d’armes électromagnétiques comme HAARP. Il y a bien un réchauffement anthropique, non pas dû au CO 2 émis par les activités civiles, mais résultant en réalité de l’utilisation d’armes climatiques qui font fondre la calotte polaire, dévient le courant-jet et créent le chaos climatique. Ces armes climatiques constituent la partie immergée de l’iceberg, soit en fait les huit neuvièmes de celui-ci.

Les plantes sont gourmandes en CO 2 . Ils n’ont besoin que de la lumière du soleil pour synthétiser le carbone et restituer l’oxygène. Mais au lieu de cela, ces scientifiques « érudits » ignorants, adoptant une fausse hypothèse, empêchent les rayons du soleil d’atteindre la Terre en créant une couche de nuages ​​artificiels, réduisant ainsi le soi-disant réchauffement climatique qui est, selon eux, dû à la présence de CO 2. .

D’une civilisation à un système

Le CO 2 prend aujourd’hui la misérable fonction assumée par les femmes depuis des siècles, alors que les femmes acquièrent des privilèges sociaux masculins. Mais ne perdent-elles pas du même coup leur véritable valeur féminine, qui est la sagesse qu’elles ont acquise en enfantant et essentiellement leur pouvoir d’amour ? La féminité n’est pas vraiment libérée. La fonction vile n’est plus réservée à une classe de personnes : celle des femmes, mais à un élément chimique : le CO 2 . Le CO 2 est à l’oxygène ce que la femme est à l’homme ; l’un sans l’autre n’est rien. Sans remettre en cause l’essentiel, à savoir pourquoi un genre devrait-il être noble et l’autre ignoble, sinon nuisible à la vie ?

Je pense que nous avons là le signal typique du passage d’une civilisation à un système. Alors que nous atteignons une conscience globale, la règle patriarcale devenant un système fait que lorsque la civilisation s’effondre (les gens perdent et oublient leurs références et leurs valeurs), la haine de la vie « pirate » nos vies, nos esprits et nos corps, nos cellules… Même avec les meilleures intentions, le principe continue à vivre tant qu’il n’est pas identifié.

La règle patriarcale a conduit à la division entre les deux hémisphères cérébraux : l’hémisphère droit (féminin) et l’hémisphère gauche (masculin), tant au niveau individuel que social. Nous pouvons le constater à la fois dans nos sciences et dans nos croyances.

La « haine de la vie » fut d’abord acceptée comme une règle. C’était clairement défini dans la civilisation grecque : le masculin était noble, le féminin était misérable. Les civilisations impérialistes se sont développées selon cette règle, tant occidentales qu’orientales. Si l’on considère l’Occident, ses empires (Babylone, Rome et aujourd’hui Washington), ses trois principales religions monothéistes et, si l’on pense à nos références gréco-romaines en matière d’éthique, de sciences et de politique, toutes traitent de ce principe. . Les civilisations occidentales, fondées sur la croyance en un Dieu étranger unique et inaccessible dont le représentant sur Terre était le monarque, et bâtissant leur force sur les forces armées, ont étendu leur pouvoir sur le monde jusqu’à se transformer en un système, tandis que dans le même temps le toute la structure sociale des États-nations ainsi que leurs religions s’effondrent désormais.

Par ailleurs, on peut d’abord remarquer que l’évolution du statut social des femmes a été similaire au Japon et en Chine, où il a décliné simultanément. Deuxièmement, que toutes les zones où ce changement s’est produit étaient des empires et troisièmement, que les empires sont nés et se sont développés sur les points d’étape les plus fréquentés : le long de la Route de la Soie en Eurasie, au nord et au sud de l’isthme de Panama en Amérique (Mayas et Incas). Le même phénomène d’organisation d’une société en superstructure lorsque son habitat est concentré dans un milieu clos peut être observé avec les populations animales. Il semble qu’il existe une règle universelle qui établit un certain ratio de contenu dans les populations qui ne doit pas être violé.

L’être humain a d’abord été soumis, soumis, converti, bon gré mal gré, au nom d’idéaux, à la volonté des plus puissants et il est encore aujourd’hui les acteurs zélés d’un système qui n’a jamais fini de détruire la planète entière. Nous ne devons pas oublier que nous appartenons à cette planète et que nous en dépendons totalement pour vivre.

Chacun de nous est plus ou moins à la fois victime et acteur de la guerre la plus totale qui ait jamais eu lieu sur Terre, aussi loin que nous puissions nous souvenir de l’histoire de l’humanité. Mais rappelons-nous que, pendant des milliers et des milliers d’années, l’histoire a été écrite selon un dogme dicté par les puissants, et que de larges pans de celle-ci ont disparu dans les incendies et les bûchers. Aujourd’hui, de plus en plus de preuves archéologiques, dont la datation est confirmée par des données astronomiques, nous amènent à penser que les civilisations antérieures ont pu se détruire elles-mêmes comme nous le faisons aujourd’hui.

Nous nous accrochons à nos croyances quant au mât d’un navire en perdition et nous répétons aveuglément les erreurs que nous avons gardées dans notre inconscient collectif : la nature est mauvaise, la Terre est ingrate, nous devons la dominer, nous devons la maîtriser.

Les religions sont ambivalentes. Ils nous enseignent les valeurs de gratitude, de gratitude et d’amour. Mais en même temps, ils véhiculent l’hypothèse selon laquelle nous devons détruire les choses qui vivent au nom d’un idéal mythique prétendant être meilleur que la vie. C’est la logique patriarcale de détruire ce qui EST, afin de réaliser un idéal au-delà de cela.

Le mythe grec

La civilisation grecque est depuis des siècles la référence en matière d’éthique et de science. Il est considéré comme le berceau de la première explication objective et atomiste du monde. Du point de vue social, cela a conduit à la dévalorisation du rôle des femmes, à la préférence sexuelle des hommes pour les hommes et au fait que les femmes riches ont transféré l’allaitement de leurs enfants sur leurs esclaves[11].

Plus que toute autre, la mythologie grecque a rempli le ciel de divinités. Ses mythes racontent les actes de Zeus et de sa cour, qui consistent principalement à kidnapper, violer, assassiner, puis à envoyer ses victimes dans les constellations du ciel pour absoudre ses crimes, toujours poussés par la jalousie. La créature féminine devient un objet à posséder sur lequel Zeus entend imposer ses droits. Il a imprégné toute notre culture, s’étendant au jeu vidéo.

L’exaltation du noble masculin dans la société grecque antique, la chute de la misérable femme est bien évoquée par un astrophysicien français bien connu, André Brahic , dans son livre « Enfants du Soleil » :

« Les esclaves accomplissaient les tâches de la vie quotidienne tandis que les citoyens avaient tout le temps de se concentrer sur des questions intellectuelles. Une nouvelle façon de penser était née. Chacun peut désormais s’interroger sur le sens de la vie, sur l’organisation de la société et se poser des questions philosophiques sans avoir recours à un mythe. Nous étions passés d’une façon de penser mythique à une nouvelle façon de penser basée sur l’expérience et la rationalité. Mais en réalité, il a fallu beaucoup plus de temps et il a été beaucoup plus difficile de comprendre ce mouvement vers le triomphe de la raison que cette explication rapide ne semble le démontrer. (Brahic, art. note 11)

Chacun ne signifie pas de femmes, pas d’esclaves, seulement des « citoyens » et un cercle particulier restreint qui a eu le temps de penser complètement détaché de la plupart des contraintes matérielles de la vie quotidienne, se tenant à l’écart de la moitié de toute la réalité de la vie.  Le triomphe de la raison consisterait à asservir ses semblables pour se libérer des obligations dues à la nature.

Cette « science merveilleuse » n’a-t-elle aucun défaut ? Il est encore courant de vanter cette raison qui a éradiqué les mythes en les jetant dans le ciel, mais cette glorieuse raison masculine peut devenir un énorme insecte gourmand qui dévorera la chair vivante. Ainsi, la conscience finira par déserter la science.

Basée sur la pensée d’Aristote, elle se vante de raisonner uniquement sur des faits et de rejeter toute cause immatérielle ou transcendantale. Au Moyen Âge jusqu’à Copernic, la logique aristotélicienne des deux sphères avait été la seule référence autorisée :

  • la sphère des cieux, immobile, immuable et parfaite qui portait la noblesse du masculin,
  • la sphère terrestre, changeante et imparfaite, exprimant les réalités terre-à-terre et la honte qui pèse sur le féminin.

La Renaissance a rejeté beaucoup de concepts et de pratiques. On a oublié les deux sphères d’Aristote, mais on ne s’est pas posé de questions. Au fond, le dogme est resté inchangé : raisonner uniquement sur des faits et trouver dans les faits eux-mêmes les causes de leur existence.

On pourrait qualifier cette pensée de tautologique.

Il manque quelque chose. Il y a quelque chose qui ne va pas.

« En physique, l’accent est mis sur la manière d’extraire l’énergie de la matière… comment briser les particules afin que l’énergie puisse être libérée. L’approche est la même en biologie. Les biologistes pensent que les gènes constituent la structure de base de l’être humain et que si nous pouvons les contrôler, nous pouvons alors contrôler tous les aspects de l’être humain. Certaines des ramifications de ces modes de pensée inversés sont que les scientifiques pensent que la matière est la base de tout. Les généticiens disent que tout est 100 % génétique et que l’environnement nous affecte à 100 %. La vérité est que l’environnement est un environnement énergétique, et pas seulement social. Cela signifie que nos pensées et nos sentiments affectent le développement de nos gènes. Nous sommes nés dans une société qui croit que la matière est la base de tout et est aussi la source d’énergie. Il faut voir que c’est le contraire : c’est l’énergie qui affecte la matière. »[12]

Vous accoucherez dans la douleur

La santé physique et mentale primordiale de chaque être humain est fondée sur la naissance.

La manière dont les femmes ont accouché et accouchent aujourd’hui représente une grande perte physique et mentale et provoque une faiblesse et des maladies tant chez la mère que chez l’enfant. La condamnation biblique : « Tu accoucheras dans la douleur » a conduit la femme d’aujourd’hui à être dépossédée de sa dignité en accouchant.

L’histoire de la perte des droits des mères qui accouchent

Le déclin des fonctions féminines dans les sociétés patriarcales occidentales est apparu avec la phrase biblique : « Tu accoucheras dans la douleur » et la chute des valeurs féminines dans la société grecque. L’étude de ce déclin permettra d’illustrer comment une règle peut s’incarner dans une civilisation jusqu’à en faire à terme un système.

Au début, comme en témoignent des tablettes sumériennes vieilles de 3 000 ans, les femmes avaient le même statut social que les hommes. Dans la civilisation grecque et selon les textes bibliques au cours du premier millénaire avant JC, les valeurs masculines étaient considérées comme nobles tandis que les valeurs féminines étaient jugées comme basses. Les femmes elles-mêmes ont fini par penser que leurs propres compétences étaient répugnantes, et les plus riches ont abandonné l’allaitement au profit de leurs esclaves. Au IVe siècle avant J.-C., l’union de l’Empire romain avec l’Église sonne la fin de nombreuses femmes inspirées comme Sainte Foy qui mourut martyre en 303 avant J.-C., parce qu’elle refusait d’épouser le mari qui lui était imposé et parce qu’elle prétendait sa foi en Jésus-Christ. Ce fut la fin des femmes savantes comme Hypatie d’Alexandrie qui fut torturée et tuée en 415 avant JC, environ 100 ans plus tard, pour la raison inverse, sans prêter allégeance à l’Église. Puis, à partir du XIVe siècle , l’Église, qui s’érige en seule détentrice du savoir, accuse de sorcellerie de nombreux savants et femmes et les brûle vifs sur le bûcher. Ainsi ont disparu de nombreuses personnes détenant un vaste corpus scientifique populaire et en particulier une grande connaissance des contraceptifs à base de plantes. En conséquence, de nombreux bébés non désirés furent abandonnés et pendant la guerre de Cent Ans, la famine et les épidémies s’abattirent sur la population.

Puis vient le temps où Louis XIV impose aux femmes d’accoucher en position couchée.

Cette « bonne manière » s’est répandue à travers le monde comme une traînée de poudre. Cela signifiait beaucoup de souffrance et de ruine pour la santé des femmes et des nouveau-nés et ce n’est pas physiologique en tant que tel. De nos jours, les solutions chimiques et chirurgicales laissent croire aux femmes qu’elles peuvent éviter les douleurs de l’accouchement par l’anesthésie et qu’elles peuvent accoucher sans avoir à vivre sa venue au monde. Les conséquences naissent ensuite, non seulement à cause de la fragilisation de l’état de santé général mais aussi du fait que les parents deviennent de plus en plus immatures et irresponsables.

La manière dont la plupart des femmes accouchent aujourd’hui, selon le protocole hospitalier, rompt les liens essentiels avec la naissance de la vie. Pourquoi?

La physiologie du processus d’accouchement

Pour accoucher d’un bébé de la manière la plus simple, la mère doit être capable de relâcher le contrôle néocortical[13] (l’identité de la qualité masculine), de laisser le cerveau reptilien travailler à perpétuer l’espèce (la qualité féminine). Cela a été confirmé par Michel Odent [14], chirurgien et obstétricien français qui s’est consacré à l’étude de la physiologie du processus d’accouchement.

Autrement dit, lors de l’accouchement comme au cours de notre vie sexuelle et éventuellement au cours de toute notre vie hormonale, deux hormones contradictoires et leurs familles respectives entrent en jeu : l’ocytocine, typiquement féminine, et l’adrénaline, typiquement masculine.

  • L’ocytocine[15], ou « l’hormone de l’amour », trouve sa source dans le cerveau des reptiles. Il est sécrété par une ancienne structure cérébrale, l’hypothalamus, stocké dans l’hypophyse arrière et libéré dans la circulation sanguine à certaines occasions[16]. En interagissant avec la force opposée produite dans le néocortex, elle provoque un phénomène de pulsation : les douleurs de l’accouchement. Sa fonction est d’ouvrir et de provoquer un changement référentiel.
  • L’étape finale de tout événement de la vie sexuelle est initiée par l’adrénaline, « l’hormone de la peur », qui provoque un réflexe d’éjection du sperme, du fœtus, du lait, selon le cas. Cette fonction expulsante protège l’intégrité individuelle, créant ainsi la dissociation.

La séparation entre l’astronomie et l’astrologie

Sur le plan social, l’astronomie et l’astrologie, initialement unies et connues sous le nom de « Mère des Sciences », sont désormais divisées en deux sœurs ennemies. Cette scission s’est produite en France, au solstice d’hiver de 1666, lorsque Colbert fonda l’Académie des sciences sous le règne de Louis XIV. Rappelons que Rabelais disait précédemment : « la science sans conscience n’est que la ruine de l’âme ». Depuis cette époque, une « ignorance savante[17] », issue de l’abstraction délibérée de toute cosmologie, s’est développée. « La pensée contemporaine a cessé de suivre une séquence logique dans l’analyse des faits, comme si tout sortait de rien et plus précisément comme si l’énergie provenait de la matière. Si tel était le cas, d’où viendrait la matière ? [18]… « Les influences philosophiques antérieures auxquelles les scientifiques sont soumis sont cachées à la vue. Et qui plus est, ces influences philosophiques sur les théories ne sont jamais remises en question ; en fait, ils sont en réalité supprimés des livres scientifiques » [19]. On constate que le bachotage a progressivement envahi les études scientifiques et que le nombre de spécialisations ne cesse d’augmenter – une conséquence évidente dans une organisation de plus en plus complexe. De plus, une rupture s’est produite dans le fondement métaphysique de la science. Aujourd’hui, les seules personnes considérées comme référence officielle sur un sujet sont généralement celles qui n’en ont aucune connaissance pratique. C’est particulièrement vrai – et souvent ridicule – pour les sujets limites que nous abordons ici : l’astrologie, les circonstances de l’accouchement, le climat et… le cannabis.

Même si cette « science idéale » n’a jamais cessé de courir après l’astrologie, les mythes et tout ce qui est « irrationnel », l’astrologie est toujours bien vivante dans nos sociétés.

Répond-il aux besoins fondamentaux d’un être humain, à une fonction naturelle de la vie qui réapparaît dès qu’on le jette ? Depuis plus de 350 ans, la science s’est délibérément développée sur la base du déni de la moitié de notre cerveau.

Comment fonctionne le cerveau?

L’hémisphère gauche peut se différencier, identifier, compter et se développer. Cela signifie une ouverture et cela produit du mouvement et de l’excitation. Dans cet hémisphère, tout commence dans le néocortex et évolue vers la complexité. C’est le « -nom-ical » : il peut décoder. L’hémisphère gauche se projette vers ce qui est notre droite.

L’hémisphère droit peut unifier, imaginer, relier et réduire pour intégrer les données. On part de la complexité, de la spécificité du cerveau reptilien, pour en déduire ce qui sera compréhensible au néocortex. Ainsi, il maintient une protection individuelle contre l’environnement extérieur, il donne du poids et il maintient l’homéostasie du corps. C’est le « -log-ical » : il peut encoder. Il se projette vers ce qui est notre gauche.

Dans le mot « logique » on trouve « log », dans « nomic » il y a « nom ». En langage mathématique, l’astronomie a la fonction « exponentielle », énumère-t-elle, tandis que l’astrologie a la fonction « logarithmique », elle organise en une formule que le corps peut assimiler.

En 1666, l’Académie des Sciences est créée et devient un nouvel organisme officiel de représentation sociale du savoir. Au cours des siècles suivants, l’Académie prit la place dogmatique qu’occupait l’Église depuis mille ans. A partir de cette époque, les astrologues et les astronomes, qui n’avaient jamais été différenciés auparavant, se trouvèrent divisés en deux catégories distinctes, l’une qui reçut des honneurs au nom d’une science érigée en mythe et l’autre ne recevant que la misère de l’âme humaine que même les prêtres ne s’en souciait pas. Depuis que cette scission s’est produite, l’astronome et l’astrologue tournent en rond, chacun dans son propre hémisphère, comme s’ils étaient séparés par la frontière du zodiaque, cette ligne centrale de notre matrice Soleil-Terre, comme les deux côtés du même hémisphère. pièce de monnaie. C’est un dialogue de sourds dans lequel chacun renvoie sa moitié ignorée. Le protagoniste de l’un est l’ombre de l’autre et vice versa.

N’avons-nous pas encore intégré la relativité ?

Le postulat de l’héliocentrisme confirmé par Galilée 50 ans avant la scission de 1666 induit la relativité : la Terre n’est pas le centre de l’univers. N’importe qui est un centre. Un phénomène peut donc être considéré sous différents points de vue[20]. Dès lors, comment peut-on affirmer qu’un point de vue est supérieur à un autre ou peut remplacer tous les autres ? Et pourtant, c’est ce que notre psychisme essaie toujours de faire car il a été façonné par le « Pater Arche » impérialiste, ce qui signifie que les hommes sont considérés comme les créateurs de la vie – et non les femmes.

La dimension quantique que la physique découvre depuis un siècle n’est pas encore intégrée dans tous les esprits et l’astrologie a été coupée de l’astronomie à l’heure où ce postulat révolutionnaire (la Révolution copernicienne) remettait en cause fondamentalement les dogmes qui avaient légitimé l’assujettissement de certains par d’autres pendant plusieurs siècles. Et cette intégration est toujours en cours. C’est l’objet de SORI’Astres[21]. 

L’Église n’étant plus aujourd’hui la référence ultime et ayant perdu une grande partie de son influence spirituelle, le pouvoir spirituel et l’autorité dogmatique sont devenus l’enjeu de la rivalité entre les deux disciplines. L’astronome ne veut pas abandonner cette prérogative à l’astrologue et marche simplement sur les pieds de ce dernier pour confirmer sa domination, niant la réalité physique des signes du zodiaque, affirmant uniquement la réalité des constellations.

Et pour couronner le tout, l’astronomie assure sa place de leader, grâce au Roi Soleil, en commettant une énorme… erreur astronomique ! Il nie totalement le rythme originel de notre matrice Soleil-Terre (notre étoile et notre planète), c’est-à-dire l’éclairage alterné de ses pôles qui crée les années et les saisons, notre environnement naturel essentiel. C’est le fondement de la mécanique céleste, leur propre discipline, qu’ils détruisent avec un mépris si inconscient. Dans cette chasse aux sorcières, ils ont soigneusement coupé la branche sur laquelle ils sont assis et notamment parce que c’est la branche de la mère des sciences.

Depuis plus de 350 ans, la science officielle avance d’elle-même dans le cerveau divisé de « la mère de la science », perdant de plus en plus le rapport avec l’hémisphère droit et rejetant sur elle l’individu qui observe et expérimente. Entre-temps, l’astrologie, séparée de son corps astronomique, est devenue de plus en plus pauvre ; il faut dire qu’elle était déjà corrompue et soumise depuis des siècles aux volontés des puissants. Du coup, l’éthique scientifique d’aujourd’hui revient à savoir fermer sa conscience. N’est-ce pas là l’essence même de l’esprit nazi ?

Il a été modifié avec…

En fin de compte, jeter l’astrologie établie par 5 000 ans de civilisation revient à jeter le bébé avec l’eau du bain.

Cette fonction naturelle qui revient en force quand on le jette est la fonction du cerveau droit, le cerveau de la connaissance, la moitié féminine absolument nécessaire à la survie de la vie, que combat aveuglément la « haine de la vie » irrationnelle.

Cette qualité et cette connaissance féminines sont probablement plus saines et plus solides qu’on ne le pense. Pensez à toutes les armes disponibles aujourd’hui et à la folie de la plupart des dirigeants contemporains. Sans cet amour de la vie, la Terre aurait été « atomisée » depuis longtemps. Acceptons et reconnaissons simplement le fait. Continuons avec elle !

Traduction de Monique Fontana

Remarques

[1] Évangile de St Luc – 21.11

[2] Film de Matthias Hancke « Couvert », 2015

[3] Claire Séverac « La Guerre Secrète contre les Peuples », 2015, éditions Elie et Mado, Porto Vecchio, France

[4] Michael Murphy et Barry Kolski, Film « Pourquoi diable pulvérisent-ils ? », 2012

[5] Gilles Roy, association « Rock Astres » – 1993

[6] Noberto R. Keppe « La nouvelle physique dérivée d’une métaphysique désinvertie », 2005, Maison d’édition Editora, Sao Paulo (Brésil)

[7] Conférence COMETS-CNRS « La science à grande échelle » – Paris janvier 2014

[8] http://legacy.movement-of-life.org/index.php

[9] Paul Anthony Tailor, Aleksandra Niedzwiecki, Matthias Rath, August Kowalczyk « Les racines nazies de l’Union Européenne de Bruxelles », 2011, Dr Rath Health Foundation, Heerlen (Pays-Bas)

[10] Gabriel Luneau « Ce qui se cache derrière la prohibition du cannabis », https://www.youtube.com/watch?v= VTRfViLgKoM

[11] André Brahic « Enfants du Soleil », 1999, éd. Odile Jacob, Paris, page 25

[12] Claudia Bernhardt de Souza Pacheco et collaborateurs « L’ABC de la nouvelle physique, un cahier d’exercices basé sur la nouvelle physique de Noberto R. Keppe », 2008, Proton Editora, Sao Paulo (Brésil) page 25

[13] Le néocortex est la partie la plus complexe du cerveau et est particulièrement développé chez l’homme. C’est la partie la plus récente du point de vue de l’évolution.

[14] Michel Odent – ​​« L’Amour Scientifié », 2001, Éditions Jouvence, Thonon-France, et autres ouvrages. Il fut directeur de la Maternité de Pithiviers de 1962 à 1985. Il est connu pour y avoir introduit le concept des femmes qui accouchent « comme à la maison », en salle d’accouchement ou en piscine.

[15] L’ocytocine et ses pairs, la prolactine et l’endorphine. La prolactine : hormone ancienne en termes d’évolution, intervient dans les comportements maternels : construction de nids, comportements protecteurs et agressifs de la femelle allaitante.

[16] Michel Odent – ​​« L’Amour Scientifié » 2001 : traduction : « Ce dégagement se produit de manière discontinue et pulsatile. Elle induit un comportement maternel dans l’heure qui suit l’accouchement ; il est libéré lors de l’orgasme et participe directement à la reproduction »

[17] « La docte ignorance », concept développé par Merleau Ponty, philosophe français (1908-1961)

[18] Noberto R. Keppe « La nouvelle physique dérivée d’une métaphysique désinversée », 2005, Maison d’édition Proton

[19] Noberto R. Keppe « La nouvelle physique dérivée d’une métaphysique désinvertie », 2005, Maison d’édition Proton

[20] En astronomie, nous avons des systèmes de coordonnées fondamentalement différents qui décrivent le point de vue topocentrique (depuis l’endroit où vous vous trouvez), le point de vue géocentrique (depuis la position de la Terre) et le point de vue héliocentrique (depuis la position du Soleil). ; vous pouvez également projeter vers une autre planète ou vers n’importe quel point de l’Univers.

[21] SORI’Astres, un module logique révolutionnaire http://www.rockastres.org/spip.php?rubrique12


Chapitre VIII

 Le CO 2 comme bouc émissaire

La voie vers un « Meilleur des Mondes »

par

Maria Heibel

Les substances que nous classons habituellement comme polluantes sont généralement celles qui sont connues pour contaminer, corrompre et mettre en danger l’environnement. Les humains produisent et propagent un nombre astronomique de polluants différents. Selon Green Cross[1], il existe six substances toxiques principales : le chrome hexavalent, le plomb, le mercure, le cadmium et tous les radionucléides et pesticides.

Toutefois, ces dernières années, on a beaucoup entendu parler d’une seule substance : le dioxyde de carbone (CO 2 ) généré par les émissions humaines.

Le dioxyde de carbone est-il un polluant ?

Le dioxyde de carbone a toujours existé, avant même l’avènement de l’humanité.

C’est un gaz naturel, partie intégrante de l’atmosphère : sa présence est donc due à une stratégie précise de Mère Nature. Les premières sources de dioxyde de carbone dans l’histoire de la Terre étaient les volcans. Ce gaz a permis à la vie de prospérer.

Le CO 2 est une substance fondamentale dans les cycles vitaux des plantes et des animaux, car il est essentiel à la vie végétale et à la photosynthèse : les plantes absorbent le dioxyde de carbone pendant la journée, lorsqu’il y a suffisamment de lumière pour achever le processus et, en échange, ils fournissent un gaz actif fondamental, sans lequel nous ne pourrions pas survivre : l’oxygène.

Comment peut-on alors croire que le CO 2 est un gaz contaminant ?

Le CO 2 est en effet considéré comme l’un des principaux gaz à effet de serre présents dans l’atmosphère. Les gaz à effet de serre naturels comprennent la vapeur d’eau, le méthane, l’oxyde nitrique et l’ozone.

L’expression « effet de serre » est devenue d’un usage très courant : elle souligne un problème, mais une clarification semble s’imposer.

Le terme vient d’une analogie (partiellement incorrecte) avec le fonctionnement des serres et des serres. Il s’agit d’un phénomène naturel important pour toutes les formes de vie sur Terre – tout comme celles impliquant le CO 2 – car il a la capacité de capter la quantité de chaleur nécessaire pour créer et soutenir le développement de la vie.

La vie telle que nous la connaissons est une conséquence directe de l’effet de serre, puisque ce même processus régule les températures sur notre planète. Sans cela, la planète Terre ne serait qu’une boule de glace inhospitalière.

L’action de l’homme pollue et constitue une menace impressionnante pour la couche de gaz protecteur qui entoure la planète. La liste de nos péchés est très longue : combustion des ressources naturelles dans les processus de production et de consommation, introduction de produits chimiques artificiels dans l’industrie manufacturière, déforestation massive, exploitation agressive des sols et construction excessive, eau, mer et sol contaminés (une contamination causée par de nombreuses raisons). , guerres et conflits entre eux), ressources naturelles transformées en composés toxiques non biodégradables, essais atomiques, trafic aérien, lancements de fusées (qui ont un fort impact sur les couches supérieures de l’atmosphère) et bien d’autres encore.

Mais il n’y a pas beaucoup de débats sur ces choses.

Tous les experts et toutes les autorités en qui nous avons confiance désignent le CO 2 comme la principale cause de l’équilibre compromis de la planète : le CO 2 est tenu pour responsable de l’altération de l’effet de serre, générant un réchauffement global et un changement climatique et conduisant à d’éventuelles catastrophes à grande échelle s’il n’est pas combattu.

Le changement climatique, désormais considéré comme un phénomène dangereux auquel il faut s’opposer et à craindre, a été et sera toujours naturel. L’homme, bien sûr, par sa présence et ses actions, contribue à influencer le climat, mais certains changements se produisent déjà dans le cadre d’un mouvement naturel de la vie.

Une utilisation trompeuse de la terminologie doit également être examinée.

Les données suivantes devraient soulever des questions intéressantes.

Essayez une recherche Google en tapant : « CO 2 – Effet de serre – Changement climatique » et regardez le type d’informations et de contenu visuel qui vous sont présentés.

Le message est assez clair.

Au cours des dernières années, nous avons assisté à une reprogrammation culturelle et perceptive liée à tous les enjeux environnementaux et à leurs conséquences sur nos vies. On pourrait parler d’un côté de « green-washing » et, de l’autre, de « black-washing ».

On pourrait penser qu’une logique déformée et erronée est à l’origine de notre époque.

Mais revenons au CO 2 .

On constate aujourd’hui que tout, chaque geste, chaque domaine, subit un examen spécifique : s’il est décarboné (un non-sens), il est réputé bon ; sinon c’est mauvais. Au nom du CO 2, tout est en révision, tout doit être abandonné (pensez aux lampes à incandescence remplacées par des ampoules nocives mais « écologiques ») et transformé selon les autorités scientifiques, politiques et industrielles (surtout high-tech). critères, visant un seul et unique objectif : un monde sans CO 2 ou sans CO 2 .

Les médias diffusent la nouvelle : le dioxyde de carbone est responsable de toutes les maladies de notre planète. S’il ne pleut pas, c’est à cause du CO 2 . S’il pleut trop, c’est à cause du CO 2 . S’il fait trop froid ou trop chaud, c’est à cause du CO 2 . Toutes les catastrophes environnementales trouvent une cause profonde commune dans le changement climatique, qui est influencé par le CO 2 (et par nous tous).

Pourquoi le méthane n’est-il pas accusé d’un délit, ni le protoxyde d’azote – sans parler des CFC (chlorofluorocarbones) qui sont désormais utilisés à grande échelle et ont des effets durables sur le climat – ni tous les autres gaz nocifs d’origine humaine qui contribuent de manière significative à l’effet de serre ?

L’ensemble de notre système économique (industrie, technologie, agriculture, transports, etc.) est aujourd’hui confronté au défi de devenir une « économie verte », suivant l’exemple dicté par les industries, les gouvernements locaux et les institutions internationales, comme l’UE et l’ONU. qui guident la lutte contre le CO 2 comme la seule et unique menace mondiale à laquelle nous devons faire face.

C’est l’idée principale diffusée ; tout désaccord ou scepticisme est très mal vu. Nier l’une des théories concernant le changement climatique (au sens de « réchauffement climatique causé par le CO 2 ») revient à être immédiatement accusé de « négationnisme », le même négationnisme de ceux qui nient l’Holocauste. Ce terme inhabituel est utilisé pour désigner quelqu’un qui refuse d’accepter les théories officielles qui ne doivent plus être considérées comme des théories, mais comme des faits concrets.

De la pierre angulaire de la vie au porteur de la mort

Après de très nombreuses années d’« information », tout le monde, ou presque, a désormais oublié tous les mérites du CO 2 en termes de subsistance pour notre planète.

Le CO 2 , qui joue un rôle si crucial dans les processus vitaux, ne devrait pas du tout être diabolisé.

Le bon sens devrait nous dire que la science en elle-même n’est pas mauvaise : c’est l’usage que vous en faites qui peut être orienté vers des objectifs bons ou mauvais. Que faisons-nous à ce sujet ?

Chaque cycle vivant, pour durer, doit constamment maintenir en équilibre les pôles opposés. Ce sont là les caractéristiques fondamentales de la vie sur notre planète en toutes circonstances. Comme nous le savons tous, la même essence bipolaire se retrouve dans notre façon de respirer. Notre processus respiratoire commence par l’inhalation d’air riche en oxygène et se termine par l’expiration d’air rempli de CO 2 . La respiration est le moyen de transport de l’oxygène pour atteindre nos organes et tissus internes, tandis que le dioxyde de carbone en est éliminé.

La Terre est un être vivant et respirant. Son cycle respiratoire est cependant plus long, bien différent de ce qui se produit avec la respiration humaine en quelques secondes. Les signes de ce processus respiratoire peuvent être trouvés dans le cycle de croissance, de flétrissement et de décomposition des substances végétales. Inhalation : les plantes commencent à germer. Expiration : les feuilles et les plantes se décomposent et retournent au sol et à la Terre, tout comme l’air que nous respirons reste à l’intérieur de notre corps.

Le vaisseau spatial OCO 2 de la NASA observe le processus respiratoire de la planète Terre depuis l’espace et est capable d’examiner et de retracer ce qui arrive aux gaz partiellement absorbés par les océans et les plantes[2].

La moitié de l’oxygène que nous respirons provient de nos océans et, bien entendu, des plantes.

Les plantes respirent de manière complémentaire à la respiration humaine, inhalant du CO 2 et expirant de l’oxygène. L’homme ne pourrait pas vivre sans plantes. Cet équilibre miraculeux est menacé par les progrès rapides, trépidants et agressifs de l’humanité.

Le CO 2 est-il vraiment dangereux pour l’homme, la flore et la faune ?

Les « remèdes » mis en œuvre pour « éviter la catastrophe » pourraient-ils plutôt constituer la véritable menace ?

Les « remèdes »

De tels discours alarmistes et persistants pourraient éventuellement justifier une intervention sur l’atmosphère elle-même, comme si une sorte de « chimiothérapie de l’air » était notre seul espoir.

Par exemple, la gestion du rayonnement solaire (SRM), qui consiste à introduire des nanoparticules dans l’atmosphère via les avions, est considérée comme une méthode peu coûteuse et simple (v. Teller, Keith, Caldeira, Robock…). Une logique similaire s’applique à l’élimination du dioxyde de carbone (CDR), qui implique la libération de substances qui réduiront la quantité de CO 2 présente dans l’atmosphère (altération accrue).

Phil Williamson , de l’Université d’East Anglia, estime que pour respecter l’accord de Paris sur le climat, il faudrait éliminer plus de 600 milliards de tonnes de CO 2 avant 2100. Toutefois, selon Williamson, il serait préférable que cela se produise d’ici 2017. quatre années. Bien qu’il soit conscient que ce type de « retrait » peut être très coûteux et qu’il n’a pas encore été testé à une échelle aussi « nécessaire » (mais quelques expériences ont été faites), il croit fermement que nous devrions réduire nos émissions le plus tôt possible. Une autre méthode possible implique une certaine technologie capable d’opérer sur les nuages, en les ensemençant de substances afin de générer des pluies alcalines qui pourraient réagir au dioxyde de carbone présent dans l’air[3].

Avant même que l’humanité puisse commencer à comprendre la vie, l’environnement et son système complexe et autosuffisant, nous avons commencé à jouer à Dieu et à remodeler la planète.

La Terre elle-même a réagi à l’augmentation de la quantité de CO 2 dans l’atmosphère en prenant une teinte verte plus foncée, mais même cela a été considéré comme un présage négatif, un acte de défense contre l’oppresseur CO 2 [4] .

Il ne m’appartient pas de décider si les rapports des scientifiques officiels sont véridiques ou si le CO 2 anthropique est réellement le premier et principal responsable des catastrophes naturelles présentes et futures. Un débat sérieux et ouvert devrait être lancé entre ceux qui possèdent les connaissances et l’expérience nécessaires pour établir la vérité, mais je ne pense pas que cela se produise.

Et pourtant, de nombreux scientifiques influents (même des lauréats du prix Nobel) s’opposent désormais aux dogmes dominants (Dyson, Teller, Rubbia, pour n’en citer que quelques-uns).

En supposant que toutes les théories « officielles » soient vraies, quelles voies pourrions-nous emprunter ?

Ne devrions-nous pas avant tout cesser d’attaquer et de nuire à notre Terre ? Ne devrions-nous pas nettoyer la planète au lieu de l’empoisonner davantage pour tenter de la sauver ? Allons voir.

Les criminels oubliés

Pour résumer : le terme « changement climatique » est souvent utilisé comme synonyme du réchauffement climatique provoqué par le CO 2 et est désormais ancré dans nos têtes comme le problème le plus urgent auquel notre planète est confrontée. Tous les phénomènes environnementaux et météorologiques extrêmes, de plus en plus fréquents, sont désormais attribués au réchauffement climatique : désertification, élévation du niveau de la mer (on en a beaucoup parlé ces dernières années, mais il semble que nous n’en soyons pas encore là), épidémies, famines, migrations massives, fonte des calottes glaciaires, etc.

En novembre 2014, après la publication du rapport sur le climat du GIEC, le secrétaire d’État américain John Kerry nous a mis en garde :

«Ceux d’entre vous qui ignorent ou remettent en question toutes les données clairement illustrées dans ce rapport mettent en danger nous, nos enfants et nos petits-enfants.»

Une autre fois, il a défini le changement climatique comme une arme de destruction massive[5].

Depuis des années, l’ensemble des médias de masse résonnent de messages alarmants. Mais tous ces gens qui lancent des avertissements sont-ils réellement inquiets ? De nombreux et divers sujets inquiétants se sont présentés comme des menaces concrètes pour notre climat, mais ils ont fini par être systématiquement ignorés.

Tous les autres gaz à effet de serre ont été négligés, ainsi que tous les efforts déployés au cours des dernières décennies en matière de contrôle climatique et météorologique.

Il y a de nombreuses années, une réflexion a été menée sur cette question.

Un rapport gouvernemental de 750 pages intitulé « MODIFICATION DU TEMPS : PROGRAMMES, PROBLÈMES, POLITIQUE ET POTENTIEL ». – MAI 1978″ [6], traitait de la quantité massive d’informations concernant l’implication croissante du gouvernement américain dans la modification du climat et la guerre climatique. Ce document révélait en outre la complicité de nombreux autres gouvernements étrangers, voire de pays considérés comme « hostiles aux intérêts américains ».

Le texte aborde également un grand nombre d’aspects et de conséquences des programmes nationaux et internationaux de modification du climat : toutes les implications biologiques, sociales, environnementales et juridiques (parmi lesquelles est apparue la nécessité d’obtenir une immunité totale contre toute forme de responsabilité juridique).

Le complexe militaro-industriel a ouvertement déclaré sa volonté de « s’approprier la météo »  (Weather as a Force Multiplier : Owning the Weather in 2025).

En dehors de cela, de nombreux autres problèmes ont une forte influence sur le changement climatique. Selon les chercheurs de l’Université du Maryland, l’agriculture intensive à l’échelle mondiale est suffisamment contaminante pour altérer l’équilibre de notre atmosphère et ce, à un rythme très rapide en raison de la nécessité croissante d’étendre les cultures au détriment des forêts et de l’utilisation massive d’engrais chimiques. qui libèrent des vapeurs d’ammoniac dans l’atmosphère. Il s’agit en fait de l’une des plus grandes industries productrices de CO 2 , juste derrière les transports.

Le rapport du GIEC demande à tous les gouvernements de renoncer aux combustibles fossiles d’ici 2100 afin de mettre un terme au réchauffement climatique. Cependant, en étudiant les biocarburants, on peut constater que leur impact environnemental n’est pas meilleur que celui de l’essence et que, comme facteurs aggravants, ils nécessitent la déforestation et l’accaparement des terres . Ces biocarburants finissent par émettre plus de gaz à effet de serre et polluent plus que les combustibles fossiles. L’homme est le prédateur le plus impitoyable au monde : il exploite, opprime, tue.

Il ne fait aucun doute que nous, les humains, sommes la principale cause de la destruction mondiale. Nous transformons notre planète en un gigantesque dépotoir empoisonné.

Nous agissons et vivons au nom du jetable.

L’obsolescence est programmée : plus la durée de vie d’un objet est courte, mieux c’est. La planète est sans cesse saccagée, nos océans, nos sols et nos cieux manipulés avec une brutalité sans précédent. La terre, les forêts et l’eau finissent par être empoisonnées par notre système de production alimentaire.

Je pourrais énumérer un long catalogue d’horreurs.

Dans ces vastes friches, le CO 2 est-il vraiment le principal problème ?

Supposons que ce soit le cas et observons la réalité à travers cette lentille.

L’agriculture intensive est largement responsable des émissions de CO 2 et de gaz à effet de serre, un domaine de production extrêmement calamiteux à bien des égards. L’homme est devenu excessivement carnivore. Par rapport aux chiffres d’aujourd’hui, la consommation de viande dans le passé était ridiculement inférieure. L’industrie de la viande peut être considérée comme la première et la plus importante cause du déclin de la biodiversité.

Les médias, pour leurs propres intérêts économiques, appellent continuellement les masses à consommer des animaux. L’élevage intensif est un problème indésirable et invisible. Partout dans le monde, il y a 1,3 milliard de bovins, 2,7 milliards d’ovins et caprins, 1 milliard de porcs, 12 milliards de volailles. Notre viande bon marché coûte très cher à tous les animaux, aux ouvriers agricoles, aux mangeurs de viande et à la planète entière.

La consommation de viande est la grande mémoire refoulée de notre époque.

L’élevage intensif, associé à un régime carnivore, génère plus d’émissions de gaz à effet de serre à l’échelle mondiale que l’ensemble des voitures, trains, bateaux, avions et camions de la planète réunis. Une seule vache a un impact annuel sur l’environnement équivalent à la conduite d’une voiture de moyenne cylindrée sur 70 000 km.

Cela semble peu probable ? Ces données proviennent et ont été confirmées par la FAO (Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture), par le World Watch Institute et par l’Institut d’études environnementales de l’Université d’Amsterdam[7].

En 2008, l’Institut d’études environnementales de l’Université VU d’Amsterdam a mené une étude pour évaluer comment les émissions de CO 2 diminueraient en réduisant la consommation de viande, par rapport à d’autres mesures bien connues – telles que les ampoules écologiques, l’utilisation limitée des voitures, le doublement de la consommation de viande. -fenêtres vitrées. Les chercheurs ont découvert que le simple fait de modifier nos habitudes alimentaires pourrait être beaucoup plus efficace pour réduire les émissions de gaz à effet de serre à l’échelle mondiale que tous les autres expédients. L’étude de cas a été échantillonnée aux Pays-Bas. Les résultats ont montré que si tous les citoyens s’abstenaient de manger de la viande juste un jour par semaine pendant un an, 3,2 tonnes de CO 2 seraient épargnées. Cela équivaut à l’utilisation d’un million de voitures par an dans le même pays. De plus, si tous les citoyens s’abstenaient de manger de la viande pendant une année entière, un total de 22,4 tonnes de CO 2 seraient rejetées. Cela équivaut à la consommation intérieure de gaz sur un an dans tout le pays[8].

Il existe encore un autre facteur qui porte une énorme responsabilité dans la pollution de l’environnement et la preuve se trouve dans notre ciel fortement défiguré.

Les avions et les navires sont très polluants, mais nous faisons les idiots

Ces dernières années, le trafic aérien a connu une croissance rapide. Parallèlement, une forte hausse des émissions de CO 2 a été enregistrée.

À l’avenir, le trafic aérien va probablement s’intensifier encore davantage, comme l’expliquent le rapport environnemental de l’UE sur l’aviation et Eurocontrol. Le projet de ciel unique européen, qui prône une régulation centralisée de l’espace aérien européen, a été la seule et unique réponse à l’augmentation du trafic aérien.

Curieusement, la pollution atmosphérique causée par le trafic aérien et les navires civils et militaires a toujours été complètement négligée dans toutes les données statistiques sur les émissions et a donc été exclue de toutes les conférences et accords sur le climat.

Les turboréacteurs libèrent diverses substances toxiques : oxyde d’azote (Nox), hydrocarbures (HC), monoxyde de carbone (CO), oxyde de soufre (Sox), particules (PM), dioxyde de carbone (CO 2 ) et particules toxiques, comme on l’a récemment découvert. par la scientifique atmosphérique Ulrike Lohmann.[9]

En 1999, le rapport du GIEC sur l’aviation et l’atmosphère globale nous mettait en garde contre les effets du trafic aérien, mais après cela, la question est restée silencieuse, comme si un voile était tiré dessus.

Les émissions du trafic aérien ont-elles cessé d’être considérées comme un problème ?

Oui, et encore plus. Nous pouvons observer un développement rapide et fort du trafic aérien, également grâce à de nouveaux soutiens. En 2002, les aéroports militaires européens ont ouvert leurs pistes aux compagnies low-cost comme Ryanair. Des prix aussi bas ont facilité une croissance prodigieuse du trafic aérien, également en raison d’un avantage particulier : l’ensemble du secteur bénéficie d’une politique d’exonération de taxes sur tous les carburants. De plus, le trafic aérien à bas prix est financé par l’argent public, on peut donc dire sans se tromper que quelqu’un paie pour qu’il existe et prospère.

Mais, face à ces prix dérisoires, personne ne s’est vu protester.

Ryanair a récemment annoncé d’éventuels trajets gratuits à l’avenir. Ce n’est pas une fausse nouvelle. C’est une promesse faite par Michael O’Leary.

Notre ciel a radicalement changé d’aspect ces 10-12 dernières années, défiguré par les traînées de condensation : longues, courtes, larges ou fines, d’une grande variété de formes et de couleurs jamais vues auparavant, ces traînées créent un voile blanc et délavent le bleu. couleur du ciel.

Remettre en question ce chaos semble nécessaire et quelqu’un l’a fait.

Mais la réponse est toujours la même : ce ne sont que de la vapeur d’eau, juste des traînées de vapeur normales – disent tous ceux que nous jugeons informés et dignes de confiance.

Ce phénomène s’est progressivement, je dis bien progressivement, répandu depuis 2002/2003 en Europe et quelques années plus tôt aux USA/Canada. Aujourd’hui, cela concerne presque toute la planète.

La culture low-cost a redéfini le ciel

La pollution atmosphérique a sensiblement augmenté ces dernières années.

Le kérosène, un combustible fossile utilisé comme carburant pour les avions, est en soi très toxique. Le trafic aérien est à l’origine de la croissance rapide des émissions de gaz à effet de serre et représente donc l’une des menaces les plus importantes pour la santé de notre planète. Les avions génèrent des tonnes, des millions de tonnes de CO 2 , il est donc vraiment surprenant que ces données aient été exclues de chaque conférence sur le climat jusqu’à présent. Ces carburants libèrent en effet dans la troposphère de l’oxyde d’azote, du dioxyde de soufre et des vapeurs d’eau qui peuvent se transformer en pluies acides.

L’aviation est également responsable de la dispersion de tonnes de particules toxiques dans l’atmosphère.

Si les graves répercussions du trafic aérien sur notre environnement sont si bien connues, pourquoi n’ont-elles jamais été sérieusement prises en compte lorsqu’on parle de changement climatique ?

Une étude affirme que les aérosols renforcent les nuages ​​d’orage, facilitant ainsi l’apparition de conditions météorologiques extrêmes . Les formations orageuses sont, comme indiqué dans l’article, la « principale source de précipitations dans les zones entourant les tropiques et les latitudes moyennes et leur durée peut influencer directement la variabilité des précipitations, en particulier les précipitations extrêmes qui peuvent entraîner des inondations et des débordements ».

Daniel Rosenfield , spécialiste de l’atmosphère et chercheur à l’Université hébraïque de Jérusalem, ajoute :

« Les nuages ​​peuvent réfléchir le rayonnement solaire et libérer le rayonnement thermique correspondant dans l’espace : ce phénomène particulier est très intéressant car il pourrait influencer l’équilibre radioactif de notre atmosphère et les températures sur Terre. »[10]

Les scientifiques ont vérifié que les aérosols, la suie, la poussière et d’autres particules rejetées dans l’atmosphère peuvent influencer les conditions météorologiques en réduisant les précipitations dans les régions sèches et en augmentant la force et la violence des tempêtes, des blizzards et des moussons dans les régions humides.

Zhanqing Li , qui a approfondi cette question, explique qu’en présence d’air extrêmement pollué, les nuages ​​convectifs subissent une série de mutations qui augmentent la probabilité de précipitations intenses. Comprendre pleinement le lien entre les nuages, les aérosols et les précipitations est aujourd’hui l’un des principaux défis auxquels la recherche climatique doit faire face[11].

La NOAA confirme : les traces d’avions sont une forme de géo-ingénierie

Depuis des décennies, la lumière solaire brune sur Terre avec un impact de plus en plus faible. La raison dans les chemins de condensation des avions, une opération de géo-ingénerie involontaire. Nous utilisons actuellement la géo-ingénerie, mais nous l’sons.

Trail d’avion (sous licence CC BY-SA 3.0)

Chuck Long , un éminent expert travaillant pour une agence de recherche de classe mondiale, le Earth System Research Laboratory de la NOAA (l’agence fédérale américaine pour l’étude des conditions atmosphériques), en est fermement convaincu. S’exprimant lors du congrès de l’American Geophysical Union, il a souligné le lien existant entre les traînées d’avions et la teinte du ciel qui s’estompe progressivement à l’échelle presque mondiale : les traînées de condensation déchargeant des particules dans l’air sont à l’origine de ce phénomène. Le trafic aérien est donc responsable d’une altération atmosphérique à grande échelle .[12]

Le Dr Peter Kalmus , spécialiste de l’atmosphère au Jet Propulsion Laboratory, déclare que l’impact global du trafic aérien sur le climat est deux à trois fois plus important que celui provoqué par les émissions de CO 2 . La raison est simple : les avions rejettent du monoxyde d’azote dans la troposphère supérieure, créant des traînées et ensemençant les nuages ​​avec des aérosols issus de la combustion de carburant. Ces trois faits combinés contribuent à augmenter les températures à court terme (veuillez noter que les graphiques de cet article ne tiennent pas compte de ces effets).[13] Non seulement les émissions des avions civils et militaires, mais aussi les lancements de navettes endommagent et affaiblissent la stratosphère, lacérant la fine couche d’ozone qui recouvre la Terre et représentant ainsi une grande menace pour la vie sur cette planète.

La couche d’ozone sur Terre continue de s’appauvrir

Les produits chimiques chlorés émis directement dans la couche d’ozone par les avions civils, les réservoirs chimiques et les avions militaires volant à une altitude de plus de 13 km au-dessus du niveau de la mer, ainsi que les lancements presque quotidiens de fusées à propulseur depuis Cap Canaveral et Vanderberg, consomment déjà littéralement la couche d’ozone de la Terre. compromis par les essais nucléaires passés, pièce par pièce. Face à l’atrocité de cette réalité et face à toutes les données existantes sur le sujet, on pourrait se sentir très mécontent du point de vue absurde adopté par les institutions, les scientifiques et les différents représentants face à la situation de notre ciel.

Revenons au CO 2 , pour conclure : les maîtres de la Terre ont attribué au CO 2 un rôle clé dans la transformation de la planète.

Un monde intelligent : le meilleur des mondes

Au nom de la réduction des émissions de CO 2 , le monde va changer. L’Union européenne prévoit de consacrer 270 milliards d’euros par an à la protection du climat. Au cours des 40 prochaines années, selon Connie Hedegaard, l’objectif principal sera de réduire les émissions de CO 2 de 80 à 90 %.

Comment? Promouvoir la fondation des Smart Cities.

Le concept de « Smart Grid » consiste à installer un réseau étendu, contrôlé électroniquement, capable de surveiller et de coordonner la vie en société. Au nom de « sécurité et durabilité », des dispositifs de surveillance seront appliqués aux appareils d’usage quotidien (machines à laver, réfrigérateurs, systèmes de chauffage, ampoules…). Toutes les activités dans les espaces publics et privés feront l’objet d’une surveillance approfondie. Chaque activité connectée à un appareil électronique sera identifiée et enregistrée par des capteurs.

Big Data

Toutes les données concernant nos habitudes et activités quotidiennes seront collectées et stockées dans une base de données. La Commission européenne a lancé le Partenariat européen d’innovation pour les villes et communautés intelligentes (SCC). Les villes et communautés intelligentes représentent un élément fondamental de la recherche « Horizon 2020 ». Les objectifs européens de développement durable « 20-20-20 » encouragent fortement cette évolution, appelant à une réduction de 20 % des émissions de gaz à effet de serre (par rapport aux données disponibles en 1990), à une augmentation de 20 % de l’efficacité énergétique et à atteindre une part de 20 % de l’électricité. fournis par des sources renouvelables – le tout devant être réalisé d’ici 2020.

Cette révolution en pleine expansion concerne l’habitat de chacun, à condition que la réduction des émissions de CO 2 doive devenir la préoccupation première de chacun. Toutes nos maisons doivent devenir « intelligentes et vertes ». Nous devons tous agir de manière responsable envers l’environnement, à notre manière.

Qu’est-ce que cela implique ? Que notre maison doit devenir « intelligente ».

Pour faciliter cette transition, de grandes promesses ont été faites : confort, bien-être, sécurité, biens de consommation et réduction des coûts – tout sera mieux géré, disent-ils. Des tonnes d’articles prônant les maisons intelligentes soutiennent ces affirmations.

Cependant, il y a un hic.

Nous serions observés, suivis et surveillés. Notre emplacement et nos relations pourraient être révélés à tout moment. Nos habitudes, nos préférences, nos idées politiques, nos goûts et nos aversions seraient ouvertement connus.

Ils en savent déjà beaucoup sur nous.

Grâce aux téléphones portables, aux tablettes et aux ordinateurs, nous sommes constamment analysés, scannés et filtrés. Toutes les informations que l’on peut tirer de nos habitudes sont un atout précieux. Aujourd’hui, plus de 10 milliards d’ordinateurs, de smartphones et de tablettes échangent constamment des données dans le monde. La gigantesque quantité de données collectées sur chaque individu permet aux agences de renseignement de prédire et d’analyser nos comportements – afin également d’identifier les sujets potentiellement dangereux.

Un monde intelligent et propre est-il durable ? Non, ce n’est pas le cas.

Nous serions submergés par encore plus de micro-ondes, jour et nuit.

Les preuves et les nombres se multiple montrant que l’électro-smog et les champs électromagnétiques réels par les antennes, les téléphones portables, les téléphones portables, les téléphones sans fil, le Wi-Fi ont des conséquences néfastes sur la santé humaine. De nombreuses études montrent que les rayons radiofrenences nuisances à l’environnement ainsi qu’ à la faune qui y vit.

Il n’y a pas de solution facile.

George Orwell, dans son roman « 1984 », n’a pas été capable de prévoir une telle ruine, alors que Huxley s’en est approché assez près dans son « Le Meilleur des Mondes » : à tel point qu’il semble presque être un scénario possible pour notre avenir.

La douce dictature a commencé.

Au nom du CO 2 et du réchauffement climatique, allons-nous l’accepter ?

Remarques

[1]  http://www.greencross.ch/wp-content/uploads/uploads/media/pollution_report_2015_top_six_wwpp.pdf

[2] CO 2 : IL SATELLITE OCO-2 DELLA NASA MONITORA IL RESPIRO DELLA TERRA https://www.greenme.it/informarsi/universo/13735-co2-satellite-nasa  ) 

[3] Les techniques d’intervention proposées ne sont pas prêtes pour un déploiement à grande échelle

http://www8.nationalacademies.org/onpinews/newsitem.aspx?RecordID=02102015

[4]  https://www.greenme.it/informarsi/ambiente/20072-terra-verde-aumento-co2

[5]  http://www.reuters.com/article/us-kerry-climate-idUSBREA1F0BP20140216

[6]  https://archive.org/details/weatificat00unit

[7]  http://blog.universobio.com/prodotti-biologici-una-mucca-come-unautomobile-che-percorre-70-000-km-meat-the-truthvideo/

[8]  http://progettoscuolevegan.weebly.com/uploads/2/4/2/8/24281627/impatto_ambientale_dei_prodotti_di_origine_animale..pdf

[9]  https://www.youtube.com/watch?v=ic4dml5oUVk

[10]  https://www.sciencedaily.com/releases/2016/06/160613153420.htm

[11]  http://www.ecoblog.it/post/13715/limpatto-dellinquinamento-atmosferico-su-alluvioni-e-siccita

[12]  http://www.nogeoingegneria.com/tecnologie/areosol/lo-dice-la-noaa-le-scie-degli-aerei-sono-geoingegneria/

[13]  https://www.pri.org/stories/2016-03-16/how-far-can-we-get-without-flying 

Vandana Shiva interviewée par Maria Heibel : « Détruire la planète Terre : la géo-ingénierie est l’orgueil ultime »  Source


Chapitre IX

Géo-ingénierie : de la géo-armement à la géo-guerre

La destruction de la Terre Mère, crime ultime et suprême de la civilisation patriarcale

par

Claudia von Werlhof

Le travail du Dr Rosalie Bertell comme guide

En tant que scientifique dévouée aux questions d’environnement et de santé, religieuse catholique et écoféministe nord-américaine, le Dr Rosalie Bertell a beaucoup travaillé avec l’ONU en tant qu’experte sur les catastrophes nucléaires et chimiques. Bertell a reçu le Right Livelihood Award et a reçu neuf titres de doctorat honorifique au cours de sa vie. Son dernier livre, publié en 2000 (Bertell 2000), bien que difficile à obtenir car l’éditeur a fait faillite, m’a fait ouvrir les yeux et m’a profondément choqué : Planète Terre : la dernière arme de guerre. C’est en 2010 que je l’ai reçu et nous – les participantes d’un rassemblement de centaines de femmes en Allemagne – avons fondé le « Mouvement planétaire pour la Terre Mère » afin de diffuser le travail de Bertell et de mieux comprendre la situation planétaire actuelle ( www .pbme-online.org ). Nous avons traduit le livre en allemand avec les nouveaux matériaux élaborés par Bertell jusqu’en 2011 et l’avons publié en cinq éditions (Bertell 2011, 2013, 2016b, 2018, 2020 ; une traduction espagnole que nous avons organisée, parue au Mexique : Planeta Tierra – La Nueva Guerra, Guadalajara 2018, un court italien en 2018 à Trieste, Pianeta Terra – Ultima Arme di Guerra, une traduction française parue à Paris en 2018 : La Planète Terre, Ultime Arme de Guerre, et à Dublin enfin la version originale de 2000 comme une édition améliorée en 2020).

Rosalie Bertell m’a nommé sa représentante dans les pays germanophones. Et j’ai eu l’occasion de la rencontrer en personne et de partager une grande amitié avec elle. Je pense que c’est parce que nous avions une approche similaire du monde – aimer cette Terre et sa vie et souffrir de sa destruction continue – ce dont nous étions tous les deux très clairement conscients.

Grâce aux analyses de Bertell et aux recherches complémentaires qu’elle a menées avant sa mort en 2012, nous savons désormais avec certitude que la dévastation de la Terre est réelle et continue. Son œuvre est unique à ce jour et Planète Terre  doit être considérée comme l’un des livres les plus importants du 21e siècle (Werlhof, 2017). 

Quel est le crime commis contre la Terre, qui en est le responsable et avec quelle ambition ? « L’alchimie militaire » et ses objectifs

Rosalie Bertell affirmait que notre planète, la Terre Mère, est en train de se transformer en une machine géante très particulière, une machine à impact énorme, à savoir « la dernière arme de guerre » (Bertell 2000). On parle des militaires de l’Est et de l’Ouest, de leurs scientifiques, de leurs gouvernements, de leurs complexes militaro-industriels, y compris des entreprises privées, qui ont été actifs dans cette transformation depuis plus de 70 ans, depuis l’époque de la crise mondiale. Seconde Guerre mondiale (s. Fleming, 2010 ; Hamblin, 2013 ; Freeland, 2014 ; Kirby, 2017 ; en allemand CODE 1981).

Il est évident que ces développements se sont déroulés pour la plupart en secret et que les débats ultérieurs n’ont abordé que certains sujets connexes et le plus souvent d’un point de vue déformé. Cela semble s’être prolongé jusqu’à nos jours puisque ni le public et la politique, ni les sciences civiles et la plupart des mouvements sociaux ou intellectuels n’ont reconnu ce qui arrive réellement à notre planète (Chossudovsky, first 2016 ; Werlhof, 2017). Tous semblent incapables de comprendre ce qui se passe aujourd’hui. En d’autres termes, l’opinion publique reste endormie, alors que le problème de la géo-ingénierie militaire date déjà de plus de 70 ans !

En 1999, le Parlement européen (PE) a critiqué l’utilisation de nouvelles technologies appliquées contre la Terre, mais la Commission européenne est intervenue d’en haut en avançant l’argument selon lequel les technologies critiquées étaient une question militaire et ne devaient pas être jugées par les parlementaires (cf. .Fosar/Bludorf, 2011, p. Rosalie Bertell, qui avait soutenu la pétition adressée au Parlement européen en 1999, a déclaré :

Si l’armée altère notre air, notre eau, notre sol ou fait quoi que ce soit qui remette en question nos conditions de vie, et encore moins qu’elle ait le potentiel de les détruire, cela ne doit tout simplement pas se produire ! Il faudrait en discuter publiquement. Au-delà de tout secret, nous devons y avoir droit ! (cf. Werlhof, 2017, p. 145).

La même chose s’est produite avec une nouvelle initiative présentée au Parlement européen. En tant que groupe de 50 militants de toute l’Europe, nous avons lancé une nouvelle pétition en 2013 par l’intermédiaire de notre organisation « Skyguards », la qualifiant de « Société civile contre géo-ingénierie » (Werlhof, 2013b). En 2014, le PE a accepté notre pétition visant à rouvrir une enquête officielle sur cette question. Pourtant, le résultat est comparable à celui obtenu en 1999. Une fois de plus, la Commission européenne a rejeté la pétition en 2016 car elle traitait de « questions militaires » considérées comme ne relevant pas du domaine de compétence du Parlement européen. Il y a 19 ans, Rosalie Bertell avait conclu que le projet militaire de prise de contrôle de la planète signifiait utiliser les forces de la Terre pour la guerre, une guerre complètement nouvelle, non seulement capable de détruire « l’ennemi », désormais défini comme l’humanité elle-même et ses moyens de subsistance fondamentaux. conditions, mais bien sur la planète Terre Mère elle-même.

Cette idée est jusqu’à présent unique. Cependant, la plupart des gens ne semblent pas encore le savoir – y compris le pape François avec son Encyclique Laudato Si , Noam Chomsky et Naomi Klein (2015), ainsi que presque tous les mouvements écologiques et alternatifs à travers la planète. Comment se fait-il qu’ils ne voient pas la nouvelle réalité de notre Terre Mère ? Ou bien, s’ils en sont effectivement conscients, peut-être ne comprennent-ils pas, et/ou préfèrent-ils ne pas en parler ?

Ce que presque tous font, cependant, est de répéter l’histoire d’un “global warming” et “climate change,” tel que défini par Al Gore, l’ONU, et le Groupe Intergouvernemental sur les Changements Climatiques (GIEC), à savoir: un problème prétendument produit uniquement par des quantités croissantes de CO industriel2 émissions – un gaz à effet de serre présumé parmi beaucoup d’autres. En conséquence, tous les mouvements écologiques et autres mouvements politiques, sociaux et ésotériques exigent maintenant une réduction du COles émissions et le consumérisme aussi, de sorte qu’un autre mode de vie et moins d’industrie civile résoudraient le problème. Ils semblent ne pas être conscients de toute autre raison qui aurait pu causer le problème et croient en ces –, y compris la plupart de leurs gouvernements – qui ont défini le problème comme étant le résultat de certains CO industriels2 emissions (critique dans Bertell, 2013, pp. 312ff).

Selon Bertell (2013, pp. 321-323), des phénomènes tels que le « changement climatique » et le « réchauffement climatique », qui ne sont pas – et ne peuvent même pas être – clairement définis scientifiquement, n’ont guère de rapport avec l’augmentation des émissions de CO 2 . . Les formes concrètes de ce changement et des notions de réchauffement et autres irrégularités doivent plutôt être considérées comme le résultat de sept décennies de « géo-ingénierie », à savoir d’expériences militaires sur et avec notre planète. J’ai défini cette entreprise comme une « alchimie militaire », à comprendre comme une intention de transformer la planète en une planète « meilleure » ou « intelligente », à savoir une machine de guerre géante qui obéit aux ordres de l’armée (une définition avec laquelle Rosalie entièrement d’accord. Elle voulait même que « Military Alchemy » soit le titre d’une nouvelle édition anglaise de son livre).

La nature ne réagit cependant pas immédiatement à sa manipulation, mais semble généralement avoir besoin d’un délai de 40 à 60 ans pour y parvenir. Nous devons donc nous attendre à ce que les effets des manipulations, des expériences et des actes de guerre secrets contre elle et contre elle commencent tout juste à se manifester et finiront par s’accumuler au fil des décennies à venir.

Il nous faut donc enquêter sur ces expériences menées dans la nature libre et en savoir plus sur ce nouveau type de guerre qui se produit déjà sans avoir été « déclarée » et qui se poursuivra dans le futur, comme on pouvait s’y attendre. Nous appelons cette tendance « militarisation » (cf. ETC Group). Cela signifie:

Ce qui est prévu désormais, ce sont des guerres climatiques et météorologiques, des guerres dans lesquelles les tremblements de terre et les volcans, les inondations et les sécheresses, les ouragans et les pluies de mousson joueront un rôle (Bertell, 2013, p. 57), et bien plus encore, comme nous le verrons.

Face à ces dangers, il est très important de définir quels types de technologies ont déjà été et sont encore inventés, utilisés et développés, capables de produire des effets suffisamment importants pour créer un impact à l’échelle planétaire.

Par ailleurs, il faut se pencher sur la question du CO 2 et de son rôle. Est-ce vraiment la raison de la destruction que la vie et la planète subissent déjà, ou est-ce seulement un prétexte pour certaines politiques et sert à créer un mythe qui égare le public en cachant les vrais problèmes et leurs causes ?

Examinons donc les nouvelles technologies dont on peut dire qu’elles ont ou ont déjà eu un impact à l’échelle planétaire :

  • dans le passé
  • maintenant
  • à l’avenir, et
  • quelles sont les synergies entre les différentes technologies et avec « les systèmes de survie » de la Terre, comme les appelle Bertell.

Géo-ingénierie et ère nucléaire

La géo-ingénierie militaire commence avec la technologie nucléaire. L’histoire des technologies nucléaires commence avec le développement de la bombe atomique dans les années 1940. Il s’agit du célèbre projet Manhattan, dans lequel furent inventées les bombes lancées sur Hiroshima et Nagasaki en 1945. Il s’agissait d’une expérience scientifique sous couvert de guerre afin de ne pas susciter trop de protestations (Easlea, 1987).

Les inventeurs de la technologie nucléaire de l’époque pensaient que c’était la nouvelle solution pour résoudre presque tous les problèmes. Edward Teller , qui a inventé la bombe à hydrogène encore plus puissante, a pensé à l’appliquer dans divers projets. Teller a été le premier « géo-ingénieur », c’est-à-dire quelqu’un comme un « alchimiste » planétaire qui tente de dominer, « apprivoiser » et transformer la Terre en tant que planète entière en utilisant les nouvelles technologies à cet effet. Il a même été le premier à proclamer le réchauffement climatique et à pulvériser l’atmosphère avec des aérosols d’aluminium (Kirby, 2017, p. 21f, 26, 29).

Entre 1958 et 1962, Edward Teller a lancé la bombe atomique, dont la bombe à hydrogène, pour qu’elle explose dans l’atmosphère. Il voulait voir ce qui se passerait (Bertell, 2013, pp151ff). L’expérience s’est déroulée de la manière typiquement scientifique, par « essais et erreurs ». Il s’agissait de détruire des parties de la nature, en l’occurrence des parties de l’atmosphère, afin d’apprendre comment elle réagit et ainsi pouvoir mieux la dominer.

Entre 1958 et 1998, environ 2 200 bombes atomiques ont explosé dans l’atmosphère, au-dessus et sous le sol (en particulier au Nevada et en Asie centrale) et au-dessus et sous la surface de l’eau de l’océan Pacifique Sud et de l’Atlantique Sud (Bertell, 2013, p.323). Les régions de l’atmosphère dites ceintures de Van Allen, faisant partie du champ magnétique de la planète, ont été gravement endommagées et détruites par ces explosions.

Depuis lors, la magnétosphère de la Terre diminue constamment et les ceintures de Van Allen ne se sont pas remises de ces attaques jusqu’à aujourd’hui et ne pourront peut-être jamais le faire (Bertell 2013, pp.151ff). Il est important de le savoir car ces ceintures régulent l’équilibre entre la masse et le mouvement de la Terre par rapport à la Lune et au sein du système solaire en général (Bertell 2013, pp. 454f).

Les dommages causés à la couche d’ozone

De cette façon, le rayonnement radioactif détruit et continue de détruire des parties de l’atmosphère, le bleu de la planète Terre, en produisant des trous dans la couche d’ozone et une faiblesse générale de celui-ci, dont il ne récupère pas (s. Titze, 2018; PMME, 2018). Ceci est important dans la mesure où la couche d’ozone protège la Terre du rayonnement cosmique qui est préjudiciable à la vie sur Terre. Le premier trou d’ozone a été observé au-dessus du pôle Sud, qui a ensuite été suivi par le trou d’ozone au-dessus du pôle Nord à la suite de l’accident de la centrale nucléaire de Fukushima en 2011, qui continue à émettre de la radioactivité sans cesse et ne peut être arrêté (cf. Shimatsu, 2014; Snefjella, 2015). Pourtant, à ce jour, par exemple, les scientifiques nous disent que les trous dans la couche d’ozone sont simplement dus au CFC émis par nos réfrigérateurs (Bertell, 2013, p.252; cf. Shimatsu, 2014).Depuis 2018, cependant, on sait que la couche d’ozone est également endommagée en général et à l’extérieur de ses trous, de sorte que les rayons UV-B et – C atteignent le sol et menacent la vie des insectes, des coraux, et le plancton, ainsi que les arbres et les plantes en général, influençant la chaîne alimentaire et l’agriculture (Herndon, 2018 à Werlhof, 2018).

Le moment de vérité est arrivé car il faudrait des décennies pour permettre à la couche d’ozone de se réparer, en supposant que les influences négatives sur elle aient été stoppées. Une telle chose n’est cependant pas du tout en vue car la couche d’ozone est également endommagée par l’application d’autres technologies militaires, telles que les vols supersoniques (Bertell, 2016a, p. 115), et les missiles et fusées de la NASA et d’autres agences. espace (Bertell, 2013, pp. 184ff, 253, 267). Les substances chimiques et nucléaires, dont le chlore et le plutonium, les plus toxiques de toutes (le vaisseau spatial Cassini, lancé en 1997, arrivé sur Saturne en 2015), étaient nécessaires pour franchir les couches protectrices de l’atmosphère vers l’espace, entraînant ainsi sa destruction accrue (Bertell, 2011a). , 2013, p. 156 et suiv.).

Selon Bertell, un affaiblissement croissant de la couche d’ozone pourrait même mettre fin à l’agriculture dans de nombreuses régions du monde et peut-être même sur toute la planète, puisqu’elle représente désormais près de 10 à 20 % (Bertell, 2011a).

Le rayonnement électromagnétique cosmique est composé non seulement d’ultraviolets, mais également de rayons X et de micro-ondes, etc. (Bertell, 2013, p. 230). Surtout ces derniers sont désormais imposés sur Terre toujours plus depuis l’espace ainsi que depuis le sol (5G ; s. Freeland dans ce vol.). Et récemment, il a été découvert que sous les vagues, même l’oxygène disparaît (Breitburg et.al. 2018), car l’ozone est également une forme d’oxygène (O3). Alors, la vie pourrait même étouffer !

Les expériences nucléaires nous ont appris quelque chose sur l’atmosphère dont nous ne savions presque rien. Du point de vue hostile à la vie de la science, cependant, ils “ont dû être faits” pour obtenir ces idées. Nous pourrions donc ne jamais connaître le bon fonctionnement de la couche d’ozone et de l’ensemble de notre atmosphère, le magnétisme de Earth’s et la relation entre les deux (Bertell, 2013, pp. 454-458).

Une plus grande activité solaire est, outre le CO2, parfois pensé pour causer les effets de quelque chose comme un réchauffement connu dans de nombreuses parties du globe aussi. Avant, cependant, accusant le soleil d’être responsable, il faut tenir compte de l’affaiblissement d’une atmosphère toujours plus détruite ainsi que des résultats de la manipulation consciente des conditions météorologiques, comme cela sera expliqué ci-dessous.

Au niveau des montagnes, on a parfois observé un réchauffement de 5 à 7 degrés Celsius, ce qui, associé à d’autres facteurs comme les UV et le manque croissant de chutes de neige et d’humidité (voir ci-dessous), conduit au retrait des glaciers. À long terme, cela provoquera par exemple l’assèchement des rivières et des zones autour de l’Himalaya, des montagnes Rocheuses (du barrage Hoover près de Las Vegas), des Andes et des Alpes. En conséquence, l’eau douce devient rare dans de nombreuses régions du monde. Outre l’air que nous respirons et le sol dont nous avons besoin pour notre alimentation, nos pieds et notre logement, l’eau douce est la ressource la plus précieuse sur Terre et la plus nécessaire pour assurer notre survie (Film, 2010).

Le « bleu » de notre planète, une couche extraordinaire et sensible dont la présence nous différencie de toutes les autres planètes, étant une expression de la vie sur et au-dessus de notre planète, exhalant et respirant et nous protégeant des énergies cosmiques néfastes à la vie. sur Terre, nous raconte le crime horrible qui est commis en ayant commencé à la détruire. La nécessité de protéger la couche d’ozone de l’atmosphère a même été officiellement discutée lors d’une conférence des Nations Unies à Vienne en 1985 (Bertell, 2013, p. 308), mais n’a apparemment eu aucune influence sur le débat ultérieur.

Le mythe du CO2

Cependant, l’humanité ne proteste pas contre la destruction de l’atmosphère, mais contre les émissions de CO  qui n’ont aucun impact négatif sur l’atmosphère et la vie sur cette Terre. Au contraire, le CO 2 est essentiel à toute vie sur la planète (voir Heibel dans ce volume). Le dioxyde de carbone ne représente que 0,04 % de l’air – sans parler uniquement de la partie industrielle – et jusqu’aux années 1990, il n’a jamais été identifié comme étant à l’origine du réchauffement, mais plutôt comme le résultat de processus de réchauffement (GIEC, 2018).

En résumé, le CO 2 est un gaz qui descend jusqu’au sol alors que les effets de réchauffement viennent d’en haut. Il y a un rayonnement toxique « brûlant » mortel qui pénètre dans l’atmosphère, et – comme nous le verrons encore – en plus, des tonnes d’aérosols de métaux lourds sales, toxiques et captant l’humidité sont libérés dans l’atmosphère qui – parmi d’autres choses – conduisent à un assèchement rapide de nombreuses régions de la planète, indépendamment de tout réchauffement présumé (Wigington, 2014 ; Werlhof, 2017).

Si le CO 2 était responsable des changements climatiques, il devrait provenir de la troposphère (jusqu’à 10 km d’altitude), là où le climat est généré. Au contraire, un réchauffement mesurable se produit beaucoup plus haut dans l’ionosphère (80 à 200 km). Nous devrions donc nous intéresser à un phénomène complètement différent (les technologies post-nucléaires) qui ne concerne pas un changement climatique induit par le CO 2 mais une destruction atmosphérique au-dessus de la troposphère et de la couche d’ozone.

Bertell affirme que le CO 2 ne peut pas être responsable de ce que l’on appelle le « réchauffement climatique » et le « changement climatique » (Bertell, 2013, pp. 321ff). Si l’on considère ces changements, ils recouvrent bien d’autres phénomènes qui ne peuvent pas être expliqués de cette façon. De plus, il y a, par exemple, aussi une « oscillation » de la planète autour de son axe (Bertell, 2013, p. 321 et suiv.), finalement provoquée par les essais nucléaires, conduisant à plus d’insécurité pour la séquence des saisons ainsi que pour les activités des volcans, des tremblements de terre et des courants océaniques.

On observe davantage de changements météorologiques et climatiques locaux qui ne peuvent être expliqués par la théorie officielle du « réchauffement climatique ». Les sécheresses et les inondations, qu’elles soient ressenties sur les îles ou sur les côtes, que ce soit à l’intérieur des terres, peuvent être un effet de l’élévation du niveau de la mer due à la perte de glace partout et au changement des températures des océans ainsi qu’à des anomalies « météorologiques anormales » qui peuvent être « produit » intentionnellement (s. technologies post-nucléaires).

Ces évolutions ne sont donc pas non plus dues au CO 2 et au « réchauffement climatique ». La fonte des glaces dans l’Arctique, par exemple, est liée aux ondes électromagnétiques de très basse fréquence, les ondes ELF, émises par les États-Unis et l’Union soviétique dans l’Arctique depuis 1974 (voir Technologies post-nucléaires ; Bertell, 2013, p. 256 ; Ponte, 1976 ; cf. CODE, 1981, p. En revanche, le nouveau trou d’ozone au-dessus de l’Arctique, apparu pour la première fois à la suite de l’accident nucléaire de Fukushima en 2011 (Shimatsu, 2014 ; Bertell, 2011), pourrait même avoir contribué au processus de fonte en raison des rayons UV. et d’autres rayons cosmiques pénétrant depuis lors plus facilement dans l’atmosphère (Snefjella, 2015 ; 2016).

En résumé, diverses forces agissent ensemble de manière complexe et produisent différents effets dans l’atmosphère et sur Terre qui n’ont rien à voir avec le CO 2 .

Pour Bertell, enfin, les activités industrielles ne sont pas importantes à cause du CO 2 ou d’un quelconque réchauffement, mais à cause de la pollution de l’air (Bertell, 2013, pp. 297-307 ; 3011-317). La saleté détruit la qualité de l’air que nous respirons mais elle n’est pas responsable du climat qui est un macro-système de la planète en tant que tel.

De plus, il existe des gaz à effet de serre bien plus importants (comme la vapeur d’eau) qui sont plus forts que le CO 2 industriel , notamment le méthane (cf. énumération de Bertell, 2013, p. 302), mille fois plus fort que le CO 2 , s’échappant en quantités massives. à l’échelle où les sols du pergélisol autour de l’Arctique fondent. Nous pouvons observer que le méthane est également une conséquence et non une cause du réchauffement dans cette zone. Cependant, dans le débat sur le CO 2 , on parle à peine du CO 2 sous forme de méthane ; même si, une fois libéré, il ne sert à rien de se concentrer encore sur la réduction du CO  . Réduire le débat principalement à imputer le changement climatique et le réchauffement climatique au CO 2 produit industriellement  – ​​qui ne représente que 3 % de tout le CO 2 (Kirby, 2017, p. 29) – semble donc complètement trompeur, voire ridicule.

De plus, personne n’explique pourquoi le trafic aérien ne joue aucun rôle dans le débat industriel sur le CO 2 , alors qu’il en est l’un des plus gros producteurs (cf. Heibel, 2017).

Depuis 1988, les politiques et les scientifiques représentant le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) de l’ONU se concentrent uniquement sur (une partie du) CO 2 produit industriellement (Gore, 2006) et excluent du débat les scientifiques critiques de ce point de vue ! Les scientifiques du GIEC disqualifient les critiques comme étant peu fiables, car la plupart d’entre eux ont des doutes sur le rôle du CO  et/ou du soi-disant changement climatique, tel que le comprend le GIEC (cf. Curry et.al. 2017 ; GIEC, 2018 ; Engdahl, 2018). .

Il existe d’autres groupes de « climato-sceptiques » qui doutent qu’il y ait un quelconque changement. Ils sont par exemple composés de républicains de droite et de militaires (voir Hamilton, 2013b). Ce sont précisément ces derniers qui savent mieux que les autres ce qui se passe réellement, car ce sont eux-mêmes qui ont produit et produisent nombre des changements observés, comme nous allons encore le voir.

Ainsi, dès 1960, la CIA proposait « La nécessité d’un programme d’étude sur le contrôle climatique », qui était un programme d’étude et des possibilités de changement climatique induit bien au-delà de toute question de CO 2 :

« Les techniques qui sont et peuvent être utilisées pour contrôler l’environnement météorologique varient en fonction de l’ampleur de l’opération considérée et des objectifs spécifiques qui doivent être atteints avec un tel contrôle météorologique. Le contrôle climatique à grande échelle nécessite la modification des conditions météorologiques mondiales en modifiant et en interférant avec les processus physiques à grande échelle… les zones polaires soient recouvertes de couches de suie… altèrent le bilan énergétique de l’atmosphère en injectant de la poussière et d’autres particules dans la haute atmosphère. …altération de la chimie des substances atmosphériques… La compréhension des processus physiques à grande échelle de l’atmosphère est un processus continu depuis de nombreuses décennies… Les phénomènes de circulation importants dans le climat mondial ne se prêtent pas si facilement à la simulation en laboratoire… est désormais devenu possible de… tester et étudier (les) conséquences (de l’intervention humaine dans les processus atmosphériques)… Le contrôle… nécessitera probablement l’accès à des sources d’énergie d’une immense ampleur… En cette ère atomique, nous disposons désormais de sources potentielles vraiment immenses de puissance… Les méthodes de contrôle du climat sur tous les types d’activités humaines… pourraient aboutir à la remise en état de vastes territoires pour… de nombreux… types d’activités humaines, les zones désertiques… sont connues… pour ne nécessiter que de légers changements du régime d’humidité pour les rendre adaptées pour une production agricole à grande échelle… Les changements dans les régimes de circulation peuvent également affecter la trajectoire normale des tempêtes destructrices comme les ouragans… et (peuvent) avoir des effets marqués sur les circulations océaniques… Des changements modérés dans les caractéristiques climatiques auront de graves répercussions sur tous les aspects de l’activité industrielle… Militairement , une capacité de contrôle climatique ouvre la possibilité d’un type de guerre totalement nouveau. Ce type de guerre peut être appelé « guerre géophysique » dans laquelle notre capacité à contrôler l’environnement météorologique peut être utilisée comme une arme » (CIA, 1960, p. 1-7).

À la fin du programme, il est annoncé qu’« une série d’expériences systématiques de contrôle du climat seront réalisées » (CIA aaO, p.14), à lire comme des « expériences sur le changement climatique ».

On peut considérer cet article comme un prédécesseur de Owning the Weather in 2025 , à partir de 1996 (cf. SPACECAST, 2020). Et en effet, l’énergie nucléaire sera utilisée pour l’application de nouvelles technologies « post-nucléaires » à venir, notamment les installations de production d’ondes électromagnétiques et les « armes à plasma », les « réchauffeurs ionosphériques » !

Il est donc essentiel de promouvoir une troisième opinion affirmant que la planète est effectivement confrontée à de nouveaux problèmes. Ces phénomènes ne sont ni simples ni imputables au soi-disant réchauffement climatique ou au CO2 , mais doivent être analysés comme le résultat d’une manipulation secrète du climat, de « guerres météorologiques » et de l’utilisation d’« armes à plasma » (Bertell). , la « guerre géophysique » en action. Ce que nous devons faire, c’est redéfinir le problème et ses causes profondes. C’est ce qu’a fait Rosalie Bertell dans son travail commençant par le nucléaire et allant au-delà. Nous ne savons cependant pas comment l’armée définit aujourd’hui les changements qu’elle provoque elle-même depuis des décennies. Ce que nous savons, c’est qu’après le projet Manhattan qui a inventé la bombe atomique, le « New Manhattan Project » (Kirby, 2017) de géo-ingénierie avait déjà développé une perspective de réchauffement climatique, bien qu’à cette époque indépendamment des émissions industrielles de gaz à effet de serre CO 2 .

Rosalie Bertell nous a dit qu’il y a tellement de choses que nous ne savons pas encore et beaucoup de questions sur lesquelles elle n’a pas pu enquêter de son vivant. Les expériences sur notre planète et ses « systèmes de survie » (Bertell) se poursuivent et il est presque impossible de savoir comment elles se développent réellement et quelles sont leurs synergies. Même Rosalie n’a pas pu trouver une réponse définitive sur la façon d’expliquer les phénomènes existants, qui sont nombreux, beaucoup plus dangereux et beaucoup plus diversifiés qu’on ne le pense généralement. Les concepts de changement climatique et de réchauffement global sont non seulement erronés pour expliquer ces changements, mais constituent également une invention trompeuse de ceux qui veulent dissimuler ce qui se passe réellement. C’est d’autant plus vrai que nous sommes confrontés à l’application de technologies dites « post-nucléaires » qui ne sont encore envisagées nulle part dans le discours public « officiel ».

Nouvelles technologies électromagnétiques « post-nucléaires »

Le dernier développement technologique après le nucléaire remonte au physicien serbe Nikola Tesla (1856-1943), qui a inventé les technologies électromagnétiques. Après sa mort, des scientifiques soviétiques et des militaires les ont appliqués et développés pour un usage militaire, rejoints plus tard par des scientifiques militaires américains. Le colonel Tom Bearden est le prochain à tenter d’expliquer les inventions de Tesla et leur utilisation (Bearden, 2002). Le physicien Bernhard Eastlund a ensuite officiellement breveté ces connaissances (brevets américains) pour le fonctionnement de l’installation de radar électromagnétique HAARP en Alaska (High Frequency Active Auroral Research Program) qui est le résultat de la militarisation des inventions de Tesla, de leur « militarisation » (cf. CIA, 1978 ; groupe ETC ; Begich/Manning, 1995).

Image ci-dessous : Vue aérienne du site HAARP, en direction du mont Sanford, Alaska (Source : Domaine public)

Vue aérienne du site HAARP, regardant vers le mont Sanford, Alaska

Le public et même les sciences civiles n’ont pratiquement aucune compréhension des nouvelles technologies militaires développées grâce aux inventions de Tesla, car elles ont été systématiquement dissimulées. M. Tesla n’est pas considéré comme important, par exemple dans la science civile, bien que ses inventions soient à la base technologique de la tension alternative, de l’électronique, des ordinateurs, de la communication sans fil, des téléphones portables, de l’électromagnétisme et de leur utilisation militaire et civile, la « numérisation » d’aujourd’hui. »

Tesla a vécu et travaillé à l’époque des inventions de la « nouvelle physique », à laquelle appartenaient également Einstein, Heisenberg, Bohm, V. Neumann et d’autres. Son approche de la nature était particulièrement différente de celle qui est courante dans la science moderne, telle qu’elle s’est développée depuis le XVIIe siècle . Au lieu de percevoir la matière simplement comme morte et solide, comme le faisait la science moderne, Tesla la percevait comme vivante et se déplaçant par vagues. On pourrait dire que Tesla revenait en quelque sorte à une vision du monde pré-moderne, à la fois matérielle et immatérielle, ou autrement dit : il n’a pas rejeté l’idée de l’existence simultanée de la matière et de l’esprit, comme l’a fait la science moderne. en définissant la matière comme « morte » et « l’esprit » comme pratiquement inexistant (cf. Merchant, 1980).

Tesla a abordé la matière à travers sa propre énergie inhérente. Il a vu cette énergie sous forme d’électricité dans la nature et sa relation avec le magnétisme, entraînant des ondes ou des rayonnements électromagnétiques.

Tesla a défini l’espace comme étant rempli d’« énergie » électromagnétique – par exemple en utilisant à nouveau le concept précédemment aboli d’« éther » (ou « 5ème élément »). C’est à partir de là que s’est développé le mouvement mondial en faveur de ce qu’on appelle « l’énergie libre » (cf. O’Leary, 2010). Ce faisant, Tesla a rompu avec la science classique moderne qui considérait l’espace comme vide et sa notion d’être en quelque sorte vivant comme « obscure ». Aujourd’hui, la cosmologie débat du même problème, par exemple la gravité en relation avec la « matière noire » et « l’énergie noire ». Dans la cosmovision indigène, en revanche, l’énergie ou la vie contenue dans l’espace, ou étant l’espace, est égale à son esprit, d’autres l’appellent âme et dans la tradition matriarcale, cette énergie de vie est appelée « gynergie », énergie féminine (Daly, 1978), la « Déesse » (cf. Saracino/Moser, 2012), ou encore « l’amour cosmique » (Werlhof, 2007b).

Tesla a mené de nombreuses expériences pour découvrir ce qui se passait lorsque l’énergie existante du lieu augmentait ou diminuait et lorsqu’une énergie supplémentaire était introduite ou supprimée à l’aide d’une source extérieure. Il a produit un océan de découvertes convaincantes, prouvant qu’avec sa méthode, il pouvait obtenir des effets bien plus importants, voire illimités, qu’en tentant de déplacer de la matière solide, comme cela se fait habituellement.

Les ondes et les rayonnements peuvent atteindre n’importe où et avoir des effets auparavant inimaginables, en fonction de la quantité d’énergie introduite dans le système, en particulier lorsqu’ils sont effectués de manière pulsée et en résonance avec les fréquences locales. Par ces moyens, Tesla a provoqué le premier tremblement de terre artificiel en 1887 ou 1888. Il a presque détruit sa propre maison après avoir augmenté l’énergie électromagnétique, créant un effet qui devait plus tard être produit par ce qu’on appelle « l’émetteur grossissant » (cf. Tesla o.D. ; Bertell, 2013, p.

Nikola Tesla était parfaitement conscient d’avoir inventé une technologie que les militaires pourraient appliquer en créant le plus grand mal. Il a averti le public qu’elle était utilisée comme une arme et sans la limiter, la nouvelle technologie pourrait théoriquement détruire la planète entière et la séparer en deux parties, la jeter hors du champ magnétique de la Lune et même du système solaire et la catapulter dans l’espace ou vers le Soleil (cf. Tesla dans Bertell 2013, p. 32, 223ff, 468ff).

Tesla supposait qu’au lieu d’utiliser l’électromagnétisme pour la destruction, le monde rejetterait toute nouvelle guerre en raison de ses résultats terribles et incontrôlables. Si Tesla était en vie aujourd’hui, il serait consterné d’apprendre que peu de temps après sa mort en 1943, un système d’armes horribles a été développé et est encore en cours de développement aujourd’hui, basé précisément sur ses inventions.

Outre les macro-effets sur l’environnement qui peuvent survenir lors du travail avec des ondes électromagnétiques, des impacts négatifs peuvent également avoir lieu au niveau micro, notamment sur le cerveau humain (Bearden, 2002), aujourd’hui appelé « contrôle mental » (premier Begich /Manning, 1995 ; Bertell, 2016). La possibilité de contrôler l’esprit humain est due au fait que notre cerveau peut être atteint par les ondes EM comme tout le reste, ce qui signifie que son propre fonctionnement est basé sur certaines ondes EM et peut donc être perturbé par d’autres ondes EM. des émissions d’ondes similaires ou différentes (cf. aussi CIA, 1978, Bearden, 1986, 2003 ; Becker, 1990 ; Bertell, 2010b ; Kirby, 2017, p. 31ff sur l’invention et le développement des « armes psychotroniques »).

Les installations fonctionnant avec des ondes électromagnétiques à travers le monde ne sont pas encore toutes connues. Le « Pic » russe fonctionnait déjà dans les années 1970, ses énergies provenant de la centrale nucléaire de Tchernobyl (Bertell, 2013, p. 227, 288). Il y a eu des installations à Plattville/Colorado, Poker Flats et HIPAS en Alaska et, bien plus tard, HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program) en Alaska à partir du début des années 1990 (cf. Bertell, 2016a ; Kirby, 2017, p. 25ff), jusqu’à récemment la plus grande installation au monde. Il existe aujourd’hui environ 40 autres installations actives, par exemple Arecibo/Porto Rico, EISCAT/Norvège, LOIS/Suède, d’autres au Groenland, aux Pays-Bas, MARLOW/Allemagne, MUOS/Sicile, réparties dans le monde entier (cf. Systèmes radar ), dans la plupart des zones « développées » et dans plusieurs zones « semi-développées », dont l’Antarctique, et flottantes dans les océans (radar en bande X). Cette technologie nous présente les plus grands dangers potentiels, suivant de près ceux associés à la bombe atomique.

Les installations mentionnées varient en taille, mais les plus grandes d’entre elles sont construites pour envoyer jusqu’à un milliard de kilowatts dans l’ionosphère, d’où leur nom de « réchauffeurs ionosphériques ». Ces installations peuvent même envoyer cette quantité d’énergie vers un seul endroit de l’ionosphère pour provoquer la création de « lentilles » produites par la chaleur. Cela signifie que l’atmosphère, qui est chargée électromagnétiquement, l’ionosphère (à 80/200-1 000 km d’altitude), commence à se courber, réagissant à l’énergie supplémentaire qui est administrée sous forme d’impulsions et devient si dense qu’elle peut être déplacée pour guider l’énergie entrante. rayons électromagnétiques. De cette façon, il est possible de déterminer l’angle à partir duquel le rayon électromagnétique est censé revenir vers la Terre, vers n’importe quel endroit, même en passant par le noyau terrestre. Bertell dit donc que l’ionosphère se transforme en une sorte de canon géant dirigé contre la Terre et toutes ses formes de vie (Bertell, 2103, Partie IV. A., CD, pp. 444 et suiv.). C’est pourquoi Bertell appelle aujourd’hui la planète Terre la « dernière arme de guerre » utilisée en utilisant à mauvais escient ses propres énergies !

Quel est le but d’utiliser la Terre et ses énergies transformées en armes ? (cf. Bertell, 2010b ; 2016a) :

Les ondes électromagnétiques, en fonction de leurs fréquences, de leur puissance sous forme de kilowatts et de leurs impulsions, peuvent être et sont appliquées pour :

  • Pénétrer à l’intérieur de notre planète, créer des tremblements et des « ondes stationnaires » qui peuvent conduire à des tremblements de terre, des éruptions volcaniques et des troubles du magnétisme terrestre, provenant de son noyau, pour ainsi dire de son cœur.
  • Utilisation des ondes EM pour réaliser ce que l’on appelle la « tomographie pénétrante de la terre profonde », afin de connaître l’intérieur de la Terre
  • Frapper des endroits spécifiques de la planète avec d’énormes quantités d’énergie EM
  • Causer ou influencer la survenue de tsunamis
  • Interférer avec les courants océaniques (comme « El Nino » et « La Nina »)
  • Provoquer des ouragans ou exercer une influence sur leur diplôme et leur parcours
  • Déplacer les courants de vent du « jet stream » qui se déplacent autour de la planète vers le nord et le sud et déplacent la chaleur et le froid, car la chaleur des tropiques se déplace vers le nord lorsque le jet stream est soulevé vers le nord, et le froid de l’Arctique se déplace vers le sud. quand le jet stream descend vers le sud
  • Déplacer les « courants de vapeur » qui transportent l’eau des tropiques vers d’autres régions, au nord et au sud, provoquant des sécheresses lorsque les cours d’eau sont éloignés et des inondations lorsqu’ils sont rapprochés.
  • Provoquer des incendies de forêt en envoyant ou en intensifiant les rayons UV, ultraviolets, par exemple avec les technologies laser (comme cela semble s’être produit récemment en Californie, en Australie et au Portugal, s. Kadia dans ce vol.)
  • Emprisonner l’air ou les courants océaniques au même endroit pendant un certain temps pour multiplier leurs effets
  • Provoquer la fonte des glaciers grâce à l’application d’ondes extrêmement basses fréquences, ELF et EM. Cela s’est produit dans l’Arctique depuis 1974, lorsque l’URSS et les États-Unis ont signé le traité de Vladivostok (Ponte, 1976 ; CODE, 1981 ; Bertell, 2013, p. 256, 445 ; MacDonald, 1968) – visant à pouvoir extraire des matières premières situées sous les calottes glaciaires et pour que les navires traversent l’Arctique pendant les mois d’été sans avoir à se rendre au canal de Panama ou de Suez
  • Causer des problèmes émotionnels, de santé et mentaux, en utilisant les ondes ELF pour influencer le cerveau (qui a une fréquence terrestre « Schumann » de 7 à 8 Hz) des individus jusqu’à des populations entières d’une zone spécifique (cf. Bearden, 2003).

Selon Bertell, c’est dans les années 1970 que ces expériences « énergétiques » ont débuté et étaient déjà utilisées pour des actes de guerre contre l’environnement, comme cela s’est produit pendant la guerre du Vietnam.

Ainsi, en 1977, l’ONU a tenté d’établir un moratoire sur l’application de ces technologies à travers la « Convention sur l’interdiction de l’utilisation militaire ou de toute autre utilisation hostile des techniques de modification de l’environnement », Convention ENMOD (ONU, 1977). L’ONU n’a cependant pas interdit l’utilisation scientifique et pacifique de ces technologies, de sorte que HAARP, par exemple, prétend être une simple installation de recherche scientifique. La Commission européenne, en revanche, a envisagé le problème d’une manière différente. Cela n’a pas permis au Parlement européen de tirer des conclusions de l’enquête sur les effets de l’installation HAARP, la définissant comme une affaire militaire qui ne doit pas être jugée par le public. Par conséquent, si la CE avait raison, alors HAARP constituerait un argument pour l’interdiction de l’ONU ! Toutefois, cela ne se produit pas.

Une centaine de pays ont signé la convention ENMOD, mais aucun pays n’a tenté jusqu’à aujourd’hui de l’appliquer pour juger les crimes contre l’environnement.

Quant à Bertell, nous aurions sûrement besoin d’une Cour internationale de l’environnement (faute de lois concernant les dommages à l’environnement, voir Storr, 2013).

A l’occasion de sa participation au 30 e anniversaire du Right Livelihood Award, le prix Nobel alternatif, à Bonn, en Allemagne, en 2010, Rosalie Bertell a publié une pétition (Bertell, 2010a). Dans cette pétition, elle a déclaré que toutes les formes énumérées quant à la manière dont ces technologies peuvent être utilisées devraient être définies comme

moralement inacceptable et constitue un crime contre l’humanité et la Terre, car cela affecte le fonctionnement régulier du système planétaire, provoquant ou intensifiant des ouragans, des tsunamis, des précipitations à long terme, des sécheresses, des inondations, des tremblements de terre et des éruptions volcaniques, entre autres effets.

Les von Uexküll, fondateurs du Right Livelihood Award, et 20 des lauriers du prix RLA dirigeants à cette occasion ont signé la pétition.

Géo-angélierie, géo-armes, géo-guerre

En bref, les « rayonnants ionosphériques » sont capables de faire bien plus que simple modifier le temps dans une région particulière ou favoriser des changements de températures. Aucun CO 2 n’expliquait leurs effets. Bertell definit certaines d’entre elles comme des « guerres mesorologiques ». Elle considère l’utilisation d’ones electromagnétiques artificielles comme des « armes à plasma », le « plasma » étant défini comme l’ a electrologique de l’ de l’ au delosphre au del de l’ de l’espace solide, liquide ou gazeux. Enfin, Bertell qualifie la « géo-ingénerie » militaire qui en résulte de géo-armes, de géo-guerre possible de nouvelles dimensions (Bertell, 2010b ; 2016a) et de « destruction de la planete » (Bertell, 2013, p. 217).

Cette nouvelle guerre, sans droit dans l’histoire de l’humanite, est une guerre qui ne doit pas être traité officiellement « de pouvoir » de pouvoir <TAG1>, ni dans le besoin ni dans le futur (cf. MacDonald, 1968), car personne ne peut vraiment trouver qui l’a d’origine. et comment cela s’est produit. Pourtant, depuis les années 1970, Bertell a connu dix fois plus de catastrophes apparence « naturelles » qu’auparavant (Bertell, 2013, p. 306).

Les recherches de Bertell lui ont appris que les nouvelles guerres ne se déroulent jamais avec les fêtes armées que les pratiques. De plus, nous ne sommes pas les menaces que les nouvelles armes font peser sur nous et notre environnement, maisque l’armee a 50 ans d’ sur nous (Bertell, 2010b). Nous devons agir avant de tout savoir sur les nouvelles armes, sinon il pourrait êvtre trop tard (Bertell op. cit.).

En attendant sur les comptes rendus de cause à notre Terre, Bertell a decouvert non seulement seulement que l’atmospère avait été admis comme affaiblie, mais aussi aussi qu’il y avait eu un aveiblie du champ magnifique terrestre, actuellement d’environ 10%, ce qui est largement reconnu dans le monde entier. les raisons ne sont pas comprises. Autre les effets des dettes nucléaires, cet affaiblissement du champ magnétique peut-être ‘jour la conscience d’un nombre croissant d’attaques via l’ionosphère, car les installations de chauffage de l’ionosphère fonctionnent.

Il en va de fête pour le rétablissement de la vitesse à laquelle la planete tournait. L’axe de la planete se deplace jour et pourrait indiquer le commencement d’un renversement des pauvres qui aurait des conséquences inconnues et de quelque temps la formation de nouveaux glaciers et la fonte des glaces les glaces existantes. En Antarctique, ces deux effets ont été observés. Depuis plusieurs annonces, les pauvres qui habitent l’Arctique, à l’autre bout du globe, confirmment l’ observation d’ un « autre ciel » qui ne peut s’quexliquer que par le remplacement de l’axe de la planification.

Encore une fois, cette n’a rien à voir avec d’événements émissions de CO 2 .

On s’inquiete egalement de la reduction du Gulf Stream à l’avenir en raison des grandes quantités d’eau douce s’écoulant dans l’Atlantique Nord à cause de la fonte des glaces de l’Arctique. Les scientifiques ont mesuré que le Gulf Stream a fait perdu 30 % de sa force (Université de Southampton, 2005). Par consensus, l’Europe pourrait plonger dans une nouvelle ère glacial au lieu d’ vers une ère plus chaude, voie br ⁇ lante.

Synergies

Il est possible que les effets d’un chiffre du globe annonce des effets synergiques parallèles de l’autre chiffre. Rien n’arrive sans entraîner de connaissances. Si, par exemple, le jet stream est partiel d’écriture dans une direction, ceci peut avoir l’effet inverse sur une autre partie de cette direction. Lorsque le froid arctique ateint un continent – comme c’est le cas aux États-Unis et au Canada en janvier 2018 – un autre sera affecte par une chaleur habituelle – comme cela s’est produit en Europe au moment. De telles synergies donnent lieu à un nouveau rendez-vous et interpérés. Le problème est de savoir comment une expression influence les autres et vice versa, produisant finalment des effets totalment inconnu ou les accumulant.

Tesla a fait remarquer que les technologies fondamentales sur l’utilisation d’ondes electromagnétiques pourraient egalement ‘egment ‘ ‘ ‘ ‘ ‘ ‘ ‘resenties au-delà de la Terre, dans le système solaire et femme plus loin, puisqu’ s’ jour d’ones electromagnétiques « scalaires ». Les ondes scolaires semblent traverser l’univers entier. Cependant, les dispositifs et institutions techniques modernes les appliqués dans de nombreux domaines civils et militaires. Les « armes scalaires » semblant devoir faire jour ‘jourtre usage (cf. Bearden, 2002 ; 2003 ; Bertell, 2013, pp. 234-239 ; Wood, 2014).

Le soi-disant « climat spatial », qui a été fait état de rétablissement, influence egalement le climat sur Terre (cf. Rusov et al. 2010) et pourrait ê tre influent par l’application simultanée de technologies scolaires.

Tout cela constitue une alternative aux explications du « réchauffement climatique » et du « changement climatique » liées au CO 2 .

Il semble bien plus probable que de nombre changements que nous observons aujourd’hui ressuscité de l’utilisation des ondes electromagnétiques et de leur forme particulière d’ondes scolaires sur Terre et depuis la Terre vers l’espace. On voit aussi des effets cumulatifs et intermédiaires qui retombent sur Terre (ESA, 2015 ; Weizenbaum en 1998 parlait déjà d’s semblables faisant autorité aux systèmes informatiques et à leurs synergies fatales dans le futur).

Aux technologies nucléaires et post-nucléaires qui sont encore développées (voir ci-dessous), il faudrait ajouter:

  • “Electrosmog,” qui nous affecte plus que nous ne le savons normalement, en conséquence de l’utilisation de l’ensemble du spectre du rayonnement cosmique dans la vie quotidienne – via les téléphones cellulaires, les ordinateurs et tous les appareils sans fil – ainsi que dans la médecine, et tel que produit par les satellites entourant la Terre (cf. Heerd, 2012; Fosar/Bludorf, 2011; Rusov et coll. 2010; Freeland, 2018),
  • Nous devons inclure les pompes aériennes qui sont elles sont une forme de géo-ingénierie stratosphérique et troposphérique liee à l’utilisation d’ondes électromagnétiques par les radiateurs ionosphériques. Les geo-ingénieurs civils les appellent SRM, Solar Radiation Management, qui sera effectif appliqué dans le futur (s. état actuel de la géo-ingénerie) ou SAI (Stratospheric Aerosol Injection). Nous observons ne peut pas être utilisé dans le monde entier depuis des décennies, car elles libres clandestinment des millions de tonnes de nanoparticules, en particulier des métaux comme l’aluminium, le baryum et le strontium, des cendres volantes de charbon et d’autres cycles sous forme de nanoparticules dans la couche stratosphérique. et la troposphère depuis des décennies (Film Murphy, 2012, 2014 ; Herndon, hein,2017 ; Leblanc dans ce vol.). Ce scandale va maintenant êvtre blanchi par l’autorisation officielle prochaine de la geo-ingenerie civile (art. état actuel de la gée-angélierie), ou il sera conclu de la partie de la « comme nationale » et donc hors de la protestation et de la portee du public (Fraile dans ce vol. ‘).
  • Il existe tous les types de synergies et de réactions chimiques, créant des « radicaux libres » (Bertell, 2016a, p. 115) dans une atmosphère artificielle « ionisé », « chauffagee » qui sont encore totalement inconnues, notamment en ce qui concerne les perspectives (s .Freeland, 2018).

En résumé: notre air est un cachemar toxique ! Notre ciel – plus rien d’un « paradis », mais un enfer qui nous menace de notre vivant ! Il y a encore plus à venir (voir Relation entre la pulsation et les réchauffeurs ionosphériques).

Le changement climatique en tant qu’entreprise

Tout ceci n’est jamais mentionné lorsqu’on ‘évoque le changement climatique, le CO 2 et un soi-disant rétablissement de la planete, ainsi que les évenements médicaux étrangers, habillement naturels, etc, avis sur les catastrophes apparence « naturelles » et leur multiplication par dix depuis les années 1970 (Bertell 2013, p. 306), qui ne peut en aucun cas s’expliquer par une situation de croissance des émissions industrielles de CO  .

Les acteurs se sont surtout diversifiés. Il y a eu une augmentation des interventions de géo-ingénierie en Chine, les sociétés privées agissent pour leur propre compte et les marchés boursiers sont entrés en scène lorsque “climate derivatives” servent à faire des profits avec des catastrophes alimentaires et plus ou moins “natural” catastrophes. Le changement climatique est devenu un marché d’un milliard $ (cf. Freeland, 2014, p. 173ff), et ses technologies secrètes sont utilisées pour le transport atmosphérique d’énormes masses d’eau douce pour “Desert Greening” en Arabie Saoudite, par exemple, alors que les régions environnantes jusqu’en Afrique de l’Est manquent souvent d’eau pendant des années et se dessèchent. Les conséquences économiques et politiques sont à voir partout dans la région.

En 2010, l’ONU est revenue dans le match avec le Protocole de Nagoya (s. ETC, 2010) tente d’interdire l’s de projets de geo-ingenerie d’entreprise non autorises ainsi que le recours à des efforts de géo-ingenerie généralement non approuvés. Mais contrairement à la Convention ENMOD de 1977, l’ONU ne mentionne plus le rayon de l’e et on peut douter de l’importance de son nouveau moratoire. à l’ heure actuelle, il semble qu’sun des joueurs ne l’e.

Ce que j’ai exposé ici, ce sont les effets de la gée-ginerie actuelle, principe militaire, qui sont publics inconnu et au-delà de tout jour public. Au contraire, d’nombrables efforts sont employés pour cacher le rayon de l’e, des entreprises, de la politique et des nouvelles technologies appliquées. L’ensemble du débat politique, public et « scientifique » s’est concentrique sur le CO 2et le « déchauffement climatique » comme un ecran de fumée derriere lequel se cachent les catastrophes en cours, et, et les mouvements sociaux ont été orientés en connaissance vers ce qu’on appel « l’alternative ». , une vie possible dans les nouvelles villes intelligentes « (cf. Heibel dans ce vol.). Cette alternative ne serait rien d’autre que la nouvelle adaptation au besoin stérile, toxique, dangereux, rare et hostile vers lequel nous nous dirigeons (s. Henrion dans ce vol.), sans parler de la guerre en cours contre nous, l’environnement. , et la planification en tant que telle que nous sommes censurés ignorer ou tolérer. En effet, on nous reproche finalment d’être responsables d’avoir nous-mêmes produits tout ce dilemme !

état actuel du débat sur la géo-ingénerie « civile »: de la pulsation clandestin de l’atmosphere à la « gestion du rayon solaire » <TAG1> (SRM)

Étant donné que la géo-ginerie militaire, telle que la décrite ici, n’est prise en compte dans eucun de débit public parce que les « élites » ne peut absolument pas avoir ce qu’elles nous font et ce qu’elles font à nous et à la Terre, la question et le concept de géo-ingénerie sont mal définis, voie pas du tout. Ce n’est que le terme que le terme « geo-ingenerie » est apparu dans le public, mais uniquement comme une geo-ingenerie « civile », qui est devenu non pas comme un danger mais comme une chance au vu des difficultés apparentes à réussir les émissions de CO  (cf. Fraile, 2018). .

Par exemple, la conférence des Nations Unies sur le climat COP21 à Paris (30.11.-10.12.2015) a convenu de limiter le soi-disant réchauffement climatique à 1,5-2 degrés centigrades, – présupposant que cette quantité de réchauffement climatique en tant que telle existe et peut être mesurée du tout. Comment cet objectif pourrait-il être atteint? (cf. La fraude dans ce vol.)

L’un des premiers scientifiques civils à s’exempmer a professeur David Keith de l’Université Harvard, qui a parlé de « gestion du rayonnement solaire » (SRM). Keith a proposé d’utiliser rien de moins que de l’acide sulfureux qu’il sentait pulveriser sur la planete pour la refroidir ainsi (Keith, 2015). Que Keith, cependant, a declare ne pas etre s ⁇ r que le monde vivant survivrait à cette expression ! Une telle ateinte à la vie n’a pas encore eu lieu, mais comment est-il possible qu’ ait pu proposer cette expression sans aucun débat public, sans parler de consentement ?

En mars 2017, la cité universitaire Harvard, o travaille le professeur Keith, a annoncé le lancement du « plus grand programme de recherche en géo-ingenerie » <TAG1> :

Le « programme de recherche enverra des injections d’aérosols dans la haute atmosphère terrestre pour etudier les risques et les avantages d’une future solution technologique solaire pour le changement climatique » (Neslen 2017 ; Université Harvard 2017).

Avrès la COP23 à Bonn, en Allemagne, en novembre 2017, il est apparu qu’un plan B est infini sur la table, l’utilisation de météodes de géo-ginerie pour Lutter contre le « changement climatique » au lieu de l’avenir, ce qui implique de continuer à produire ou à « enterrer » les émissions industrielles de CO 2 . Auparavant, le Plan B n’était pas considéré comme un candidat programme parce que son existence était différentee et lors des conferences de géo-ingenerie, il n’était pas considéré comme quelqu’un qui a choisi de tester pour l’avenir et consideré comme trop dangereux pour la date applique d’es maintenant (Weiss, 2016 ; Fraile dans cet article). vol.

Dans les cercles universitaires publicment et politiquement visibles, on supposit – comme toujours – que le CO 2 industriel est à l’origine des problèmes de changement climatique et de redressement (cf. Heibel, Fraile, Henrion, Freeland et Leblanc dans ce volume). Les « élites » et ceux qui sont derrières elles d’éclarent donc que les problèmes de réduction causals par le CO 2 ne peut pas ne peut pas ne peut pas être revenu en raison de la rigidité de la politique et de la difficulté de changer notre mode de production et nos modes de consommation associés à notre civilisation et à notre civilisation style de vie modernes considérés comme insolubles. ‘jour responsable du problle du CO 2 .

De nombres conférences de l’ONU ont eu lieu mais n’ont pas été traités dans la littérature dans la lutte contre le CO 2industriel . La COP21 de Paris a aussi été considérée comme une opportunité pour échanger à lancer pour la premiere fois le projet de geo-ingenerie dite civile comme plan B pour lutter contre le risque » de la planete (cf. Fraile dans ce vol.) en suppliant techniquement ses seuls symptômes. La géo-ginerie dite « civile » est d’habitude de plus en plus ouvert propagation comme étant le meilleur moyen de « sauver la planete » du changement climatique et du redressement. Rééducation, ceci est reproduit avec le rapport spécial du GIEC, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, public en octobre 2018 à Incheon, en Corée du Sud. Son objectif est de limiter le réchauffement climatique à 1,5 degrée par rapport à l’état actuel de l’industrie, comme cela a été fait en tant qu’état de santé.

Jamais mentionné : la géo-ingénierie militaire dans son ensemble

Néanmoins, aucune mention n’est faite de la géo-ingénierie militaire ni de l’histoire de la manipulation et de la destruction du temps planétaire, de l’atmosphère et du climat par l’armée (voir aussi Fleming, 2010).

Les géoingénieurs civils se présentent comme des inventeurs de méthodes à expérimenter qualifiées de nouvelles et prometteuses. Cependant, personne ne s’en soucie ou n’ose mieux mentionner Edward Teller, la bombe à hydrogène ou la guerre en cours contre la planète par la géo-ingénierie militaire comme géo-armement et géo-guerre. Pourquoi pas?

La prétendue géo-ingénierie « civile », telle qu’elle est définie, vise généralement à :

  • Extraire le CO 2 de l’atmosphère, le « stocker » en profondeur dans les sols après l’avoir « capté » (CDS), ou l’enfouir dans les océans, après les avoir « fertilisés » au fer par exemple, afin que certaines algues qui « manger » il prospérerait et emporterait davantage de CO 2 existant jusqu’au fond de l’océan, en mourant (cf. Bertell, 2013, pp.252ff). La troisième méthode à ce niveau consiste à capter le CO 2 de l’air et à en produire un nouveau carburant, en le rejetant à nouveau dans l’atmosphère (le projet le plus rentable du professeur D. Keith) !
  • Les méthodes autres que l’attaque directe du CO 2 consistent prétendument à empêcher le rayonnement solaire d’atteindre la Terre via la SRM (gestion du rayonnement solaire), ce qui implique la construction d’une sorte de parasol pour protéger la planète d’un rayonnement solaire excessif. Il ne s’agit en effet rien d’autre que ce que nous appelons déjà la pulvérisation de nanoparticules dans l’atmosphère. Il convient également de mentionner les méthodes associées permettant de produire ce que l’on appelle un « albédo ». Leur objectif est de blanchir la surface de la Terre, de supprimer les forêts ou de peindre les toits des bâtiments, afin de faciliter la réflexion des rayons solaires vers le cosmos (cf. Goodell, 2011).
  • “Civil” géoingénieurs ont, cependant, été catégoriquement nier l’utilisation réelle et réelle des méthodes de géoingénierie militaire, en particulier SRM – depuis des décennies déjà – et son nucléaire (cf. Snefjella, 2016; Leblanc dans ce vol.) et passé militaire. Ceci est d’autant plus important que l’armée ne se préoccupe pas du tout du changement climatique “civil” (cf. aussi Freeland, 2014; Freeland dans ce vol.) et a donc, pas de méthodes développées contre elle. Au contraire, il a lui-même développé les méthodes pour installer le changement climatique, comme nous l’avons vu (CIA, 1960; US Air Force, 1996; Pasin, 2017). Mais certaines de ces méthodes sont, paradoxalement, maintenant propagées comme aidant contre le changement climatique! Qu’est-ce que cela signifie?

Étant donné que les projets de géo-ingénierie ont été menés en secret et par l’intermédiaire de l’armée (à la fois à l’Est et à l’Ouest), tout débat sur ce fait est considéré comme une « propagande conspirationniste ». Aujourd’hui, cependant, la géo-ingénierie, définie comme la géo-ingénierie civile – étant nouvelle, scientifique et utile – émerge de l’obscurité historique et du fait que jusqu’à présent ses auteurs l’ont consciemment cachée au public en raison de son passé militaire. Ainsi, parler de géo-ingénierie est désormais permis sans risquer d’être accusé d’inventer des théories du complot, ou tout simplement d’être fou, à condition d’exclure la géo-ingénierie militaire en tant que telle du débat.

Les méthodes et les projets dans le domaine de la géo-ingénierie civile, tels que les géo-ingénieurs les présentent aujourd’hui publiquement, ont cependant été considérés comme insensés et beaucoup trop risqués par les scientifiques au cours des dernières décennies. Mais aujourd’hui, au contraire, les géoingénieurs lancent leurs projets comme des expériences futures dont les risques pourraient en réalité être minimisés (cf. discussion dans « Handelsblatt », 4.12.2015). La science civile et la société n’ont pas encore annoncé de protestations massives, car la propagande constante leur fait croire que de telles mesures seraient effectivement nécessaires aujourd’hui (Fraile, 2015).

Tout récemment, un Manifeste, publié en 2018 par l’ONG « Hands Off Mother Earth », prétend s’exprimer contre la géo-ingénierie militaire. En fait, cela concerne le seul fait que le SRM est désormais plus ouvertement propagé par le GIEC dans son rapport spécial de la même année (PBME, 2018b). Le Manifeste de la « société civile » n’avoue cependant pas que les SRM sont utilisés depuis des décennies déjà et que la géo-ingénierie militaire est un ensemble très large de technologies développées depuis déjà trois quarts de siècle. De plus, le Manifeste croit même au mythe du CO 2 .

L’Anthropocène et la « Meilleure Planète » ?

Il existe un nombre croissant de géo-ingénieurs dans le monde basés dans des universités prestigieuses et bénéficiant de dons toujours plus importants (par exemple de Bill Gates). Ils célèbrent « l’Anthropocène » (Crutzen, 2002, 2007), l’ère de l’Homme dominant la Terre !

Du point de vue de “Alchemy”, cela signifierait avoir atteint le but de tout cela, une planète “plus haute et meilleure,” une planète “smart,” étant le “Opus Magnum” de l’Humanité après avoir traversé la phase transitoire de sa transformation à travers ses “mortification” et “taming”. Il semble que nous soyons réellement en train de passer par ce processus. Nous devons cependant douter qu’il s’agisse d’une évolution positive. Ce que nous voyons au lieu d’un “new Earth” s’élevant – en tant que géoingénieurs bibliques et ésotériques ainsi que civils, les “saviours” autoproclamés de la planète, voulez-nous croire que – est tout le contraire, à savoir le “wreckage” de la Terre Mère qui se passe alors qu’elle est en train d’être transformée en la dernière et la plus grande “arme de war” (Bertell, Bertell, 2016a).

Dans tous les rassemblements internationaux de géo-ingénieurs, dont le nombre augmente partout, nous pouvons observer une pression constante exercée pour passer à l’action en raison du réchauffement climatique et du changement climatique prétendument catastrophiques (Weiss, 2014 ; Fraile, 2015).

Quelle entreprise diabolique, en effet. Les gens sont motivés à accepter de continuer à détruire la planète alors qu’ils croient qu’il faut la sauver !

La discussion se concentre désormais sur les matériaux les plus pratiques à appliquer dans les mesures SRM. Tout d’abord, nous rencontrons des métaux comme l’aluminium et le soufre sous diverses formes. Pourtant, personne ne nous le dit et les institutions publiques n’enquêtent pas officiellement sur les effets que ces métaux provoquent dans l’atmosphère (Wigington, 2014) et après avoir finalement atteint le sol. Il semble qu’il n’y ait eu jusqu’à présent aucune recherche de la part des géo-ingénieurs civils sur cette partie de l’expérience (Weiß, 2014 ; Heibel, 2017). Ils se comportent comme si les aérosols projetés restaient dans le ciel.

David Keith, qui projette de nous asperger d’ acide sulfurique comme mentionné précédemment, veut ainsi imiter une éruption volcanique mondiale censée pouvoir réduire les températures globales comme dans le cas de l’effet de refroidissement après l’éruption du Mont Pinatubo en 1991.

Des expériences antérieures utilisant le dioxyde de soufre ont déjà au moins provoqué ce que l’on appelle des « pluies acides », endommageant les sols, les forêts, les océans et leurs créatures. Maintenant, cela va être beaucoup plus menaçant.

Diverses questions découlent de ces considérations :

  • Comment est-il possible d’envisager le risque des effets d’une expérience aussi dangereuse et à si grande échelle (Fraile, 2015) ? Il convient néanmoins de noter que l’ONU a récemment mis en garde contre les conséquences de la géo-ingénierie (civile) et propose un moratoire sur au moins les expériences « privées » de géo-ingénierie (ONU, 2018).
  • Qui sont les cerveaux et les intérêts derrière la géo-ingénierie « civile » ? Reste à clarifier : quels matériaux sont réellement utilisés dans les pulvérisations en cours et qui sont encore officiellement niées ? Et pourquoi?
  • Qui effectue les pulvérisations et comment, et qui est censé le faire à l’avenir? L’argent nécessaire, cependant, semble ne jouer aucun rôle, car il est constamment expliqué à quel point cette méthode serait bon marché par rapport aux coûts qui se présenteraient lors du renoncement (cf. Fraile, Weiss, op. cit.)

Mais surtout:

  • Pourquoi les effets des pulvérisations sont-ils passés sous silence et pourquoi sont-ils niés en tant que tels, alors qu’ils sont déjà pratiqués depuis des décennies (cf. Murphy, 2012 ; 2014) ?
  • Pourquoi le SRM est-il utilisé depuis si longtemps comme méthode pour déverser des particules sous forme d’« aérosols » dans le ciel, si ce n’est pas uniquement pour un « parasol » ?
  • Quels sont les dégâts déjà causés ? (s. Résistance)
  • Pourquoi la planète – du moins officiellement – ​​ne s’est-elle pas refroidie, alors que SRM fournit depuis plus de 20 ans déjà le « pare-soleil » prétendument nécessaire ? En effet, les données satellitaires de la NASA de ce siècle ne montrent ni un réchauffement significatif ni un quelconque refroidissement de la Terre. Lors d’une audition du sénateur américain Cruz avec des scientifiques liés au GIEC, l’organisation qui soutient la théorie du réchauffement basée sur des programmes de simulation informatique, n’a pas pu répondre aux questions sur la façon dont ils défendraient leur théorie du réchauffement face aux faits ( Weiss, 2017) !
  • Enfin, qu’arriverait-il et arrive-t-il déjà aux plantes et aux animaux sur terre, dans les océans et dans l’air, à notre santé et aux possibilités d’utiliser les énergies solaires de toutes sortes dans le monde entier, quand le soleil ne brille plus suffisamment, sur le d’une part, alors que d’autre part, davantage de rayonnement cosmique pénètre toujours à travers la couche d’ozone affaiblie de l’atmosphère ? (cf. Herndon, 2018 dans PBME, 2018, 2018b). Il semble que la vie dans les océans – comme celle des coraux ainsi que sur terre – ait déjà commencé à disparaître à cause du manque de nutrition et d’un excès de rayonnement en même temps (voir déjà Bertell, 1985, p. 300ff ; dans général Philipps-Wefferson ; Yale Environment, 360, 2018 ; Werlhof, 2018).

Les géo-ingénieurs civils nous font même croire que lorsqu’ils appliquent du SRM pour générer un pare-soleil, il n’y aura plus de risque sérieux de mort sur Terre à cause de la chaleur. Ils affirment néanmoins que ce serait une menace mortelle d’éteindre le parasol global au bout d’un certain temps, car dans ce cas, disent-ils, la chaleur produite entre-temps serait mortelle (cf. Weiss, 2016, p.533). Ils menacent constamment le public avec des théories d’évolutions catastrophiques, alors qu’ils ne parlent pas des menaces réelles liées à l’affaiblissement de la couche d’ozone et de ses véritables origines, sans parler de la destruction en cours de la planète et de ses systèmes de survie. Ironiquement, cela peut s’expliquer si l’on prend en considération le fait que les MRS elles-mêmes participent à la destruction de la couche d’ozone (Wigington, 2014). Alors, en propageant cette méthode, il faut nier ses effets secondaires ?

En résumé, ce que nous voyons autour de nous est un vaste réseau de propagande qui empêche les gens de savoir et même de vouloir savoir ce qui se passe réellement dans leur dos depuis des décennies déjà, à savoir une guerre secrète contre nous, contre toute vie et contre la planète elle-même. une guerre qui est censée être même soutenue par les gens qui croient qu’elle est plutôt un salut…

Résistance

Parallèlement, un nombre croissant de mouvements sociaux ont vu le jour, comme notre organisation européenne Skyguards et le Mouvement Planétaire pour la Terre Mère (Werlhof, 2016a). Aux États-Unis notamment, nous avons assisté à la montée de mouvements. Ils ont d’autant plus d’expérience que la pulvérisation n’est pas une solution d’avenir pour mettre en œuvre la MRS, mais qu’elle est déjà une réalité depuis des décennies.

Les constats des différents mouvements sur ce qui nous est déversé sont les suivants :

  • Métaux lourds et autres sous forme de nanoparticules, principalement l’aluminium, le baryum, le strontium, le lithium, le soufre et bien d’autres encore. De plus, des fibres polymères, des champignons, des virus, des bactéries, des aérosols radioactifs provenant de l’uranium, des aérosols provenant de matériaux génétiquement modifiés et de nombreux autres produits chimiques.
    Le réalisateur nord-américain Mike Murphy y fait référence dans ses films Pourquoi pulvérisent-ils ? et que diable pulvérisent-ils ? (Murphy, 2012 ; 2014). Il existe déjà tellement de preuves et de documents au niveau international que nous pouvons être sûrs sans aucun doute que cela se produit effectivement (PBME, 2018 ; 2018b).
  • Il existe des documents militaires sur les pulvérisations qu’ils appellent eux-mêmes « chemtrails » (cf. Bertell, 2013, p. 253). Certains d’entre nous dans les mouvements ont cependant décidé de ne plus utiliser ce terme car il est utilisé à mauvais escient pour les « théoriciens du complot » et ne révèle pas ce que les pulvérisations nous font réellement, à savoir « nous pulvériser comme des insectes » (Henrion dans ce vol. ).
  • Pendant ce temps, la vie dans des communautés telles que Shasta, en Californie (2013), ou Long Island, dans l’État de New York, est en train de disparaître. Les régimes normaux de précipitations ont été modifiés depuis que les pulvérisations ont détruit le cycle de l’eau (Wigington, 2014). Rien ne peut pousser, les animaux périssent et les gens tombent malades. En 2014, les habitants de Shasta se sont soulevés et ont dénoncé publiquement les crimes commis par les paysans, les agriculteurs, les médecins, les pilotes, les scientifiques, les ingénieurs et les membres de la communauté (Shasta, 2014).
  • Récemment, le Dr Marvin Herndon (2015), un scientifique indépendant de San Diego, a pu prouver que des « cendres volantes de charbon » faisaient partie des pulvérisations – le même charbon considéré comme le véritable responsable du réchauffement climatique lui-même ! Il la décrit comme une « géo-ingénierie chimique toxique » aux conséquences désastreuses pour la santé publique, car outre d’autres métaux toxiques, il existe « des éléments radioactifs et de l’aluminium chimiquement actif, qui peuvent avoir des impacts neurologiques lorsqu’ils sont inhalés ou autrement absorbés par le corps humain » (Herndon , 2017a).

De plus, Herndon a trouvé un matériau parachuté sous la forme de

« Cryoconite synthétique, ou proto-cryoconite, dont le but est de faire fondre la glace glaciaire. Cette explication est cohérente avec la pulvérisation désormais quasi quotidienne et quasi mondiale d’une substance particulaire, comme les cendres volantes de charbon, dans la troposphère, ce qui a pour effet de provoquer un réchauffement climatique. … Pourtant, les conséquences de cette activité quasi-mondiale de géo-ingénierie de modification du temps et du climat n’ont été prises en compte par aucun des modèles de changement climatique évalués par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) des Nations Unies, un fait qui remet en question non seulement les conclusions de cette organisation, mais aussi son autorité morale. …

… Les scientifiques du monde entier devraient réclamer, et même exiger, une enquête complète et ouverte sur ces activités secrètes de géo-ingénierie dont les impacts potentiels sur le système climatique terrestre, l’intégrité du biote terrestre et sur la santé humaine peuvent s’avérer extrêmement dangereux » (Herndon, 2017b). ).

Comme les pulvérisations se produisent même dans une atmosphère bien plus basse que prévu, notamment dans la troposphère, cela a également conduit à la disparition d’espèces botaniques, à une réduction de la production alimentaire et à la perte de vies humaines, comme Herndon l’a découvert. En effet, la pulvérisation est un nouveau projet Manhattan (Kirby, 2017) contre la vie.

Certaines revues scientifiques ne publieront cependant plus les résultats de ses recherches du Dr Herndon (Herndon, 2015), ce qui montre le niveau de corruption atteint aussi bien dans les sciences civiles que dans la sphère politique (cf. Leblanc dans ce vol. ).

  • Les recherches se multiplient sur des maladies qui se propagent à travers le monde, notamment aux États-Unis, où les pulvérisations sont pratiquées depuis plus longtemps qu’ailleurs : l’autisme, la démence, la maladie de Parkinson, les maladies respiratoires, pulmonaires, cardiaques et neurologiques et un empoisonnement général de l’environnement.

La pulvérisation aérienne est effectuée par les avions de l’armée de l’air et par un grand nombre de compagnies aériennes civiles à travers le monde, à l’aide de réservoirs situés à bord des avions. Des informations sur la manière dont les pulvérisations sont organisées ont été fournies par des pilotes, des mécaniciens et même des membres de l’armée de l’air, comme Kristen Meghan , qui ont ressenti le besoin de partager cette vérité avec le public (Meghan, 2013).

Entre-temps, Monsanto a inventé en 2013 une graine résistante à l’aluminium. Comment Monsanto a-t-il eu connaissance depuis si longtemps de la présence d’aluminium dans le sol et pourquoi – encore – aucun ministère de l’Agriculture ne semble y croire ?

Relation entre la pulvérisation et les réchauffeurs ionosphériques/technologie EM : l’arrivée d’un « verrouillage » planétaire et d’une « domination du spectre complet de la Terre » ?

Quel est alors le lien entre la SRM et les technologies que nous avons décrites, par exemple les technologies nucléaires et électromagnétiques ? (voir Worthington, 2017). Dans quelle mesure est-il pertinent que les pulvérisations soient pratiquées depuis deux ou trois décennies déjà et qu’elles aient augmenté en fréquence, en intensité et en s’étendant géographiquement ? Pourquoi les criminels nous pulvérisent-ils des substances si nocives pour la vie ?

La seule chose que nous savons avec certitude, c’est qu’ils réalisent à l’air libre (admis par la CIA, 1978) d’innombrables expériences avec nous et notre vie, ou comme nous devrions le dire, avec notre mort!

Qu’est-ce que cela signifie, après tout, qu’en 1961 déjà, l’armée américaine voulait créer un « bouclier de télécommunications » dans l’ionosphère en jetant 350 000 milliards d’aiguilles de cuivre dans l’atmosphère ? Qu’est-ce que cela signifie que cette expérience a lamentablement échoué, provoquant même une perturbation du champ magnétique terrestre accompagnée d’un énorme tremblement de terre de magnitude 8,5 au Chili ? (Bertell, 2013, p. 156f).

Pourtant, il semble y avoir un besoin constant d’« atmosphères de remplacement », comme je les appelle, car les ondes électromagnétiques ne peuvent pas traverser les trous dans la couche d’ozone et éprouvent de plus en plus de difficultés à traverser l’atmosphère restante, car celle-ci a entre-temps été gravement endommagée. La pulvérisation, ou SRM respectivement, est une solution pour ceux qui s’intéressent à l’émission d’ondes EM puisque la pulvérisation permet de guider les ondes EM émises par les radiateurs ionosphériques à travers les trous et les faiblesses de la couche d’ozone. Cela peut être une raison pour la pulvérisation de métaux lourds et d’autres métaux qui répondent le mieux à ces objectifs : en particulier l’aluminium, le baryum et le soufre – si le cuivre ne fonctionnait pas.

Cela signifie-t-il que sans SRM, c’est-à-dire sans projection de métaux dans notre ciel, les projets militaires utilisant des armes à plasma via leurs installations de réchauffeurs ionosphériques ne pourraient pas être menés partout sur le globe ?

En attendant, il est évident que les pulvérisations n’ont pas grand-chose à voir avec le refroidissement de la planète. En fait, les pulvérisations n’avaient initialement pas pour objectif de produire un quelconque effet rafraîchissant. Au lieu de cela, d’autres motivations ont motivé ces expériences, comme l’intérêt pour le développement de nouvelles armes et les conditions de leur utilisation, à savoir les « boucliers » qui entourent une zone ou même la planète en tant que telle. Ces boucliers guideraient les armes « à plasma » respectives à l’aide de nuages ​​métalliques artificiels, par exemple.

Josefina Fraile de Skyguards, notre groupe militant européen, a mis en garde :

«Le génie climatique et la gestion du rayonnement solaire (SRM) sont les problèmes les plus graves, après la bombe atomique, qui mettent en danger la survie de la planète. Malgré cela, le débat est mené à l’arrière des millions d’habitants concernés de ce monde par des personnes qui ne sont pas légitimées pour le faire. En conséquence, afin d’éviter toute réaction contraire à ces programmes, la société civile reste dans l’ignorance d’un problème grave qui affectera tous les êtres vivants sur Terre » (Fraile, 2015).

Cependant, à l’heure actuelle, la géo-ingénierie « civile », avant tout sous la forme de SRM, est présentée comme la technologie nouvelle et la plus prometteuse du 21 e siècle. L’idée d’un bouclier ou d’une grille autour d’une zone ou même de la planète n’est pas nouvelle. La grille est censée reconnaître les fusées hostiles et les détruire par exemple (Bertell, 2013, p. 248f, 250) et des « sphères » ou « dômes » transparents construits à partir d’énergie électromagnétique sont utilisés (Bertell aaO, p. 245), comme le dit Nikola. Tesla les avait déjà envisagés (Bertell aaO, p. 243ff).

Plus récemment, cependant, la « militarisation » de notre planète sous la forme d’un confinement planétaire (Freeland dans ce volume) se produit « sous nos yeux », comme l’ explique Elana Freeland dans son nouveau livre Under an Ionized Sky (Freeland, 2018). :

« Premièrement, nous avons été séduits par la commodité d’un monde sans fil ; Ensuite, l’expérimentation météorologique atmosphérique sous couvert de « changement climatique » sur les carbones a transformé l’air que nous respirons en antenne. Aujourd’hui, la géo-ingénierie à laquelle nous sommes soumis depuis deux décennies se normalise à mesure que la barrière spatiale « Star Wars » s’élève autour et en nous. À l’intérieur du confinement électromagnétique de la barrière spatiale, l’humanité doit être neurologiquement rassemblée vers un avenir transhumaniste » (Freeland, 2018).

De cette façon, « les aérosols chimiques qui blanchissent notre ciel et les radiateurs ionosphériques du monde entier travaillent ensemble pour assurer… des opérations militaires de contrôle mondial » (ibid.) et ont commencé à opérer depuis l’espace autour de la Terre, en utilisant des satellites et en nous enfermant dans une immense prison. – notre Terre Mère !

Ainsi, la « domination à spectre complet de la Terre » (Freeland, 2014) prend forme, consistant en un verrouillage planétaire électromagnétique, des armes géophysiques comme les armes à plasma et des armes à énergie dirigée « libre », DEW (Wood, 2014) depuis l’espace ou l’air. (cf. Kadia dans ce vol.), les armes à impulsions électromagnétiques (EMP, s. Rötzer, 2018) et les armes psychotroniques de contrôle mental, toutes combinées avec les téléphones portables, les ordinateurs, la télévision, les maisons intelligentes et les villes intelligentes (s. Heibel dans ce vol.).

Est-ce là la « civilisation des alchimistes », le « Meilleur des Mondes », les géo-ingénieurs « civils » promettent de pouvoir créer un avenir positif comme celui des soi-disant « villes intelligentes » et nous, les gens, pensons pour contribuer à sa création, l’applaudir et même accepter de mourir pour lui – alors que nous n’avons aucune idée de ce que cela signifie ?

Rosalie Bertell nous a prévenus :

« Malheureusement, attendre que ces armes soient utilisées, pour pouvoir ensuite mieux les comprendre, signifiera la fin de notre civilisation et de notre vie. Notre recherche doit anticiper les menaces au lieu de boiter. Les chemtrails sont une tentative de guerre biologique et chimique. Ce qu’ils nous déversent aujourd’hui n’est peut-être qu’un avant-goût de ce qui est réellement prévu » (Bertell, 2011b).

Quelles sont les perspectives pour la planète et pour nous ?

“Few dans le secteur civil comprennent parfaitement que la géo-ingénierie est avant tout une science militaire et n’a rien à voir avec le refroidissement de la planète ou la réduction des émissions de carbone, le temps a été ‘armed’. Au moins quatre pays – les États-Unis, la Russie, la Chine et Israël – possèdent la technologie et l’organisation pour modifier régulièrement les événements météorologiques et géologiques pour diverses opérations militaires et noires, qui sont liés à des objectifs secondaires, notamment la gestion démographique, énergétique et agricole.

En effet, la guerre inclut désormais la capacité technologique de provoquer, d’accentuer ou de diriger des événements cycloniques, des tremblements de terre, des sécheresses et des inondations, y compris l’utilisation d’agents viraux en aérosol polymérisés et de particules radioactives transportées par les systèmes météorologiques mondiaux. Divers thèmes du débat public, notamment le réchauffement climatique, ont malheureusement été intégrés à des objectifs militaires et commerciaux beaucoup plus vastes qui n’ont rien à voir avec les préoccupations environnementales du grand public. Il s’agit notamment du réchauffement progressif des régions polaires pour faciliter la navigation navale et l’extraction des ressources » (Andersson, 2012).

Le document de recherche Weather as a Force Multiplier: Owning the Weather in 2025  publié en 1996 par l’US Air Force (1996) explique quand et comment les États-Unis prendront le contrôle de tout ce qui touche à notre météo et à notre climat, sans avoir besoin de CO 2 comme source d’énergie. raison. Nous ne sommes qu’à quatre ans de l’horizon 2025 proposé. Nous pouvons supposer que l’armée a déjà réalisé l’essentiel des expérimentations, nos conditions météorologiques et climatiques faisant l’objet d’interventions manipulatrices constantes partout sur le globe (cf. Fogg, 2011).

N’est-il pas étrange de voir que le complexe militaro-industriel fait aujourd’hui en réalité ce dont les « sorcières » européennes ont été faussement accusées il y a quatre siècles, à savoir modifier le climat et être responsable de maladies et de décès ? Ils furent brûlés vifs.

La prétendue géo-ingénierie civile n’est rien d’autre qu’une continuation de la géo-ingénierie militaire qui est maintenant promue publiquement et officiellement et même propagée comme un moyen de sauver la planète du « réchauffement » dû aux émissions industrielles de CO 2 , un mythe inventé dans les années 1990, mobilisant un large éventail de personnes. – un consensus public à grande échelle dans le monde entier et en occupant les idées des mouvements sociaux qui croient agir en faveur de la Terre Mère !

Nous sommes plutôt confrontés à l’épave de la Terre Mère (Bertell, 2016) et à son « militarisation » générale, paradoxalement définie comme une amélioration grâce à « l’alchimie » militaire de la transformation de la planète en une méga-machine. C’est ainsi qu’apparaissent les nouveaux Dieux avec leur dernière « création », la Terre Mère transformée en monstre « né » par les militaires comme son « père » !

De cette façon, certaines activités humaines dissolvent tout ce qui est important pour l’existence de notre planète en tant qu’être vivant cosmique – ses cycles, éléments, rythmes, matière, formes de vie, temps, etc, espace, la relation entre la Terre et le ciel, et entre la Terre et le cosmos environnant.

La logique de toutes ces entreprises consiste à nous intégrer en tant qu’êtres humains dans la transformation de la Planète afin de faire partie de l’expansion “Mega-Machine” le monde est prévu pour devenir dans le futur. C’est le projet du soi-disant 4th révolution industrielle pour réaliser les changements respectifs de l’humanité devenant une race “trans”-et “posthuman” – avec des résultats et des conséquences inimaginables (s. Freeland dans ce vol.; Introduction). De cette façon, le vieux rêve de la civilisation patriarcale à “create” au-delà des mères et Mère Nature deviendrait vrai – son utopie réalisée!

Appeler

Tout ce que j’ai essayé d’expliquer dans cet article est incroyable, au-delà de toute imagination, épouvantable et complètement nouveau pour nous tous – bien qu’il soit déjà devenu une partie croissante de notre réalité. Le reconnaître signifie traverser l’enfer – le dernier enfer artificiel de la « haine de la vie » du patriarcat moderne (s. Werlhof dans ce volume). Mais Rosalie Bertell, qui fut la première à voir cet enfer, était si pleine d’amour pour notre planète qu’elle a su le supporter et nous donner force et espoir. Alors suivons-la même dans les temps où « le ciel peut nous tomber sur la tête » (Pasin, 2017, p.8), comme le prophétisaient les païens de Saxe lorsque Bonifacius, le missionnaire chrétien, coupa Yggdrasil, leur arbre sacré. qui tient le lien entre la terre et le ciel.

Nous sommes responsables de ce qui arrive à la Terre Mère et à nous-mêmes. Il n’y a, bien sûr, aucun « droit » de les détruire, elle et nous. Au contraire, ce serait le matricide suprême et ultime et le méga-crime autodestructeur possible !

Avec cette « conscience planétaire », nous devrions découvrir ce que nous devons faire maintenant, au-delà de toute peur que nous menace le nouveau caractère et les nouvelles dimensions de cette guerre, sans précédent dans l’histoire !

Nous devons redevenir des êtres humains liés à la Terre et à la vie. Nous appartenons à la Terre et nous ne pouvons nous en passer. Les femmes opposées à la géo-ingénierie sont les premières à le montrer, à être fermement du côté de la Terre Mère (s. Almendra dans ce volume) et de l’humanité en tant qu’enfants. Nous devons la défendre, ainsi que nous-mêmes, de nouvelles manières qui doivent être discutées et mises en pratique partout (Werlhof, 2021).

Contrairement à la croyance des patriarches, à l’apocalypse de la Bible et à de nombreuses prophéties ésotériques d’aujourd’hui, il n’existe pas de « seconde » Terre. Celui-ci est le seul que nous ayons. Il en va de même pour nos vies et pour l’humanité. 

Traduction de l’espagnol par Nina Suzanne Hall et l’auteur

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___ : Destruction par la « Création » – la « Théorie critique du patriarcat » et l’effondrement de la civilisation moderne, dans : CNS – Capitalism Nature Socialism, Vol. 24, n° 4, 2013a, p. 69-85

___ : Mit Bertell gegen Geoengineering : Debatte im Europaparlament 2013, dans Bertell 2013b, pp. 33-41

—– : El secreto inefable de la civilización moderna, man., Mexique 2015a

—– : Madre Tierra ou Muerte ! Oaxaca 2015b, Coopérative El Rebozo

—– : Un séjour dans la théorie critique du patriarcat, 2015c, dans BUMERANG Nr. 0, p. 6-38

___ : Géo-ingénierie et mouvement planétaire pour la Terre Mère, dans : CWS, Canadian Woman Studies, Vol. 31, n° 1, 2, Toronto 2016a, p. 118-124

—- : La « haine de la vie » : le système mondial qui nous menace tous, sur Global Research, 16 août 2016b

___ : Earth as Weapon – Geoengineering as War, présentation et interprétation du livre : « Planet Earth – the Latest Weapon of War », dans : DEP, Nr.35, Université de Venise, Italie, novembre 2017, pp.130-150

___ : Le moment de vérité est arrivé ! Et maintenant? Menace pour la vie sur la planète Terre : la disparition de l’ozone et le rayonnement cosmique ultraviolet mortel, sur www.globalresearch.ca , 26 avril 2018

___ : Un appel pour la Terre Mère et l’humanité, dans : Klein, Renate et Hawthorne, Susan (Eds.) : Pas encore mort. Féminisme, passion et libération des femmes, Melbourne 2021. Spinifex., pp. 369-375

Weiss, Mathias : Stimmungsbild zur CEC 2014 – Climate Engineering Conference, dans : 10.a Information Letter, 2014, http://www.pbme-online.org.

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—- : Daten contre Dogmen.- Klimaerwärmung, Extremwetter und wissenschaftlicher Konsens. http://www.pbme-online.org, 2017, en anglais http://www.pelicanweb.org/solisustv13n02supp3.html#section3

Weizenbaum, Joseph : Kurs auf den Eisberg, Munich 1998, Piper

Wigington, Danois : La géoingénierie détruit la couche d’ozone, sur GeoEngineeringWatch, 13 mai 2014

____ : GeoEngineeringWatch, 20 juillet 2015 https://www.youtube.com/watch?v=mRjmzy9XcaY&list=PLwfFtDFZDpwulG0PJ9IID0iypsRXDSa1E&index=3

Wolf, Doris : La guerre était-elle pour les Pharaons ? Die Entdeckung der Urmütter Ägyptens, Zurich 1994, Kreuz Verlag

Wood, Judy : Où sont passées les tours ? Preuve de la technologie de l’énergie libre dirigée le 11 septembre, Port Townsend 2014, Feral House

Worthington, Amy : Chemtrails ; Aerosol and Electromagnétique Weapons in the Age of Nuclear War, sur Global Research, 26 décembre 2017 (à partir du 1er juin 2004)  www.geoarquitecture.blogspot.com

Yale Environment 360, http://e360.yale.edu , dans : TAZ, Berlin 5.1.2018 


Partie II

Les femmes pour la défense de la Terre Mère 


Chapitre X 

La « haine de la vie » comme élément central du patriarcat

par

Claudia von Werlhof 

Je n’ai que quelques minutes pour vous convaincre de l’utilité d’un nouveau terme ; un terme qui nous aidera à comprendre les temps dangereux dans lesquels nous vivons ainsi que les luttes qui y sont associées à un niveau plus profond, c’est-à-dire depuis les racines.

Le temps des plaisanteries légères et des incertitudes est révolu. La « tempête » annoncée par les zapatistes approche plus vite que prévu. Notre confusion doit cesser.

Une « haine de la vie » ? 

Le système mondial qui nous menace tous repose sur un phénomène étrange que je n’ai pu saisir pleinement que récemment, à savoir une « haine de la vie »[2]. Cette haine est bel et bien devenue un système, une société, une civilisation mondiale. Elle s’incarne dans toutes les institutions de la civilisation moderne : en économie autant qu’en politique, en science autant que dans les relations entre les sexes et, en particulier, dans la technologie moderne. Il n’existe plus d’endroit où la haine de la vie n’ait pas été littéralement coulée dans le béton en tant qu’idée et sensation fondamentales de notre existence. La haine de la vie n’est pas une émotion passagère ou une simple expérience individuelle ou personnelle d’une situation ou d’un moment donné. Ce n’est rien de moins que l’hostilité à la vie elle-même qui – et c’est ma thèse – est devenue le principal fondement, la force motrice et le critère déterminant d’une civilisation patriarcale vieille de près de 5 000 ans.

Qu’est-ce que le patriarcat ? 

Après une quasi-interdiction de 30 ans, le terme « patriarcat » réapparaît aujourd’hui. Ce terme était couramment utilisé par les féministes radicales dont le mouvement était destiné à être détruit avec l’arrivée du néolibéralisme.

L’apparition de ce que l’on appelle les « études de genre » en est une conséquence. Le terme « patriarcat » a été évité et les partisans des études de genre se sont rapidement ralliés aux revendications d’« égalité » au sein du système actuel. L’objectif était l’intégration et le partage du pouvoir – ce que la gauche propageait depuis longtemps.

Mais le défi consiste à dépasser un système animé par la haine de la vie au lieu de se transformer (volontairement) en un complice encore plus fidèle des massacres dont il est responsable.

Il a été suggéré à plusieurs reprises que le système patriarcal est un système de mort. Ce n’est pas tout à fait exact. Le système patriarcal est un système de mise à mort , c’est-à-dire de mort artificielle : écocide, matricide, homicide en général et enfin « omnicide », la mise à mort de tout.

Qu’est-ce que la géo-ingénierie ? 

L’omnicide apparaît déjà à l’horizon sous la forme de ce qu’on appelle la « géo-ingénierie ». La géo-ingénierie a commencé avec la destruction de la planète elle-même, de la Terre Mère et de son ordre vivant. La géo-ingénierie entend transformer la planète Terre en une gigantesque arme de guerre[3]. Il utilise de nouvelles technologies de destruction massive, « post-nucléaires », destinées à prendre le contrôle de la planète et de ses énergies, en employant entre autres la « guerre météorologique » et les « armes à plasma ».

La géo-ingénierie militaire à laquelle nous sommes confrontés est – le terme étant traduit – un « art de guerre contre la Terre » qui a été développé au cours de plus de 70 ans d’expérimentation sur la planète. Il se revêt de vêtements « civils » et « scientifiques » et prétend nous protéger du « changement climatique » et du « réchauffement climatique ». Cependant, le changement climatique et le réchauffement climatique sont le résultat des expérimentations évoquées et non des émissions de gaz à effet de serre comme on nous fait croire à tort pour cacher les crimes des militaires[4].

Nous avons toujours su que l’armée n’était pas une institution exprimant l’amour de la vie. Mais jusqu’à récemment, nous ne savions pas que nos institutions civiles étaient empoisonnées par la même haine perverse, illogique et, selon les mots d’Ivan Illich, « contre-productive » de la vie.

Matriarcat et amour de la vie 

Comment peut-on détester la vie quand on en fait partie ? Comment peux-tu te détester ? Et pourquoi?

C’est ce secret scandaleux qui doit être révélé. Il va de soi que la « haine de la vie » ne peut être reconnue ou ouvertement nommée, soutenue ou propagée. Cela n’est jamais mentionné. Pratiquement personne ne voudrait participer à un projet motivé par la haine de la vie. L’amour de la vie est toujours le nôtre ; c’est profondément humain. Il existe encore depuis l’époque de la civilisation non patriarcale, ce qu’on appelle le « matriarcat ». La civilisation matriarcale est basée sur l’amour de la vie. C’est une civilisation qui coopère avec la vie, qui célèbre la vie et qui chérit la « bonne vie » des communautés sans État ni hiérarchies, sans police ni banques.[5]

Pourquoi la haine patriarcale de la vie doit-elle être cachée ? 

Le motif sinistre de haïr la vie doit être caché. Les crimes indicibles que toutes les patriarches ont commis contre la vie elle-même, contre les enfants, les femmes et tous les êtres humains, contre la Terre, les animaux et les plantes ne doivent pas être révélés. La haine de la vie est la raison et la justification rationnelle de la violence contre elle; la haine de la vie est la raison et la justification rationnelle de la violence; une violence qui vise à empêcher toute rébellion ou soulèvement de ceux qui ne croient pas au système qu’elle protège; un système que beaucoup verraient comme une atteinte grave à leur dignité s’ils ne la reconnaissaient.

On nous dit que cette violence est nécessaire au développement, au progrès et à une vie meilleure pour nous tous. Elle n’est généralement comprise et reconnue que par ceux qui en sont directement concernés. Même dans ce cas, la promesse d’une vie meilleure est censée être une consolation, même si toute chance d’une vie meilleure a en fait été sacrifiée.

Pourquoi reconnaissons-nous si rarement à quel point cette logique est erronée ? Pourquoi reconnaissons-nous si rarement la contradiction flagrante du sacrifice de la vie pour « l’améliorer » ?

La raison en est le projet utopique du patriarcat. Cela était déjà exposé dans des textes anciens à l’époque des premiers patriarcats. Le but du projet est de bouleverser l’ordre naturel et d’établir à la place un ordre contre nature et anti-naturel[6].

Les origines de cette situation se trouvent dans les guerres de conquête contre les civilisations matriarcales du monde. Établir un contrôle sur les conquis nécessitait un système capable d’administrer le contrôle : l’État. Elle a commencé à contrôler la vie elle-même : les humains, la nature et la culture matriarcale[7]. Le système basé sur la haine de la vie a été développé afin d’empêcher toute contestation du régime patriarcal. Cela a abouti au désir de remplacer l’ordre naturel par un ordre artificiel pour régler une fois pour toutes le « problème de la vie ». Toute dépendance à l’égard de la nature, des femmes, des mères et de la Terre devait être surmontée. Un système de création masculin et patriarcal a été inventé, sans place pour les cycles, les toiles et les mouvements de la nature. La Déesse a été remplacée par « Dieu le Créateur » et finalement par les « dieux du monde » d’aujourd’hui, gestionnaires d’une vie artificielle soi-disant « post-humaine » et « trans-humaine », une vie de cyborgs, de robots, d’utérus artificiels, de tubes à essai. et les industries mondiales de la reproduction[8].

Patriarcat capitaliste – Le « monstre » de la transformation utopique et de l’annihilation

Le projet de remplacer la vie par la non-vie ne pourrait être réalisé qu’avec l’aide de la civilisation patriarcale-capitaliste moderne et de sa technologie mécanique. Toutes les tentatives « alchimistes » antérieures visant à produire des formes de vie meilleures, plus élevées et plus divines avaient échoué. Seule la technologie moderne a permis la manifestation monstrueuse du projet patriarcal auquel nous assistons aujourd’hui. C’est pourquoi j’appelle le patriarcat moderne le « Monstre » !

Le Monstre n’est pas seulement caractérisé par l’exploitation, l’extraction et l’appropriation. Elle se caractérise avant tout par la transformation de ses possessions en leurs contraires, c’est-à-dire en tout ce que nous appelons “capital”: valeur, argent, machines et structures hiérarchiques (suivant Marx).

Dans cette civilisation, une véritable démocratie est impossible. Nous sommes confrontés à un système totalitaire qui ne se soucie pas de ses sujets, qui ne peut pas (ou plus) être arrêté, et qui devient de plus en plus rapide et efficace dans sa tentative de mettre fin à la vie sur cette planète – tout en transformant même ce processus en en un outil permettant d’accumuler davantage de profit et de pouvoir.

Apparemment, tout ce qui existe aujourd’hui dérive de soi-disant pères ; chaque origine est patriarcale et non plus maternelle, issue d’une mère, de la Terre Mère, matriarcale . Le patriarcat est une nouvelle « formation sociale technologique » qui produit et transforme tout ce qui existe par la violence. Cela ne s’arrêtera pas avant que tout soit anéanti.

Le capitalisme est la forme moderne de matérialisation de ce projet utopique de transformation totale. Lorsque le patriarcat « pur » arrivera et que même les plus petits vestiges matriarcaux auront disparu, nous serons tous morts.

La Terre Mère ou la Mort

J’espère que les hommes parmi vous qui avaient auparavant des difficultés avec le terme « patriarcat » comprendront désormais que cela vous concerne aussi. J’espère que vous déciderez de changer de camp et de rejoindre la nature et les femmes. Les femmes sont (encore) plus proches de la vie puisque la vie émerge d’elles. Ils sont toujours les premières victimes de la haine de la vie, mais ils sont aussi plus proches de la vérité de la vie et de l’amour de la vie.

Quand les femmes se lèvent, elles se lèvent pour défendre la vie. Cela a toujours été comme ça. Aujourd’hui, les femmes se soulèvent à nouveau contre la violence et en faveur de la vie, massivement et partout dans le monde. Tout le monde devrait les suivre, les embrasser et les aimer pour cela (voir contributions dans ce vol.). Ce ne sont pas eux qui constituent la menace, c’est le Monstre, l’« Hydra » patriarcale, une combinaison globale de capitalisme, de néolibéralisme, de colonialisme, de mondialisation et de militarisme.

Le patriarcat est un projet historique qui a atteint son apogée avec le capitalisme. En raison de sa haine de toute vie, il s’effondrera inévitablement. Il ne peut pas remplacer la vie qu’il détruit continuellement. Le capital ne peut rien redonner vie. Le processus de « patriarcatisation » est irréversible. C’est une religion. Et les patriarches ne peuvent cesser d’y croire car autrement ils seraient contraints de revenir au matriarcat.

Quelle belle idée ce serait ! Quelle joie cela apporterait ! Nous pourrions laisser derrière nous la tromperie patriarcale et raviver la dignité humaine en rejetant ce système monstrueux. Sans notre participation et notre coopération, ce système ne peut être maintenu.

La Terre Mère ou la mort ! C’est l’alternative à laquelle nous sommes confrontés aujourd’hui[9]. D’une maison commune à une cause commune : se libérer de la haine ridicule de la vie, une maladie collective enfouie dans notre inconscient collectif.

La vie n’est pas là pour être géo-ingénierie et tuée – elle est ici pour être aimée et défendue ! 

Traduction de l’allemand par Gabriel Kuhn

Remarques

[1] Claudia von Werlhof : El « odio a la vida » como característica central del patriarcado, discours au colloque « Tejiendo voces por la Casa Común », Université ibéro-américaine, 20.11.2015a, Mexico ; exemple. Version publiée pour la première fois par Global Research : http://www.globalresearch.ca/the-hatred-of-life-the-world-system-which-is-menacing-all-of-us/5541269

[2] _____ : Le secret ineffable de la civilisation moderne, mec. 2015b

[3] Cf. Rosalie Bertell : Planète Terre : La dernière arme de guerre. Londres 2000, The Women’s Press, version mise à jour en allemand : Kriegswaffe Planet Erde, Gelnhausen 2011, 2013, 2018 4e éd ., j. K. Fischer

[4] Cf. Mouvement planétaire pour la Terre Mère, www.pbme-online.org ; Claudia von Werlhof : La destruction de la Terre Mère comme le dernier et le plus grand crime de la civilisation patriarcale, Mexique. 2015c, dans : DEP, no. 30, Venise, février 2016,

[5] Heide Göttner-Abendroth : Das Matriarchat, plusieurs volumes, Stuttgart, de 1988, Kohlhammer ; ___ : Sociétés de paix – matriarchies passées, présentes et futures, Toronto 2009, Inanna

[6] Cf. BOOMERANG – Revue pour la Critique du Patriarcat, no. 0, 2015 , www.fipaz.at/bumerang

[7] Cf. par exemple Doris Wolf : Was war vor den Pharaonen ?, Zurich 1994, Kreuz

[8] Cf. Claudia von Werlhof : L’échec de la civilisation moderne et la lutte pour une alternative « profonde ». Sur la « Théorie critique du patriarcat » comme nouveau paradigme, Francfort-sur-le-Main/New York 2011, édition Peter Lang ; BUMERANG, non. 1 : Mutterschaft im Patriarchat, 2015, www.fipaz.at ; BUMERANG, No. 3 : Patriarchat als Technik, 2017, http://www.fipaz.at/bumerang

[9] Claudia von Werlhof : Madre Tierra o Muerte ! Réflexions pour une théorie critique du patriarcat, Oaxaca 2015d, El Rebozo


Chapitre XI

 Entre notre capture par le patriarcat et notre libération par la vie maternelle

par

Vilma Rocío Almendra Quiguanás

Résumé

Ce texte est un effort de l’auteur pour construire un récit critique face à l’agression patriarcale qui se manifeste à travers la dépossession des terres, l’assassinat des femmes qui défendent et nourrissent la Terre Mère, ainsi qu’à travers les interventions féministes institutionnelles exerçant leur impact sur les identités et les pratiques autonomes. des femmes autochtones du nord du Cauca, au sud-ouest de la Colombie. Par la suite, certains défis en suspens et actions collectives pour la revitalisation de la tapisserie naturelle qui les enracine à Uma Kiwe (Terre Mère) sont identifiés.

Partant de la prise de conscience que ce système patriarcal millénaire se nourrit de la capture et de la destruction des sources matriarcales de vie qui restent enracinées dans la Terre Mère, il est nécessaire pour nous, donneurs de vie, partout où nous trouvons la lutte, de rester capables de nommer et agir de manière critique face aux formes patriarcales qui imposent la dépossession et la mort sur nos territoires, tout en ayant la clarté nécessaire pour pointer du doigt les amarres et les silences que nous imposent les interventions féministes institutionnelles en faveur de « l’égalité des genres ».[xxi ] En outre, reconnaître certains des défis et des actions en cours dans la région nord du Cauca, dans le sud-ouest de la Colombie, qui alimentent des récits critiques pour le débat au sein et au-delà des communautés autochtones.

Je dois préciser qu’au cours de la décennie 2000-2010, j’ai participé activement au mouvement indigène reconnu par l’Association des conseils indigènes du Cauca du Nord – ACIN (acronyme en espagnol) – en tant que femme nasa-misak. Ce n’est pas mon intention de parler au nom des femmes autochtones[xxi] mais à partir de ce que j’ai pu observer ailleurs et aussi de ce que j’ai échangé avec certaines compañeras[xxi] sur les enjeux. 

Le patriarcat continue de déposséder la vie maternelle

Sans fournir ici une analyse approfondie ni des preuves à l’appui, guidé uniquement par ce que l’histoire des vainqueurs nous a imposé et par les témoignages et plaintes d’abus les plus récents, qui circulent au sein et au-delà des processus de résistance populaire et indigène de notre Abya Yala ( nom avec lequel les peuples indigènes de la Méso et de l’Amérique du Sud ont donné à ce continent), j’affirme que : Il n’y a pas d’écocide ni de fémicide parce qu’il y a une guerre ; au contraire, il y a une guerre pour tuer de plus en plus tout ce qui peut naître jusqu’à ce que la Terre Mère soit soumise au patriarcat. Oui, comme l’a déclaré Héctor Mondragón il y a des années : « En Colombie, il n’y a pas de déplacement forcé parce qu’il y a la guerre. Au contraire, il y a la guerre pour forcer les déplacements.»

Nous pourrions être confrontés à un tempête (EZLN, 2015) d’une ampleur telle que nous ne l’avions jamais imaginé auparavant. Un qui, à ce jour, génère un tel degré de confusion que la plupart d’entre nous peut comprendre ou refuser de reconnaître sa présence et son impact potentiellement dévastateur. Nous pouvons commencer, par exemple, en reconnaissant que lorsque nous sommes irrités par la violence et les meurtres contre les femmes, nous ne faisons généralement référence qu’à machisme; ou que lorsque nous dénonçons la destruction et les dommages à la nature, nous supposons que tout cela est une conséquence du changement climatique. Mais nous ne reconnaissons pas le problème sous-jacent, un problème critique qui est nouveau parce que, comme le dit Claudia von Werlhof, “il a plus de 5000 ans” et dans la courte histoire du capitalisme, il a à voir avec “la destruction alchimique d’une civilisation alchimique ou quelque chose du genre, qui est une guerre contre la vie” (2015, p.21). Notre problème ancien et actuel est donc l’épine dorsale de ce à quoi nous sommes soumis; ce qui domine pour attirer et sécher le sang de tout ce qui vit: le patriarcat.

Le patriarcat est donc, en fin de compte, une revendication inconcevable, incompréhensible, presque inexprimable, totalement abstraite et éloignée des conditions concrètes de l’existence terrestre, qui dépasse quelque chose d’aussi trivial qu’une sorte d’« envie du pouvoir d’enfanter ». Son objectif n’est rien de moins que de transformer le corps féminin qui donne naissance en une chose qui produit tout et qui peut être universellement reproduite ; ce n’est rien d’autre que le remplacement du corps de la mère par quelque chose qui n’est plus corporel ou féminin mais une machinerie qui peut alors être déclarée comme le but et la fin de l’histoire humaine. C’est ce qui arrive à la Terre Mère et à la Terre elle-même » (Werlhof, 2015, p. 41).

Ainsi, pour arriver à la « destruction ou civilisation alchimique », toutes les sources de vie doivent être usurpées ou détruites avec des projets de mort dans tout Abya Yala , « pour explorer, exploiter, exclure et exterminer tous les territoires, qui incluent des corps, en particulier ceux des femmes ; imaginaires collectifs ; et les territoires de la Terre Mère » (Rozental, 2015). D’une part, allant jusqu’aux interventions et manipulations génétiques par lesquelles « la planète Terre elle-même s’est entre-temps transformée en une arme de destruction massive », ou – pour le dire ainsi – en une « mauvaise nature » qui, comme on dit, ça l’a toujours été. Et maintenant, un nouveau type de destruction s’ensuit à travers des catastrophes naturelles apparentes » (Werlhof, 2015, p.218)[xxi]. Une préoccupation pertinente et une réalité évidente qui exige de notre part plus d’action, basée sur nos connaissances ancestrales et matriarcales, sur ce que la scientifique et religieuse Rosalie Bertell[xxi] a fait connaître dans les années 1980, et sur ce qui a été dénoncé au cours de la dernière décennie. à travers les tsunamis, les tremblements de terre… qui ont finalement contribué à la reproduction du capital.

D’autre part, sur l’accaparement des terres et le féminicide, examinons certaines données à leur sujet car nous pensons qu’il s’agit de questions connexes. Pour commencer,

Les documents de l’ensemble de données de 2016:491 accaparements de terres à grande échelle au cours de la dernière décennie. Les accords couvrent plus de 30 millions d’hectares de terres dans 78 pays. Cela signifie que le nombre de transactions foncières continue de croître, mais la croissance a ralenti depuis 2012. En particulier, plusieurs des plus grands projets “mega” se sont effondrés, ce qui a entraîné une baisse du nombre total d’hectares. Le problème, cependant, ne disparaît pas (Grain, 2016, p.4).

L’accaparement des terres continue de s’étendre et d’intensifier les conflits partout dans le monde. Compte tenu de cette situation, ce n’est pas un hasard si des concessions pour 5 millions d’hectares de terres ont été accordées à des fins minières, tandis que 25 millions supplémentaires ont été demandés dans le même but en Colombie. Il n’est pas non plus étrange que les éleveurs (extensifs) possèdent 45 millions d’hectares et que « sur la superficie totale des terres en Colombie, 0,4 % des propriétaires possèdent 41,1 % des terres (selon le dernier recensement agraire) » (Proceso de Liberación de la Mère Terre, 2016). Ainsi, tandis qu’une guerre mondiale progresse, dépossédant des territoires et accaparant des terres pour la reproduction du capital, le corps des femmes continue d’être une proie favorite du prédateur. Les chiffres actuels sur les féminicides en Amérique latine nous alarment. Selon l’ONU : « les taux les plus élevés se produisent dans 25 pays du monde, dont 14 dans la région. Le Guatemala, le Salvador et le Honduras affichent certains des indices les plus élevés au monde, tandis que des chiffres alarmants sont également signalés en Argentine et au Mexique. »[xxi] La Colombie ne fait pas exception. Paradoxalement, maintenant qu’un cessez-le-feu bilatéral a été signé entre le gouvernement et les Forces armées révolutionnaires de Colombie – FARC (acronyme en espagnol) pour entamer un processus de paix, les dépossessions extractivistes des territoires et les assassinats sélectifs des dirigeants (hommes et femmes) qui défendre la vie et protéger leurs territoires ont augmenté.

L’ONU a également « enregistré qu’à la mi-décembre 2016, 114 personnes avaient été assassinées en Colombie, dont 40 étaient originaires du Cauca ».[xxi] La moitié de ces assassinats ont eu lieu dans le nord du Cauca et 7 étaient des femmes autochtones : Rubiela Coicué, Beatriz Noemi Morano Dicue et Nhora Alba Coicué Viquis de Huellas Caloto ; Sebastiana Ulcué de Munchique Los Tigres ; Ninfa Mosquera de Tacueyó et Cecilia Coicué de Corinto. Ces crimes deviennent enfin un sujet de discussion et de préoccupation dans les agendas de nos organisations autochtones[xxi] en raison d’une réescalade paramilitaire ainsi que de l’intensification des menaces pendant la période « post-conflit ».

Donc, encore une fois, mon souci est qu’il y ait la guerre pour qu’il puisse y avoir le féminicide et l’écocide; pour que le patriarcat puisse avorter et maîtriser toutes les naissances, y compris la vie depuis le sein de l’humanité: Uma Kiwe (Mère Terre en nasa-yuwe). Bien que nous ne puissions nier la violence et les assassinats machistes dans la communauté, il serait intéressant de mener des recherches approfondies sur la relation concrète entre les féminicides et les disputes territoriales afin de mieux comprendre qui profite de cette nouvelle vague de mort sélective. Par exemple, Caloto et Corinto sont les communautés les plus touchées par l’assassinat de femmes et c’est précisément là qu’il y a deux ans, le processus de récupération et de libération de la Terre Mère a commencé (Pueblos en Camino, 2015).

Dans ce contexte, au-delà des processus d’ajustement structurel, de l’assujettissement idéologique, de la cooptation des luttes (Almendra, 2017) pour faciliter la reproduction du capital, devenue plus évidente au cours de la dernière décennie, la terreur et la guerre par d’autres moyens et selon d’autres modalités persistent au sein des communautés indigènes, afro-américaines. -Territoires colombiens et métis . Il n’y a donc rien de paradoxal ou de contradictoire dans le constat que pendant que les chefs de guerre parlent de « paix », dans les campagnes et les villes, ils continuent de tuer la vie. Malheureusement, ils réussissent à nous confondre et à nous inciter à nous aligner en faveur du « développement » au prix d’ignorer que la guerre a été « nécessaire » à la fondation des civilisations modernes, progressistes et capitalistes. Comme le rappelle Claudia Von Werlhof (2015, p. 22) : « …la guerre est le mode normal du patriarcat ; il n’y a pas de paix. Cela explique pourquoi les hommes au milieu d’une soi-disant paix attaquent les femmes ». 

Interventions qui institutionnalisent la vie communautaire des femmes

« Le féminisme d’en haut et le féminisme d’en bas ne sont pas pareils ». Telle est la conclusion à laquelle sont parvenues certaines femmes qui, tout en s’identifiant comme féministes, sont critiques à l’égard des courants féministes dominants dogmatiques, imposés d’en haut, avant-gardistes et illuminés. Des femmes qui s’engagent à développer d’autres chemins, en protégeant et en promouvant la diversité tout en écoutant respectueusement en silence afin de se permettre de ressentir et de partager la douleur et la joie de notre Terre Mère avec les femmes de notre territoire. Il est certain que des femmes de ce calibre ont parcouru nos montagnes, laissant un héritage historique qui nourrit nos luttes pour la vie. En revanche, la plupart des « conseils d’experts » (Almendra, 2017) actuellement fournis aux programmes en faveur des femmes du territoire autochtone du nord du Cauca suivent les directives institutionnelles des gouvernements et des ONG en mettant l’accent sur deux thèmes : la participation politique des femmes et la défense des droits humains des femmes. Pour illustrer la première ligne thématique, je cite un récent projet de recherche de la Casa de Pensamiento[xxi] de l’ACIN sur « Participation politique et culture politique des femmes Nasa dans le nord du Cauca », où, à travers les résultats, ils soulignent deux défis pour surmonter l’exclusion et renforcer l’action politique communautaire :

Le premier d’entre eux est que le seul moyen de garantir l’appropriation de la propre politique de la communauté Nasa est la capacité de  renforcer l’inclusion et la reconnaissance des apports, des demandes, des attentes et des capacités des femmes à contribuer au processus autochtone organisationnel local et à ses projections sur le terrain. de participation politique et électorale .  La participation des femmes ne constitue pas une menace pour le pouvoir . Il s’agit plutôt de la possibilité de garantir l’équité, l’harmonie et l’équilibre. Mais la participation ne suffit pas, il faut davantage d’inclusion et de représentation des femmes . Les communautés, les autorités et les institutions autochtones doivent veiller à ce que les revendications des femmes soient incluses dans les plans de vie et dans les plans de développement et qu’elles reçoivent le degré d’importance adéquat et satisfaisant pour les femmes elles-mêmes.

Le deuxième défi réside dans le fait que la frontière poreuse entre l’ activité politique associée à la communauté et à l’État  ne peut être affaiblie par le biais d’une égalisation des procédures, des pratiques et des valeurs. Les femmes ont clairement reconnu qu’il existe des différences et ont souligné les nombreuses faiblesses de la démocratie et du système politique colombiens . Mais, en même temps, ils ont plaidé pour une distinction et une différenciation claires entre la pratique et les autorités politiques communautaires et l’activité politique associée à l’État, étant entendu que l’activité politique communautaire est pour tout le monde, comme les femmes l’entendaient (Señas, p. 120, 2014 souligné par l’auteur).

Notre lutte, cependant, ne peut pas être réduite et limitée à l’occupation de positions et à l’accès au pouvoir prétendant ignorer ou utiliser le patriarcat. Afin de commencer à élucider les caractéristiques qui définissent la compréhension et la pratique politiques communautaires requises aujourd’hui, face à la pratique politique institutionnelle qui nous est imposée, il vaut la peine d’écouter Dora Muñoz[xxi], un membre de la communauté Nasa de la réserve Corinto, qui affirme que l’approche féministe institutionnelle, au-delà d’avoir un impact sur les activités de women’s dans les territoires, a un impact sur notre identité:

sur la compréhension autonome de questions telles que la féminité, la famille et la relation entre les hommes et les femmes en tant qu’êtres différents et précieux. Il me semble que l’approche institutionnelle individualise les rôles, les responsabilités et les pratiques entre hommes et femmes, fragmentant ainsi l’idée d’unité et de collectivité. Je crois que la promotion des droits individuels des femmes, une prétendue égalité des femmes par rapport aux hommes s’affirme, fomentant une sorte de compétition entre hommes et femmes. En prétendant établir l’égalité entre les hommes et les femmes, on obtient une image des femmes comme des êtres faibles inférieurs aux hommes, de sorte qu’il faut, plutôt que l’égalité, des attitudes et des discours pour obtenir la supériorité de certaines femmes vis-à-vis des hommes. les hommes, niant les activités qui nous rendent différents, mais de valeur égale. Ces attitudes renforcent l’idée de machisme.

Ces attitudes et approches sont liées à l’impact du féminisme institutionnel sur notre organisation, suscitant la méfiance et la suspicion de certaines autorités indigènes, principalement des hommes, qui refusent de céder des espaces et des terres aux femmes. Par exemple, Oneira Noscué, membre de la communauté Nasa de la réserve indigène de Miranda et actuelle coordinatrice du programme pour les femmes d’ACIN, ACIN-PMA, est troublée car « dans la réserve indigène de Canoas, nous avions autrefois un programme pour les femmes et la famille, mais l’un des principaux La difficulté à laquelle nous sommes confrontés pendant cette période est que nous l’avons perdu, de sorte que maintenant tout ce qui reste est un programme familial. Probablement à cause des soupçons de certains dirigeants, nous avons perdu notre espace ». Bien que tout cela soit alimenté par nos pratiques machistes, le patriarcat habite en nous.

En ce qui concerne le deuxième thème, il est important d’examiner combien il est utile de s’enfermer exclusivement dans l’attention aux violations des droits de l’homme alors que nous sommes entourés par un contexte transnational qui exerce différentes formes de violence contre tous les territoires (corps, imaginaires, terres). ). À cet égard, Yuranni Mena, femme indigène dans l’âme qui a également marché avec nous, dit que pendant qu’elle faisait partie du Tejido de Comunicación ACIN, il y a eu quelques tentatives pour se rapprocher du Programme des Femmes d’ACIN – Programa Mujer de ACIN (PMA). ) – mais elle rappelle qu’elles ont été invitées à participer au premier Tulpa féminin [xxi]. Il nous a semblé qu’il s’agissait d’un geste important compte tenu du manque de rapprochement entre les deux espaces. Elles ont expliqué que le but de cette tulpaest de fournir un appui aux femmes qui ont été victimes de violence sur leur territoire (abus physiques et psychologiques commis dans le milieu familial par leur partenaire ou leur famille). Nous leur avons proposé d’apporter du matériel éducatif audiovisuel pour fournir un contexte à ces aspects et à d’autres aspects de la vulnérabilité des femmes dans la subjugation structurelle des femmes et des territoires; en d’autres termes, s’adresser aux femmes au-delà de l’aspect psychosocial[xxi]. Leur réponse était que leurs activités étaient déjà définies et programmées, mais qu’ils finiraient par chercher un autre espace pour ce que nous avons proposé.

De toute évidence, l’attention psychosociale visant à panser les blessures causées par les violations systématiques des droits de l’homme n’est pas l’approche la plus pertinente dans un territoire militarisé occupé par différentes factions qui cherchent à contrôler les économies (légales et illégales) qui déstabilisent la coexistence au sein des communautés. Néanmoins, Noscué nous confirme que depuis 2010, l’Observatoire des Violations des Droits Humains des Femmes Indigènes-ACIN a enregistré 877 cas où le pourcentage le plus élevé d’agressions est causé par la violence familiale. «Cela est sûrement lié au reste des problèmes de l’économie illicite, des concessions minières sur le territoire, mais nous ne pouvons pas encore le savoir car nous venons de terminer le rapport et n’avons fait aucune analyse» ( Ibid. ). Elle dit également que même si dans la Tulpa des femmes et dans d’autres espaces de formation, d’auto-assistance et de soutien aux victimes, on parle de ce qui se passe sur leurs territoires et en Colombie, il est nécessaire de décentraliser ces espaces pour que davantage de femmes rurales puissent participer. De son point de vue, Constanza Cuetia[xxi], membre de la communauté Nasa de la réserve de Jambaló, souligne une autre préoccupation car

Observant la participation des femmes à d’autres rencontres culturelles (davantage dans les réserves), il est limité à l’artisanat, au tricot et aux expositions pour vendre leurs produits. L’objectif est d’obtenir une aide économique pour la famille, mais aucune autre analyse ne se développe, par exemple, comment le plus grand fardeau sur les tâches ménagères reste d’un côté et la discrimination contre les femmes persiste simplement parce qu’elles sont des femmes, qui continuent d’être censées rester obéissantes envers leurs maris. Très peu de questions politiques sont abordées; par exemple, pourquoi le féminicide est-il en hausse? Ou que faut-il faire à cet égard? Les projets mis en œuvre avec les femmes se limitent à leur apprendre davantage sur les institutions et à devenir de meilleurs entrepreneurs plus compétitifs.

Les approches institutionnelles, contrairement aux préoccupations exprimées par certaines compañeras face à la dépossession de la vie maternelle, témoignent d’un problème plus profond et devenu plus aigu depuis la fin de 2010. « Précisément, l’endiguement et la subordination de la résistance autonome visent à capturer et démobiliser les luttes plus radicales qui ont défini notre histoire à court terme avec une plus grande visibilité nationale et internationale au cours de la première décennie de 2000 »[xxi] (Almendra, 2017). Cela explique pourquoi l’institutionnalité est arrivée avec une approche beaucoup plus « modérée » pour occuper notre maison, profitant de l’espace ouvert par la terreur et la guerre, la législation de dépossession et d’asservissement idéologique ; elle noue des partenariats avec la majorité des dirigeants et soutient la recherche, finance des projets et des programmes… Ainsi, en réalité,

Les perspectives institutionnelles, y compris celles des ONG, cherchent à aligner et à coopter tous les processus dans tous les aspects. Ce n’est pas différent en ce qui concerne le thème du féminisme. Malheureusement, par le biais de nos propres organisations telles que cabildos (autorités autochtones traditionnelles)et les associations autochtones et par des politiques institutionnelles pour les droits des femmes, elles ont mis en œuvre sur nos territoires une perspective extérieure, qui nie systématiquement notre propre sagesse, connaissances et pratiques en matière de reconnaissance et de respect des femmes autochtones. Les institutions promeuvent la participation passive des femmes dans différents espaces; un alignement pour notre subjugation et la promotion de perspectives externes, qui sont, presque toujours, systématiquement retirées des exigences communautaires. Le leadership féministe est promu en plaçant certaines femmes dans des postes de leadership formés pour reproduire et maintenir une idéologie spécifique qui finit par promouvoir le machisme comme, d’une manière générale, ces femmes leaders autochtones finissent par obéir aux directives de men’s.Leur participation à des positions politiques suit un caractère représentatif plutôt qu’un véritable caractère participatif. Pour moi, les femmes qui ne gagnent pas de salaire ou qui n’ont pas accepté ou obtenu de postes politiques sont plus critiques et moins soumises, comme ils ne craignent pas de perdre un certain confort économique ou politique (Muñoz, 2017).

Questions en suspens pour nous nourrir en tant que donneuses de naissance et défenseurs de la vie maternelle

Adopter la parole précise requise pour défendre notre vie en plénitude commence par reconnaître que la mort imposée par le patriarcat est autant « une mort artificielle et contre nature que l’est la vie qu’il impose : une vie artificielle. Une planète artificielle… cette mort est un massacre, ce qui veut dire une mère-sacrée sacrée, le meurtre de la mère/déesse/Terre… c’est une religion » (Werlhof, Échange virtuel, 2016). On nous refuse donc notre mort, une mort par laquelle nous transcendons en tant que graines parce que le patriarcat impose la mort d’un système extractiviste, transgénique, minier-énergétique, fémicide… engagé dans la destruction de toute vie, si nécessaire pour l’accumulation de profits.

Il est donc nécessaire de se reconnaître en Uma Kiwe et de la reconnaître en nous comme donneuse de naissance, de bien vivre, de plénitudes vivantes dans la recherche constante d’un équilibre et d’une harmonie qui respecte et nourrit nos cycles naturels.

En même temps, nous devons être capables de voir au-delà des bonnes intentions du féminisme institutionnel et d’exposer ses masques, afin de découvrir leurs vrais visages, mais aussi pour pouvoir nous y reconnaître, en identifiant l’hidra qui l’habite. nous. Enfin, à moyen et long terme, dans le cadre des rythmes et cycles communautaires et face au contexte d’agression contre nous, il est urgent pour nous de nous intégrer les uns aux autres dans des connaissances et des pratiques matriarcales locales et mondiales qui nourrissent la vie en plénitude.

Par conséquent, j’insiste pour réitérer que

Uma Kiwe est la donneuse de la vie forcée à se soumettre par le patriarche de la mort. Par conséquent, ces impacts sont des agressions non seulement contre les femmes, mais aussi contre la vie dans son ensemble. Tout en défendant Uma Kiwe, en défendant la Mère qui permet l’accouchement, on ne défend pas seulement les femmes, mais le donneur de naissance, la Mère par laquelle l’accouchement constant et perpétuel est rendu possible chaque fois que nécessaire. Le patriarcat sépare les hommes des femmes, tandis que Uma Kiwe et le matriarcat défendent la vie et nous tissent à nouveau ensemble en tant qu’êtres divers, réciproques, différents et indispensables” (Almendra, 2016, p.178).

De ce point de vue, il est certain que se défendre tout en défendant Uma Kiwe découle de la conception du matriarcat non pas comme le pouvoir et le commandement des femmes qui remplacent les patriarches mais comme la recherche continue du savoir maternel et la racine des processus de transformation communautaire pour nourrir la résistance et les autonomies. . Cela implique de percevoir et de suivre les flux d’Uma Kiwe qui sont vitaux pour éviter d’être contenus et capturés par ceux qui insistent sur notre soumission au patriarcat, notre domestication et notre fossilisation dans les politiques de ce qui est permis. Le défi de comprendre le spectre qu’il y a entre ce qu’on dit que nous pouvons faire et le chemin que nous devons parcourir de manière autonome face à la tempête , en d’autres termes, être capable de voir au-delà de ce qui nous institutionnalise, demeure. Pour continuer à nourrir la mort face à la vie, il suffirait d’écouter les compañeras du Chiapas, Cherán, Kobane… mais aussi de rejoindre les libérateurs – indigènes, paysans noirs – d’Uma Kiwe qui, du Cauca, ressentent l’héritage de leur ancêtres donneurs de naissance d’Abya Yala.

Même si nous ne pouvons pas imputer tout cela aux influences extérieures, nous devons penser et agir de manière critique à l’égard de tout ce qui nous arrive, même si nous sommes guidés par les meilleures intentions du monde, car l’impact de « l’aide », même si elle résout des problèmes pratiques à court terme, problèmes, se fait au détriment d’une intervention sur notre cosmovision et notre pratique féminine dans les communautés.[xxi] Par conséquent, « nous devons reconnaître et valoriser nos diverses connaissances et capacités, qui, évidemment, sont liées et se complètent les unes les autres. Nous devons maintenir la clarté sur les principes de notre relation avec la Terre Mère et sur la nécessité de nous compléter également avec les hommes afin d’éviter les doutes et les confusions nés de l’acceptation sans réserve d’idéologies extérieures qui conduisent à une fragmentation des autonomies internes », comme le propose Dora Muñoz, précisément parce que, comme l’explique Constanza Cuetia : « Les femmes ont été et restent effectivement des tisserandes dans tous les espaces : au sein de la garde indigène qui protège le territoire ; dans le domaine de la santé en tant que soignantes et sages-femmes ; dans la connaissance et l’utilisation des plantes médicinales ; en communication-éducation ; dans le soutien familial… les femmes ont été essentielles à la vie elle-même ».

En même temps, nous devons éviter d’être identifiés comme des victimes ou des héros. Nous sommes des femmes de chair et de sang qui pleurent et rient à travers le déploiement de la lutte, du foyer familial à l’assemblée communautaire, milieux réciproquement entrelacés pour nos Projets de Vie menacés par le Projet de Mort. Nos peines et nos joies sont aussi celles d’Uma Kiwe car, comme le souligne Oneira Noscué, « les femmes et nos corps sont aussi sacrés que le territoire, c’est pourquoi, pour les rejeter et construire nos propres modes de vie, nous devons comprendre problèmes qui se profilent à l’échelle mondiale et que nous connaissons également ici, notamment les cultures destinées à la production de drogues illicites et l’exploitation minière ». Afin de ralentir la concurrence, les divisions et l’isolement, nous devons au moins réfléchir avec notre propre esprit à partir de l’idéologie de la Terre Mère ; à des connaissances et des pratiques appropriées qui alimentent nos façons de faire maternelles ; marcher avec dignité au-delà des dichotomies que nous imposent les institutions et comprendre le patriarcat comme la relation sociale dominante, visible ou invisible, non exclusive des individus mâles alpha.

Reconnaître l’hidra qui nous habite implique d’aborder nos propres contradictions. À cet égard, Dora Muñoz affirme qu’« à de nombreuses reprises, consciemment ou non, nous avons permis et légitimé des attitudes machistes lorsque nous n’osons pas manifester notre inconformité à l’égard de certains comportements d’hommes ou même de femmes ». Nous alimentons également le patriarcat lorsque nous restons impuissants et/ou soumis, de la communauté à l’organisation, lorsque nous sommes assignés à des postes de représentation par les dirigeants, car « nous obéissons sans nous poser de questions lorsque nous assumons que certaines responsabilités, comme les soins à domicile, sont exclusivement les nôtres, et aussi lorsque nous n’osons pas assumer des responsabilités ou des défis dans des domaines où nous pensons que nous ne sommes pas aussi capables de produire des résultats que les hommes » ( Ibid. ). Lorsque nous devenons machos (Almendra, 2015) et au nom de la lutte, nous abusons, bavardons, pointons injustement du doigt les victimes et devenons complices d’un leadership autoritaire[xxi] qui exclut quiconque ose contester ou critiquer ouvertement nos mauvaises attitudes. et des erreurs. C’est pourquoi Constanza Cuetia insiste pour affirmer que

Il est nécessaire de travailler à l’organisation autonome des femmes, car nous devons laisser des graines pour continuer à résister et à défendre nos territoires et nos projets de vie communautaire. Pour moi, cela exige que nous continuions à communiquer de manière critique, en mettant notre Parole[xxi] comme l’ont fait nos aînés, sans renoncer à la récupération de notre territoire et à la construction de notre organisation.

Nous ne pouvons pas nous permettre d’être confus en ce qui concerne nos racines dans Uma Kiwe. Nous devons être en mesure de nous approprier collectivement des projets institutionnels en les reconnaissant au mieux comme l’un des nombreux moyens potentiels de vivre avec notre Terre Mère; un but qui va au-delà de ce qui arrive et de ce qui nous est inculqué de l’extérieur. La position politique communautaire dont nous avons besoin doit aller plus loin que tout cadre institutionnel par des actions collectives qui “commandent obéissant” nos communautés, nourries à la fois par notre ascendance et notre contemporanéité sur le territoire. Actions collectives – auxquelles je fais référence à la fin — qui sont une priorité ici et maintenant avec laquelle nous résistons dans nos luttes quotidiennes sans jamais faire entièrement confiance au soutien institutionnel,et qui continuent d’émerger malgré les intérêts de la mort infiltrés dans nos communautés pour exterminer la vie. Par conséquent, nous devons nous attacher au minimum requis pour accomplir nos vies, ce que les défenseurs et les soignants de notre territoire donnent lieu sein, contre et au-delà du capital .

Femme rebelle, femme espoir, femme vie, femme travailleuse, femme combattante, tel doit être le rôle joué par les femmes appartenant au peuple Nasa, qui réexistent contre l’oubli et l’invasion depuis plus de 500 ans depuis l’arrivée des Européens sur les terres de notre Amérique. Ces combattants millénaires se promènent dans les rues de Caloto, se déplaçant librement au marché de Corinto où ils vendent leurs produits artisanaux, sans OGM ni monocultures, ne causant ainsi aucun dommage à la Terre Mère ; considérés comme modérateurs et coordinateurs des assemblées collectives de projets de vie du cabildo indigène de Santander de Quilichao ; vu dans les belles montagnes de Jambaló récoltant du café et cultivant du maïs ; vu également au tulpa de la sagesse à Toribío, guidant les rituels d’armonisation avec du chirrincho, de la coca et du tabac (Rebeldía Contrainformativa, 2016).

Être avec eux et devenir continuellement avec Uma Kiwe est d’une importance vitale face à la vague d’agression extractiviste actuelle (Almendra, 2016), non seulement pour ceux d’entre nous qui n’habitent pas le territoire mais aussi pour ceux qui y vivent. , je ne sais pas comment ressentir avec le cœur et voir au-delà de ce qui est institutionnellement autorisé. Par conséquent, comme l’a déclaré Yuranni Mena, au-delà de nous connaître en tant que Terre Mère et de reconnaître l’hidra qui nous habite, nous devons réaliser que :

Plus que d’autres, les femmes autochtones sont ancrées dans la notion et la pratique du collectif ; la logique de partage qui s’impose dans ce monde de hiérarchies et de compétition où chacun veille sur les siens. Les femmes ont démontré une grande capacité à construire à partir d’une conception d’un monde organisé différemment en quête d’harmonie. Je ne connais pas vraiment les propositions émanant des femmes du Cauca du Nord, mais je suis certaine qu’il existe de nombreuses initiatives nées de la base, qui doivent être encouragées et protégées pour alimenter une résurgence du mouvement indigène, avant qu’elles ne soient accaparées par les (locales). ou externes) dont l’intention est de réaliser du profit pour eux-mêmes en tirant parti de leur travail et de leur discours.

Sans salaires ni bourses, sans subventions, sans primes, sans postes occupés et alors que leurs foyers sont entourés de monocultures illicites, par l’accaparement des terres et des biens communs par des intérêts miniers grands ou petits qui menacent leurs sources de vie, ils se lèvent de jour en jour. défendre, prendre soin, libérer et obéir aux Uma Kiwe de et avec leurs divers territoires ; l’esprit, le corps, l’imagination et la terre. Ceux d’entre nous qui se nourrissent directement ou indirectement des fruits de leurs efforts, en plus de s’attacher à eux, non pas pour leur donner des ordres ou usurper leur parole mais pour renforcer leur tissu communautaire, devons reconnaître que :

Si le patriarcat nous habite en dictant nos comportements, nous pouvons aussi agir pour changer les structures de ces modes de pensée dans nos communautés, en remettant en question nos modes de vie et en détectant des situations de domination-soumission. En outre, nous devons agir contre le modèle économique qui privatise la vie et fragmente nos processus organisés (Tejido de Comunicación ACIN, 2013).

Ces défis et de nombreuses autres actions non mentionnés ici sont en suspens dans les agendas de notre lutte qui, une fois de plus, nous montre comment, après des siècles de domination, nous pouvons, destruction et manipulation contre la Vie Mère, ils n’ont pas été en mesure de tout soumettre au patriarcat. Les principes ancestraux et les voies communes – bien que débilités — qui ont garanti la survie de peuples entiers se dressent aujourd’hui, contre la menace de conquête par le capitalisme rampant qui a besoin d’insister pour tout tourner dans la marchandise. Il est de notre responsabilité d’inculquer la vie dans ces principes et chemins communs; de recréer, de, les renouveler et les transformer en permanence dans le processus de tissage de la résistance et des autonomies entre les luttes populaires et sociales avec lesquelles nous devons marcher ici et maintenant.Nous devons transformer en pratique et réaffirmer ce qu’Avelina Pancho a nommé il y a 30 ans et reste un défi en suspens dans notre initiative la plus visible sur les femmes organisées: “Je crois que nous avons déjà été en mesure de surmonter le discours féministe qui a également une fois aveuglé notre Amérique. Aujourd’hui, ce n’est pas notre façon de penser, car notre idéal est de renforcer nos peuples en tant que peuples plutôt que comme groupes séparés d’hommes et de femmes” (Londoño, 1999)[xxi].

Traduction d’ Emmanuel Rozental

Sources

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Almendra, V. (2016), « Colombie : entre le patriarcado extractiviste et la mère vie » dans Rivista Telematica di studi sulla memoria femminile. Disponible en : http://www.unive.it/media/allegato/dep/n30-2016/n30-2016-completo.pdf

Almendra, V. (2015), Dignidad ante el espejo de nuestras contradicciones . En Pensamiento critique frente a la hidra capitalista, Vol. II, Mexique.

Commission Sexta del EZLN (2015), Pensamiento critique frente a la hidra capitalista I. Participation de la Comisión Sexta del EZLN . Mexique : s/e.

Grain (2016), « L’accaparement mondial des terres agricoles en 2016 : quelle ampleur, quelle gravité ? Disponible en: file:///D:/Downloads/grain-5492-the-global-farmland-grab-in-2016-how-big-how-bad.pdf

Londoño, L. (1999), La perspective de génération dans la organisation autochtone du Cauca : approche d’une rétrospective historique. Revist a Cuadernos de Desarrollo Rural

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Pueblos en Camino. (2015), « Libération de la Madre Tierra. ‘Un thème fondamental pour nosotros et pour toute l’humanité’ ». Disponible en : http://pueblosencamino.org/?p=1486

Rebeldía Contrainformativa. (2016), « Le rôle des femmes dans la configuration du processus de démocratie directe et d’autonomie des communautés autochtones du nord du Cauca » . Disponible en : https://rebeldiacontrainfo.wordpress.com/2016/12/06/el-rol-de-mujer-dentro-de-la-

Revista Señas. (2014), Participation politique et culture politique des femmes nasa del norte del Cauca . No.3, Séparata No.1, de la Casa de Pensamiento ACIN. Cauca, Colombie.

Rozental, E. (2015), « Desbordando la economía para superar el horror ». Disponible en : http://www.NasaACIN.org/informativo-NasaACIN/3-newsflash/7841-desbordando-la- econom%C3%ADa-para-superar-el-horror

El Tejido Defensa de la Vida y los Derechos Humanos, ACIN. (2016), « Asesinatos de Mujeres, une Nueva Preocupación en Medio de Muchos autres Hechos que Affectan a Comunidades en el Norte del Cauca ». Disponible en http://www.cric-colombia.org/portal/asesinatos-de-mujeres-una-nueva-preocupacion-en-medio-de-muchos-otros-hechos-que-afectan-a-comunidades-en- el-norte-del-cauca/

Tejido de Comunicación, ACIN. (2014), « Cauca : Palabrandar, una tarea de todas y todos los comunicadores ». Disponible en http://www.movimientos.org/es/content/cauca-palabrandar-una-tarea-de-todas-y-todos-los-comunicadores

Tejido de Comunicación, ACIN. (2013), « Comité Zonal de Mujeres : les femmes indigènes parties et acteurs de l’histoire ». Disponible en http://nasaacin.org/noticias/3-newsflash/5565-comite-zonal-de-mujeres-las-mujeres-indigenas-parte-y-actoras-de-la-historia

von Werlhof, C. (2015), ¡Madre Tierra o Muerte! Réflexions sur une théorie critique du patriarcat . Coopérative El Rebozo, Palapa Editorial. Oaxaca, Mexique.

Télésur, Noticias. (2016), « La bataille de l’Amérique latine contre le féminicide ». Disponible : http://www.telesurtv.net/news/La-batalla-de-Latinoamerica-contra-el-feminicidio-20160706-0059.html


 

Annexe I 

Mouvement planétaire pour la Terre Mère

Climat, science et Terre Mère : deuxième lettre ouverte à Greta Thunberg

par

Claudia von Werlhof et groupe de discussion du « Mouvement planétaire pour la Terre Mère » – Alexandra Danzl, Wolfgang Fischer, Maria Heibel, Thomas A. Mann, Gudrun Sahlender-Wulf, Dietmar Salamon, Thomas Schramm et al.

Chère Greta Thunberg,

Vous n’avez pas répondu à notre première lettre ouverte au début de votre rude « carrière », qui vient d’aboutir à la reconnaissance du Right Livelihood Award. J’en écris néanmoins un deuxième. Je t’ai abordé avec sympathie pour ton éveil et ton militantisme, en te regardant comme une sorte de grand-mère qui voudrait te donner quelques conseils – une sorte de petite-fille.

C’était pour vous donner de meilleures informations sur l’état réel de la Terre Mère parce que j’ai remarqué que vous n’aviez pas cette connaissance. Cette fois, je préfère m’adresser à vous en tant que scientifique, ce que je suis aussi, car j’entends que vous demandez l’avis de la science, car tu sembles avoir confiance en ton esprit. C’est bien et c’est vraiment nécessaire. Cependant, il y a toujours deux sortes de science: celle qui est responsable de rien de moins que l’état en voie de disparition de la Terre Mère elle-même, et celle qui s’y oppose. J’appartiens à ce dernier type. C’est pourquoi j’étais un manifestant enthousiaste et un conférencier de démonstration et au début j’étais juste heureux de la façon dont les jeunes partout ont réagi à votre protestation dans les masses. Enfin, un mouvement a émergé et même pour la Terre Mère! Quelque chose de plus beau ne pouvait pas m’arriver,surtout parce que j’étais le fondateur du Mouvement Planétaire “ pour la Terre Mère”.

Mais entre-temps, en tant que scientifique, je vois combien d’aberrations et de confusions vous et les « Fridays for Future » ​​avez encore, et je ne vois pas si elles sont reconnues par vous ou par les gens du mouvement de protestation que vous avez inspiré. Oui, les vrais dangers pour nous et pour la Terre Mère sont supprimés et dissimulés, à savoir ceux qui nous menacent réellement. Mais il faut les connaître pour agir comme vous le faites, et en outre, on partage une certaine responsabilité envers un nombre croissant de followers. Ainsi, vous et le mouvement « Fridays for Future » vous souciez de l’état de la Terre et de ses causes, mais vous ne semblez pas en savoir grand-chose !

Grève scolaire pour le climat devant le Parlement, Helsinki, 15 mars 2019 (sous licence CC BY-SA 4.0)

Au contraire, vous avez rejoint l’affirmation des organisations internationales, de certains scientifiques de premier plan du GIEC, du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, ainsi que des entreprises, des institutions financières et des acteurs du secteur financier.  On dit que le CO 2 est le principal, voire le seul problème de la planète, et que sa très faible part de 0,04% dans l’atmosphère (dont seulement une petite partie est d’origine humaine) est même la raison d’un « changement climatique » planétaire comme un résultat. Cela ruinerait les conditions de vie sur Terre et prendrait bientôt des proportions potentiellement mortelles sous la forme du réchauffement climatique. C’est pourquoi, comme l’a décidé la Conférence des Nations Unies à Paris en 2015, il faut agir contre ce phénomène en réduisant massivement les émissions de CO 2 . Au nom d’un New Deal prétendument « vert », un « changement de système » contre ce « changement climatique » et ses causes capitalistes doit maintenant être initié. Ce changement de système consisterait à introduire un « mode de vie durable » dans la société, dans lequel la consommation et l’utilisation de produits à forte intensité de CO 2 seraient fortement réduites ou des impôts plus élevés devraient être payés. Cela devrait prétendument mettre fin au « changement climatique » et « sauver » la Terre.

Voilà pour le “logic” des arguments d’en haut, que vous avez adopté de manière transparente et étonnamment bien conduite sans aucune contradiction.

Qu’est-ce qui ne va pas avec ça? Beaucoup:

  1. Paradoxalement, le changement de système prévu par la réduction de la consommation d’énergie est aujourd’hui mis à mal par les projets de développement massif des dimensions high-tech les plus énergivores de la vie quotidienne, qui devraient conduire à la numérisation de tous les domaines de la vie, le projet du les « Smart Cities » correspondantes et l’installation du rayonnement électromagnétique nécessaire au niveau 5G. Cette façon de démanteler, mais en même temps de reconstruire et de reconstruire la société industrielle, est déjà devenue une énorme entreprise dans laquelle des milliards de dollars sont en jeu[1] et certainement pas quelque chose de « vert » qui sauverait la Terre ! En effet, la fréquence 5G nécessite l’abattage de nombreux arbres dans les villes. Jusqu’à présent, la fréquence 5G n’a été utilisée que dans le secteur militaire, car il s’agit d’une arme qui détruira même la vie sur Terre dans une mesure indéterminée, en commençant par les insectes, les oiseaux et les bébés dans l’utérus, puis par les personnes âgées, où ces ceux qui se situent au milieu devront s’attendre à de graves dommages à leur santé[2].

Ainsi, les plans sur ce que signifie le « changement de système » que vous souhaitez ont déjà été élaborés depuis un certain temps. Ils n’ont rien à voir avec l’abolition du capitalisme et sont déjà imposés avec toute la force d’en haut. Il faut donc répondre à plusieurs questions simples : qu’est-ce qui est « durable » dans ce changement ? D’où devrait venir l’énergie nécessaire ? À qui faut-il le réserver ? Parce que ce niveau d’énergie ne peut être atteint sans combustibles fossiles et uniquement avec des énergies renouvelables, alors que les combustibles fossiles touchent de toute façon à leur fin et que les énergies renouvelables ne peuvent être augmentées que par une conversion supplémentaire de l’agriculture en secteur énergétique et des forêts en secteur palmier. plantations de pétrole – autrement dit par des destructions massives et une production de famine dans le monde entier – sans parler des dégâts causés par les éoliennes, par exemple, ou encore par les barrages pour un approvisionnement en eau « alternatif ». S’agit-il alors d’un développement de l’énergie nucléaire auquel les militaires s’intéressent particulièrement ? Alors, de quel genre de changement de système s’agit-il, qu’est-ce que cela change au niveau du « climat » qui est un énorme système planétaire à grande échelle, et qui est exclu ? Les victimes de la 5G, de grandes régions du Sud, les victimes de contaminations radioactives et…et et ?

Pourquoi ne dis-tu rien de ce « changement de système », Greta ?

Mais c’est bien pire. Car même la thèse du CO 2 sur laquelle tout est basé n’est pas du tout correcte !

  1. Il n’est pas vrai que CO2 menace la Terre. Oui, la Terre aurait besoin à l’heure actuelle encore plus de CO2 pour ses plantes et la vie en général car CO2 est un gaz végétal invisible et pas de saleté, qui vient des cheminées, comme il est constamment suggéré[3], dont on ne parle cependant pas du tout. CO2 n’est pas non plus un gaz à effet de serre dans la mesure où la Terre est ouverte au ciel et donc pas une serre. L’effet de serre ne peut pas se produire sur une planète. Oui, CO2 assure que nous avons de l’oxygène à respirer parce que les plantes le convertissent en oxygène. Donc, si CO2disparaît autant que possible de l’atmosphère, comme vous le préconisez, alors nous finirions par descendre en étouffant avec toute la vie sur la planète! Ainsi, il y a quelque chose de fondamentalement faux dans toute l’argumentation. Il se tient sur des pieds d’argile!

Si vous croyez en la science, comme vous le dites toujours, alors vous ne devriez pas croire au GIEC, le Groupe Intergouvernemental sur les Changements Climatiques, parce que ce n’est pas une organisation scientifique mais politique. Des milliers de scientifiques dans le monde se sont entre-temps prononcés contre elle[4], précisément parce que le GIEC affirme que le CO2 est à blâmer pour ce changement climatique“”. Les scientifiques qui ne sont pas engagés envers le GIEC et ses politiques défendent le CO2 , comme je viens de le faire. D’autres affirment que le changement climatique ne peut résulter que d’une modification de l’activité solaire. Mais ils ne peuvent pas le déterminer pour les périodes en question. Le réchauffement de la température moyenne mondiale annoncé par le GIEC ne s’est même pas produit au cours des 20 dernières années, affirme l’agence spatiale américaine NASA. En outre, une température moyenne pour l’ensemble de la planète est bien entendu une mesure inadaptée, voire absurde, car elle dépend des stations de mesure respectives, qui ont également été modifiées, et parce qu’elle ne fait que compenser d’énormes différences, de sorte qu’en fin de compte, n’a aucune signification du tout.

Dérèglement climatique : ce n’est pas dû au CO 2

  1. Ce que la plupart des scientifiques, cependant, ne’t disent est comment interpréter le perceptible changements météorologiques que nous observons tous. Ces changements sont incontestables mais ne doivent pas être confondus avec le système climatique mondial, qui est à long terme et global. La manipulation délibérée du climat mondial serait une entreprise très complexe, probablement impossible du tout, et certainement pas par l’utilisation ou la réduction d’un seul gaz végétal comme le CO2. Le climat mondial est simplement d’une autre dimension, incomparable à la météo locale. La question est donc de savoir d’où viennent ces changements climatiques, que ce soit sous la forme de sécheresses, d’inondations, de chaleur régionale ou de vagues de froid, les tempêtes et les systèmes météorologiques violents qui restent en place pendant une longue période, le réchauffement de l’Arctique qui est nettement supérieur à tous les autres changements de température (au moins jusqu’en 2012), les incendies présumés de “forest” en Californie, en Australie et au Portugal, qui ont détruit des maisons sur leurs fondations et fait fondre des voitures, mais ont laissé les arbres autour d’eux pour la plupart intacts[5], sans parler des incendies catastrophiques dans la jungle en Amazonie, en Afrique et en Asie du Sud qui sont clairement causés par l’intervention humaine. Aussi l’extinction massive des animaux et des plantes, par exemple, les insectes, les oiseaux,les coraux et les arbres, ainsi que la perte d’espèces qui augmente rapidement, ne peuvent en aucun cas être expliqués par le CO 2 ! C’est totalement impossible et tout simplement absurde. Il en va de même pour la pollution de l’air, du sol et de l’eau, non seulement par des poussières fines, mais aussi par des poussières nanofines d’aluminium, de strontium, de baryum, de lithium, de polymères, de cendres de charbon, de substances génétiquement modifiées, de bactéries et de nombreuses autres substances qui pénètrent dans tout. organes jusqu’au cerveau, ce qui a été prouvé depuis plus de deux décennies, entre autres par l’application d’aérosols dans l’atmosphère, surtout dans l’hémisphère nord. La méthode de pulvérisation d’aérosols a un nom scientifique, elle s’appelle SRM – Solar Radiation Management – ​​et est recommandée pour prétendument bloquer le rayonnement solaire en faveur de températures plus basses sur Terre – mais en réalité, elle a longtemps été utilisée à des fins très différentes, dans tous les domaines. C’est le cas de ceux qui nuisent à toute vie sur Terre jusqu’à son extinction et provoquent de nombreuses maladies aux proportions épidémiques[6]. Et enfin, contrairement aux prévisions, ces dernières années, la couche d’ozone dans l’atmosphère a été de plus en plus détruite, ce qui a conduit à des rayons UV nocifs qui atteignent désormais la Terre sans être filtrés partout dans l’hémisphère nord et menacent en particulier les micro-organismes. La chaîne alimentaire sur terre et dans les océans a déjà été attaquée et les coraux « meurent de faim » (7). Donc, si quelque chose ne se produit pas bientôt pour renforcer la couche d’ozone de manière permanente, c’est-à-dire au cours des prochaines décennies, cela implique de savoir et d’admettre de quoi elle souffre réellement – ​​et ce ne sont certainement pas seulement les CFC civils qui en sont censés être responsables, mais aussi le CO 2n’a rien à voir avec cela – alors nous pourrions bientôt être nous-mêmes menacés parce que l’agriculture peut soudainement s’effondrer en étant exposée en permanence aux rayonnements toxiques UV-B et C. Cependant, la couche d’ozone ne peut pas être renforcée par l’introduction artificielle d’ozone dans la stratosphère, mais seulement en cessant d’affecter cette couche mince mais absolument vitale – car elle est en réalité affectée par la radioactivité, le réchauffement de l’ionosphère, les micro-ondes, le trafic aérien. , les carburants pour fusées et les vols supersoniques, par exemple.

Les nombreuses guerres dans le monde et les conséquences irréversibles de l’utilisation généralisée de l’uranium appauvri, un déchet des centrales nucléaires par exemple, ne sont même pas évoquées ici[8].

Vous voyez, on vous a refusé des informations cruciales sur la situation réelle de la planète, ses dangers et leurs causes, vous expliquant tout avec le CO 2 , quoi qu’il en soit, et vous y avez simplement cru. Pourtant, à ce jour, vous êtes en route en prétendant avoir compris le fond du problème et en devant présenter ce qui semble en découler . Je comprends aussi qu’à 16 ans on ne peut pas tout savoir. Mais ce que vous et les autres devez savoir si vous voulez vraiment être un mouvement conscient de votre responsabilité envers la Terre Mère et non contre elle, cette connaissance existe ! Alors obtenez-le si vous êtes sérieux au sujet de votre mouvement. Sinon, votre crédibilité disparaîtra bientôt inévitablement[9]. Ainsi, on saura relativement bientôt si les réductions de CO 2 ont des effets sur le « climat » et/ou sur la météo, ce qui bien sûr ne sera pas du tout le cas puisque ce n’est pas la cause des problèmes.

  1. Les connaissances que vous ne connaissiez pas sont nées avant tout du  Dr Rosalie Bertell , que je vous ai déjà recommandée dans ma première lettre et qui a également reçu le RLA, le Right Livelihood Award, il y a 33 ans. Elle a travaillé comme biométricienne et scientifique environnementale pour l’ONU sur l’histoire des technologies militaires à l’Est et à l’Ouest depuis la Seconde Guerre mondiale. Ces technologies sont la clé pour répondre à la question de savoir ce qui se passe ou ce qui peut être fait aujourd’hui pour y parvenir. Elle évoque surtout les dégâts causés par les interventions nucléaires, par exemple l’explosion de plus de deux mille bombes atomiques et à hydrogène (!) dans l’atmosphère et sur Terre survenue pendant un demi-siècle. Elle continue en expliquant les technologies postnucléaires. Ce sont ceux utilisés pour  « les guerres météorologiques, les armes à plasma et la géo-ingénierie militaire » Les activités militaires qui ont été et sont cachées au public expliquent tout ce que nous observons dans la réalité et ce que l’on appelle généralement le « changement climatique ».  C’est le résultat de décennies de guerre contre la Terre et de sa transformation en une véritable « arme de guerre » militaire à l’Est et à l’Ouest. inventé au cours des 70 dernières années sur la base de la découverte de la façon d’utiliser les ondes électromagnétiques. Cette technologie a été développée par le physicien Nikola Tesla et est maintenant de plus en plus pratiquée partout sur la planète, par exemple par un nombre croissant d’installations des appareils de chauffage dits “ionosphere”. Cependant, tout cela n’est pas admis publiquement! Mais cela se produit, comme on peut le lire dans la Convention dite ENMOD de l’ONU 1977, la Convention sur la Modification de l’Environnement, ou dans le rapport “Weather as a Force Multiplier – Owning the Weather en 2025” de l’US Air Force publié en 1996. Ces technologies ont déjà été discutées à deux reprises au Parlement européen, en 1999 et 2013, jusqu’à ce que la Commission de l’UE interdise au PE d’en traiter davantage en 2016, car il s’agit de questions militaires (!). 

Rosalie Bertell, arrivée des États-Unis en Allemagne en 2010 peu avant sa mort pour assister au 30e anniversaire du Right Livelihood Award, a donc appelé à une discussion sur ce sujet entre ses collègues également lauréats, en criant :

« Ce n’est pas du CO 2 ! Ce sont les militaires !

Et elle a sorti une pétition qui a été signée par toutes les personnes présentes. Ça lit:

« Il est moralement répréhensible et constitue une déclaration de guerre à l’humanité et à la Terre d’intervenir dans le fonctionnement normal de l’ordre planétaire en provoquant ou en intensifiant des tempêtes, des ouragans, des tsunamis, des moussons, des glissements de terrain, des sécheresses, des inondations, des tremblements de terre ou des éruptions volcaniques ! »

Alors, si vous et votre mouvement voulez sortir de votre confusion sur les vrais problèmes de notre planète et l’adoption sans réflexion des slogans d’en haut et si vous voulez aborder la question la vérité et faire ce que la Terre Mère a besoin maintenant, à savoir notre solidarité à cause de ce qui lui est fait tout le temps, ensuite, veillez à ce que vous sachiez de quoi il s’agit et combattez-le. Car c’est ce qui détermine notre avenir, et non le CO2, qui appartient à la nature et que vous représentez plutôt comme son ennemi!

Pourquoi tout cela est si tordu, pourquoi on vous refuse la vraie connaissance et en quoi consiste la propagande du CO 2 , tout cela, vous devrez le découvrir par vous-même. Parce qu’il y a ces intérêts derrière lesquels vous êtes censés rivaliser avec votre mouvement. Ce sont ces intérêts qui financent et organisent tout à grande échelle dans le monde : vos manifestations hebdomadaires des Fridays for Future, les « fêtes de la fin du monde » comme je les appelle, ainsi que les « Die-in », une pratique de mort anticipée – ne le faites pas. tu réalises à quel point c’est une perversion ? Ce sont eux qui produisent et approvisionnent vos bureaux régionaux dans le monde entier, qui organisent les grands spectacles, par exemple avec des pianistes célèbres, les films, les vidéos, le travail médiatique, le matériel de propagande et tout ça – le font-ils parce qu’ils vous aiment tant ?

  1. Ces intérêts ont besoin de vous et ont besoin de vous pour attirer la jeunesse et surtout les femmes à leurs côtés ! Car les femmes ont toujours abordé davantage le sujet de la nature et de l’écologie que les hommes, tout simplement parce qu’elles y sont historiquement et physiquement plus liées. Ceci est maintenant exploité par vous qui représentez les nouveaux plans et intérêts du grand capital, pour les promouvoir et pour assurer la mise en œuvre de leurs objectifs. C’est vous qui êtes censé propager une sorte de « révolution culturelle » afin que la crise actuelle de croissance et d’énergie du capitalisme puisse être surmontée, qu’un modèle économique supplémentaire puisse être construit et qu’un nouveau départ du système puisse avoir lieu. de manière rentable et sur une base technologiquement plus moderne, plus efficace, mais aussi plus étroite (!) – en laissant bien sûr derrière elle un tas de restes brisés sous la forme de la « vieille » société qui doit d’abord être brisée et détruite ! Sinon, comment cela pourrait-il fonctionner, notamment sans vous, et donc sans provoquer le soulèvement – ​​et cette fois-ci celui d’une société véritablement anticapitaliste pour tous ? Votre rôle est donc de leur épargner un tel bouleversement !

Pourquoi les aidez-vous ?

C’est merveilleux que les jeunes soient enthousiasmés par la Terre Mère . J’ai attendu longtemps que cela se produise. Mais curieusement, ce que vous faites maintenant n’est pas une bénédiction pour la Terre Mère, mais sa moquerie !  Ce que vous avez fait jusqu’à présent est le contraire de ce qui était nécessaire. C’est bien son renversement.

Image de droite : Thunberg devant le parlement suédois, tenant une pancarte « Skolstrejk för klimatet » (traduit par grève scolaire pour le climat), Stockholm, août 2018 (sous licence CC BY-SA 4.0)

Ne remarquez-vous pas du tout, Greta et les personnes inspirées par vous, dans quoi vous vous êtes embarqués ?

Vous serez très déçu de voir quels intérêts vous servez réellement, à savoir ceux qui sont responsables de l’état de la Terre dont vous vous plaignez tout en croyant être une puissance du bien. Ne vous laissez pas inciter contre la génération qui vous a élevé et contre la génération que vous pourriez vous-même élever car elles laisseraient prétendument une « empreinte carbone » qu’il faut éviter à tout prix. Ce serait accuser la vie elle-même au lieu d’accuser ceux qui la détruisent !

Mais maintenant vous pourrez peut-être aussi vous expliquer le malaise que vous ressentez déjà à cause de ces confusions. Ton visage, Greta, le montre quand même.

Alors, ne vous laissez plus abuser pour le contraire de ce que vous voulez défendre, par des gens qui ont tout sauf le bien de la Terre Mère en tête et qui travaillent même à sa destruction ! Cela aurait été une erreur gigantesque, un effort inutile et une perte de temps dont nous avons tous désespérément besoin pour vraiment défendre notre planète. Le temps presse, mais pas pour la réduction du CO 2 !

Conclusion:

Vous, Greta et tous ceux qui avancent avec vous, avez raté l’essentiel et avez involontairement menti au monde. Vous voulez imposer une politique qui ne profite ni à la Terre, ni à son climat, mais à l’avenir et aux profits de certains investisseurs et entreprises, ainsi qu’à la démolition de structures sociales et d’existences qui ne rapportent plus aucun profit. Enfin, vous avez détourné l’attention des destructions qui sont de plus en plus perpétrées sur Terre depuis des décennies et qui s’ajoutent à celles déjà connues, à savoir celles commises par les militaires – sur terre, dans l’eau et dans les airs, et plus récemment également depuis l’espace. De cette façon, vous évitez que les dangers qui en découlent, et qui sont désormais de plus en plus massifs, pour la vie sur Terre et pour la Terre elle-même, soient enfin vus, reconnus et résolus.

Vous ne rendez pas service à la Terre. Mais il est encore temps de faire demi-tour, de comprendre et de résoudre les vrais problèmes plutôt que les faux !

Je crains cependant qu’« ils » ne le permettent pas.

Prof. Dr. Claudia von Werlhof et groupe de discussion,  Mouvement Planétaire pour la Terre Mère, Autriche

Cet article a été initialement publié sur  PBME .

Remarques

[1] L’argent derrière « Fridays for Future » et le « Green New Deal »   https://www.globalresearch.ca/climate-money-trail/5690209

[2] sur la 5G

https://www.5gspaceappeal.org/the-appeal

Fréquences effrayantes : les dangers de la 5G

[3] sur le CO2

Bureau allemand de l’Environnement, Umweltbundesamt, sur la quantité de CO2: https://www.umweltbundesamt.de/daten/klima/atmosphaerische-treibhausgas-konzentrationen#textpart-1

Critique de la thèse CO2 :  https://needtoknow.news/2019/09/top-level-climate-modeler-spills-the-beans-on-the-nonsense-of-global-warming-crisis/?print= imprimer

L’agriculteur et son climat :  https://youtu.be/KbGBcL3x_8s

[4] Des scientifiques contre le GIEC

https://www.cato.org/publications/commentary/politique-assault-climate-skeptics

PBME : 14. Lettre d’information 2018, http://www.pbme-online.or

https://www.mmnews.de/vermischtes/130317-stanford-professor-widerlegt-co2-theorie-medien-schweigen

[5] Feux de forêt

Californie, octobre 2017 :

https://www.epochtimes.de/politik/welt/offizielle-version-geoengineering-gibt-es-chemtrails-nicht-und-feuer-die-haeuser-pulverisieren-aber-baeume-verschonen-a2257258.html

Portugal juin 2017

https://www.epochtimes.de/politik/europa/waldbrand-in-portugal-unerklaerlich-heiss-und-schwer-zu-loeschen-hat-geoingeneering-damit-zu-tun-a2148244.html

[6] SRM – Gestion du rayonnement solaire

AndrewJohnson :  https://www.checktheevidence.com/wordpress/2017/09/24/book-climate-change-and-global-warming-exposed-hidden-evidence-disguised-plans/

[7] Appauvrissement de la couche d’ozone

https://ethz.ch/fr/news-and-events/eth-news/news/2018/02/decline-stratospheric-ozone.html

http://www.atomicarchive.com/Effects/effects22.shtml

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2291128

https://www.nti.org/gsn/article/limited-nuclear-war-could-deplete-ozone-layer-increasing-radiation

PBME : 13. Lettre d’information,  www.pbme-online.org

Claudia von Werlhof :  www.NoGeoingegneria.com/news-eng/the-moment-of-truth-has-come/  16 avril 2018 ; et au NRhZ, Cologne 25.4.2018

https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01616832/document

[8] Munitions à l’uranium

Frieder Wagner : Todesstaub Fabriqué aux États-Unis. Les munitions à uranium vers le monde. Vienne, Promedia 2019  https://mediashop.at/buecher/todesstaub-made-in-usa/

[9] Les autres connaissances

Rosalie Bertell : Planète Terre. The Latest Weapon of War, Londres, The Womens´ Press 2000/Toronto, Black Rose 2001 /éd. amélioré. Dublin, Talma International 2020

____ : Kriegswaffe Planet Erde, Gelnhausne, JKFischer Verlag, 4. Éd. 2018

____ : Planeta Tierra – la Nueva Guerra, Guadalajara, Mexique, La Casa del Mago 2018

____ : Pianeta Terra. L´ultina arma di guerra, Triest, Asterios 2018

____ : La Planète Terre, ultime arme de guerre, Paris, Talma 2018

Elana Freeland : Sous un ciel ionisé, Port Townsend, Feral House 2018

Jacob Darwin Hamblin : Armer Mère Nature. La naissance de l’environnementalisme catastrophique, New York 2013, Oxford University Press

Patrick Pasin : L’Armée Climatique. La Manipulation du Climat par les Militaires, Paris, Talma 2018

Claudia von Werlhof : Le dernier défi : « L’alchimie militaire » comme dystopie pour la planète Terre, dans : L’échec de la civilisation moderne et la lutte pour une alternative « profonde », Francfort-sur-le-Main/New York, 2011, Peter Lang, pp 269- 301

____  https://www.nogeoingegneria.com/news-eng/earth-as-weapon-geo-engineering-as-war/

www.fipaz.at : Bumerang, Journal pour la Ciritique du Patriarcat

www.pbme-online.org : Info-Lettres


Annexe II

Lettre à la Conférence des Nations Unies de Durban 2011

par

 Rosalie Bertell

Chère Claudie,

Je soumets cette critique à la Commission des Nations Unies sur la biodiversité. J’espère qu’ils ouvriront leur perspective pour inclure les militaires !

Rosalie

De : Rosalie Bertell, GNSH [mailto : rosaliebertell@greynun.org ]
Envoyé : mardi 6 décembre 2011 à 19h01
À : ‘ Secretariat@cbd.int ‘
Objet : Commentaires sur le projet de document

Ahmed Djoghlaf

Secrétaire exécutif

OBJET : Commentaires sur les impacts de la géo-ingénierie liée au climat sur la diversité biologique – Ébauche – 1er novembre 2011

J’ai été reconnaissant pour l’approche directe du résumé exécutif, tel que préparé par les éditeurs et distinct des rédacteurs du document lui-même. Le document avait par endroits l’apparence d’une apologie de la géo-ingénierie plutôt que d’une évaluation sérieuse et impartiale de la proposition.

C’est comme si le public était censé faire confiance aux scientifiques pour résoudre tous les problèmes d’interventions très complexes et imprévisibles dans le système terrestre, quels que soient les dangers, simplement parce que les scientifiques pensent que la société souhaite continuer à polluer. Il y a moins d’inconnues et/ou de conséquences dangereuses liées à la conversion de notre dépendance aux combustibles fossiles en faveur du développement de technologies énergétiques plus inoffensives, qu’à la manipulation d’un système terrestre en équilibre délicat avec les conséquences potentiellement généralisées et irréversibles de l’interruption de l’interaction naturelle entre le système terrestre. les océans et le soleil, l’ionosphère et la magnétosphère !

Nous avons déjà une riche expérience, à commencer par les tentatives de contrôle météorologique avec l’ensemencement des nuages ​​en 1950, et 50 décennies d’expériences militaires conçues pour assurer une « domination totale » d’ici 2020.

La tentative ratée de l’armée US de construire un bouclier de télécommunication “” dans l’ionosphère en 1961, pour contrer l’interférence du vent solaire avec la communication radio, devrait servir de mise en garde. Ils ont apporté 350 trillions d’aiguilles de cuivre, 2-4 cm de long, dans l’ionosphère, en essayant de construire une ceinture de 10 km (6 miles) d’épaisseur et 40 km. (25 miles) de large pour former une ceinture. Ils ont en fait jeté les aiguilles de 350 trillions en orbite – et selon la femme du physicien Walter Richmond: “nous avons eu le tremblement de terre de 8,5 en Alaska et le Chili a perdu une bonne partie de sa côte. Cette bande de fils de cuivre interférait avec le champ magnétique planétaire.” [See Keesings Historisch Archief (K.H.A.) 1961 and Nick Begich and Jeane Manning, Angels Don’t Play this HAARP, Earthpulse Press, Anchorage, AK 1995, p.53.]

En juillet 1962, les États-Unis ont levé l’interdiction des essais nucléaires atmosphériques et ont commencé à tester des bombes nucléaires dans l’ionosphère. Ces expériences comprenaient « un appareil d’une kilotonne, à une hauteur de 50 km et un appareil d’une mégatonne et un multi-mégatonne, à plusieurs centaines de kilomètres d’altitude ». Ces tests ont sérieusement perturbé la ceinture inférieure de Van Allen, la détruisant pratiquement, avec des particules radioactives transportées vers la basse atmosphère et pratiquement aucune communication radio terrestre pendant plusieurs heures sur plusieurs kilomètres.

« Le 19 juillet. La NASA a annoncé qu’à la suite de l’essai nucléaire à haute altitude du 9 juillet, une nouvelle ceinture de radiations s’était formée, s’étendant d’une hauteur d’environ 400 km à 1 600 km (250 à 1 000 mi) ; cela peut être considéré comme une extension temporaire de la ceinture inférieure de Van Allen. [KHA 5 août 1962]

Plus tard, en 1962, l’Union soviétique entreprit des expériences similaires, créant trois nouvelles ceintures de radiations situées entre 7 000 et 13 000 km (4 300 et 8 100 milles) au-dessus de la Terre.

Depuis lors, les flux d’électrons dans les ceintures de Van Allen ont sensiblement changé et ne sont pas revenus à leur état antérieur. Les scientifiques estiment qu’il faudra environ cent ans avant de revenir à la « normale » (si jamais cela arrive).

Dans les années 1970, nous avons appris que la couche d’ozone avait été appauvrie d’environ 4 % par les explosions nucléaires de 300 mégatonnes déclenchées entre 1945 et 1963. Dans aucun de ces cas, les résultats de ces expériences colossales n’ont été prédits – et nous n’avons pas non plus été en mesure de restaurer la couche d’ozone. normalité pour notre planète après coup ! [Académie nationale des sciences des États-Unis, Effets à long terme des détonations multiples d’armes nucléaires, 1975]

En 1983, le lancement de la fusée Saturn V a mal fonctionné et le deuxième propulseur a brûlé à une hauteur inhabituellement élevée dans l’atmosphère, à 300 km (186 miles). Cette perturbation de l’ionosphère a réduit la teneur totale en électrons de plus de 60 % sur une zone de 1 000 km de rayon qui a duré plusieurs heures, arrêtant toute communication radio. Après cette expérience, l’armée a commencé à expérimenter délibérément des trous brûlants dans l’ionosphère, en utilisant la fusée d’appoint, et plus tard, le système de manœuvre orbitale. Ces expériences ont provoqué des « lueurs d’air » artificielles lorsque des particules radioactives heurtaient les gaz de la basse atmosphère terrestre. Au cours des années 1980, il y a eu environ 500 à 600 lancements de fusées par an, culminant à 1 500 en 1989. Chaque vol a injecté environ 187 tonnes de chlore détruisant l’ozone et 7 tonnes d’azote dans la couche d’ozone – tous deux connus pour l’appauvrir. Pourtant, le fardeau de cette destruction a été imputé aux déodorants sous les bras et aux réfrigérateurs ! Les civils ont été contraints de faire face à des taux de cancer de la peau plus élevés, alors qu’aucune préoccupation concernant les effets sur la flore et la faune, l’agriculture ou la stabilité du climat n’atteignait la conscience civile !

En 1981, la NASA a commencé à induire des trous ionosphériques pour étudier les instabilités artificielles du plasma et la modification des chemins de propagation radio. Une décharge de six secondes du système de manœuvre orbitale en août 1985 a provoqué une lueur aérienne couvrant 400 000 kilomètres carrés au-dessus du Connecticut.

Entre 1978 et 1990, la couche d’ozone dans l’hémisphère Nord a encore diminué de 4 à 8 % [au-delà des 4 % des essais d’armes], et la couche d’ozone dans l’hémisphère Sud a diminué de 5 à 10 %. On pensait qu’une diminution de 20 % anéantirait le réseau trophique et rendrait la vie impossible, mais il n’y avait pas moyen de s’arrêter ! En fait, les États-Unis ont commencé à lancer des fusées à propulsion nucléaire en 1990, alors qu’ils se préparaient à des guerres dans l’espace. En 1995, les États-Unis ont commencé à exploiter le chauffage ionique géant HAARP, capable de modifier plus facilement la densité de l’ionosphère. Ils ont mis en place une série de stations de surveillance passive appelées stations Dual Radar pour noter tous les changements au niveau de la Terre correspondant à l’activité manipulatrice de l’ionosphère. HAARP est exploité conjointement par l’armée et la marine américaines, à Gacona, en Alaska.

Ces expériences militaires se poursuivent même au XXIe siècle, en particulier avec les recherches navales visant à construire des nuages ​​artificiels à haute altitude bien au-dessus du niveau des nuages ​​normaux. J’ai été étonné que toutes ces recherches ne trouvent pas de place dans le long rapport sur la biodiversité ! Tout cela est-il secret pour la sécurité militaire ? Ne pouvons-nous pas tirer les leçons des graves problèmes déjà rencontrés par la planète Terre à cause des courses nucléaire et spatiale ?

Ma conclusion et ma recommandation aux Parties à la Biodiversité est de laisser ce document de côté jusqu’à ce qu’ils aient eu suffisamment de temps et d’accès aux documents pour examiner attentivement les erreurs et les surprises des expériences spatiales pour lesquelles nous payons déjà le prix fort. Ces expériences passées seraient considérées comme des expériences « petites » ou « locales » par rapport à ce qui est actuellement prévu tant en termes d’espace géographique que d’extension temporelle qu’elles nécessiteraient ! Est-ce l’héritage que nous souhaitons laisser aux prochaines générations ! Le maintien perpétuel de la vie sur une planète détériorée et gravement malade n’est pas un bon avenir ! Je recommanderais fortement de donner une pause à notre planète Terre et de la nourrir jusqu’à ce qu’elle soit en bonne santé avant toute autre expérience mal pensée avec notre système de survie, sans parler de la biodiversité. Nous sommes tous perchés sur la branche que les scientifiques veulent désormais scier !

Respectueusement soumis,

Rosalie Bertell, Ph.D.

Médecins internationaux pour la médecine humanitaire

Genève, Suisse et Palerme, Italie

PS de Claudia von Werlhof

Cette lettre n’a jamais reçu de réponse.

Le Dr Bertell est l’auteur de : « Planet Earth : the Latest Weapon of War », The Women’s Press, Londres, Royaume-Uni, 2000. Publié dans une version allemande mise à jour, « Kriegswaffe Planet Erde » par JK-Fischer Verlag, Gelnhausen, 2011. , 5 e édition en 2020. La version originale a été publiée en japonais en 2006. La version anglaise mise à jour est parue en 2020 : Planet Earth : the Latest Weapon of War, édition améliorée, Dublin, Talma International.

Une version française (Talma Studios, Paris), une italienne (Asterios, Triente) et une version espagnole (La Casa del Mago, Guadalajara, Mexique) sont également apparues, toutes avec l’aide du Mouvement Planétaire pour la Terre Mère, PMME, http://www.pbme-online.org.


Annexe III 

Convention sur l’interdiction de l’utilisation militaire ou de toute autre utilisation hostile des techniques de modification de l’environnement

Adoptée par la résolution 31/72 de l’Assemblée générale des Nations Unies le 10 décembre 1976. La Convention a été ouverte à la signature à Genève le 18 mai 1977.

Les États parties à la présente Convention, guidés par l’intérêt de consolider la paix et désireux de contribuer à la cause de l’arrêt de la course aux armements et de réaliser un désarmement général et complet sous un contrôle international strict et efficace, et de sauver l’humanité du danger d’utiliser de nouveaux moyens de guerre,

Résolu à poursuivre les négociations en vue de progresser effectivement vers de nouvelles mesures dans le domaine du désarmement,

Reconnaissant que les progrès scientifiques et techniques peuvent ouvrir de nouvelles possibilités en matière de modification de l’environnement,

Rappelant la Déclaration de la Conférence des Nations Unies sur l’environnement humain, adoptée à Stockholm le 16 juin 1972,

Consciente que l’utilisation de techniques de modification de l’environnement à des fins pacifiques pourrait améliorer les relations entre l’homme et la nature et contribuer à la préservation et à l’amélioration de l’environnement dans l’intérêt des générations présentes et futures,

Reconnaissant toutefois que l’utilisation militaire ou toute autre utilisation hostile de ces techniques pourrait avoir des effets extrêmement préjudiciables au bien-être de l’humanité,

Désireux d’interdire effectivement l’utilisation militaire ou toute autre utilisation hostile des techniques de modification de l’environnement afin d’éliminer les dangers que cette utilisation fait courir à l’humanité, et affirmant leur volonté d’œuvrer à la réalisation de cet objectif,

Désireux également de contribuer au renforcement de la confiance entre les nations et à une nouvelle amélioration de la situation internationale conformément aux buts et principes de la Charte des Nations Unies,

Sont convenus de ce qui suit :

Article premier

1. Chaque État partie à la présente Convention s’engage à ne pas se livrer à une utilisation militaire ou à toute autre utilisation hostile de techniques de modification de l’environnement ayant des effets étendus, durables ou graves comme moyen de destruction, de dommage ou de blessure envers tout autre État partie.

2. Chaque État partie à la présente Convention s’engage à ne pas aider, encourager ou inciter un État, un groupe d’États ou une organisation internationale à se livrer à des activités contraires aux dispositions du paragraphe 1 du présent article.

Article II

Tel qu’utilisé dans l’article 1, le terme « techniques de modification de l’environnement » fait référence à toute technique visant à modifier – par la manipulation délibérée de processus naturels – la dynamique, la composition ou la structure de la Terre, y compris son biote, sa lithosphère, son hydrosphère et son atmosphère, ou de Cosmos.

Article III

1. Les dispositions de la présente Convention ne font pas obstacle à l’utilisation de techniques de modification de l’environnement à des fins pacifiques et sont sans préjudice des principes généralement reconnus et des règles applicables du droit international concernant une telle utilisation.

2. Les États parties à la présente Convention s’engagent à faciliter et ont le droit de participer à l’échange le plus complet possible d’informations scientifiques et technologiques sur l’utilisation de techniques de modification de l’environnement à des fins pacifiques. Les États parties en mesure de le faire contribuent, seuls ou avec d’autres États ou organisations internationales, à la coopération économique et scientifique internationale en matière de préservation, d’amélioration et d’utilisation pacifique de l’environnement, en tenant dûment compte des besoins des pays en développement. régions du monde.

Article IV

Chaque État partie à la présente Convention s’engage à prendre toutes les mesures qu’il juge nécessaires conformément à ses procédures constitutionnelles pour interdire et empêcher toute activité en violation des dispositions de la Convention partout sous sa juridiction ou son contrôle.

Article V

1. Les États parties à la présente Convention s’engagent à se consulter et à coopérer pour résoudre tous problèmes qui pourraient surgir en relation avec les objectifs ou l’application des dispositions de la Convention. Les consultations et la coopération conformément au présent article peuvent également être entreprises par le biais de procédures internationales appropriées dans le cadre des Nations Unies et conformément à sa Charte. Ces procédures internationales peuvent comprendre les services d’organisations internationales compétentes, ainsi que d’un Comité consultatif d’experts tel que prévu au paragraphe 2 du présent article.

2. Aux fins énoncées au paragraphe 1 du présent article, le Dépositaire convoquera un Comité consultatif d’experts, dans le délai d’un mois à compter de la réception d’une demande émanant d’un État partie à la présente Convention. Tout État partie peut nommer un expert auprès du Comité dont les fonctions et le règlement intérieur sont exposés dans l’annexe qui fait partie intégrante de la présente Convention. Le Comité transmettra au Dépositaire un résumé de ses conclusions factuelles, intégrant tous les points de vue et informations présentés au Comité au cours de ses travaux. Le Dépositaire distribuera le résumé à tous les États parties.

3. Tout État partie à la présente Convention qui a des raisons de croire qu’un autre État partie agit en violation des obligations découlant des dispositions de la Convention peut déposer une plainte auprès du Conseil de sécurité des Nations Unies. Une telle plainte doit inclure toutes les informations pertinentes ainsi que toutes les preuves possibles étayant sa validité.

4. Chaque État partie à la présente Convention s’engage à coopérer à la conduite de toute enquête que le Conseil de sécurité pourrait ouvrir, conformément aux dispositions de la Charte des Nations Unies, sur la base de la plainte reçue par le Conseil. Le Conseil de sécurité informe les États parties des résultats de l’enquête.

5. Chaque État partie à la présente Convention s’engage à fournir ou à soutenir une assistance, conformément aux dispositions de la Charte des Nations Unies, à tout État partie qui en fait la demande, si le Conseil de sécurité décide que cette partie a subi un préjudice ou est susceptible subir un préjudice du fait de la violation de la Convention.

Article VI

1. Tout État partie à la présente Convention peut proposer des amendements à la Convention. Le texte de tout amendement proposé est soumis au Dépositaire, qui le diffuse sans délai à tous les États parties.

2. Un amendement entre en vigueur pour tous les États parties à la présente Convention qui l’ont accepté, dès le dépôt auprès du Dépositaire des instruments d’acceptation par la majorité des États parties. Par la suite, il entrera en vigueur pour tout État partie restant à la date du dépôt de son instrument d’acceptation.

Article VII

La présente Convention aura une durée illimitée.

Article VIII

1. Cinq ans après l’entrée en vigueur de la présente Convention, une conférence des États parties à la Convention sera convoquée par le Dépositaire à Genève, Suisse. La conférence examinera le fonctionnement de la Convention en vue de garantir que ses objectifs et ses dispositions sont réalisés et examinera en particulier l’efficacité des dispositions du paragraphe 1 de l’article premier pour éliminer les dangers d’une utilisation militaire ou de toute autre utilisation hostile. des techniques de modification de l’environnement.

2. À des intervalles d’au moins cinq ans par la suite, la majorité des États parties à la présente Convention peuvent obtenir, en soumettant une proposition à cet effet au Dépositaire, la convocation d’une conférence ayant les mêmes objectifs.

3. Si aucune conférence n’a été convoquée conformément au paragraphe 2 du présent article dans les dix ans suivant la conclusion d’une conférence précédente, le Dépositaire sollicitera l’avis de tous les États parties à la présente Convention concernant la convocation d’une telle conférence. Si un tiers ou dix des États parties, selon le nombre le plus petit, répondent par l’affirmative, le Dépositaire prendra immédiatement des mesures pour convoquer la conférence.

Article IX

1. La présente Convention est ouverte à la signature de tous les États. Tout État qui ne signe pas la Convention avant son entrée en vigueur conformément au paragraphe 3 du présent article peut y adhérer à tout moment.

2. La présente Convention est soumise à la ratification des Etats signataires. Les instruments de ratification ou d’adhésion seront déposés auprès du Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies.

3. La présente Convention entrera en vigueur dès le dépôt des instruments de ratification par vingt gouvernements conformément au paragraphe 2 du présent article.

4. Pour les États dont les instruments de ratification ou d’adhésion sont déposés après l’entrée en vigueur de la présente Convention, celle-ci entrera en vigueur à la date du dépôt de leurs instruments de ratification ou d’adhésion.

5. Le Dépositaire informe sans délai tous les États signataires et adhérents de la date de chaque signature, de la date de dépôt de chaque instrument de ratification ou d’adhésion et de la date d’entrée en vigueur de la présente Convention et de tout amendement à celle-ci, ainsi que de la réception d’autres avis.

6. La présente Convention sera enregistrée par le Dépositaire conformément à l’Article 102 de la Charte des Nations Unies.

Article X

La présente Convention, dont les textes anglais, arabe, chinois, espagnol, français et russe font également foi, sera déposée auprès du Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, qui en enverra des copies dûment certifiées conformes aux gouvernements des pays signataires et adhérents. États.

En foi de quoi, les soussignés, dûment autorisés à cet effet, ont signé la présente Convention.

Fait à Genève, le 18 mai 1977.

Annexe à la Convention

Comité consultatif d’experts 1. Le Comité consultatif d’experts s’engage à tirer des conclusions de fait appropriées et à fournir des avis d’experts pertinents sur tout problème soulevé conformément au paragraphe 1 de l’article V de la présente Convention par l’État partie demandant la convocation du Comité.

2. Les travaux du Comité consultatif d’experts sont organisés de manière à lui permettre d’exercer les fonctions énoncées au paragraphe 1 de la présente annexe. Le Comité tranche les questions de procédure relatives à l’organisation de ses travaux, si possible par consensus, mais sinon à la majorité des membres présents et votants. Il n’y aura pas de vote sur les questions de fond.

3. Le Dépositaire ou son représentant préside le Comité.

4. Chaque expert peut être assisté lors des réunions par un ou plusieurs conseillers.

5. Chaque expert a le droit, par l’intermédiaire du Président, de demander aux États et aux organisations internationales les informations et l’assistance qu’il juge souhaitables pour l’accomplissement des travaux du Comité.La source originale de cet article est Global ResearchCopyright © 

Prof. Claudia von Werlhof

Dr Rosalie Bertell

Prof Michel Chossudovsky , 

Josefina Fraile , 

Elana Freeland , 

Maria Heibel , 

Claire Henrion , 

Conny Kadia , 

Linda Leblanc et 

Vilma Rocío Almendra Quiguanás , Global Research, 2024

https://www.globalresearch.ca/global-war-ning-geoengineering-is-wrecking-our-planet-and-humanity/5753754

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